Curieusement, autant sucer un cheval ne m’avait posé aucun problème, autant la perspective de laisser ce clebs fouiller mon intimité de sa langue me répugnait un peu.
Mais je n’avais déjà plus le choix. Stefan me maintenait ferme et me pétrissait les nichons avec une voracité maniaque. Ses mains avaient une extraordinaire habileté… On aurait dit qu’elles ne savaient faire que cela. En même temps sa queue s’était dressée contre mes fesses. Je basculai la tête en arrière et passai mon bras gauche derrière sa nuque. Il me mordillait l’oreille, m’embrassait dans le cou, sur les épaules.
Le chien était déjà passé à la vitesse supérieure. Il me léchait rapidement, et mon clitoris s’était à nouveau réveillé. Ma répugnance s’était envolée comme par magie et j’écartai les jambes pour laisser à la langue de l’animal plus d’amplitude. Stefan remarqua ce mouvement.
"Oui, abandonne-toi, laisse-toi faire… Tu es magnifique… tu es à nous… n’écoute que ton plaisir… On va s’occuper de toi…. ah dommage que je ne puisse pas faire monter le poney jusqu’ici".
Je passai ma main dans ses cheveux, rapidement et, de la droite, je caressai la tête du chien.
Désormais, j’étais complètement ouverte. La rapidité comme la taille, autant que la texture de la langue d’Adalbert, me procuraient un plaisir qu’aucun homme ne peut donner J’eus bien vite un orgasme clitoridien.
"T’aime ce qu’il te fait, hein ? Et ça tu vas me dire que tu ne l’avais pas déjà fait ? Putain, un cheval et un chien dans la même heure… t’es chaude…. t’es chaude mais j’aime ça. Tu sens comme tu me fais bander là… hein, tu le sens"?
Et, pour lui répondre, je passai ma main droite dans mon dos, y rencontrai la bite et commençai à la toucher.
Probablement insatisfait de n’avoir que ma chatte à lécher, le chien se dressa sur ses pattes arrières et appuya ses pattes antérieures sur mes épaules. Il faillit nous déséquilibrer d’autant que ses griffes me firent mal et que je reculai.
"Je crois qu’il veut te grimper".
Et tout en faisant ce commentaire superflu, tant les intentions du cabot étaient manifestes, Stefan nous entraina tous les trois jusqu’au lit. Quand il y fut parvenu, il se dégagea pour me basculer en arrière; je tombai sur le dos et, par réflexe, comme pour me rattraper, je passai mes bras autour du corps de l’animal qui s’effondra pesamment sur moi.
Il était presque aussi lourd qu’un homme et je sentis un sexe immense et très dur contre mon abdomen. Il coulait déjà.
Le chien se dressa immédiatement et chercha illico l’entrée de l’orifice sans la trouver.
"Lucie, relève ton bassin…. attends… prends ce coussin… comme-ça, sous le cul… bien… j’vais l’aider… oh la vache, c’est énorme… pas comme le poney. Il fait bien vingt centimètres… très gros… Ecarte mieux… plus les jambes, sans ça, il va avoir du mal à rentrer…".
Mais j’eus beau écarter au maximum, les grassets du chien butaient contre mes cuisses, l’empêchant de me saillir bien à fond. Je pliai donc mes jambes pour les ramener vers moi. Ainsi, il put me pénétrer à fond.
L’animal n’offrit bien sûr aucune résistance à ce "coup de main" et je sentis l’extrémité entre mes deux lèvres. Il n’eut alors qu’à se laisser glisser d’un coup, la lubrification de ma moule l’y aidant. Le choc fut terrible, l’intromission brutale, la douleur vive. Je n’eus pas de répis. La bête se mit à pousser régulièrement en avant et je sentis ses couilles flotter contre mes fesses. La base de son sexe gonflait et écartait l’ouverture de ma chatte comme elle ne l’avait jamais été.
J’atteignis très vite l’orgasme. La pine du chien était trop bonne. Elle me remplissait le con et pulsait sans arrêt envoyant une petite giclée toutes les deux ou trois secondes. J’avais l’impression d’avoir un mec dans la chatte qui jouirait sans arrêt.
Stefan sortit : "Où vas-tu"?
– Je reviens.
Il ne fut pas long en effet. Il avait pris de vieilles chaussettes pour couvrir les pattes du chien qui me griffaient de temps à autres.
Pendant que je jouissais en caressant les flancs massifs du chien qui étaient fermes et solides, Stefan se masturbait.
Le chien, lui, était insensible à mon plaisir. Il continuait son travail, et de belle, façon ! Je ne fus pas longue à me prendre un nouvel orgasme.
Jamais un homme ne m’avait comblée de la sorte. Bien sûr, le chien était plus statique, encore que ses très très rapides coups de reins fussent très agréables malgré leur faible amplitude, mais il dépassait en dureté ce que l’homme peut atteindre et, surtout, cette bite quei pissait sans arrêt en se gonflant à chaque giclette était un délice absolu.
" Tu aimes" ?
– L’extaaaaseeeee.
– Vraiment ?
– Vous n’êtes pas à la hauteur les mecs. Çà c’est du mâle, de la bite. C’est trop bon !
– Voire ! J’prends la place après ! Mais c’est vrai que t’as l’air d’en profiter ma salope.
Et comment que j’en profitais ! Je m’accrochais au chien pour le sentir bien au fond et je me demandais pourquoi je n’avais pas cédé à cette tentation plus tôt… Ah, oui ! Je n’y avais juste jamais pensé !
Pour le coup, comme j’en étais rendue à mon deuxième orgasme, le chien finit avant moi. Son éjaculation fut abondante. J’aurais presque pu en compter tous les jets. C’était titanesque.
Le chien mit quelques minutes à se dégager, le temps qu’il désenfle. J’en fus soulagée car je commençais à fatiguer d’être la croupe en l’air et les jambes pliées. Mais comme j’étais toujours en train de jouir, je continuai à remuer mon bassin tant qu’il fut en moi.
Dès qu’il fut sorti Stefan se précipita sur moi. Il plongea ses doigts dans la chatte d’où je sentais suinter le liquide chaud et gluant. Il en ramassa autant qu’il en put et m’en tartina lentement les poils de la foufoune. Ce doigtage me fit du bien et stimula mon vagin toujours animé de spasmes bienfaisants.
" Putain, cousin, qu’est-ce que tu fous? C’est dégueu.."
– Pas plus que de l’avoir dans le con.
– Ça pue !
– Pas plus que le cheval… ou l’homme… Moi, j’aime plutôt l’odeur… Tu bouffes du sperme d’homme ?
– Héhé ?
– Dis-moi…
– De temps en temps… si ça vaut le coup.
– Hmmmm….J’aimerais bien que le cheval te monte. Tu viens ?
– Ah non, je suis claquée.
– Alors c’est mon tour.
Et il me grimpa en missionnaire. Mon plaisir en fut décuplé. Sa queue, enduite de la jute de l’animal (lequel s’était allongé à côté pour roupiller non sans avoir essayé de me lécher au préalable mais sans y parvenir à cause de son maître) glissait sans peine. Il resta là un bon moment sans épargner sa peine, m’embrassant à bouche que veux-tu, me bouffant les seins, me serrant de toute la force de ses bras athlétiques. Au moment de jouir, il sortit, et vint s’allonger sur moi, la queue entre les seins. Son jus coula dans le creux de mon cou puis Stefan se renversa sur le côté.
"D’enfer, c’est d’enfer ! J’te quitte plus. Je reste avec toi toute la nuit et je te baiserai au réveil avec ma gaule bien dure du matin.. et après, je t’emmènerai à l’écurie et je te jure que tu prendras la bite du cheval bien profond dans ton sexe. "!
A suivre