Saddam Al Jezouly avait inspecté la vulve et le vagin de sa cliente, fait le frottis annuel, et lui avait demandé de se rhabiller, en sortant du cabinet d’examen. Arrivé à son bureau, il se versa rapidement un petit verre de whisky… il n’allait pas bien… vraiment pas bien du tout, et il le savait.
De plus en plus, lorsque sa patiente avait un truc qui lui plaisait, un joli petit visage, une chute de reins agréable, quelque chose de troublant dans le regard, et enfin une chatte agréable au regard, il se mettait à bander très dur, et il avait du mal à conserver son conditionnement professionnel !
De plus, cette dernière était également une patiente de sa femme, elle s’était en effet confiée à lui, et lui avait décrit ses troubles quant à certaines expériences sexuelles, qu’elle avait très envie d’aborder. Alors Saddam, à cette période encore très prude, lui avait dit que ce n’était pas son rôle de l’aider, mais l’avait envoyée à sa femme.
Ainsi sa patiente du jour, qui se rhabillait, Haffida, jeune femme, peut-être 25 ans, très mince, une splendide paire de seins et une belle petite chatte, avec une bande de poils noirs bien taillée, lui faisait un effet d’enfer ! Il avait eu le plus grand mal à ne pas s’emparer de ce sexe offert, et écarté par le spéculum, sur la table de travail. Sa main avait eu un tremblement, il avait dû user de toute sa volonté pour empêcher ses doigts de venir "astiquer" le clitoris, et caresser les lèvres… et lui, bandait comme un taureau, heureusement que la blouse blanche dissimulait ses érections incongrues.
Élément aggravant, il avait senti dans le regard de la fille, qu’il aurait pu lui faire ce qu’il voulait. Haffida avait senti son trouble, et elle n’aurait pas été opposée à ce qu’il la prenne sauvagement là, dans le cabinet.
Le grand sourire charmeur qu’elle lui adressa, lorsqu’il la raccompagna, en était la preuve.
Alors Saddam alla se masturber vigoureusement dans son petit cabinet de toilette, et durant l’heure qui suivit, il se fuma un bon petit pétard… seul moyen de lui faire baisser la pression, et terminer ses consultations.
Il fallait que Céline Garnier le recontacte, ça devenait une question de vie ou de mort pour lui !
Alors il se focalisa sur sa femme Françoise : il fallait que cette gourgandine accepte ses nouveaux caprices, ou cela se passerait très mal !
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Françoise était habillée d’une petite robe en stretch jaune. Elle portait des bas noirs, un porte-jarretelles de la même couleur, un nouvel Aubade", que son mari lui avait offert, en revenant soi-disant de Bruxelles… et un plug, bien carré dans son fondement. Évidemment, de sous-vêtements, point !
Elle avait encore mal des traitements subis dans la maison de sa nouvelle maîtresse. Des traînées légèrement rouges agrémentaient ses cuisses, ses seins, ses fesses et son ventre. Elle songea que presque pas un centimètre carré de sa peau n’avait échappé aux flagellations de maîtresse Céline, comme elle devait l’appeler à présent, et de son diable de rejeton. Heureusement, elle s’était soignée avec une pommade cicatrisante très performante, et pour éviter que son mari ne pose pas trop de questions, lors des ébats orgiaques auxquels les deux s’adonnaient, elle avait eu une idée.
Elle avait disposé de grands chandeliers dans la chambre à coucher pour créer une atmosphère érotique. Saddam en avait été enchanté ; il avait été très content aussi des demandes très pornographiques de son épouse. Elle s’était offerte à la flagellation…à nouveau, mais son mari tapait beaucoup moins fort que Céline et son rejeton ! Son mari avait pu investir son rectum autant qu’il l’avait voulu, et elle s’était même laissée pisser dessus, dans la salle de bain. Saddam semblait avoir été comblé, niveau dépravation sexuelle, et pourtant à la fin, était revenue la lancinante question : "quand retournerons-nous au club échangiste, et vas-tu enfin accepter le sexe d’autres hommes en toi" ?
Françoise, vidée émotionnellement par la trahison de son mari, tenue psychologiquement par sa nouvelle maîtresse, qui lui soufflait des idées, toutes plus incongrues les unes que les autres, avait décidé de s’abandonner à la luxure la plus extrême ! Saddam voulait qu’elle "joue à la pute", elle allait lui en donner pour son argent ! L’élève allait dépasser le maître, et sa petite vengeance personnelle était prévue pour plus tard !
Le problème, c’est qu’elle ne savait pas comment faire !
Perdue dans ses pensées, elle entendit à peine la sonnette annonçant l’arrivée de Haffida, jeune femme envoyée par son mari, qu’elle suivait depuis 3 mois à présent.
Alors Haffida, comment vas-tu aujourd’hui ?
Très bien Françoise… je viens d’être examinée par votre mari.
Oui et alors ?! Pourquoi ce sourire si large ? "
Françoise était tellement tellement désabusée, que la suite lui importait peu… elle s’attendait au pire. En effet, Haffida était venue en consultation pour envisager une vie sexuelle beaucoup plus large et incongrue, que ce qui était normalement envisagé dans son cercle familial assez prude. Depuis le début, elle parlait de ses fantasmes divers et variés, avec depuis quelques semaines, une attirance très forte pour son propre gynécologue, le mari de Françoise. Sur le coup, Françoise avait fait appel à toute la diplomatie dont elle était capable pour lui expliquer que ce n’était pas bien d’envisager une liaison avec un homme marié… avec elle précisément, et ayant une carrière honorable à protéger. Mais là, elle était prête à affronter n’importe quelle situation, échappant à la morale…
Alors tu l’as allumé, il t’a tringlée sur la table d’examen… je sais ce que tu veux Haffida. Je vois bien que le fait de coucher avec mon mari, et de m’en parler, ne te gêne pas plus que cela !
Oh non, Madame ! s’écria, pivoine, la jeune femme. Ce n’est absolument pas cela… je ne me permettrais pas !
(Ben voyons), pensa Françoise. Alors, accouche !
Il m’a examinée normalement… mais pourtant, j’ai vraiment eu l’impression qu’il me désirait. Qu’il retenait ses doigts quand il me palpait. Je crois que je n’aurais eu qu’un mot à dire.
Ce n’est que cela ?
Comment vous n’est pas offusquée ? C’est de votre mari dont il s’agit ! Un homme qui a toujours été un bon musulman, qui s’est toujours conduit avec égard et pudeur, comme le veut la tradition de ma communauté ! Je peux vous poser une question franche ?
Vas-y, lui répondit avec ennui Françoise.
Et bien voilà ! Je suis un peu psychologue et je trouve que votre mari a beaucoup changé… de même que vous, Madame.
Allons, arrête de faire ta mijaurée, appelle-moi à nouveau Françoise, et évoque les choses clairement. Tu peux parler cul de façon franche !
Bon, je ne vous reconnais pas. Vous étiez gentille avant, ouverte, mais prude avec une tenue vestimentaire très correcte… et depuis 3 semaines …
Tu veux dire que je suis habillée et maquillée comme "une pute", c’est ça ?
Jamais je ne me permettrais Madame… heu… Françoise. Rien que la table… c’est bizarre.
Quoi, la table ?
Eh bien, je vois vos jambes, enfin même vos cuisses, jusqu’à la lisière de vos bas. Cela ne vous gêne pas de vous afficher comme ça, devant vos patients ? Des hommes doivent fantasmer sur vous !
C’est le but !
Françoise s’était débrouillée pour relever imperceptiblement le bas de sa robe en stretch, et elle croisait et décroisait les jambes, si bien que la jeune femme en face d’elle ne pouvait manquer de percevoir son entrecuisse sans culotte ! Pivoine, la jeune femme qui avait remarqué le manège de la thérapeute, demanda :
Je… je ne comprends pas ?
C’est très simple, mon mari s’est immergé dans des obsessions sexuelles morbides. Il a complètement changé sa façon de faire l’amour avec moi, il me baise littéralement chaque soir, me sodomise puissamment, m’a demandé de porter des tenues très suggestives pour exciter les hommes que j’aurai en face de moi ; de plus, il m’emmène dans des clubs échangistes, veut me faire baiser par d’autres hommes.
Voilà, ta curiosité est-elle satisfaite ?
Haffida en resta bouche bée… jamais elle n’aurait pu croire cela de ce couple qui était un modèle pour elle. En même temps, cela lui procura une décharge stimulante dans le ventre.
Elle avait en face d’elle une femme fatale qui avait un potentiel érotique fantastique. Même si, à la base, Haffida n’était pas lesbienne, elle se dit qu’essayer quelque chose avec Françoise, qu’elle admirait tant, et jalousait un peu parce que son mari lui plaisait bien, ne serait pas désagréable. Surtout qu’elle comprit tout de suite le petit manège, que lui jouait sa thérapeute…
Haffida fixa son regard sur les jambes de sa thérapeute, à travers la plaque de verre du bureau, bien pratique pour ce genre de circonstances… elle ne fut pas déçue ! Elle put à loisir, mater la chatte découverte de Françoise, river ses yeux sur le petit triangle de poils noirs, et lorgner la petite fente qui s’ouvrait sous le coup de l’excitation sexuelle… elle comprit qu’elle plaisait bien à sa thérapeute… et que leurs rapports ne seraient plus uniquement professionnels !
De son côté, Françoise avait eu une grosse bouffée de chaleur, en expliquant toutes les choses non conventionnelles que lui faisait faire son mari, et en exhibant sa chatte à la jeune femme. Elle en avait l’entrecuisse humide.
Alors germa dans son esprit devenu lubrique, un petit plan qui pouvait lui procurer bien du plaisir…
Elle allait préparer une petite surprise pour son cher mari, le soir même !
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Le portable de Saddam sonna, alors qu’il en était à son troisième verre de whisky. Immergé dans une rêverie érotique, dans laquelle il voyait sa femme en porte-jarretelles, pour unique vêtement, prise par plusieurs hommes en même temps, la sonnerie lui provoqua un électrochoc : c’était Céline Garnier. L’appel qu’il n’attendait plus !