Un dimanche midi, Ludo et Virginie, ont convié quelques amis, à un barbecue dans leur jardin. Ils seront une dizaine, ils se connaissent tous très bien. Vers onze heures, ils commencent tous les deux à préparer. Ils placent et nettoient les tables, les chaises. Mettent des nappes en papier. Ils apportent assiettes, couverts, verres, serviettes pleines de couleurs. Virginie coupe quelques fleurs, de bien jolis bouquets trônent à présent au centre des deux tables accolées.
Dans une immense bassine, Ludo verse un sac de glaçons. Pendant qu’elle va se changer et se pomponner un peu, il se charge d’apporter toutes les bouteilles et de les mettes au frais dans la glace. Elle est revenue peu de temps après, vêtue d’un chemisier et d’une petite jupe. Elle est très jolie. Il ne peut s’empêcher de venir vers elle, il l’enlace, l’embrasse pendant que ses mains remontent le long de ses cuisses et se posent sur fesses laissées nues par son string en dentelle.
Alors qu’il est en train de la peloter, les premiers invités arrivent. Il retire ses mains et s’écarte d’elle. Quelque peu embarrassé par une belle érection, il les invite verbalement à entrer. Virginie, amusée par la situation, le regarde en souriant et lui donne un fugace baiser avant de rejoindre leurs convives. Elle fait la bise à tout le monde, Ludo la rejoint. Elle jette un regard furtif et constate que tout est rentré dans l’ordre. Les derniers les rejoignent, tout le monde est là.
Les hommes allument le barbecue pendant que les femmes prennent place autour de la table pour papoter. Ils se débrouillent comme des chefs, elles n’ont même pas besoin de venir à leur aide. Elles discutent et les épient en même temps. Elles parlent de tout, soldes, histoires de cur etc Dans le feu de la conversation, Virginie raconte à ses amies, le petit embarras de Ludo de tout à l’heure. Toutes en même temps, elles se retournent vers lui et rigolent. Surpris par tous ces regards, il sourit, il a compris.
Elles passent à autre chose et eux s’affairent au barbecue. Ça sent bon. Ludo apporte un premier plat. En passant derrière Virginie, il lui murmure : " tu vas voir, toi, tout à l’heure ! ". Sa menace la rend toute chose, l’excite même. Pendant tout le repas, ses mots ne l’ont pas quittée, s’imaginant même, des scénarios, plus coquins les uns que les autres. Le repas se passe bien, tout le monde se régale. Il fait très chaud, les bouteilles défilent sur la table. Ils décident de remettre le dessert à plus tard.
Pour digérer, ils improvisent une partie de pétanque. Les femmes contre les hommes. Ils sont onze, Virginie, profite d’un léger mal de tête pour s’échapper. En réalité, elle a horreur de ça. Elle décide d’aller s’allonger un peu, sur la balancelle, se trouvant à l’ombre, on fond du jardin. Ils jouent bruyamment et pourtant, elle finit par s’assoupir, bercée par la balancelle et un peu enivrée par le vin qui a coulé à flots.
Pendant la partie, Ludo demande à Éric de le remplacer. Il va rechercher un sac de glace, il n’y en a plus. Il verse les glaçons dans la bassine qui déborde. Il en met quelques-uns dans un gobelet et se dirige vers Virginie. La balancelle fait dos aux invités. Elle est sur le dos et dort profondément. Il pose le gobelet sur l’herbe, et, délicatement, il retire les boutons de son chemisier jusqu’au dernier. Elle ne porte pas de soutien-gorge, sa poitrine se découvre devant lui, il se met à genoux à côté.
Il prend un glaçon entre ses doigts qui fond avec la chaleur de sa main. De petites gouttes glacées tombent entre les seins de Virginie, sur son ventre. Elle sursaute mais ne se réveille pas. Il relève sa jupe jusqu’à la taille, admirant au passage le corps de sa belle. Des gouttes s’écrasent sur ses cuisses, entre ses cuisses et mouillent son string blanc. Il remonte vers sa poitrine et fait glisser le glaçon sur ses tétons. Ils durcissent illico, elle se trémousse, mais n’ouvre pas les yeux.
Il s’amuse sur un, puis, sur l’autre, approche sa bouche et les suçote pour les réchauffer. Il les lèche, les aspire, les prend entre ses lèvres, elle se réveille Il lui demande de se laisser faire, que c’est sa punition, qu’elle ne doit pas faire de bruit, les autres sont juste à côté. Amusée, elle obéit. Il prend un nouveau glaçon dans le gobelet, et, le promène sur son bas ventre puis sur son string. Elle a si chaud, qu’il fond vite fait, le tissu est trempé, transparent. Il admire son travail.
Il en reprend un, le dernier, le tient bien fermement entre ses doigts. Il glisse sa main sous l’élastique du string et caresse son sexe avec le glaçon. Son pubis, ses lèvres, entres ses lèvres, son clito, et même son petit trou. Il le balade jusqu’à ce qu’il soit totalement fondu, elle est très excitée, trempée à la fois par la glace, mais aussi par le plaisir que les glaçons et la situation lui procurent. Il lui demande de retirer ce petit bout de tissu détrempé. Elle obtempère. Elle le fait glisser doucement et lui donne. Il le met dans sa poche.
Elle est quasiment nue avec dix personnes à côté. Ils ne la voient pas, mais cette sensation est étrange pour elle, ce n’est pas pour lui déplaire. Ludo peut le constater quand il entreprend de la doigter. Ses doigts s’enfoncent en elle, lui soutirant des petits gémissements, qu’elle doit tenter de dissimuler pour ne pas se faire remarquer des autres. Il approche sa bouche d’elle et vient laper tout ce jus, entre ces lèvres bouillantes. Il la lèche, sa langue la pénètre, ne lui laisse aucun répit, elle a envie de hurler de plaisir.
Il pince et caresse ses seins en même temps, il continue à lui manger le minou, elle va craquer. Son corps se tend et il explose. Il est secoué, de très gros spasmes l’envahissent. Il met sa main devant sa bouche pour couvrir ses petits cris, qu’elle n’arrive à contenir. Il lui dit qu’il n’en a pas fini avec elle, qu’il continuera ce soir, dans l’intimité. Elle reste comme ça quelques minutes, pour se remettre et se rhabille. Elle reboutonne son chemisier, baisse sa jupe. Il lui confisque son string.
Ludo retourne jouer, laissant Virginie sur la balancelle. Elle s’assoit et reprend ses esprits. Quand il s’approche des autres, ils le regardent tous avec un air amusé. Bien que discrets, ils ont été repérés. L’après-midi s’est terminé dans la bonne humeur, certains sont restés dîner. Un barbecue entre amis très agréable à tout point de vue.