Il se réveille difficilement, peine à se mettre en route, il na pas le temps de profiter de son droit à « ce quil veut ». Il se rattrapera plus tard, deux nuits encore….
« Je dois partir, je vous retrouve ici à vingt deux heures, dici là je suis très pris, même pour le dîner sans doute. Si vous dînez ici mettez votre repas sur la chambre. Ne prenez pas un vin de folie, cest tout. Si par extraordinaire je nétais pas invité à dîner je vous envoie un texto, donnez-moi votre numéro de portable. » Il découvre alors quil ne lui a pas demandé son prénom…. « Mathilde, vous navez pas été très curieux…, un peu mufle, mais… vous me payez. ».
« Moi cest Charles ». Pourquoi a-t-il limpression que cela ne lui apprend rien….
Il entre le numéro, et réalise quil lui a parlé comme à sa secrétaire, il est dans son travail. Il prend la sacoche qui contient son ordinateur et ses documents, lui donne un léger baiser sur la joue. Au travail. Un gros enjeu personnel dans ces deux jours et ce qui pourrait suivre.
Réunion, exposés techniques, Power-points, chiffres, visites dateliers, visites du produit, repas, nouvelles réunions, il pose ses questions, on lui répond, ils savent répondre avec précision, donner limpression dune compétence infinie, de connaître tous les boulons, les circuits…. Re-visite du produit… Dix-huit heures le responsable de ces deux journées met fin à la séance : « Gardons en pour demain ! » « Nous vous invitons, je crois savoir où vous êtes descendu, il y a un très bon restaurant, disons dix neuf heures trente ? »
Elle nest pas là quand il monte dans la chambre. Il aime autant. Il se douche, se change. Descend attendre dans le salon de lhôtel en lisant son journal dun il distrait. Ils arrivent. On les conduit à leur table. Il tient son rôle, vigilant, parle de lui, comme les autres qui se présentent aimablement, se racontent.
Voilà quelle arrive… Passe lair de rien à côté de leur table… Un des hommes la remarque, il sen aperçoit, la regarde…. Comment a-t-il pu trouver un temps quelle nétait pas tentante. Petit détour dans la conversation. Ses hôtes commentent avec gourmandise.
« Joli petit lot ! »
« Il me semble quelle est comédienne, je crois que cest elle que jai vue il y a quelques semaines… Je naurais pas cru quelle pourrait se payer un hôtel comme celui-ci».
Tout le temps que dure cet échange qui névite pas quelques écarts inévitables de la part dhommes virils, il se tait prudemment. Dès quil peut il ramène la discussion sur le terrain du sport… et comme la course à pieds leur est une activité commune, quil ne part que le samedi matin, il est invité à partager leur entrainement. Rendez-vous à dix heures, samedi « Vous retarderez votre départ, on sarrange des réservations. ». Le prix à payer pour sortir dune situation un peu inconfortable.
Vingt deux heures trente quand il remonte dans sa chambre, bon repas, plutôt sobre côté vin et alcool. Elle est dans le lit, « Les onze mille verges » dans les mains…. Enfin,… le livre. Il pose une enveloppe sur loreiller et va se changer dans la salle de bain.
Enveloppé dans un des peignoirs de la chambre, assis sur le bord du lit, il retire drap et couvertures de dessus ce corps dont il veut disposer. Il le dénude complètement, le parcourt des yeux, de la main. Il écarte doucement les jambes, effleure la peau délicate de lintérieur des cuisses du bout du bout des doigts, il la touche à peine, il sent sa peau réagir, jusquau bord des lèvres de la vulve…. Elle sabandonne… ferme les yeux parfois, quand il saisit un téton pour le pincer, quand il écarte les lèvres pour découvrir son clitoris, le prendre entre ses doigts… elle gémit bientôt… il la pince, en cet endroit sensible, elle ouvre les yeux, le défie, il serre peu à peu, elle se crispe, se détend pour résister, elle soutient son regard, se crispe, au moment où elle va crier il arrête, plonge sa tête entre les cuisses, et embrasse la vulve comme un affamé. Elle jouit rapidement. Il la retourne « Je veux ton cul ». Ses premiers mots depuis son retour dans la chambre. Elle lui échappe, se penche vers sa table de nuit, sort un pot de crème. Elle en enduit le membre de son "client" sans la moindre affectation, comme elle aurait mis de la crème solaire sur les épaules dune statue. Elle se remet sur le ventre, se cambre, écarte ses cuisses, offre sa croupe, écarte ses fesses…. Elle se laisse enculer, sans manifester le moindre plaisir, elle lui donne ce quil a payé… Elle réagit à peine quand il la pénètre, elle semble patienter jusquà ce quil ait fini. Du coup ça lui est à peine agréable. Un peu comme une masturbation sans fantasme. Il lui en veut, ses derniers coups de reins sont brutaux, il ahane à chaque fois que ses coups de reins secouent le corps dont il essaie de tirer du plaisir. La tête dans son oreiller elle ne manifeste rien. Il décharge, vide ses couilles, frustré. Se retire, et lui donne un claque sonore sur la fesse droite, sa main marque. Elle est en rage… le giffle… il la regarde, voit rouge… et se reprend… gros effort de contrôle… juste avant que ça ne dégénère en pugilat…. Il est stupide, elle ne mérite pas ça…. Il sallonge sur le dos….
« Désolé, jai tout faux… je vous ai brutalisée et je ne vous ai pas dit un mot. Je vous ai traitée comme du bétail, je … acceptez mes excuses ».
Elle se lève sans un mot, revient de la salle de bain avec un gant de toilette humide, lui nettoie le sexe avec soin. Au second voyage elle sestime satisfaite, il ne reste aucune trace.
« La tension de la journée et de la soirée je suppose, et passer à côté de votre table nétait pas très intelligent. Jaccepte vos excuses. Je vous le montrerai quand jaurai retrouvé mon calme. ».
Elle le réveilla dans la nuit par une fellation danthologie. Celle de la veille lui avait laissé un grand souvenir, mais lorsquil reprit ses esprits il se dit quil noublierait pas de sitôt ce quil venait de connaître…. Il en avait presque crié de plaisir quand il a déchargé dans sa bouche…, et elle ne le lâchait pas. Il resta ainsi dans sa bouche entre la jouissance et la douleur pendant un temps quil était incapable dévaluer. Le corps et le cerveau saturé de sensations, gémissant sans pouvoir atténuer le niveau sonore des bruits qui séchappaient de sa bouche…. souhaitant quelle arrête parce que cétait intenable, souhaitant quelle narrête jamais tant cétait fort et bon…. Quand elle eut fini avec lui il était incapable de bouger… elle avait répondu à sa manière…. Lorsquelle émergea de dessous le drap Il la saisit et embrassa la bouche encore collante de son sperme, lui qui détestait ça….
Le lendemain fut la copie du jour précédent, sinon quil ne fut pas invité à dîner. La journée se termina sur « A demain, il fera froid et sec, cest très bien pour courir un peu », ils déclinèrent son invitation. Dès quil fut seul il rédigea un bref texto pour dire quil était libre et rentrait à lhôtel.
Elle arriva après lui. Et il fut plus prévenant. Attentif à la saluer, à régler largent avec un minimum de délicatesse, si cest possible…. Ce fut elle qui proposa dorganiser la soirée, elle avait quelques endroits à lui faire découvrir. Restaurant poissons – fruits de mer… coquilles saint jacques… soles…. directement du bateau sur la table… Elle a bien choisi… Tout content dy penser il linterrogea sur sa journée et son travail de répétition. Elle avait découvert de nouvelles perspectives sur son rôle… Il répondit évasivement aux questions sur les raisons de son voyage….
Elle lui prit la main en sortant, « Laissez-moi vous guider, jai découvert un endroit que je voudrais vous faire partager ».
Vieux quartier, près du port, sorte de hangar aménagé, ruelle assez sombre… « Ne craignez rien, la ruelle est surveillée ».Une boîte de nuit. Elle le fait entrer. Arrivant dans le bar, il comprend…. Partager est sans doute le mot qui convient ici. « Avez-vous déjà été dans une boîte comme celle-ci ? ». « Non. ». Elle, oui manifestement, elle connait, on dirait même quelle est connue ici. Bon… ce nest pas surprenant….
« Jaime me laisser prendre en public… vous… il y aura bien une femme ou deux qui vous en récompensera… vous êtes daccord ? Je veillerai à ce que vous ny perdiez rien…. les femmes qui aiment la sodomie ne sont pas rares ici…. Et si vous êtes un peu voyeur, entré avec moi, vous pourrez aller partout, je suis votre droit dentrée… ».
Il regarde, les couples, enfin parfois plus que des couples ne semblent pas aller bien loin…, pour linstant peut-être. La soirée commence à peine. Une ou deux femmes à genoux devant un homme, des hommes qui caressent des femmes aux jambes légèrement ouvertes, mains sous la jupe, dans les corsages….
« Je prendrais bien un peu de champagne…. »
« Oui cest une bonne idée. » et il commande. Sur tous les plans ces quelques jours seront la pire ( ?) folie quil a jamais commise….
Un homme sest approché de Mathilde, et entreprend de caresser ses fesses…. Elle laisse faire. Quand la main sapproche de son genou droit elle ouvre ses cuisses, laisse la main remonter sous la jupe…. « Charles, vous voulez bien ? ». Il acquiesce, plonge ses yeux dans ceux de Mathilde… regarde la main qui découvre les cuisses en remontant la jupe…. Elle ouvre ses cuisses plus largement… et ses yeux disent, profitez-en… regardez-moi jouir, regardez-moi me soumettre…. Quand la main arrive à la culotte, lhomme remonte la jupe suffisamment pour que rien de ses caresses néchappe, il abaisse la ceinture, elle lui murmure quelque chose à loreille en regardant Charles dans les yeux, et lhomme tire brutalement, déchirant une jolie petite culotte de dentelle quil met dans sa poche. Il la fait descendre de son tabouret, et sans davantage de préliminaires, sort son membre, met un préservatif, et la prend. Elle sest tournée vers Charles, les yeux grands ouverts, elle se donne à lhomme qui la baise, qui la dépoitraille, le petit tatouage semble vibrer sur la veine qui passe là…. ce petit papillon quil a caressé hier soir…. Cela ne dure pas longtemps, lhomme jouit rapidement, et se retire sans se soucier de la femme quil vient de prendre, qui elle na pas seulement approché lorgasme. Elle, presque gênée, reste dans cet état, la poitrine à lair, les tétons tendus, le soutien gorge dégrafé, frustrée…. elle boit un peu : « Imaginez dans quel état je suis… je crève denvie de sentir une bite me pénétrer de nouveau…, je suis mouillée, au point que ça me coule sur les cuisses, vous pouvez toucher, mais pas me prendre…, pas vous, ce serait trop facile… ». Et il glisse ses doigts sur le haut de ses cuisses, oui, elle dit vrai, ses doigts poussent un peu plus haut, ils la pénètrent, entretiennent son excitation, se retirent…. Un autre homme… en fait ils sont plusieurs, deux couples… celui qui sapprochait les invite dans un salon quil a retenu…. Charles prend le saut à champagne, la bouteille, leurs deux verres, les suit et ils se retrouvent dans un grand salon, avec tout le confort quil faut… quatre hommes, trois femmes en comptant Mathilde, dont une semble assez jeune….
Mathilde est lobjet du groupe… les trois autres hommes, lune des femmes, entreprennent de la soumettre à leurs désirs… et elle ne demande que ça…. Et, devant Charles et les deux autres femmes, elle se donne sans retenue, échauffée comme elle lavait été elle est prête à tout, donne tout, sans retenue, aux hommes comme à la femme…. Charles regarde, et bande… à en avoir mal… il regarde les deux femmes qui restent, qui ne perdent rien. La plus jeune, dun joli blond, en est presque en transe, la bouche entrouverte, les lèvres gonflées, limage du visage trahissant lexcitation sexuelle devant un spectacle remplis de stupre…. Mathilde vient de se poser sur le membre dun des hommes, elle le chevauche et sincline vers lavant quand elle sent une queue qui touche son anus… Charles regarde le second la pénétrer… elle prend tout, ils lui ont mis leur bite jusquà la racine, baisée, enculée, elle crie de bonheur, sans retenue… on doit lentendre du bar… elle jouit comme une femelle en chaleur… en redemande : « encore, encore, baisez-moi, je veux vos bites… ». Charles sourit, elle a bien un côté vulgaire…. Le troisième homme, qui vient de retirer son membre de la bouche de Mathilde sapproche de la jeune femme blonde, mais ne semble pas avoir envie de la baiser. La queue bien dressée il sintéresse à lautre femme, glisse sa main dans son corsage assez brutalement, sans aucun égard, mais la femme apprécie semble-t-il, et facilite les choses… puis il se tourne alors vers Charles encore inactif : « Jai amené Virginie a sa demande…. » Charles la trouve très tentante Virginie, si manifestement excitée…. « Elle est vierge… elle sait le goût du sperme, elle vous branlera comme une reine…, elle veut être déflorée par un inconnu…. elle vous plait ? ».
Au pied du mur Virginie semble hésiter, effrayée par son idée… puis elle met son regard dans les yeux de Charles… comme un marché conclu…. Quand il prend sa main pour la guider vers un des divans du salon elle se lève et le suit…. Charles bande comme un taureau…. Il lincite à sassoir, lallonge, doucement, sallonge à côté delle, embrasse délicatement ses lèvres quil na cessé de détailler depuis quil la remarquée…. Elle se laisse faire quand il défait le premier bouton de sa robe, très haut. Il lembrasse encore, délicatement, plus encore que la première fois : « Tu es bien sûre de ce que tu veux ? »
« Je ne suis plus une petite fille, je connais le sexe, je sais donner du plaisir aux hommes, je métais seulement dit que je me garderais jusquà mes dix sept ans… et que je choisirais un homme mûr, que je ne connaissais pas. Je ne suis pas tout à fait vierge… jai déjà reçu un homme… je me suis laissée sodomiser une fois… il y a quinze jours, jétais très impatiente… aujourdhui cest mon anniversaire, prenez-moi… ». Elle se reprend « Jai envie de toi, tu me regardais… je sentais ton regard sur mon visage… tu devinais ce que je ressentais… jen suis sûre…. ».
« Qui est lhomme qui taccompagne ? ». « Un ami »
Avant de reprendre le patient travail de défaire les boutons de sa robe il caresse son corps ; de la bouche dont les lèvres saisissent un instant ses doigts, sa main descend, pressant les seins, lun et lautre, glissant sur lestomac, effleurant les hanches, les os du bassin pour atteindre le pubis quelle tend imperceptiblement, fermant les yeux quand la main se referme entre ses cuisses… « Tu me fais mouiller… » murmure-t-elle.
Tranquillement il découvre le corps de Virginie, elle a mis des sous-vêtements splendides, rouge profond. Il écarte les pans de la robe à mesure quil défait les boutons. Dégrafe le soutien-gorge dévoilant de jolis seins gonflés, tendus, pleins, pointes durcies quil agace de la paume de la main…. Il continue de descendre, découvrant ébloui le corps dune jeune femme maintenant tremblante de désir… la culotte quil caresse comme une peau délicate, avant que de plonger les doigts entre les cuisses, le long de la fente, entre les renflements des grosses lèvres…. Quand il a défait les derniers boutons il pose son visage sur le ventre creux, les yeux et le nez tournés vers le pubis…. Il respire, et tandis quil sent les doigts de la jeune femme glisser dans ses cheveux il respire le parfum de son sexe, descend vers lentre jambe, et pose ses lèvres, puis sa langue, sur le tissu, à lendroit précis ou lhumidité qui sourd de la vulve finit par se concentrer…. Il fait glisser la culotte, jusquaux pieds, la laisse tomber sur le sol…. La bouche collée à la fente, que sa langue commence à explorer…. Elle gémit… quand la langue senfonce, quand elle écrase son clitoris quand il prend son clitoris entre ses lèvres pour le sucer…. Charles sent soudain que latmosphère change dans le salon, comme si les gémissements de Virginie étaient les seuls qui demeuraient audibles…. Alors quil se dénude, après quelle a pris son membre dans la main pour le caresser doucement, précautionneusement pour ne pas le faire jouir…. Il sallonge à côté delle, le sexe raide contre sa hanche. Il roule sur elle, le sexe sur la fente, pressant son clitoris avec sa queue quil fait glisser doucement contre la vulve…. Elle commence à jouir sous la pression, sous la tension, elle se serre contre lui, tremble de plaisir, ouvre les cuisses…. Il fait descendre son sexe pour sentir la tendre fente au bout de son gland…. Autour deux on se regroupe…. Il perçoit bien les mouvements, les femmes qui viennent assister à la défloraison… les hommes…. Elle murmure à son oreille, pour lui seul : « Prends-moi maintenant… »…. Mais il attend, il prend son temps, introduit son gland entre les lèvres que sa langue a ouvertes… pose sa bouche sur celle de sa partenaire, relève la tête pour la regarder dans les yeux, recule un peu ses reins…. Mais elle le veut, elle avance vers lui son bassin, pour rester au contact du sexe quelle désire sentir au fond de son ventre… et cest au moment où elle pousse instinctivement son bassin vers lui quil se décide. Un coup de reins brutal qui enfonce son membre dans le vagin qui vient vers lui…. Elle crie, de surprise autant que sous leffet dune sorte de douleur… elle sent le membre qui senfonce… qui vient cogner au fond. Il sent la chaleur de ce ventre quil vient de pénétrer…, le premier… Il reste un instant, cherche les yeux bleus qui le voient à peine, attend quelle le regarde, se retire, et doucement la reprend, la pénètre, jusquà ce quil sente la résistance de son pubis à nouveau, il presse son corps contre le sien, écrase ses seins, il sent les femmes qui soulèvent les jambes de Virginie pour quelle découvre quainsi elle en prendra davantage. Il la sent qui entoure ses reins avec ses jambes…. Il commence à la pilonner, de plus en plus vite, plus fort, brutalement parfois…. Elle lui tend sa bouche, ils sembrassent, parfois avec violence, leurs dents sentrechoquent…. Il pilonne, elle jouit de nouveau, crie sans retenue autant qua Mathilde un peu plus tôt…. Elle lencourage…. « Oui ! Encore ! Encore ! Baise-moi comme ça ! Encore ! » Il se déchaîne, elle se tord, lance son corps vers lui presque convulsivement, il saccroche à elle pour ne pas être désarçonné… incapable de se retenir il jouit…. décharge… et la semence qui se répand relance lorgasme de Virginie qui hurle presque, au point que plusieurs habitués du lieu viennent observer les amants qui prennent du si bon temps dans ce salon…. Il tombe sur elle en sueur… il lèche la peau de sa partenaire grasse de transpiration…. Ils se murmurent à loreille des mots sur leur extase…. Il lui dit, en exagérant peut-être, quelle est la première qui se soit donnée à lui avec une telle voracité, elle dit quelle navait jamais imaginé quune femme put se perdre à ce point dans son orgasme…. « Reste, je voudrais recommencer… je vais attendre, tu restes ? ». « Oui », il ne demande que ça….. Une des femmes vient sur eux, la bouche en avant prendre le sexe de Charles pour le nettoyer… elle vient aussi lécher le sexe de la jeune femme. Puis tous les deux senlacent, lun contre lautre, la main de Virginie sessayant de temps en temps à des caresses, masturbant son partenaire, jusquà ce quenfin il soit prêt à la reprendre…. Et ils font lamour, comme ils avaient baisé… seuls au monde dans ce salon où tout le monde baise, suce, sodomise, masturbe, regarde….
Plus tard, quand les autres occupants du salon les auront un peu oubliés, elle lui dira que sil veut il pourra la revoir, elle en a envie, de se donner encore, autant quil le voudra, envie de découvrir ce quun amant peut donner….C’était si bon…. Elle sera comme une putain réservée pour lui : il lappelle elle vient… promis…. Elle, lui donnera un numéro : écrit « Virginie, ma putain », et il le fait…. sur son mobile…. Il perd un peu le contrôle….