On est samedi après-midi, quand je dis «on» je veux parler de ma copine, Pam, et moi. Comme tous les samedis après-midi, on aime bien faire une petite sieste dans les bras l’un de l’autre. On profite d’un petit moment de tendresse, elle s’assoupit toujours très vite dans ces moments-là. Moi j’en profite pour faire glisser mes doigts sur sa peau, c’est un réflexe, je ne peux absolument pas m’en empêcher, j’adore sa peau. L’avantage d’un samedi d’été c’est la chaleur, on est légèrement vêtus, je n’ai aucun mal à faire passer mes doigts sous son t-shirt, au creux de ses reins. Là je dessine lentement des huit en attendant le meilleur moment pour mettre mon plan à exécution, car ce samedi n’est pas comme les autres, c’est son anniversaire, et elle ne s’attend pas du tout à son cadeau ni au fait de le recevoir très bientôt…
Je vais exhausser un de ses fantasmes, et pour ça j’ai dû faire quelques préparatifs. Je lui ai fait mettre un masque de nuit sur les yeux pour qu’elle « se repose mieux », il y a pas mal de soleil qui rentre dans la chambre donc elle n’a pas refusé l’expérience. Autre détail important, elle ne le sait pas, mais un de mes meilleurs amis est dans l’appartement, le pauvre se cache depuis plus d’une demi-heure. Le moment me paraît propice, j’envoie donc un message à mon complice, il ne se fait pas prier et arrive sur la pointe des pieds. Je lui fais signe de commencer, il enlève le peu de fringues qui lui restaient et vient se placer à côté du lit, du côté de ma chérie et commence doucement à faire glisser sa culotte sur ses fesses puis ses jambes. Aussi incroyable que ça puisse paraître, elle ne bronche même pas, soit elle dort très profondément, soit elle a compris et joue le jeu à merveille. Voir ma copine se faire enlever sa culotte par mon pote m’a donné très envie, mon boxer me fait horriblement mal tout à coup et je n’ai d’autres choix que de l’enlever. A ce stade, j’ai besoin de l’aide de Pam, je viens placer sa main contre mon sexe gonflé. Deuxième solution, elle ne dort pas, et la connaissant elle a parfaitement compris ce qu’il se passait, elle commence à me branler doucement en relevant une jambe sur la mienne, elle se cambre légèrement pour inviter mon camarade à la toucher là où cela lui fait le plus de bien. Elle a désormais trois mains sur elle et la sienne sur ma hampe. Elle sourit, je ne vois pas ses yeux à cause du masque mais je sais qu’ils brillent d’excitation. Elle soupire, ses hanches font des petits mouvements qu’elle semble ne pas contrôler totalement sous l’action des caresses de mon camarade. Je sens qu’elle veut plus.
Elle se relève légèrement pour se mettre à quatre pattes à côté de moi, les fesses tournées vers l’extérieur du lit et la bouche directement au-dessus de mon sexe. Elle lèche ma hampe de bas en haut, s’arrête sur mon gland, sa langue posée sur celui-ci, elle enfourne mon sexe lentement et commence une fellation fabuleuse dont elle a le secret. Elle me rend dingue mais je trouve la présence d’esprit de faire signe à mon pote qu’il peut s’occuper d’elle. Il se positionne derrière pour la lécher, le résultat ne se fait pas attendre, je sens et j’entends Pam apprécier ce qu’il fait. Après quelques minutes mon pote n’en peut plus et je vois qu’il me supplie de la prendre, je ne lui en veux pas, je n’aurai peut-être pas tenu aussi longtemps que lui dans la même position. Cependant, c’est ma copine et je passe en premier pour ça. Je la relève et la retourne pour qu’elle puisse faire profiter mon pote de ses talents buccaux. Et moi, je m’apprête à la prendre en levrette, cependant je ne rentre pas directement en elle, j’aime jouer, donc je joue. Je fais glisser mon sexe contre sa vulve ruisselante, je la torture un peu comme ça, et je me torture aussi en même temps mais tant pis, je sais que le jeu en vaut la chandelle. Enfin je rentre en elle et commence à la pilonner gentiment. J’entends le fameux « HAN ! » caractéristique, celui qui me pousse à donner toujours plus. J’ai toujours rêvé de la prendre alors qu’elle suce quelqu’un d’autre, c’est chose faite et j’ai l’intention d’en profiter un maximum. Pendant qu’elle prend mes coups de boutoir, je lui mets des claques sur les fesses, je sais qu’elle aime ça, et je le sens. Mes instincts primaires reprennent le dessus, je lui prends les bras et la relève, mon pote semble un peu déçu de ne plus avoir ses lèvres autour de sa queue, mais j’ai un autre plan en tête. Je glisse mes doigts dans ses cheveux et lui tire la tête en arrière, je continue de la prendre et je fais glisser une main de son ventre, à ses seins, et je remonte jusqu’à sa gorge. Je la maintiens comme ça en faisant un va-et-vient de plus en plus violent avec mon sexe. Elle adore être un peu malmenée, mes envies et les siennes en ce domaine s’accordent parfaitement. Mon pote n’en croit pas ses yeux, elle n’a jamais eu l’allure d’une sainte-nitouche mais son caractère ne pouvait pas laisser présager qu’elle aime autant se faire secouer aussi violemment.
Il est temps de passer à l’étape supérieure, je tends un tube de lubrifiant à mon camarade avec un clin d’il. Il sait quoi faire, on s’était mis d’accord à l’avance. Je m’occupe de préparatif, je la place sur le dos et relève ses jambes écartées pour jouer de ma langue. Après quelques baisers le long de sa jambe, je commence à lui lécher le petit trou, ça peut paraître étrange, mais ses soupirs me font largement oublier toutes autres considérations. J’insère ensuite la pointe de ma langue pour l’aider à se détendre, c’est presque prêt. Pendant ce temps, Pam n’est pas resté sans rien faire, elle a ouvert la bouche en grand pour inviter mon camarade à en profiter, la voir sucer sous cet angle m’excite terriblement. Je mets fin aux préparatifs et m’allonge en la plaçant sur moi, elle se déhanche sur ma queue pour me titiller jusqu’à ce que, comme par enchantement, mon sexe la pénètre à nouveau. Je la prends lentement, pour lui faire sentir chaque centimètre, puis mon complice vient se placer derrière pour la prendre par la porte de derrière avec son sexe lubrifié. L’insertion est lente, mais à voir le visage à moitié cacher de ma chérie, savoureuse. Pam, d’ordinaire assez silencieuse, ne peut pas s’empêcher de crier son plaisir :
« Oh OUII ! C’est tellement bon, je vous sens… tellement… Fort ! »
Je la sers fort contre moi en la prenant, d’abord lentement puis de plus en plus fort, mon camarade se cale sur mon rythme pour donner un maximum de plaisir à notre victime consentante. Je sens qu’elle vient, ses muscles se raidissent, une vague semble la traverser, un frisson la secoue des pieds à la tête. Ma Pam ne fait pas de bruit quand elle jouit, et moi j’ai un sourire jusqu’aux oreilles, car je sais qu’elle vient de prendre un pied d’enfer. Elle se relâche doucement, nos verges toujours en elle, elle m’enlace et m’embrasse tendrement.
Elle sourit et dit d’un air coquin :
« Les garçons, à votre tour, ça vous dirait de venir dans ma bouche ? »
Ahah, c’est vraiment une sacrée cochonne, mais c’est pour ça que je l’adore. Elle utilise ses deux mains et sa bouche pour nous finir, mettant sa langue sur nos sexes prêts à exploser chacun notre tour. Mon pote n’en peut plus et joui en premier sur la langue de Pam, elle prend sa queue en bouche pour lui donner la plus de sensation possible, mais contrairement à son habitude, elle recrache immédiatement le sperme qui s’écoule sur son menton et retombe en gouttelettes sur sa poitrine. Cette vision m’achève littéralement, mais cette fois elle a senti le coup venir et enfonce directement mon sexe dans sa bouche et cette fois, je la sens avaler au fur et à mesure que mon sperme rempli sa bouche, elle continu de me sucer jusqu’à ce que ma queue soit bien propre. Je signale à mon camarade qu’il peut plier bagage, ce qu’il fait promptement en m’adressant un grand sourire et un pouce levé, que je lui retourne. J’embrasse ma chérie et lui enlève le masque de nuit qu’elle a gardé tout le long.
« Joyeux anniversaire ma chérie ! dis-je alors.
— Merci mon cur, mais t’es quand même un sacré salopard, maintenant il va falloir que je revois le niveau de TON futur cadeau d’anniversaire. Et il faudra que tu me dises qui était ton complice, j’ai pas envie de me poser des questions à chaque fois que je vais croiser un de tes potes.
— Ah, c’est pas faux »