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Je me tape toutes les filles de ma classe – Chapitre 1

Je me tape toutes les filles de ma classe - Chapitre 1



Je m’appelle Théophile. J’ai 19 ans.

Je suis élève de BTS en deuxième année, dans un célèbre lycée agricole de Franche-Comté. Je mesure 1 mètre 85 pour 75 kilos de muscles. Passionné de littérature, de numismatique et de glam metal, j’ai toujours eu un succès fou avec les filles de mon entourage. Il fallait dire que j’étais bien membré : 19 centimètres de pur bonheur pour ces mesdames plus habituées aux knacki balls des franc-comtois que de ma poutre de Bamako 100 % alsacienne.

Cette rentrée de septembre s’annonçait radieuse. La moitié de ma classe était composée de filles !… Rien que ça !…

Face à moi, pendant le cours de Génie Industriel, qui était notre premier cours de l’année 2016, une petite blonde, répondant au doux nom de Léa, posait ses petites fesses bien fermes sur sa chaise en bois brut. Ses cheveux blonds, mi-longs, se balançaient d’avant en arrière pendant qu’elle mordillait son stylo bic avec sa bouche cernée de rouge-à-lèvres. Cette gourgandine à forte poitrine portait pour tout vêtement un débardeur presque transparent, lequel laissait entrevoir un soutien-gorge rose du plus bel effet. Cette petite catin, originaire du Bas-Rhin, avait un accent alsacien peu prononcé, tout du moins suffisamment excitant pour titiller ma verge qui se dressa subitement lorsqu’elle prononça son prénom lors de l’appel réglementaire. Son jean bleu vaguement pailleté moulait son cul de la plus belle des manières, et l’envie de la prendre en levrette, là, telle quelle, à la hussarde, ne manqua pas d’échauffer mon esprit. Mettant de côté mon instinct animal, je sus faire preuve de retenue, et décidais d’attendre la fin de l’heure pour lui faire mes propositions lesquelles, je n’en doutais pas le moins du monde, feraient de cet être chétif et innocent une véritable petite salope fougueuse et déchaînée lorsque je tremperais mon pinceau turgescent dans sa boîte d’aquarelle assoiffée.

Lorsque midi sonna, je vins l’aborder sereinement, en lui caressant l’épaule tandis qu’elle rangeait consciencieusement ses affaires, telle l’écolière modèle qu’elle avait l’air d’avoir toujours été. Cette dernière me jeta un regard trouble, vitreux ; ses pupilles semblaient se dilater à la seule vue des pectoraux savamment moulés par mon t-shirt mötley crüe. De ses petits doigts recouverts de vernis à ongles rose, Léa caressa mes abdominaux.

— T’es dans quelle chambre, ma jolie ? lui assenais-je.

— E 104. Monte avec moi.

Et ce fut après ce bref échange vocal que Léa me prit par la main, m’emmenant, sous le regard stupéfait des derniers élèves encore présents dans notre classe, vers sa chambre.

Lorsqu’elle monta les escaliers, me dominant de toute sa hauteur, ses fesses dodelinaient fièrement marche après marche, comme si ses parents lui avaient appris à twerker au lieu de marcher. Son parfum de petite prolo tout droit sorti d’Yves Rocher ne fit que décupler l’effervescence de mes sens esbaudis, et ce fut lorsqu’elle ouvrit la porte de ses mains malicieuses, sourire en coin et sexe en chaleur, que cette putain me laissa pénétrer dans son jardin secret.

Elle ouvrit sa bouche, et cracha quelques filets de bave dans la mienne, avant de me rouler un patin touchant par sa naïveté et son inexpérience. A croire qu’elle n’avait jamais vu le loup, la coquine, pas si bravache que ça !… Je saisis son débardeur presque transparent à deux mains, lorsqu’elle m’arrêta dans mon geste.

— Pas maintenant !… me fit-elle

Croyant la possibilité de me taper Léa achevée, je fus rassuré lorsqu’elle porta ses doigts frêles à me braguette pour en extirper mon bâton d’amour qui ne demandait qu’à sortir de sa toile de jute. De sa main experte, ma louloute provoqua des va-et-vient parasismiques en vue de provoquer une éruption volcanique sur mon Vésuve rempli de lave. De peur de faire subir à mes morpions le même sort que celui des victimes de Pompéi, je saisis sa tête à deux mains, calant mes ongles longs dans sa chevelure d’or. Je n’eus pas besoin d’ouvrir sa bouche en forçant le passage comme un buf : la petite mit en bouche son hors-duvre sans demander son reste. Avec un appétit de boulimique hyperphagique, ma dulcinée goba tout cru ma saucisse de Francfort, caressant ma choucroute pas rasée, espérant en faire jaillir une hypothétique mayonnaise, mais ne provoquant pour tout condiment qu’un long jet de bière chaude et non pétillante entre ses amygdales et son palais puant.

— Tu m’as pissé dans la bouche !… T’es dégueulasse !…

— C’était pour voir si…

— T’inquiète pas, me fit-elle. J’aime ça… Continue !…

A quatre pattes comme une chienne, elle ouvrit grand sa bouche afin de se désaltérer. Je pissais à grands jets dans sa bouche intarissable. Elle avalait par grandes gorgées, comme un urinoir, satisfaite d’être réduite à l’état de pissotière.

Sans ménagement aucun, j’écartais ses jambonneaux d’Alsacienne nourrie aux bretzels et à la choucroute, et y enfonçais sans préparation mon pénis hypertrophié. Léa poussa un hurlement abominable, à faire pâlir Michael Jackson.

Elle était vierge.

Qu’à cela ne tienne !… Malgré les effluves nauséabonds de sang de pucelle qui cernaient ma bite comme des mendiants autour d’un millionnaire, je continuais mon grand-uvre, conservais mon rôle, ma place, et mon rang d’initiateur auprès de cette jeune fille dont la beauté supérieure à celle de ses semblables était en inadéquation totale d’avec son pucelage qui ne cessait de m’étonner. A la douleur de l’effraction de domicile succéda le plaisir du pieu mouvant. Léa était aux anges, et ses gémissements d’actrice porno contrastaient d’avec son visage tendre de première communiante.

— Oui !… Vas-y !… Plus profond !… Déchire-moi la chatte !… Fais-moi des enfants !… Remplis-moi de ton foutre fertile, mon bel Apollon !… Fais de moi ta putain, ta traînée !… Je suis une chienne !… Une vraie salope !…

Pendant que son tunnel moite de chaleur subissait les assauts répétés de ma voiture-bélier, ma petite ingénue pétait. Pas des petits " PROUT ! " de débutante, non !… Mais des gros prouts, bien sonores, fiers d’être là, des prouts dûs à la contraction de son périnée, en plein orgasme. Ca sentait la merde. Tandis qu’elle achevait de vivre son premier orgasme, je lui susurrais à l’oreille :

— Attention ma chérie, je vais reboucher ton petit trou qui pue, ça va faire mal !

Les yeux écarquillés, la sueur perlant le long de ses joues rougies par le plaisir, elle ne protesta pas. Je saisis ses fesses que je pensais petites et qui, finalement, étaient assez volumineuses, fraîches, fermes et rouges de bonheur, puis les écarta. Je vis son anus autour duquel – tels des arbres majestueux, fiers et droits, plantés là sans honte – trois poils blonds et duveteux avaient échappé à l’épilation intégrale dont ma Léa semblait être coutumière. Deux petites traces marronnâtres autour de ces derniers semblaient me confirmer son hygiène douteuse. Je nettoyais donc ce cul divin par tous les côtés à l’aide de ma langue dont les papilles me permirent quelques années plus tard de faire partie d’un jury de dégustation officiel en vue de remettre des médailles à des producteurs de yaourts aux fruits, précieuses papilles dont je sabordais le potentiel en léchant un anus de jeune fille entaché de merde, et dont le souvenir, quelques années plus tard, donc, au cours de la remise des médailles aux producteurs épuisés par leur labeur, me laissera un goût amer, pour ne pas dire un sentiment réel de honte.

Après avoir lubrifié son petit trou par ma salive infâme, j’enfonçais la proue de mon navire dans cet océan de chiasse, avant d’y engouffrer tout le bateau. Entre ses deux boules de cristal, l’avenir semblait trouble. Qui sait si ma baguette de pain n’en ressortira pas recouverte de nutella ?… Mais le cri de ma sirène me ramena au gouvernail, et c’est au son de :

— Au secooooooours !!!!! Tu me fais maaaaaaaaallllllll ! Arrrrrrrrêêêêêêêêêêêêêêête !!!!!!!! J’ai trop mal aux feeeeeeeeeeeeesssssses !!!!!!!

Que je sortis de la fange impie mon crucifix maculé d’une boue dont l’odeur inénarrable fit vaciller mon esprit vers les pires turpitudes.

— Nettoie ma bite, Léa !!!

Sans se faire désirer, et à ma plus grande stupéfaction, Léa nettoya mon mikado puant à l’aide de sa langue râpeuse.

Je ne pouvais plus me retenir.

J’éjaculais violemment sur ses cheveux tandis qu’elle me léchait les couilles.

Nous prîmes chacun une bonne douche, avant de manger de justesse à 12 h 45 à la cantine de notre établissement scolaire. A 13 h 25, nous arrivâmes de justesse à nos places. C’est alors que je remarquais à côté de la petite Léa une autre fille, qui, bien que vidange faite une bonne heure plus tôt, fit jaillir dans mon slip en soie de petits jets de présperme.

Cette jouvencelle s’appelait…

A suivre.

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