*** Partie 4 ***
La chienne du prof
Heureusement que je rentrais plus tôt que mes parents. Sinon, ils mauraient probablement posé des questions sur ma tenue et mon état. Jétais revenu chez moi en boitant terriblement, sans sous-vêtements et du foutre séché (et heureusement invisible) sur mes joues.
Je pris évidemment une bonne douche pour me débarrasser de toutes mes impuretés. Mon prof mavait souillé le visage, et cela me rendait nauséeuse. Quavais-je fait là? Je métais laissée embobiner par mon prof et celui-ci en était venu à me violer et me sodomiser sans que je puisse me défendre. Il avait réussi à me soumettre à lui et à son autorité. Et je navais rien dit, je métais contentée de mêtre laissée faire. Comment allais-je régler cela, maintenant? Il était très improbable que mon prof me laisse tranquille dorénavant. Jétais condamnée à devenir sa pute. Pas une seule fois dans mon esprit ne me vint que je pouvais à tout moment arrêter notre relation en portant plainte, où il risquerait de finir en prison.
Mais peut-être cela mexcitait-il aussi. Peut-être quune part de moi, une part nymphomane et malsaine, avait envie de me faire prendre par mon prof de maths costaud et bien monté. Si je nen avais pas eu un minimum envie, je naurais pas agis ainsi.
Je profitais de la douche pour me nettoyer entièrement et en profondeur: mon anus avait bien besoin dun remontant.
Néanmoins, même à la sortie, jeus encore terriblement mal. Heureusement que cétait vendredi soir et le week-end: javais deux jours pour me reposer (et surtout reposer mon cul en feu). Je nosais même pas imaginer si cela sétait produit lundi
Quand mes parents revinrent et quils saperçurent que je boitais, je prétextais que jétais tombé durant le cours de sport, et que je métais fait mal au coccyx. Ils ninsistèrent pas, me souhaitant juste du bon repos.
Je redoutais tellement la reprise de la semaine que le week-end passa très rapidement, sans vraiment que je ne men rende compte.
Le lundi, cétait une journée, plutôt agréable. Je commençais tardivement, me permettant de dormir un peu plus. Mais il y avait maths, le lundi. Cest-à-dire que je devrais supporter la présence de Patrick Morange. Cela signifiait aussi que je ne devais pas oublier ses ordres: tenue sexy requise.
Fort heureusement pour moi, mes parents étaient déjà partis travailler quand je me levais. Devant mon armoire, je choisis une mini-jupe, cette fois-ci vulgaire, contrairement à la dernière fois. Je lenfilais sans string. Elle marrivait juste en dessous de la chatte et dévoilait mes jolies cuisses fines. Pour le haut, je pris un débardeur court et moulant, qui mettait en valeur mon énorme poitrine dadolescente, avec ventre nu. Sans soutif. Je me regardais dans la glace: javais lair dune pute prête à faire le trottoir. Ce que je redoutais, cétait également les regards et les remarques de mes camarades, voir de mes profs. Peut-être certains ne maccepteraient-ils pas en cours En tout cas, Patrick macceptera, lui!
Je me retournais, et me baissais légèrement. Je fis la moue: on voyait le bas de mes fesses, et très clairement que je ne portais absolument rien. Il fallait que je pense à ne pas me baisser, aujourdhui.
Jattrapais mon sac et quittais lappartement, en route pour le collège. Dans la rue, les passants âgés me lançaient des regards outrés, tandis que les plus jeunes me mataient ostensiblement. Jentendais parfois des commentaires très déplacés du style:
— Elle est bonne, celle-là!
Cela me faisait sourire, jaimais être désirable auprès des hommes.
Jarrivais rapidement au collège, je nhabitais quà trois minutes de marche.
Lorsque je croisais mes amies, toutes me firent une remarque sur ma tenue:
— Ouah, cest quoi ces habits?
— Tas un mec en cible?
— Ou ten as trouvé un?
Je leur répondis que javais envie de me faire plus belle, et elles me répondirent que je navais pas besoin de ça pour séduire.
Le cours de maths était le premier. Javais un peu peur de ce qui allait se passer. En cours, Morange matait très souvent mon décolleté et mes jambes nues. Mais il ne fit aucune remarque. Le cours passa rapidement, et prétextant vérifier mes exercices, il me souffla à loreille:
— Attends-moi à la fin de tes cours, vers 17h, à lentrée du bâtiment B.
Jhochais la tête en signe de compréhension, puis il nous laissa sortir. Javais désormais rendez-vous. Cétait mieux, finalement, je navais pas envie de passer à la casserole le matin même.
Le reste de la journée fut calme. Je fus seulement embêtée par ma prof dhistoire, une vieille chouette coincée et catholique qui fit une réflexion comme quoi les jeunes filles de nos jours étaient toutes vulgaires et déplacées, et patati et patata. Aucune importance, cette vieille peau était sûrement vierge et navait jamais connu de vrais mâles. Pas comme moi!
17h. La sonnerie de fin de cours retentit. Tout le monde se dépêcha de quitter le collège, mais moi, je me dirigeais vers le bâtiment B. Jattendis debout. Je ne croisais personne.
Puis je vis Patrick Morange sortir dun autre bâtiment et venir vers moi. Quand il me vit, il accéléra le pas.
Il me sourit.
— Suis-moi.
Il entra dans le bâtiment. Il monta deux étages, puis ouvrit une porte à laide de sa clé. Nous pénétrâmes dans une salle de cours. Là, je me tournais vers lui. Il était occupé à lorgner mes jambes et mon cul.
— Tes putain de sexy, aujourdhui, ma salope!
— Content que ça vous plaise, maître murmurai-je.
Il sapprocha de moi, et caressa mes cuisses. Il remonta sa main vers mon bas-ventre, et saperçut immédiatement que je ne portais aucun sous-vêtement.
— Quelle pute
Il recula doucement. Il enleva ses chaussures et ses habits, se mettant entièrement à poil devant moi. Son sexe bien bandé surgit du caleçon. Un énorme morceau de chair palpitant dont je ne pouvais détacher ma vue.
À ma grande surprise, je le vis prendre lune de ses chaussures et en retirer entièrement le lacet. Il sapprocha ensuite de moi, lacet en main, et mordonna:
— Tourne-toi, Eva.
Jobéis. Il prit mes poignets et les joignit dans mon dos. Il les ligota avec le lacet apparemment solide. Il serra suffisamment fort pour que je ne puisse plus retirer mes mains de mon dos. Dans le genre domination, mon prof savait y faire
Il me fit pivoter de nouveau face à lui.
— À genoux, sale garce!
Je magenouillais, en prenant soin de ne pas tomber, à cause de mes mains ligotées dans le dos. Il attrapa sa bite, et mes cheveux et me colla quelques dizaines de gifles, me faisant mal et mhumiliant sévèrement.
— Pompe ma bite, salope!
Jouvris la bouche et javalai son gland, puis son sexe dans ma bouche.
Tout de suite, ce fut lui qui instaura le rythme des mouvements. Je navais pas mes mains pour maider à sucer un homme, donc cétait lui qui baisait ma bouche. Et je ne pouvais me défendre, car mes mains étaient liées dans mon dos et mon prof me maintenait fermement les cheveux et tirait dessus à la moindre de mes protestations.
Avec son énorme mandrin en bouche, javais limpression détouffer. Il ne cessait de me baiser la gorge. Parfois, il ressortait son sexe pour me donner quelques gifles, qui lamusait et mhumiliait davantage. La situation était encore une fois à sens unique: cétait le boss, et moi, la chienne.
La fellation dura quelques minutes, suffisamment longtemps pour que mon amant me fasse mal à la mâchoire. Heureusement, il cessa après quelques derniers mouvements plus lents.
Il me gifla une nouvelle fois, mon visage à présent recouvert de bave: la mienne.
Puis il me fit lever. Là, il me projeta sur le bureau. Je mécrasai dessus. Mais il vint derrière moi, et prit mes cheveux pour en faire une queue de cheval. Là, il tira, et me força à me redresser violemment, dans la souffrance. Il poussa mon dos, me faisant cambrer un maximum. Javais à présent ma mini-jupe et mon cul disponible, juste devant lui.
Il souleva mon débardeur, mettant mes seins à nus. Il les broya de ses grosses mains, me faisant crier.
— Tu peux hurler autant que tu veux, grognasse, personne ne tentendra, aujourdhui!
Il remonta ensuite ma mini-jupe. Mes petites fesses furent visibles. Je sentis un énorme engin effleurer mon anus. Il voulait une nouvelle sodomie, je priais pour quil soit plus doux.
Mais ce ne fut pas le cas. Il mencula sans réserve, et violemment, et surtout, sans le moindre lubrifiant.
Le bâtiment dans lequel nous nous trouvions était vide à cette heure-là, je pouvais donc hurler à mon aise. Et jhurlais. Ses coups de bite matraquaient ma rondelle sans relâche et sans scrupule, me détruisant lanus exactement comme la dernière fois, mais en pire, car il ny avait aucun lubrifiant.
Jétais sodomisée violemment contre le bureau de la salle. Mon corps était bien cambré et mon cul recevait des coups de bite dune force importante. Mes seins, bien que retenus en partie par le débardeur, ballotaient de haut en bas, suivant les mouvements de boutoir de mon amant. Ma tête était relevée vers le plafond, mes cheveux tirés en arrière par mon prof viril. Mes mains étaient attachées dans mon dos, mempêchant toute défense.
Je navais dautre choix que celui de me laisser enculer dans la douleur, me faisant hurler à chaque coup de boutoir sur ma rondelle. Son énorme sexe senfonçait loin dans mon anatomie anale, et ramonait mes intestins avec temps de force et de rapidité que je me sentais faible et défaillante.
Néanmoins, jarrivais à prendre du plaisir, aujourdhui. La dernière fois, je découvrais presque la sodomie, et javais eu affreusement mal. Là, cétait pareil, sauf que mon anus connaissait déjà lintrus et commençait peut-être à céder à son épaisseur. Avec le temps, le plaisir se mêlait à ma souffrance dans me cris. Et quand Patrick le sentit, il redoubla de violence dans mon anus, me faisant couiner de soumission.
Il men envoyait tellement dans le cul que, tout comme la dernière fois, je commençais à moins ressentir mon anus, pourtant en feu. La position ne maidait pas, il est vrai, embrochée contre le bureau telle une étudiante salope. Ce que je semblais devenir, au fil du temps passé avec mon prof
Mon prof en profitait pour minsulter:
— Sale pute soumise, tu laimes, ma grosse bite qui te ramone le fion en profondeur, hein?
Il me pinçait alors les tétons pour me forcer à répondre à ses provocations.
— Oui, maître, devais-je souffler entre deux cris de douleur, sodomisez-moi plus fort!
Sa cadence état infernale, il me dominait tellement facilement que jétais certaine dêtre un simple objet sexuel entre ses mains douées et viriles.
Son engin quitta subitement mon anus. Je crus revivre, avec cet énorme poids en moins dans ma rondelle. Il me redressa puis me fit agenouiller, face à son pénis.
— Suce ma bite, poufiasse!
Javalais une nouvelle fois son sexe, mais cétait la première fois que je le pompais après mêtre fait enculée. Il paraît que seules les salopes acceptaient cela Peut-être en étais-je vraiment une, alors!
De la même manière que tout à lheure, je dus subir sa pénétration buccale avec force et profondeur. De nombreux coups de bites me firent avoir des nausées, entre la taille de son gland et le goût de sa bite beaucoup moins agréable après son passage dans mon anus.
Fort heureusement pour moi (et ma mâchoire), la séance de fellation ne dura pas trop longtemps.
Une fois sa bite à lair libre, et quelques gifles supplémentaires, il me poussa du pied. Je tombais au sol, allongée. Il se jeta sur moi, et en deux mouvements, me retourna férocement sur le ventre, face contre terre. Je gémis de douleur devant sa force physique.
— Relève ton cul, ma pute!
Je tentais dobéir, mais avec mes mains dans le dos, jeus du mal. Il maida alors à rehausser mes fesses, qui furent bientôt assez haute pour quil puisse me baiser sans sagenouiller ou se baisser. Il attrapa fermement mes hanches avec ses grosses mains, et positionna sa grosse bite sur ma rondelle fragile.
— Sil vous plaît, murmurai-je doucement dans lespoir davoir un peu de pitié.
Mais il linterpréta comme un encouragement et força ma rondelle. Sa bite senfonça droitement dans mon intestin et y resta ancrée une fois au fond. Jhurlais de douleur, car la position était terrible. Mon prof ne bougea pas, laissant mon anus simprégner de lépaisseur de son membre battant. Il en profita pour caresser mes fesses.
Puis il serra davantage mes hanches, mempêchant de bouger du cul. Et il commença enfin son mouvement de boutoir.
Il menculait sur le sol dune classe vide. Le sol était crasseux, pleins délèves marchaient chaque jour ici. Mon visage écrasé contre les dalles simprégnait de poussière. Mes seins pesants étaient tout aussi menacés décrasement que mon crâne. Mais plus que tout, mon cul était relevé et à bonne hauteur pour permettre à mon prof de me le détruire avec sa bite.
— Taimes jouer les truies? Taimes te faire tringler comme une pétasse sur le sol, hein?
Ses coups de boutoir étaient rapides, profonds, et violents. Mon anus était littéralement éclaté par sa fougue destructrice. Jétais violée au plus profond de mon intimité, prise au sol sans pouvoir me défendre, à cause de mes mains liées et de ma position archi-humiliante. Jétais une vraie chienne, aux ordres de son mâle, et seul lui menait la danse. Mon prof faisait de moi ce quil voulait, et il en profitait pour me limer le cul à volonté!
Parfois, il retirait sa bite de mon fion, mais cétait pour mieux la replacer et menculer de nouveau, encore plus fort. Je couinais ou hurlais à chaque coup de matraque. Il men mettait plein le cul, et je nétais quune salope!
Ses insultes fusaient toutes les minutes:
— Les élèves comme toi, je les punis, je les bourre! Salope!
Mon anus rougeoyait de douleur, mais fort heureusement, mon calvaire allait prendre fin.
Mon prof accéléra ses mouvements et poussa un cri de jouissance au bout de quelques secondes. De sa bite, sortit un épais liquide visqueux, envahissant mes entrailles et nettoyant mon intestin. Jhurlais ma jouissance en même temps que lui.
Il resta quelques instants ancré dans mon anus, vidant ses couilles dans mon fion. Puis il le quitta, sa bite commençant même à débander. Il tira sur mes cheveux, me mit à genoux et me présenta sa pine.
— Nettoie ma bite, poufiasse!
Jobéis et suçais son gland comme on aspire une glace. Une fois, après avoir goûté à son sperme puis nettoyé son sexe, il me fit lever et me détacha. Je pus de nouveau irriguer le sang à mes poignets. Mon prof se rhabilla et je fis de même. Nous sortîmes ensemble de la classe, sans un mot de plus.
Au moment de nous quitter, il passa un doigt sur mes fesses, puis lenfonça dans ma rondelle, simprégnant de son foutre. Il me força à lavaler et à goûter à son liquide sacré. Il dit:
— On se revoit la prochaine fois, ma pute.
Il me claqua les fesses, et mabandonna devant la sortie du collège.
Je rentrais chez moi, bien enculée et encore remplie du foutre de mon amant de prof.