Je trouve cette peau si douce devant la cheminée et j’y prends place docilement. J’écarte mes jambes bottées et place ma tête sur la peau. Mon dos cambré fait ressortir mes fesses bien en l’air.
Il se place derrière moi et caresse mes fesses des deux mains.
J’étais au bord d’un orgasme et je redescends petit à petit. Il me doigte les deux orifices en étalant ma mouille sur ses doigts. Il me défonce avec les doigts à grande vitesse, deux doigts dans chaque orifice.
Après quelques minutes passées à me faire miauler il se place derrière moi. Pas à genoux mais debout. Pliant les genoux, oui, il est au-dessus de mes fesses.
Je sens son gros membre glisser dans ma chatte. Je me cambre plus car il va bien profond dans cette posture. Je couine qu’il va trop profond.
Rapidement il ressort et sans poser de questions il pousse son gland dans mon cul. Je crie et me redresse un peu comme une pouliche à un rodéo. Il me tient bien par les hanches et avec un « Hhhummmpffff » il pousse au-delà de ma rondelle.
° ° °
Qu’elle est bandante à quatre pattes avec ses bas, son porte-jarretelle et ses bottes !
Elle se cambre, m’offre bien son cul, la chienne. Ah elle veut se faire défoncer, elle va être servie !
Ses deux orifices bien exposés sont un appel, entre son joli abricot bien fendu, aux lèvres luisantes d’où un filet de mouille gluante pendouille, se balance puis finit par tomber parce qu’elle ondule des reins comme une chatte en chaleur, et sa petite rosette borgne qui me fait de l’œil et m’attire au fond de son sillon fessier, je ne peux choisir :
c’est deux doigts dans sa chatte luisante et deux doigts dans son petit sphincter que j’introduis sans trop de difficultés et qui commencent à l’investir, à la posséder… elle m’appartient totalement, cette salope !
Quel beau cul ! Elle est vraiment faite pour être baisée ! J’ai autant envie de la fesser à deux mains, à la volée, violemment, pour une claquée bien sonore, que de la pénétrer et de la défoncer.
Mais je ne résiste pas à l’appel de la femelle : je m’accroupis et enfonce ma pine qui disparaît dans son fourreau de femme. Je bute tout au fond, elle crie, elle doit s’accrocher à la peau pour que je ne la promène pas à coups de bite à quatre pattes, dans toute la pièce !
Il faut dire que je l’ai attrapée par ses belles hanches que je maintiens fermement, accroissant mon emprise.
Elle a passé une main entre ses cuisses et se branle la vulve, cette salope lubrique.
Je n’y tiens plus : puisqu’elle en veut jusqu’à plus soif, je me retire et pose mon gland sur le petit œillet froncé… il ne va pas rester froncé bien longtemps… Je m’en vais te lui déplisser, moi :
ma queue force le petit orifice et j’ai l’impression de lui rentrer tous les intestins à l’intérieur. Elle beugle, pousse un cri horrible comme si je l’avais poignardée…
Mais c’est mon dard qui la poignarde, qui l’embroche, je vais lui enfoncer ma grosse queue jusqu’aux amygdales, lui ressortir par la bouche… d’ailleurs, elle bave déjà !
Non, j’exagère… mais je lui pète le cul, elle s’en prend plein le fondement, elle vagit, prononce des mots incompréhensibles, comme quoi elle a les yeux qui lui sortent de la tête, et je ne sais pas quoi encore…
Ses nichons se balancent comme deux battants de cloche, ah elle m’excite !
Je lui attrape ses deux obus, les lui presse comme des citrons, j’ai envie de la traire, envie de les essorer, d’en faire sortir du jus…
Elle s’écroule, s’effondre, ses épaules touchent le sol ; elle se retrouve le cul en l’air, en buse, elle a l’air ridicule : elle n’est plus que ce cul que je besogne en l’élargissant un peu plus à chaque va-et-vient.
° ° °
Au départ la douleur est intense. Il n’est pas le premier homme à abuser de mon petit trou mais celui qui est le mieux équipé. Il a tellement étalé mes jus qu’il commence à glisser en moi malgré l’étroitesse du canal. Il ne me baise pas, il me perce, me détruit !
C’est un jeu pour me montrer que je ne suis que son objet. Presque debout derrière moi il me bourre avec son gros sexe dans mon pauvre orifice.
Je dois avouer que j’aime être prise ainsi. Je perds tout contrôle et sens à quel point je l’excite. Il râle et grogne en me culbutant :
« Ooohhhh. Que tu es bonne. Rrahhhhh… prends ça, gggrr… Tu aimes ma grosse bite dans ton cul hein ?! Tu vas voir ce que je fais à une allumeuse en bottes comme toi ! »
Je sens toute sa queue en moi. Les pointes de mes bottes raclent le sol. Je ne crie plus mais je couine en jouissant.
° ° °
Je lui défonce le cul, elle est serrée, elle me pince la pine tellement son petit trou se spasme !
Je l’attrape par les cheveux, lui redresse la tête :
« – Tu aimes ça être enculée, hein, petite pimbêche ?! T’aimes ça, hein, petite pute ?!
— Ah oui, j’aime ça… Aaaargh ! Aaah ! Aaah !
— Si t’étais à moi tu serais enculée matin et soir !
— OH… AHHH !
— Tu vas voir, je vais faire de toi ma petite pute, je vais faire de toi mon esclave sexuelle, tu vas voir, tu vas aimer ! Tu viendras régulièrement t’en prendre plein ton cul ! »
Je me retire de son œillet et investis à nouveau et d’un seul coup de pine sa connasse, elle beugle, surprise ! Je lui pilonne sa chatte, lui donne des coups de marteau-piqueur dans ses ovaires, puis me retire et m’enfonce dans son cul à nouveau, quel délice ! Quel plaisir de forcer son cul !
Ses bottes s’agitent, elle donne des coups sur le plancher du bout des pieds, sur le sol, martèle le sol… pendant que moi je lui martèle le cul, je la travaille au corps, je l’élargis, la cisèle, lui ouvre les intestins en deux !
Puis je sors de son cul et recommence le même manège : je lui enfile la chatte !
« J’espère pour toi que tu avais le cul propre, pétasse ! Tu ne fais plus la fière maintenant ! Tu n’es plus l’assistante R.H. hautaine qui regarde les petits employés et les ouvriers avec condescendance, surtout quand tu sais qu’ils bandent pour toi en secret, avec tes tenues chics et sexy, et tes allures de salope !
Tu les imagines, s’ils voyaient te faire détruire le cul, sodomiser comme une vulgaire pute du boulevard ?! Tu les imagines, le chibre à la main, en train de s’astiquer et de faire la queue pour s’enfoncer l’un après l’autre, chacun leur tour, entre tes deux fesses bien plantureuses ?! »
Elle doit avoir la chatte en feu, moi je ne sens plus ma bite. Elle râle comme une bête, ses cris aigus n’ont plus rien d’humain.
Elle a les joues écarlates, ses cheveux sont en bataille… elle me donne envie de la gifler à la volée, de la fesser jusqu’à ce qu’elle ait le postérieur rouge et brillant comme une tomate. J’ai envie de la gifler avec ma bite raide !
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Je ne sens plus mes orifices. Je suis complètement ravagée. Malgré le lubrifiant et mes sécrétions, sa grosse bite m’a écartelée comme jamais personne avant ne l’avait fait. Il ne cesse de me rentrer dedans à grande vitesse et violence. Sa bite me perfore, me défonce. Je ne sais plus où j’en suis, épuisée et brisée.
Ça n’est plus être baisée mais corrigée, instruite. Il me montre que c’est lui le maître. Il me punit pour avoir allumé tous les hommes au travail juste pour avoir un peu de satisfaction personnelle.
Je tourne la tête pour le regarder et fais d’une voix faible et geignarde :
« Jouis, vas-y jouis, je t’en prie, remplis-moi, donne-le moi. Je suis à toi »
Je lui réponds :
« Je ne reçois pas d’ordres à recevoir de toi ! C’est toi la salope, la soumise ! Et tu es à moi, maintenant !
Je jouirai quand je l’aurais décidé, petite pute ! »
(A suivre…)