Le dimanche suivant les deux familles sont à nouveau réunies chez Albert et Sylvie cette fois. Jeanne et Bernard sont venus à midi pour le déjeuner. La conversation va bon train sur les relations précédentes et celles à venir. Tous les jours de la semaine au lycée et à la maison, Sylvie et Bernard nont pensés quà ce dimanche, ils sont dans un enchantement sans limite, ils sentent monter en eux une véritable passion quils étaient loin de soupçonner il y a seulement huit jours. Ils savent que leurs parents ont fait lamour dans la semaine et quils sont tombés follement amoureux. Ils sont bien conscients que si leurs parents saiment cest quand même un peu grâce à eux.
Tout le monde a particulièrement soigné son look, sans être vulgaire, chacun a mis un petit accent de sexy. Jeanne et Albert font la conversation comme à lhabitude, les enfants les écoutent avec attention en mangeant. A la fin du repas, Albert fait passer ses deux invités au salon pendant que Sylvie va préparer le café. Jeanne complimente Albert du repas elle dit :
— Mais tu es un trésor ! Tu cuisines comme un chef ! Tu fais tout comme ça ?
Il est vrai quAlbert et Sylvie avaient préparés ce repas avec beaucoup dengouements.
Jeanne sans attendre de réponse pose sa main sur le bras de son fils :
— Ca te dérange si jembrasse mon chéri ?
Elle embrasse Albert qui à son tour, lattrape par le cou pour lui rendre le baiser qui se prolonge une minute.
Sylvie revient avec les cafés quelle pose sur la table basse et sassoie sur le tapis devant le fauteuil de Bernard, tous deux matent leurs parents enlacés, ils sont fiers deux, si bien que Bernard rejoint Sylvie sur le sol et ils se mettent à imiter leurs parents en sembrassant à pleine bouche. Il faut dire quils attendaient impatiemment cet instant depuis une semaine. Laprès midi est doux, la température très agréable, la baie vitrée est grande ouverte et les stores mi baissés sur un petit jardin bien entrenu.
Albert allonge Jeanne sur le canapé, elle met ses mains sous sa nuque, son chemisier remonte ce qui la gène un peu, elle le déboutonne pour découvrir sa petite poitrine libre. Albert sagenouille devant le canapé, pose sa tête sur lavant bras pour venir glisser sur un sein. La bouche trouve le bourgeon que la langue taquine. Un ronronnement de lintéressée répond à cette caresse. La main de Jeanne vient sur les épaules dAlbert pour le soutenir. Albert suçote les tétons en caressant le ventre de sa dulcinée.
Fascinés, les ados contemplent ce manège, latmosphère particulière leur fait perdre tous repères familiers. Ils sont comme sur un nuage de voir cette scène. Bernard se redresse, pose une main sur la hanche de Sylvie, juste au-dessus de la ceinture du jean, lautre remonte sous le débardeur et saisit un sein. Elle se laisse aller sans quitter des yeux les gestes de son père. Un souffle vient caresser sa nuque, lui murmurer des mots doux quelle entend mais nécoute pas :
— Regarde comme ils sont beaux, comme ils sont heureux. On ne peut pas être jaloux devant un tel bonheur.
La tête de Sylvie bascule en arrière pour mieux écouter les belles paroles de Bernard, puis elle fait passer son débardeur par-dessus sa tête. Bernard la saisit aux épaules et linvite à sallonger. Le tapis moelleux laccueille, une bouche sempare de ses seins. Elle ferme les yeux, dans ses pensées elle ne sait plus qui la caresse, son père ou son copain, elle est bien. Après quelques minutes Bernard déboutonne le jean, Sylvie se met debout instantanément, sort pantalon et culotte, totalement nue, elle reprend sa position sur le tapis. Bernard ne se dégonfle pas, il se libère de ses vêtements. Sans embarras ni honte, comme si ils se connaissent depuis des années, Bernard reprend ses caresses. Il nest pas habitué à prendre linitiative, mais cest grâce à sa mère quil connaît bien le corps féminin, celui-ci est différent, cest relativement nouveau pour lui. Il caresse doucement du bout des doigts lentre jambe, cest bien moins touffu que sa maman, ça lui parait tout neuf. Son majeur se replie, suit la fente qui commence à suinter. Le bouton lui semble petit par rapport au grain de riz de sa maman. La main de Sylvie sest glissée sur le bas ventre de Bernard et rencontre le gland au niveau du nombril. Le garçon sallonge à coté de sa compagne. Il reprend les seins en bouche, il rapproche légèrement son bassin pour que Sylvie puisse saisir la verge afin de le masturber. Elle trouve une verge légèrement plus petite que celle de son père mais plus dure.
La tête de Jeanne a basculé sur le coté. Elle ouvre les yeux et voit les enfants unis. Cette image ne la choque ni ne la fâche, elle fait tourner le visage dAlbert pour quil regarde, il sourit comblé du bien-être et du bonheur de sa fille. Aucun signe de jalousie dans le regard des parents sur leurs enfants, au contraire, ce sont deux personnes pleines de sagesse et de béatitude qui admirent ce quils ont de plus cher au monde. Dans leur nirvana, ils entendent cette expression de bonheur, ils se regardent, croisent leur regard et sétreignent fortement.
Jeanne soulève son bassin pour faire appel. La bouche dAlbert vient se poser sur son triangle. Elle replie les genoux, écarte les jambes pour lui faciliter le travail. Il lèche doucement la saignée, trouve le petit bouton quil taquine avec sa langue. Jeanne saisit la tête entre ses mains, la guide et sen sert comme dun coussin avec lequel elle se frotterait. Albert soulève les cuisses afin de mieux atteindre le périnée. Sa langue va de la rosette au clitoris, ce contact lui procure comme un choc électrique. La langue sinsinue dans le vagin, Jeanne souvre complètement elle voudrait toute se livrer à la langue. Transmission de pensée ou expérience, Albert comprend ce désir et affûte sa langue en poinçon pour quil ouvre ce nouveau chemin. Cest lapothéose et un long cri modulé, ininterrompu, sort de la bouche de la maman. Jeanne a serré ses cuisses sur la tête dAlbert durant toute sa jouissance. Puis elle se relâche, écartée sur le canapé. Enfin elle attire Albert qui bascule sur elle, les yeux clos, les cuisses grandes ouvertes,
Jeanne enserre de ses jambes son amoureux, sa main va à la recherche de la bite serrée entre les deux corps et la guide dans sa chatte. Les mains de Jeanne posées sur les fesses dAlbert lattirent sur elle, sans avoir donner le moindre coup de rein, la queue fichée en elle la fouille comme un intrus. Les souffles semmêlent sous le même sentiment qui les traverse. Jeanne referme encore plus ses jambes sur les reins dAlbert qui commence à mouvoir son corps de haut en bas Les corps s’harmonisent dans des mouvements gracieux qui simpriment l’un à l’autre, ils cherchent et trouvent sans le vouloir un synchronisme naturel, comme une danse initiatique et instinctive. Cela produit un petit bruit de friction humide un peu obscène. Musique sublime de la queue, du vagin et du souffle des bouches auxquels se mêlent peu à peu les halètements de plaisirs. Le rythme monte encore, les reins se mettent à battre une sarabande de plus en plus folle, le cri venant de Jeanne devient une plainte continue et modulée. Les bras dAlbert sont en appui pour que chaque coup porté soit un coup qui la pénètre profondément.
La machine semble s’emballer, rien ne pourrait la retenir, la sève monte le long de la verge. Albert enfouit ma tête au creux de lépaule quil mord à faire mal. Le cri de Jeanne est devenu une longue plainte rauque avec de curieux accents dans les aigus avant de finir en plainte de bête blessée, presque un sanglot. Le couple reprend son souffle dans une ivresse bien réelle accentuée par le regard des jeunes observateurs.
En effet Sylvie et Bernard ne peuvent détacher leur yeux de leurs parents tout en continuant leurs caresses réciproques. Après ce terrible spectacle, ils se demandent si ils doivent aller plus loin, ils se regardent un peu surpris de lampleur de lexhibition. Ils restent enlacés un long moment. Enfin Bernard passe une jambe entre celles de Sylvie, sa cuisse vient frôler la petite chatte. Elle écarte largement les jambes pour faciliter ce contact si doux. Bernard masse doucement avec sa cuisse et ce frôlement est absolument délicieux. Le sexe de Bernard est trempé de jus intime. Les deux jeunes amoureux ferment les yeux et savourent cet instant unique. Ils frottent leurs bassins, entament des mouvements désordonnés. Les lèvres ne se quittent plus. Ils se serrent de plus en plus fort.
Jeanne et Albert ressentent quune intense et tendre complicité sest instaurée entre tous les quatre, ils sont assez satisfait davoir montrer à ce quils ont de plus cher au monde comment cest lamour, quil ny a pas que des sucettes et des branlettes. Ils se lèvent et comme par transmission de pensée, ils avancent doucement vers leur trésor. Jeanne dit :
— Ho mes chéris, combien vous êtes mignons comme ça tous les deux, vous ne pouvez savoir quel plaisir on a, nes pas Albert ?
— Oui cest merveilleux, quand je vois ma petite Sylvie heureuse Avec Bernard, on aurait pas pu rêver mieux. Cest formidable Jeanne.
Lamour charnel des parents pour leurs enfants est toujours présent, ils viennent de prendre leur plaisir sous les yeux de leurs gamins, maintenant à leur tour dadmirer le joyeux duo formé par leurs précieux héritiers.
Encouragés par les anciens, les jeunes puceaux font monter la température des corps aussi bien de leurs parents que chez eux en multipliant les caresses manuelles. Albert et Jeanne poussent la table basse pour faire de la place et se glissent de chaque coté du jeune couple et comme tous bons parents qui se respectent ils ont envie de faire voir comment ça marche Mais surtout pour mieux profiter de la scène. Les deux adultes se tripotent le sexe sans décoller les yeux de leurs progénitures
Enfin les deux jeunes amoureux se détachent, ils font chacun un demi tour pour se retrouver avec leurs parents respectifs comme pendant les soirées à la maison. Les deux nouveaux couples senlacent pour se prouver quils sont toujours présents. Les caresses échangées entre parents et enfants vont beaucoup plus loin, ce qui est logique. Jeanne constate que Bernard bande plus fort que dhabitude.
— Je suis bien avec Sylvie maman, elle me donne beaucoup de bonheur, vois comme je suis dur.
Dit Bernard à sa maman en montrant sa tige toute droite et dégoulinante.
— Laisse moi te nettoyer mon bébé.
Sans attendre la réponse, elle pose sa bouche sur la cuisse de son gamin et se met en devoir de sucer ce gland bien brillant. L’idée vient à Bernard den faire autant, il sincline donc vers le bas ventre de sa mère et fouille avec sa bouche dans les poils frisés pour trouver les lèvres et lécher tous les restes dans la chatte de la précédente pénétration. Le bout de sa langue passe le long de la vulve en douceur comme une récompense et comme sa maman lui a bien appris. Ils se retrouvent tête bêche tous les deux ce qui narrange pas les choses du coté de Bernard.
Tandis que Sylvie est assise entre les jambes de son père, qui dune main palpe un sein et lautre main sagite sur la jeune chatte. Tous les deux regardent avec envie Jeanne et Bernard. Lorsque Jeanne jette un il vers Sylvie, elle à un petit choc, elle se dit quelle doit lui donner son Bernard, que ce nest pas très correct de sa part de monopoliser ce tendre amour, il lui faut réparer cette petite faute. Elle pousse son fils sur le coté, létend sur le dos, la tige bien droite vers le plafond, il se demande pourquoi on labandonne si prêt de la jouissance.
Jeanne prend le visage de Sylvie entre ses mains et pose ses lèvres sur la bouche entrouverte, le regard dans les yeux dAlbert qui nest quà quelques centimètres. Lentement mais sûrement le baiser prend forme, les bouches se soudent, les langues se lient pour redonner confiance à Sylvie. Jeanne lui caresse en même temps les épaules, la poitrine où elle rencontre une main dAlbert, puis elle sinsinue entre les cuisses. Sylvie soffre totalement sans pudeur, elle comprend quelle a retrouvé une mère, elle saisit cette chance quest cette femme qui lui donne en même temps un amoureux et le bonheur de son père.
— Sylvie tu es vierge, nes pas peur, aies confiance en moi, tout va bien se passer.
Lui dit Jeanne pour que tout le monde entende.
— Mais je veux, je veux Bernard, oui, sil te plait Jeanne.
En disant ses mots, Sylvie se laisse emmener par Jeanne sur le tapis, couchée sur le dos, offerte, elle se caresse la chatte. Jeanne regarde Albert, ils considèrent Bernard, ils ne savent plus si ils sont de trop ou si ils doivent soutenir le programme suivant. Evidemment lamour quils ont en commun pour leurs enfants est plus fort, Jeanne amène son fils sur Sylvie, pendant quAlbert sest mis à genoux devant le visage de sa fille, il lui prend la tête, la pose sur ses cuisses en guise doreiller. Il caresse les cheveux et la poitrine de sa fille ne lui voulant que du bonheur. Bernard se laisse conduire par sa mère, voyant là, un plaisir supplémentaire à cette délicieuse séance. Il est sur les genoux entre les jambes de sa chérie, maintenu par derrière par sa maman, il sait ce quil va se passer, il bande comme jamais il na bandé. Sa maman prend la tige palpitante, se baisse pour la sucer encore un peu par gourmandise, il faut dire quelle est fière de cette bite, elle est belle, bien droite, bien raide. Aucun mot ne sort des bouches, les trois acteurs attendent que Jeanne décide. Elle frotte le gland suintant sur la fente ouverte, Sylvie et Bernard nen peuvent plus dattendre, Bernard pousse son membre gonflé dans létui brûlant qui souvre progressivement.
— Ho oui Bernard, oui mon Bernard.
Le cri sourd est venu de Sylvie qui ouvre encore plus les jambes pour aspirer le membre en remontant son fessier. Fou de joie par ce spectacle peu commun, Albert et Jeanne caressent les deux corps assemblés et secoués pas les petits coups de rein successifs de Bernard. Cest Jeanne qui la première pose ses lèvres sur le corps en sueur de son fils, elle glisse sa langue entre les fesses bien exposées, elle ne peut résister aux odeurs excitantes qui séchappent du couple. Elle ronronne en léchant toute la raie du cul, les couilles, même la petite chatte y passe sous la langue fouineuse. Sans le vouloir, Jeanne prend goût, elle sattarde sur la tige de son fiston qui rentre et sort entre les lèvres roses un peu malmenées du jeune chaton. Ils ont criés tous les deux en même temps, Sylvie a été surexcitée par la bouche de Jeanne, quand à Bernard il ne pouvait plus attendre, il a jouit dans son amoureuse sous les yeux des parents puis sest écroulé, abattu sur Sylvie.
Les deux jeunes amoureux gémissent toujours de bonheur en se séparant pour reprendre leur souffle, Bernard est étendu à coté de Sylvie, Albert est toujours à leurs têtes et Jeanne entre leurs jambes. Ils débitent des paroles apaisantes qui détendent les enfants. Jeanne et Albert sont enchantés de lexcellent déroulement du dépucelage. Albert caresse les cheveux de Bernard par reconnaissance du bonheur quil a donné à sa fille. Albert a repris de la vigueur par la beauté de cet accouplement, Jeanne est au ange, elle savoure lextase de son gamin, ses deux mains nen finissent pas de caresser les quatre cuisses plus ou moins entrelacées. Le climat se réchauffe rapidement chez les parents émoustillés par cette tragédie surréaliste. Ils sont seuls au monde, concentrés sur leur jeu, en phase les uns avec les autres.
Sylvie sent que Jeanne lui caresse les poils qui dissimulent lentrée de sa grotte, alors quAlbert est émerveillé par ladresse et la douceur de Bernard envers sa fille, il ne sait que faire pour le remercier. Il balade ses mains sur les poitrines des jeunes corps. Toutefois la curiosité lemporte et la nature lui a donné le goût de lexcès, il va dun sein de sa fille aux petits tétons de Bernard. Il détaille, avec une lenteur qui ne fait quaugmenter son plaisir
Jeanne se fait progressivement indiscrète à lentrée de la jeune chatte. Le contact est merveilleux pour Sylvie qui tout comme Bernard éprouvent une sensation de bien être dans ce repos bien mérité. La maman caresse les lèvres intimes de Sylvie puis le clitoris qui se réveille à nouveau. Immédiatement Sylvie recommence à shumidifier, instinctivement, Jeanne accélère ses caresses, elle est enchantée de voir Albert manifesté sa joie sur Bernard. Les mains des parents vont et viennent sur les corps des ados en se croisant, ils sont pris dune joie nouvelle qui saccroît encore par lespèce dinterdit qui flotte dans lair depuis toujours.
Les visages se penchent sur les bouches des jeunes, Jeanne embrasse son fils et Albert sa fille. Ils veulent en faire plus, dans leur emportement, les baisers sapprofondissent davantage et chaque main continue lexploration suivit cette fois par les lèvres. Ils contournent les poitrines, se glissent sous les aisselles, tournant en cercle, souples et agiles. Ils ne sont même plus conscients, qui embrasse qui. Quand Albert sent peser ce membre moyen contre sa joue, splendide, jeune, droit et bien dur, parcouru par des vibrations insensibles qui frémissent le long de son visage. Il sécarte un peu pour voir cette chose quil trouve formidable, il la prend en main plus par amusement en regardant Jeanne. Puis voyant que ses trois partenaires attendent la suite, Albert effleure lentement de son museau la colonne de chair qui fait un doux mouvement de roulis, puis sattache définitivement au gland quil pénètre dans sa bouche. La jeunesse palpitante doù se dégage une légère épaisseur de mousse âcrement odorante sur la petite toison chaude, Albert sombre dans les plus obscures profondeurs quil sest imaginé. Les mains dAlbert vont alternativement des fesses aux couilles, alors quil se concentre sur la jeune verge.
Les deux femmes sont restées un moment à observer les deux hommes avec beaucoup dattention. Jeanne ne peut plus attendre, elle se jette pratiquement sur Sylvie, elle pose ses lèvres sur la toison noire quelle absorbe. Sylvie sent le souffle chaud sur mon pubis, complètement anéanti, elle laisse à Jeanne toute à son initiative. La bouche arrive aux lèvres intimes. Evidemment Sylvie mouille de plus en plus, la langue caresse les grandes lèvres avant de s’attarder sur le bourgeon qui n’attend que cela. Pendant toute cette opération Jeanne s’est progressivement placée tête bêche par rapport à Sylvie qui voit maintenant la chatte à quelques centimètres de son visage. L instinct la pousse à poser ses lèvres sur le pubis épais et soyeux. Jeanne écarte largement les jambes et présente alors son sexe à la jolie demoiselle. Les deux femmes sont attirées comme des aimants, elles passent leurs bras autour des fesses pour bien se coller lune à lautre.
Bernard s’étale dans un bienheureux étirement, tout en laissant son sexe pénétrer la gorge triomphante, il se retourne avec un savant mouvement pour saisir la queue dAlbert pleine de vigueur, plus grosse et plus longue que la sienne, Bernard nest pas impressionné, au contraire, armé dune volonté de faire du bien, il absorbe la verge en manquant de s’étouffer, tandis quà deux mains il palpe les fesses et tente leur plis central.
Les longs murmures ajoutent à cette atmosphère une volupté foudroyante, où les quatre monstres touchent le point crucial et plus aigu que la première secousse, ça éclate et jaillit en même temps. Ils sont tous accablés et pantelants mais sûrement prêts à recommencer.