Chapitre 8 Chaude journée d’été
Partie 1/2
Petit à petit, j’avais appris à connaître Elvina, et je lui avais parlé de mes sentiments pour Mélissa. Je ressentais quelque chose de différent pour Mélissa. Malgré mes aventures avec Gaëlle, Lindsay, ou encore Noémie, je ne pensais qu’à être avec elle. Je ne voulais pas d’une relation purement sexuelle comme chez celles que je viens de citer, je voulais vraiment la découvrir et partager des moments avec elle, mais malheureusement, elle m’a toujours repoussé.
Elvina m’a alors proposé de venir chez une amie commune à Mélissa et elle, pour profiter d’une après midi piscine, et ainsi me donner une chance supplémentaire d’apprendre à dompter cette créature sauvage.
Le jour J, je fais connaissance de mon hôte, ainsi que de Jordan et de Pauline, respectivement son petit ami et sa cousine. Elvina est bien sûr là, ainsi que Mélissa. Nous préparons la terrasse, prenons un apéro léger, avant de nous changer. Les filles disposent d’une salle de bain, tandis que Jordan et moi nous nous changeons à tour de rôle dans une autre. Bien sûr, étant prêts avant les filles, nous allons dans l’eau sans les attendre, et en profite pour faire connaissance. Il est en couple depuis peu, et travaille dans une petite entreprise, où il fait surtout office de peintre en bâtiment, malgré son BEP plomberie.
Quand les filles arrivent enfin, je suis tout de suite interloqué. Toutes sont en maillot de bain à l’exception de Mélissa. J’attends qu’Elvina me rejoigne dans l’eau et je l’interroge à ce sujet.
— Elle ne veut pas aller dans l’eau, et elle n’a pas donné de raison. Mais à ta place je n’insisterai pas, elle est très caractérielle tu sais.
Tant pis, déçu, je reste avec les autres, pendant que Mélissa s’installe sur une chaise de la terrasse. Elvina porte un maillot de bain deux pièces bleu, qui met en valeur son petit cul ainsi sa poitrine ferme, car malgré l’absence de bretelles, sa poitrine ne tombe pas du tout. Pauline est également habillée d’un maillot de bain deux pièces, mais sa corpulence est plus forte que celle d’Elvina. On devine un surpoids, majoré par le fait qu’elle ne fasse qu’1m62. Son visage un peu rond n’est pas très gracieux à mes yeux non plus, mais elle dispose d’une poitrine de taille respectable, et vous commencez à savoir que la poitrine est ce que je préfère chez une femme.
Nous nous amusons un moment, puis je décide de sortir de l’eau. Je vais masseoir à côté de Mélissa pour discuter avec elle. Tout ce passe bien jusqu’à ce que je lui propose de venir dans l’eau, ce qu’elle refuse. J’essaie d’insister doucement, ce qui la met très vite en colère. Son tempérament méditerranéen est excitant. Cette belle brune me rappelle le genre d’actrice du type Pénélope Cruz ou Salma Hayek. Des bombes hispaniques. Mais à ce moment c’est une bombe qui peut mexploser à la figure si je ne fais pas plus attention à ne pas la froisser. Je me lève afin de retourner avec les autres, lorsque mon regard est attiré sur son décolleté. Vu du dessus, j’ai une vision parfaitement dégagée, aidée par son débardeur légèrement trop grand. La peau de ses seins est mate, et ils forment de superbes sphères bien rehaussées par un soutien gorge, je vois leurs courbes magnifiques se rejoindre loin en avant et former un V. Je remarque même toutes les granulations de sa peau. Je dois me ressaisir pour ne pas avancer la main vers elle. Une petite vision du bonheur que je ne peux atteindre, avant de la laisser seule, avec sa mauvaise humeur. Malgré tout, elle discute toujours avec nous quand on l’interpelle, et je sens qu’elle retrouve sa bonne humeur petit à petit.
Ce que je remarque par contre, c’est que Pauline me colle. Certes elle est amicale, mais ne la trouvant pas particulièrement jolie, et étant en présence de Mélissa, je préfère ne pas répondre à ses signaux.
Après plus d’une heure dans l’eau, je méclipse pour aller aux toilettes. C’est là qu’une idée me passe par la tête. Trop tard pour reculer, l’idée a germé en un instant et occupe maintenant toute mon attention. Je vais en direction de la salle de bain dans laquelle les filles se sont changées. Après ce que Thomas m’a raconté sur ce qu’il c’était passé à la soirée post-partiels chez Lindsay entre Gaëlle, Elvina et lui, il m’avait donné envie d’en savoir plus sur la petite BCBG du groupe.
En entrant dans la pièce, j’ai remarqué plusieurs tas d’habits et des sacs en vrac. Les coquines se sont elles changées ensemble ? Ou bien chacune leur tour ? La première hypothèse m’excitait. En regardant bien, j’ai vu le sac qu’Elvina avait quand nous sommes arrivés ici. Ses habits étaient posés dessus. Je l’ai ouvert et j’ai découvert ce que je cherchais : un joli shorty bleu, ainsi qu’un soutien gorge type push up bleu également, mais pas identique. L’étiquette me permis d’en apprendre plus : 85B et taille 38. Jolies mensurations. Je n’ai pas trouvé les affaires de notre hôte, mais j’ai trouvé celles de sa cousine : un soutien gorge blanc classique, étiqueté 95C, et un boxer taille 44. J’étais excité par la situation, la peur de se faire surprendre. Mon sexe déformait déjà mon short de bain moulant. Je me suis assis et j’ai commencé à me masturber tout en étalant sous mes yeux mes trouvailles. Les affaires d’Elvina mexcitaient beaucoup, son odeur était enivrante, sans être forte, tout à fait comme elle, belle et superficielle, mais sans dépasser la vulgarité. Au fur et à mesure que le temps passait, mon regard était attiré par le soutien gorge de Pauline, et mon esprit dérivait à imaginer ses gros seins. Étaient ils fermes ? Quelle était la forme de ses tétons ? J’ai saisi le shorty d’Elvina, que j’ai placé autour de ma verge, et j’ai accéléré le rythme de ma main. J’avais perdu toute lucidité. Des visions floues passaient devant mes paupières : Pauline et Elvina, mais aussi Mélissa, Morgane, Céline… tout se mélangeait. Je sentais la dentelle du sous vêtement contre ma chair, c’était une sensation incroyable que de savoir que ce tissu était contre l’intimité de mon amie encore quelques heures auparavant.
— Max ?
J’ai ouvert les yeux pour découvrir Elvina qui m’observait dans l’encadrement de la porte. Ma surprise était totale, je ne l’avais pas entendu arriver.
— Elvina ! Je suis désolé, je ne pensais pas à mal, je…
Les mots refusaient de sortir de ma bouche. Mon cerveau s’était instantanément pétrifié.
— Mais c’est à moi ça, dit-elle en écarquillant les yeux.
J’ai lancé sur le tas d’affaire son shorty, en baissant les yeux, tout en remontant mon maillot. J’étais grillé, je ne voyais pas comment m’en sortir. Au bout d’un temps qui m’a paru incroyablement long, une idée m’est venue.
— Tu n’es pas innocente non plus, après ce que tu as fais avec Gaëlle et Thomas le dernier coup.
— Ils ne m’avaient pas piqués mes sous vêtements au moins eux, répondit-elle.
— Excuse moi alors, c’était pas correct de ma part de fouiller dans tes affaires. Mais ça serai sympa que tu n’en parles pas aux autres et que ça reste entre nous.
— Tu avais pris mes affaires car tu pensais à moi en te… demanda-t-elle
— Oui, c’est ça, dis-je, en ne parlant pas du fait que ceux de Pauline aussi m’avaient attirés.
Elle s’est assise près de moi, et nous sommes restés là à parler pendant quelques minutes, jusqu’à ce que le sujet Mélissa tombe sur le tapis. Elle avait remarqué que Mélissa était distante, et Elvina ne trouvait pas son attitude correcte, bouder dans son coin en délaissant tout le monde.
— Pourtant tu es beau garçon je trouve, me dit-elle en baissant les yeux.
Je lui ai relevé la tête et je l’ai embrassé. Je ne sais pas pourquoi j’ai fais ça, ça aurait pu aggraver mon cas, pourtant elle s’est laissée faire. Après un petit moment, j’ai senti sa langue qui cherchait timidement la mienne. Sans hésiter j’ai emmêlé ma langue avec la sienne. J’ai doucement caressé sa cuisse, n’osant à peine la toucher, de peur qu’elle s’envole comme un oiseau.
J’ai senti sa main sur mon maillot de bain, caressant la bosse qui le déformait de nouveau.
— Je peux ? Me demanda-t-elle comme une petite fille demande l’autorisation à ses parents.
— Oui, tu peux.
Elle libéra ma verge pour la caresser tendrement. C’était bon de se détendre sous ses petites mains. Elle me masturbait avec tendresse, même si j’aurai menti si j’avais dis que j’avais des sentiments amoureux pour elle à ce moment. Au bout de quelques minutes, elle se baissa et prit mon sexe en bouche. J’ai senti une chaleur rassurante m’envahir. Elle était encore comme une jeune adolescente malgré ses 19 ans. Elle était impatiente de découvrir l’amour, et pourtant si réservée. Ma main a plongé dans son haut de maillot, pour découvrir un petit sein très ferme, très beau. J’étais sur un petit nuage, elle savait être tendre, là où mes tentatives de relation avec Mélissa me frustraient et me rendaient de mauvaise humeur, elle me faisait tout oublier.
— Vous êtes dans le coin ?
Nous avons sursauté tous les deux en entendant la voix de Jordan. Il entra dans la pièce au moment même où nous nous sommes levés. J’ai prié pour qu’il ne remarque pas mon maillot nettement déformé par son sexe érigé.
— Qu’est ce que vous faites ? On se demandait si vous vous étiez perdus, plaisanta-t-il.
— Non, j’ai demandé de l’aide à Max pour chercher un truc, on arrive, inventa Elvina.
Quand nous avons rejoint les autres, personne ne nous à fait de remarque. J’ai essayé d’échanger des regards avec Elvina mais celle ci s’était refermée sur elle même. J’ai décidé de la laisser réfléchir à la situation, je lui en parlerai une autre fois.
La seule qui m’inquiétait était Pauline. Ses yeux ne me quittaient pas depuis que j’étais revenu de la maison. Elle profita qu’on soit seuls dans l’eau, les autres venant de sortir pour aller boire un verre sur la terrasse qui se trouvait à une dizaine de mètres, pour me parler.
— Alors tu en as mis du temps, tu faisais quoi tout à l’heure ? me demanda-t-elle.
— J’étais au petit coin, et après j’ai aidé Elvina à retrouver un truc qu’elle avait perdu, mentis-je.
— Ah bon ? Qu’est ce qu’elle avait perdu ?
— Un produit de beauté, inventais-je, mais c’est bon, elle l’a retrouvé au fond de son sac.
— Mouais, tu n’étais pas en train de t’amuser tout seul aux toilettes plutôt ?
— Non pas du tout, et tu peux demander à Jordan, j’étais avec Elvina.
— D’accord, je te crois, me dit-elle en souriant, pour ce point en tout cas, mais vous vous êtes absentés très longtemps, et la salle de bain n’est pas si grande que ça, il n’y a pas cinquante endroits où perdre un truc.
Je ne répondis pas.
— Tu te l’ai faite ?
— Quoi ? Dis-je presque en criant, surpris par cette question aussi indiscrète que directe. Non, nous n’avons pas fait l’amour, lui ais-je dit sur un ton plus bas. On est même pas ensemble.
— Et alors ? Ça n’empêche pas tu sais. Moi je pense qu’elle est venue te réconforter après que Mélissa t’ai jeté tout à l’heure. Je l’ai bien vu te regarder, elle semblait triste pour toi.
Encore une fois, je ne lui répondis pas.
— Tu fais quoi ce soir ? me demanda Pauline
— Rien de prévu.
— Alors passe chez mes parents, on se fera une soirée télé si tu veux, et je pourrais te donner des conseils de fille.
Sans me laisser répondre, elle plongea dans l’eau, tout en laissant délibérément sa main glisser sur mes fesses.
Les autres revenaient dans l’eau. Nous avons continués a chahuter et a nous amuser jusqu’à la fin de l’après midi. Parfois, je sentais une main me toucher au niveau du maillot de bain. Pour en être sûr, j’ai attendu un moment où Pauline était un peu isolée pour nager vers elle et la couler. Elle s’est laissée faire, sachant que je jouais, et j’en ai profité pour poser mes mains sur ses seins, guettant sa réaction. Comme je m’y attendais, elle ne s’est pas débattue. J’ai pu alors apprécier pendant quelques secondes ses belles formes à travers son haut de maillot. Quand nous avons repris notre respiration, Pauline a saisi un bref instant ma verge à travers mon maillot, avant de se mettre hors de portée. Avec mes amis autour de nous, pas question d’aller plus loin tout de suite, mais elle venait de me faire accepter sa proposition pour ce soir.
En fin d’après midi, nous nous sommes séparés. J’ai suivi Pauline en voiture jusqu’à chez ses parents. Elle m’avait proposé de me doucher chez elle, et de manger ensemble. Au bout d’une vingtaine de kilomètres, nous nous sommes garés devant la maison de ses parents…
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