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Embauche et débauche – Chapitre 1

Embauche et débauche - Chapitre 1



Je suis nue dans la salle de bains, je prends délicatement un bas, je le trousse soigneusement et plonge mon pied dedans. Doucement je le fais grimper le long de mon mollet puis de ma cuisse. J’ajuste soigneusement la bande de dentelle et la fixe délicatement à mon porte-jarretelles. Je pivote sur moi même en me regardant dans la glace, contente de ce que j’ai sous les yeux je continue et me saisis du deuxième bas. Je recommence avec minutie la même l’opération et finit par le fixer à son tour aux deux attaches restantes.

J’attrape ensuite mon string que j’enfile rapidement en prenant soin de l’ajuster pour qu’il sintègre parfaitement avec le porte-jarretelles. J’enfile enfin le soutien-gorge coordonnée au reste de l’ensemble, j’ajuste un peu les bonnets afin de mettre en valeur ma poitrine.

Je reste quelques instants à m’admirer dans la glace de la salle de bains. Je me trouve très attirante et suis plus que satisfaite de mon choix. Les bas noirs satinés mettent magnifiquement en valeur mes jambes. Mon ensemble de lingerie est également magnifique, il est entièrement blanc, le tissu du string et du soutien-gorge est presque transparent, on distingue très nettement ma toison en forme de ticket de métro. La ceinture de mon porte jarretelles est très large avec du tissu transparent et de la dentelle. C’est Stéphane mon mari qui m’a offert cette tenue lors de la dernière St Valentin, je ne la porte que pour les occasions spéciales.

Bref je me trouve très sexy, il faut dire qu’à 33 ans j’ai un physique plutôt agréable. Même si je ne suis pas très grande, je suis plutôt bien proportionné, surtout au niveau de ma poitrine, mon 90C attire souvent le regard des hommes.

Par dessus cette tenue aguicheuse, j’enfile une robe assez classe mais sage. Elle est légèrement décolletée sur le devant et tombe juste au dessus de mes genoux. Bref impossible pour les gens de se douter des trésors que je dissimule en dessous.

— Chérie, tu es bientôt prête ?

Mon mari s’impatiente, mais bon il a du oublier qu’il vivait avec une femme.

— Oui,quasiment, donne moi cinq minutes encore.

Je saisis mon tube de rouge à lèvres que j’applique soigneusement sur les contours de ma bouche, un petit de peu de mascara et et le tour est joué.

Ce soir là, la société ou mon mari venait dêtre embauché organisait un apéritif dînatoire à l’occasion des fêtes de fin d’année. Les conjoints y étaient également invités. Afin de faire bonne impression j’avais donc décidé de me faire belle afin que mon mari soit fier de moi. J’avais également prévu une petite surprise pour lui en rentrant à la maison. Il adore que je le surprenne, je pense qu’il ne va pas être déçu ce soir en découvrant ce qui se cache sous ma robe. D’autant plus que c’est la première fois que je mets cet ensemble pour sortir, je la réservais habituellement pour nos soirées coquines.

Même s’il n’est pas au courant de la surprise que je lui réserve, mon mari est subjugué par ma tenue, il tente même une approche le coquin, je le repousse affectueusement en lui disant :

— Ce soir en rentrant, mais si tu es sage.

Une fois dans la voiture, il remet ça en délaissant le le pommeau de la boite de vitesses pour ma cuisse. Tout en s’aventurant un peu plus haut sur ma jambe, il me félicite encore une fois :

Tu vas faire tourner des têtes ce soir ma chérie, je sens que je vais faire des envieux.

Puis ses doigts entrent en contact avec la lisière de mes bas et une attache de mon porte-jarretelles, sans rien dire il m’adresse un regard mêlant la surprise et l’excitation. Il finit par dire :

— Tu sais je n’ai plus vraiment envie d’y aller, si on faisait demi tour.

— Ah non, tu viens d’être embauché, cela ferait mauvais effet. Et puis c’est excitant de savoir que tu vas penser à ça toute la soirée.

— Mais je suis déjà excité comme un fou, qui ne le serait pas d’ailleurs.

Flattée par ces propos, je le laisse faire et écarte même un peu les jambes pour lui faire comprendre que ce soir je suis d’humeur joueuse. Sa main bifurque vers lintérieur de ma cuisse, il la caresse sensuellement du bout des doigts. Nous entrons sur la voie rapide, il se laisse aller et s’aventure un peu plus haut. Ma robe remonte de plus en plus haut sur mes cuisses, nous nous faisons klaxonner par les camions que nous doublons. Je me prends au jeu, moi qui n’ai jamais eu de penchant pour lexhibitionnisme, voila que je découvre un certain plaisir à m’offrir à la vue d’inconnus.

Le contact de sa main sur mes jambes vêtues de mes bas mémoustille d’une manière insoupçonnée, je commence aussi à me dire que nous aurions du rentrer. Sa main continue d’aller et venir sur ma cuisse, le silence qui règne dans la voiture accentue l’ambiance torride. Il arrive finalement jusqu’à la bande de tissu qui se trouve en haut de mes bas, son ascension se termine, il va enfin attendre le sommet. Ses doigts entrent en contact avec ma peau, mon sexe commence à s’humidifier et mon bas ventre à se réchauffer.

Je ne regarde plus la route, j’ai fermé les yeux, seuls quelques klaxons me rappellent à la réalité, mais peu importe, je profite de mon plaisir. Je le sens enfin sur ma culotte, jécarte encore un peu les jambes pour lui faciliter l’accès, ma tenue doit maintenant être carrément indécente. Je sens son doigt parcourir ma fente, mon bassin commence à répondre à ses caresses et je me mets à onduler sur mon siège.

Moi aussi j’ai envie de le toucher, je pose ma main sur son entre-jambe, sa virilité est là, déjà bien dure. Je masse son membre au travers de son pantalon, je le sens grossir sous l’effet de mes caresses habiles. Je descends le zip de la braguette et ma main s’engouffre dans son boxer. Je sens son sexe brulant de désir vibrer sous mes doigts. Je le sors du carcan dans lequel il était retenu, il émerge maintenant fièrement du pantalon, droit comme un i. Je peux maintenant le masturber à ma guise.

Tout en l’empoignant, je lui caresse le sommet de sa tige avec mon pouce, je remarque qu’il commence à perler d’excitation. Parfois il se raidit quand mes caresses sur son gland sont trop insistantes, ce détail ne m’a échappé, et je me mets à en user et en abuser.

Lui aussi a pris possession de ma culotte, ses doigts ont d’abord atteint mon fin ticket de métro, il s’est mis à parcourir ma toison comme pour vérifier si elle était bien entretenue. Il s’est ensuite dirigé vers mon trésor, très vite je sentis un de ses doigts aller et venir le long de ma fente. Il immisce finalement un doigt dans mon fourreau, il me pénètre facilement, il faut dire que je suis tellement excitée que je mouille abondamment.

J’entends le clignotant de la voiture se mettre en marche, je rouvre les yeux, il sort à un aire de repos. Je ne lui dis rien, j’ai compris pourquoi il fait ça, intérieurement j’approuve, moi aussi j’ai envie de lui. Il va se garer sur le parking un peu à lécart, il n’y a presque personne. Un lampadaire éclaire péniblement notre voiture, nous serons bien ici.

Nous défaisons tous les deux notre ceinture et nos lèvres se rejoignent. Nous nous caressons et nous embrassons fougueusement, mais j’ai envie de le sentir en moi, je lui dis :

— Viens on va derrière.

Nous passons péniblement l’un après l’autre entre les sièges et nous continuons la ou nous en étions resté sur la banquette arrière. Il a momentanément délaissé mon sexe pour ma poitrine,il a fait jaillir mes seins en dehors de ma robe et de mon soutien gorge. Je sens sa langue venir flatter mes tétons, j’adore. Je suis follement excitée, je l’empoigne fermement et le caresse à mon tour, main s’aventure de nouveau dans son boxer pour lui flatter les testicules, je les sors à leur tour de leur prison afin de pouvoir jouer avec elles.

Je n’en peux plus, j’ai envie qu’il me prenne, je me mordille les lèvres tellement je le veux en moi. C’est à ce moment qu’un camion vient se garer sur le parking entre nous et le reste des voitures. Nous stoppons nos activités quelques secondes histoire de nous assurer que nous sommes toujours tranquilles. Rien ne se passe, tout est toujours calme dehors.

Nous reprenons alors ou nous en étions restés, ma main sur le sexe de mon mari et lui dévorant mes seins. J’ai envie qu’il me prenne, mais l’endroit est exigu, je lui dis :

— J’ai envie de toi, attends …

Je viens m’asseoir sur lui en lui tournant le dos, cela me parait être une position appropriée vu l’espace restreint dont nous disposons. Pendant que je me positionne, il fait tomber son pantalon et son boxer jusqu’à ses chevilles. Je viens sur lui, jécarte ma culotte et vient m’empaler sur sa queue tendue. Aussitôt je me mets a geindre doucement. Je sens son membre bien calé au fond de mon vagin, je me frotte contre lui lentement telle une vague venant perpétuellement s’échouer sur la plage.

J’ai l’impression que d’un seul coup mon mari à trois, quatre mains, je le sens partout sur mon corps. Mon bas ventre mes jambes , mes seins, mes tétons. Chaque parcelle de mon corps s’embrase sous l’effet de ses caresses. Emportée par l’excitation je me caresse à mon tour, je m’empare de mon opulente poitrine et commencer à jouer avec, tantôt les prenant à pleine main, tantôt en jouant avec mes tétons durcis par le plaisir.

Il m’embrasse maintenant dans le cou, je sens sa langue venir happer le lobe de mon oreille, j’adore quand il me fait ça. Voyant que je me caresse moi même les seins, il reporte son attention sur mon sexe et mes jambes. Il pose la main en bas de mon ventre et descends lentement vers ma fente, ses doigts ratissent mon ticket de métro, puis quand il est presque arrivé jusqu’à ma petite chatte qui miaule de plaisir, il remonte vers mon ventre. De son autre main, il caresse sensuellement lintérieur de ma cuisse, il passe ses ongles sur mes bas en les faisant légèrement crisser.

De mon coté mon bassin ondule machinalement autour du pieu sur lequel il est fiché, de temps en temps je le soulève pour faire quasiment sortir son chibre de mon vagin, puis je le redescends doucement en savourant le plaisir qu’il me donne quand il me remplit.

Stéphane commence maintenant à caresser mon clitoris, mon bassin devient fou, ses mouvements deviennent incontrôlés. Mais c’est tellement bon que je l’encourage :

-Mmm chéri, continue, tu m’excites.

D’un seul coup je me fige, un homme est à coté de la voiture, je le vois jusqu’en haut du torse. Il a sorti son sexe et se masturbe devant nous. Stéphane se demandant ce qu’il se passe se tourne et aperçoit également l’homme. Il ne dit rien et reste planté en moi tout en regardant l’inconnu.

Mon regard n’arrive pas à se détacher de l’homme, je devrais regagner mon siège passager et demander à mon mari de partir, mais au lieu de ça, je reste là. Je suis même encore plus excitée, c’est comme si une boule de feu venait d’imploser dans mon bas ventre.

Stéphane me dit :

— La voiture est fermée, on ne craint rien, continue chérie …

Puis petit à petit, comme hypnotisée par ce voyeur je m’active de nouveau autour de la queue de Stéphane. Est ce moi ou j’ai l’impression qu’il est encore plus dur. Je deviens moi aussi complétement folle, je pétris fiévreusement mes seins pendant que Stéphane joue avec mon bouton. Je suis au bord de l’orgasme, je vais bientôt exploser.

Je fixe toujours l’homme qui est à lextérieur de la voiture, ou plutôt son sexe. Il se rapproche doucement mais surement, sa queue touche presque la vitre de la portière. C’est un sexe normal, assez classique, mais je ne peux mempêcher de le regarder avec une certaine envie. J’aimerais le prendre dans ma main, le sentir vivre sous l’effet de mes caresses. Il est tellement prêt que je n’aurai qu’à tourner la manivelle de la porte et me pencher un peu pour y gouter.

Mais je reste la "sagement" à m’agiter autour du membre de mon mari. Ce dernier a remarqué mon émoi :

— Alors ma chérie … on dirait que cela t’excite d’avoir de la compagnie.

Je ne réponds pas, mais Stéphane a raison, cette situation m’excite.

L’inconnu se penche maintenant vers l’habitacle de la voiture, il nous voit entièrement, remarquez il aurait tort de s’en priver. Je le regarde dans les yeux, machinalement je passe ma langue le long de ma lèvre inférieure tout en le fixant intensément. Voyant cela il vient tapoter son sexe contre la vitre, je me dis que j’ai du provoquer de faux espoirs en lui, il pense que je envie de prendre son sexe dans ma bouche. Après tout pourquoi, il est tellement prêt.

Mais que m’arrive t’il, je ne vais quand même pas sucer cet inconnu … je n’arrive plus à raisonner, j’ai perdu toute logique, mes pulsions ont pris le dessus. L’homme se penche à nouveau pour voir ma réaction, sans réfléchir jentrouvre la bouche et lui montre ma langue, mimant quasiment une fellation. Je ne me reconnais plus, ce genre de pratique m’a toujours un peu rebuté même si je le fais à mon mari pour lui faire plaisir.

Stéphane suit mes réactions avec intérêt, lui aussi s’est pris au jeu :

— T’as envie de lui faire plaisir ?

Je ne réponds rien, je n’ose pas lui dire qu’effectivement je voulais toucher et gouter le sexe de cet inconnu.

Prenant mon silence pour un oui, il nous fait glisser un peu plus près de la portière de la voiture et commence baisser la vitre. L’homme sans doute étonné recule machinalement, mais très vite, il se rapproche de nouveau et tend son sexe vers moi.

Hésitante, je tends ma main vers lui et resserre doucement mes doigts autour de son membre. La sensation est grisante, deux queues pour moi, c’est la première fois que cela m’arrive.

Stéphane voyant que je suis affairée, ondule à son tour et fait trembler ma petite chatte de bonheur, tout en faisant ça il m’encourage :

— Vas y, caresse le doucement …

Je commence alors à le masturber, j’entends l’homme souffler de plaisir, lui aussi m’encourage :

— Mmm oui, vas y branle moi bien …

Encouragée de part et d’autre, jaccélère la cadence, Stéphane aussi d’ailleurs, il a soulevé un peu mon bassin et commence à me pistonner. L’excitation gagne tout le monde.

Je sens l’homme commencer à soupirer de plus en plus bruyamment, il me prévient qu’il va jouir :

— Ah, ça vient …

J’ai juste le temps d’orienter son sexe vers lextérieur de la voiture et des jets de sperme sortent en rafale de sa queue pour s’abattre sur le sol. C’est presque déçue que je le vois se vider sous mes yeux j’aurais tellement aimer le gouter, poser ma langue sur ce sexe qui m’était encore inconnu il y a dix minutes.

Me voir emmener un autre homme que mon mari jusqu’à la jouissance m’envoie comme une décharge dans tout le corps. Un orgasme me foudroie à mon tour et je me tends autour du membre de mon mari.

Je sens que c’est également bientôt fini pour lui aussi, il me baise furieusement tout en s’accrochant à la ceinture de mon porte-jarretelles et je le sens se vider en moi. Il me laisse retomber pantelante sur ses cuisses. Je blottis mon dos contre son torse en remuant mon fessier autour de son pieu afin de l’aider à expulser les dernières goutes de son sexe.

Notre voyeur remballe son matériel et nous envoie une banalité qui prise un peu le charme et l’excitation de la situation :

— Bon bah merci .. à bientôt peut être.

Stéphane baisse la vitre. Aucun de nous deux n’ose parler, nous étions aussi gênés l’un que l’autre par ce qui s’était passé. Pour ma part, j’avais retrouvé mes esprits, je me demandais ce qui m’était arrivé, comment j’avais pu branler cet homme qui était loin d’être un éphèbe en plus.

Mon mari, finit par me dire :

— Alors, tu as …. apprécié ?

— Ecoute, je ne sais pas, c’est confus… je ne comprends pas ce qui m’a pris. Tu te rends compte de ce que j’ai fait.

— Oui, mais j’étais la, et puis tu l’as branlé c’est tout, s’il n’avait pas éjaculé si vite, je crois même que tu lui aurais fait une fellation. Toi qui n’aime pourtant pas spécialement ça.

— Pfff …. n’importe quoi ….

Puis nous regagnons nos places tout en remettant de l’ordre dans nos tenues et repartons. C’est dans une atmosphère pesante et silencieuse que nous continuons notre route vers les locaux de la société ou travaille Stéphane.

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