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DE MACHO A SOUMIS – Chapitre 1

DE MACHO A SOUMIS - Chapitre 1



Bonjour je suis un homme de 43 ans qui a récupéré la femme de sa vie dix après s’être séparé d’elle parce qu’elle m’avait trompé.

il y a cinq ans alors que je sortais de la poste,je tombe nez à nez sur Hélena et à ma grande surprise ,elle se jette dans mes bras pour me serrer très fort contre elle. Quelle bonheur de sentir de nouveau la pression de ses magnifiques seins contre moi. Sans me poser la question de ce qu’il lui prend, je profite de cet instant magique en la serrant très fort moi aussi. Pour vous la décrire rapidement, imaginez Catherine Zeta Jones en plus grande(1m76), elle a les cheveux frisés mais le même visage et surtout le même air de salope,elle est tellement sexy que même les femmes se retournent sur elle. Bref après cette accolade très franche mais surprenante vu le passif qu’il y avait entre nous,elle m’invite à aller boire un verre dans le troquet le plus proche. Si au début nous échangeons des banalités, son regard malicieux avec ses yeux noirs me confirment qu’elle est vraiment heureuse de me retrouver et le mien en fait de même pour elle, pourtant dix ans plus tôt la séparation avait été douloureuse surtout pour moi car elle avait un amant.

En effet,à cette époque j’allais sur mes 28 ans tandis qu’elle en avait 23 . Cela faisait trois ans que nous étions ensemble, une union heureuse du moins je le pensais, tant sentimentalement que sexuellement.

IL faut savoir que j’ai eu un père très macho et une mère très soumise et pour moi même si je ressemble plus à ma mère j’ai épousé les manières de mon père sauf que Héléna n’était pas ma mère et pour la tenir en main c’était un travail de tous les jours.

LA CAROTTE ET LE BATON, même si ma nature était plus de lui donner la carotte, je savais donner les coups de bâton. J’avais la plus belle des femmes rien que pour moi,j’étais le seul à avoir réussi à la dompter et chaque fois que je la baisais, c’était une récompense que je savourais à chaque instant ,ses baisés mouillés me donnaient la température de ses dispositions envers moi,son cul ferme et tendre à la fois, était à se damner,ses seins galbés et son ventre plat mais voluptueux n’était rien qu’à moi . Tel un trésor je le protégeais avec ma formule gagnante: amour,sexe mais aussi fermeté. Sexuellement,c’était pareil si je préférais lui faire l’amour avec tendresse je savais que parfois elle aimait être baisée fermement voir même avec des mots crus et des claques sur les fesses.

Mais cet équilibre fut mis à mal quand pour des raisons professionnelles nous avons dû déménager sur Paris, loin de Cannes et de sa famille.Elle a eu du mal à s’adapter à cet exil régional forcé. Pour compenser cette tristesse j’ai laissé tomber le bâton, mais bon comme elle m’avait suivie,sûr de son amour je pensais que je pouvais l’aimer sans retenue. GROSSE ERREUR!!

Un jour que je la prenais en levrette au moment de lui caresser le cul, je suis surpris de ne rien ressentir et me demande ce qui m’arrive, sans penser un seul instant que c’était elle qui ne ressentait rien. Le lendemain, je veux de nouveau la sauter, même constat en lui caressant les seins, puis en l’embrassant, je réalise que mes va-et-vient dans son sexe ne lui font plus l’effet habituel .Je la regarde et je m’aperçois qu’elle évite mon regard. Je me retire sans avoir éjaculé et lui demande des explications,elle se met à pleurer et me prend dans ses bras en me disant qu’elle m’aime. Cela ne me suffit pas, je veux comprendre et lui demande si c’est une dépression du fait de l’éloignement de sa famille et là, cette salope me dit oui, je la serre alors dans mes bras pour la rassurer en lui disant que ça ne fait que six mois que nous sommes à Paris et que le plus dur était passé. Elle s’endormit dans mes bras comme une petite fille.

La fois suivante ou j’ai voulu lui faire l’amour ce fut encore pire au point que je débandais même en elle,je lui demandais alors de me tailler une pipe pour m’exciter, elle me jeta un regard dédaigneux que je ne lui connaissais pas et me dit froidement"pourquoi faire tu ne vois pas qu’elle ne me fait plus rien ta queue"je ne vous dis pas le coup de tonnerre dans ma tête en entendant ces mots.

"pardon! tu plaisantes j’espère" lui rétorqu’ai-je.

"qu’est ce que tu veux que je te dise je ne ressens plus rien,je crois que je ne t’aime plus"

boom deuxième coup de tonnerre!!

silence interminable puis:

"tu veux rentrer chez ta mère?"

"non" j’ai rencontré quelqu’un.

Troisième coup de tonnerre!

elle m’explique qu’il y a un mois, elle a rencontré un homme dans le métro,il l’a suivi pendant un moment avant de se retrouver dans la rame qui était remplie de monde il s’était collé derrière elle et il n’avait pas pu s’empêcher de bander, car le cul d’Hélene s’écrasait contre son entre jambe et elle ne pouvait pas bouger tellement ils étaient serrés comme des sardines. Cette position embarrassante s’est prolongée durant trois stations, elle a eu le temps d’avoir un orgasme rien que le fait de sentir sa queue qui ne demandait qu’à traverser ses vêtements pour la pénéter. La rame s’est un peu vidée, ma compagne s’est retournée pour voir son visage: c’était un rebeu aux yeux noirs comme elle,ils se sont souris sans rien dire. Quand enfin elle est arrivée à sa station elle est descendue, lui a continué à la suivre jusqu’à chez nous et au lieu de lui dire de partir, elle ne sait pas pourquoi elle l’a invité à monter chez nous. A peine arrivé dans l’appartement ils se sont jetés comme des bêtes l’un sur l’autre et il l’a prise une première fois contre la porte d’entrée,ce fut bref mais suffisamment fort pour qu’elle ait son deuxième orgasme de la journée. Après ce premier assaut ils sont allés à la cuisine pour prendre un verre et faire connaissance,là il n’a pas pu s’empêcher de la plaquer en avant contre la table, de lui relever la jupe,lui baisser sa culotte,lui écarter ses longues jambes galbées et la prendre par derrière aussi fortement et sauvagement que la première fois en lui prenant les cheveux d’une main pendant que l’autre s’appuyait sur la table, ou pour lui claquer son cul tendu. Ses râles de plaisir ne faisaient qu’encourager son étalon à continuer à la pilonner avec son pieu,car elle avait vraiment l’impression de se faire défoncer par une pique longue, large et ferme comme une barre de fer. Trois orgasmes ont eu raison d’elle,lui comme il n’avait toujours pas eu son plaisir, il l’obligea à s’agenouiller en lui tirant les cheveux, quand elle se retrouva le nez en face de l’engin elle comprit par quoi elle était passée. Elle m’a dit qu’elle était tellement grosse par rapport à la mienne que rien que le fait de la prendre en main lui avait procuré un autre orgasme. Quand sa queue s’est retrouvée dans sa bouche elle avait failli s’étouffer,des larmes lui coulaient des yeux car non seulement elle était grosse, mais son amant n’avait toujours pas lâche ses cheveux, elle était à lui et elle savait que son salut ne viendrait qu’une fois qu’elle l’aurait fait jouir .

Quand il libéra sa semence dans la gorge d’Hélene et qu’il s’assura qu’elle avait tout avalé, il lâcha ses cheveux et la laissa sur place puis s’en alla .

Ayant repris ses esprits elle se mit à courir pour lui demander son numéro de téléphone.

Elle ne sait pas ce qui lui a pris ce jour là, le fait est qu’elle l’a rappelé et ils ont remis ça les jours suivant, et ce pendant un mois, mais chez lui.

Je ne croyais pas comment elle avait pu faire ça ,me faire ça!

J’étais sous le choc.

" Qu’est ce qu’il a de plus que moi, à part une grosse queue? moi aussi je te prends sauvagement, qu’est ce qu’il te faut de plus sale pute!"

elle ne disait plus rien si ce n’est qu’elle pleurait.

"réponds salope" je hurlais à deux doigts de la baffer, mais mon père tout macho qu’il était m’avait appris à ne jamais lever la main sur une femme pourtant elle le méritait.

"Qu’est ce que tu veux que je te dise c’est un mec lui."

"ça veut dire quoi !"

"ça veut dire que lui il me possède,il est moins gentil que toi, moins beau mais c’est un vrai mec"

"pourquoi, il a une grande queue? je croyais que la taille n’avait pas d’importance?"

elle se met à rire la salope

"moi aussi je croyais, mais depuis qu’il m’a pénétré, la tienne je la trouve trop petite et surtout trop molle"

"pourquoi tu es méchante comme ça ? tu ne disais pas ça avant"

"oui mais avant,mais maintenant je ne peux plus m’en passer et de lui non plus.

"et bien puisque que c’est comme ça, casse toi je ne veux plus te voir, vas le rejoindre sale pute"

"je ne vais pas me gêner, j’ai besoin d’un homme pas d’une couille molle comme toi, en plus lui il recharge plus vite et plus souvent que toi !"

"et bien profite en, mais fais attention que ce ne soit pas lui qui te jette et ce ne sera pas la peine de revenir vers moi"

"Il n’y a pas de risque, car quand tu prends une grosse bite dans le cul comme la sienne, tu ne peux pas revenir en arrière avec une queue de truie comme la tienne, ah oui, je ne te l’avais pas dit, il m’a enculé lui .Tu me demandes ce qu’il a de plus que toi? lui quand il veut quelque chose il ne demande pas, il le prend,il a voulu mon cul… ça c’est un homme!!

Demain je passe prendre mes affaires pendant que tu seras au travail je te laisse les clefs dans la boite aux lettres."

J’étais ko je n’ai pas fermé l’oeil de la nuit en ayant toutes les images dans ma tête, de tout ce qu’il lui avait fait et était en train de lui faire, je me sentais comme un lion qui avait été éjecté par un rival, condamné à errer comme une âme en peine et ne plus avoir droit aux saillies. IL avait profané mon trésor, il avait violé mon sanctuaire, il m’avait dépossédé de la femme de ma vie.

Le lendemain je ne suis pas allé travailler ,je n’avais pas dormi, pas mangé,le monde s’ouvrait sous mes pieds et je ne pensais qu’à une chose: comment la récupérer. Je pensais à tout ce qu’elle m’avait dit, que c’était sous le coup de la colère et qu’elle n’en pensait pas un mot et que ce coup de folie lui passerait et qu’elle me reviendrait.

Le lendemain elle est venue avec son amant chercher ses affaires, au lieu de le jeter dehors, j’avais les jambes qui se sont mises à trembler et je suis resté immobile. Elle était surprise de me voir.

"tu n’es pas au travail ?je te présente mon mec Farid " d’un air naturel"

elle lui donna deux valises

"tu m’attends en bas s’il te plaît,j’arrive tout de suite"elle l’embrasse sur la bouche devant moi la salope"

Une fois son amant en bas, elle a fini de remplir sa dernière valise.

Et là j’ai craqué j’ai fais ce que je n’aurais jamais pensé faire un jour, j’ai perdu toute fierté, toute dignité et je l’ai supplié de rester,de pas me quitter que j’étais prêt à faire tout ce qu’elle voudrait pourvu qu’elle reste.

elle m’interrompt

"s’il te plaît reste digne"

"mais je t’aime bébé, je ne suis plus rien sans toi"

"ah bon à l’époque tu me disais que c’était moi qui ne serait rien sans toi"d’un rire moqueur

je m’agrippe elle pour la retenir en pleurant comme une fille

"s’il te plaît je t’en supplis reste ,je t’aime je ferais tout ce que tu voudras, ne me laisse pas"

Excédé elle me gifle pour se dégager et là un frisson me traverse le dos, même elle, a senti ma réaction.

"Oui frappe moi si tu veux, c’est toi qui commandera."

"arrête, tu ne vois pas que tu es ridicule,une lavette,reprends toi "

"tu ne vas pas tirer un trait sur tout ce que l’on a vécu en 3 ans"

"ben si j’avais su que tu étais si faible, moi qui te croyais fort, je serais partie plutôt, mais bon…

puis elle est partie, jusqu’à nos retrouvailles devant la poste.

Revenons au troquet lors de mes retrouvailles avec elle.

je la complimente avec sincérité en la trouvant encore plus belle qu’avant et très épanouie,elle me retourne le compliment.

Pourtant je lui explique que malgré toutes mes aventures je n’ai jamais cessé de l’aimer et que j’étais toujours seul.

Elle me dit qu’elle non plus n’a jamais cessé de m’aimer, malgré ce qui s’était passé à l’époque. Je lui rappelle quand même que je me suis humilié pour la garder, et que ça n’y a rien fait.

ELLE répond qu’à l’époque elle était jeune, elle confondait le sexe et l’amour mais aujourd’hui elle sait que si sexuellement elle prenait son pied avec Farid elle ne l’aimait pas, en tout cas pas comme elle m’aime. Je ne savais plus quoi penser, elle me faisait marcher, était-elle sincère ! puis elle me prit la main.

"je t’aime mon chéri et je t’aimerai toute ma vie. Je veux retourner vivre avec toi si tu veux toujours de moi"

"si je veux de toi, tu plaisantes je t’attends depuis dix ans mon amour"

on s’est pris dans les bras et on s’est embrassés comme à la belle époque. je croyais rêver, mais c’était bien réel, elle ne se moquait pas de moi. On ne s’est pas quittés de la journée, puis n’y tenant plus nous sommes allés chez elle pour faire l’amour.

J’étais comme fou j’allais de nouveau pouvoir pétrir ses seins, s’agripper à son cul, parcourir ses longues cuisses, la chevaucher de nouveau en prenant de nouveau possession de son intimité et lui faire oublier Farid et tout les amants qu’elle avait eu par la suite.

Arrivés, nous avons été directement dans la chambre et je fus surpris de voir des godes d’un calibre plus proche de celui de Farid, que celui de mes 12 cm. Cela m’a ramené dix ans en arrière avec les images de son amant en train de posséder Hélene.

"désolé mais je suis un peu nerveux"

"c’est pas grave"me dit elle .Elle se baissa pour prendre ma queue dans sa bouche mais elle se mit à rire.

"qu’est ce qu’il y a pourquoi tu ris?"

"non rien j’avais oublié que tu avais une petite zigounette"en riant

fier et vexé je la repousse pour remonter mon pantalon

"si tu me fais venir pour te moquer de moi"

"mais non excuse moi j’ai perdu l’habitude de bitte comme la tienne, depuis fFarid il n’y a que les queues qui m’intéressent, mais laisse moi le temps de m’y faire"

elle me rebaisse mon pantalon pour me reprendre en bouche ma zygounette comme elle dit, mais à peine excité que je sens monter la sauce, je n’arrive pas à me retenir.

"tu es devenu ejaculateur précoce? "me dit elle

"non mais tu m’excite tellement"

"ben toi alors c’est tout ou rien."

"Ne t’inquiète pas laisse moi le temps de recharger et tu verras.

Je me mets à poil et m’approche d’elle pour la déshabiller je lui retire avec sensualité tous ses vêtements, sauf son soutien gorge noir elle me dit que seuls les types qui la baisent bien ont le droit de le lui retirer.

Moi qui me faisais un plaisir de lui bouffer les seins c’est raté. Mais finalement ce challenge m’excite.

je vais enfin la pénétrer de nouveau depuis dix ans, je m’applique et sort le meilleur de moi même .

Mais je vois que je ne lui fais plus le même effet qu’à l’epoque. Je change de position, mais rien, impossible de la faire décoller, je masque mon embarras en l’embrassant, puis finalement au bout d’un moment elle m’éjecte d’elle et prend le gode posé à côte du lit.

"excuse moi mon chéri mais je ne la sens pas ,prends moi avec ce god"

Je n’y crois pas, je me retrouve pour sauver les meubles avec un gode a la main pour la satisfaire. C’est vrai que la différence est terrible elle se tord de plaisir dans tous les sens et crie son bonheur comme jamais, je ne l’avais jamais entendu comme ça. Je commence à comprendre ce qu’elle a pu ressentir avec Farid. Je ne faisais pas le poids par rapport à sa queue. Elle aime ça la salope. Je ne la reconnais pas. Après quelques orgasmes elle m’invite à stopper. Quand je lui demande de me finir, car moi je n’ai toujours pas éjaculé, elle me répond que c’est mon problème.

"écoute mon chéri je t’aime mais comme je te l’ai dis aujourd’hui, je fais la différence entre l’amour et le sexe . Si pour les sentiments tu es le meilleur, coté sexe ce n’est pas le cas, c’est à mon avis nul et moi si je suis frustrée sexuellement je deviens irascible, tu ne veux quand même pas que pour nos retrouvailles je sois énervée?"

"non mais moi qu’est ce que je deviens?"

C’est la question que je n’aurais jamais dû poser car elle a scellé mon sort dans notre future relation

" ce que tu deviens? écoute je me rappelle que lorsque nous nous sommes quittés il y a dix ans tu étais prêt à tout pour me garder,c’est toujours le cas?"

"euh oui."

"Alors sache que je t’aime mon chéri et encore plus qu’avant, car le jour ou je t’ai giflé, j’ai su que tu étais en fait un être soumis et ça m’a excité follement. Tu es pour me servir et ce que tu aimes vient en second plan "

"mais je croyais que"

"que quoi qu’on allait reprendre comme avant,allons mon chéri tu vois bien que sexuellement tu n’es plus à la hauteur de mes attentes,le fossé est trop grand pour que tu puisses le combler"

"mais je t’aime, je veux pouvoir te toucher ,te caresser t’embrasser."

"oui mais ça tu le fais bien et ça me donne envie et comme derrière tu n’assures plus je ne préfère pas que tu me touche non plus"

"mais sexuellement comment tu vas faire"

"tu sais les mecs qui me courent après il y en a plein ,de plus j’ai un carnet d’anciens amants et au pire Farid est toujours prêt à me baiser, celui la j’ai toujours du mal à m’en passer"

" tu rigoles? Farid pas question!"

"tu n’as rien dire bite molle,c’est comme je veux et avec qui je veux,ok? OK?

"oui"

"oui qui?"

"OUI Hélène"

"oui qui "

"oui ma princesse"

"viens la mon chéri tu as mérité un petit câlin ,viens dans mes bras.

Incroyable comme Hélene avait changé et moi aussi, en une journée ma vie a basculé ,elle a le pouvoir sur moi et ce n’est que le début car depuis ce jour à celui d’aujourd’hui ou j’écris, soit cinq ans après, elle m’a progressivement assujetti. Les étapes seraient trop longues à raconter peut être une autre fois.

Nous sommes heureux et attendons une petite fille pour janvier prochain.

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