Je m’appelle Antoine, j’ai 18 ans et je mesure 1m85 pour 71 kilos. Je n’ai jamais vraiment eu de difficultés côté fille, il faut dire que je ne suis pas non plus très moche. Depuis cette année j’étudie à l’université du Mans en DUT GMP.
Cette année était un grand changement pour moi. En effet, cela faisait 14 ans que je vivais dans la même petite ville de 10 000 habitants. J’avais mes amis depuis toujours, mais habitudes, et la proximité avec mes parents. Ayant obtenue mon bac, mon choix d’étude m’a transporté jusqu’au Mans, en DUT GMP (Génie Mécanique et Productique). Je ne connaissais donc personne mais je sympathisa vite avec quelques camarades. Je savais que les filles étaient rares dans ce domaine mais là c’était vraiment désespérant, 6 filles pour 52 élèves, la mort… La promo est divisé en quatre groupe de classe et dans la mienne, deux filles (on peut dire que c’est une chance). Parmi elles, une sortait un peu plus du lot, même si ce n’était pas vraiment un mannequin.Elle s’appelait Elise. Elle mesurait à peu près 1m70, châtain, cheveux mi-longs. L’athlétisme qu’elle pratiquait depuis plusieurs années lui avait donné de belles jambes et un cul à première vue ferme et jolie. Seul sa tête n’équivalait pas son corps, mais elle n’était pas moche pour autant. Je sympathisa donc avec elle les premières semaines, c’était une fille très agréable, dans ma longueur d’onde. Seulement, plus je lui parlais, plus j’éprouvais une certaine excitation quand je pensais à elle. Je m’imaginais des fantasmes avec elle dans le bâtiment de l’IUT, dans les toilettes et plus je fantasmais, plus ceux-ci devenaient trash, voire limite sales. Je me voyais m’enfermer dans les toilettes avec elle, on se roulait des pelles bien baveuses, on se léchait le visage, le corps, elle se mettait à quatre pattes puis je lui léchait sensuellement l’anus, puis le vagin, quand à elle, me sucer la verge en me faisant de grandes gorges profondes bien baveuses, puis elle me léchait l’anus et on se roulait de nouvelles grosses pelles baveuses. Bref, pour mettre fin à ces fantasmes il fallait tout simplement que je la baise et que je réalise ces trucs sales. Je ne m’inquiétais pas vraiment pour ça, à vrai dire, j’avais réussi touts mes conquêtes jusque là. Cependant j’appris quelques temps après qu’elle avait son copain depuis 3 ans. Ce sera donc plus difficile et je commence à douter, mais pas moyens, il fallait absolument que je la baise, ça devenait une obsession ! Au fur et à mesure du temps j’appris à la connaître et elle se révéla passer cochonne, elle me racontait des choses softs faites avec son copain.J’avais noué une belle amitié avec elle, et quelque chose me disait que je lui plaisait plus que bien, ce qui était parfait.
Vient ce fameux jeudi, nous avions l’habitude de faire des soirées étudiantes comme il se doit, c’est à dire alcool, drogues, tout ce qui nous mettrait bien. Cette soirée là nous étions allés en boîte entre potes, dont Elise. Etant donné la taille de mon appartement je me proposais d’héberger 2 personnes qui n’habitait pas proche du centre ville. Elise se jeta sur l’occasion, ainsi qu’un autre pote. J’avais donc mes deux locataires, dont mon l’objet de mes fantasmes. Je ne pensais cependant pas du tout à ça, je n’était pas vraiment dans l’optique de la baiser ce soir là, je ne sais pas pourquoi, je n’y avait même pas pensé. Arriva l’heure ou il était temps de rentrer, environ vers 4 h du matin. Je rentra donc chez moi, accompagné d’Elise et de mon pote. Mon appart est scindé en trois pièces, la grande pièce de vie, avec le salon, la cuisine et la petite table à manger, la salle de bain ainsi que les toilettes, et ma chambre, avec un lit deux places. On s’était à la base mis d’accord pour que mon pote et moi dormions ensemble dans la chambre et Elise sur le canapé. Comme nous nous connaissions pas beaucoup, on trouvait cela bizarre de dormir en mixte puis ça s’est fait comme ça. Cependant, mon héros de pote, trop pris par l’alcool, s’affala sur le canapé à notre arrivée, ne laissant aucune place à Elise, contrainte de dormir avec moi. Je le remercia le lendemain. A vrai dire, ça n’avait pas l’air de la déranger, elle me dit : "J’ai l’habitude de dormir avec des potes en soirée". Je partis me brosser les dents pendant qu’elle se changeait. Une fois finie je lui dit que c’était son tour, et là je la vis sortir en petite culotte, ainsi qu’avec un tee-shirt moulant qui laissait transparaitre une imposante paire de seins, je dirais du 90 C. A ce moment là des images perverses fusées dans mon cerveau, elle venait de réveiller le pervers qui dormait en moi. J’étais passé du mec bourré qui voulait dormir au mec excité qui voulait baiser. Je fis gaffe à ne pas montrer mon excitations pendant que nos chemins se croisés. Arrivé dans la chambre, une trique énorme soulevait mon pantalon, "popol" était encore plus excité que moi le salaud ! Je me mis donc en caleçon, torse nu pour faire comme elle, et pour l’exciter aussi, si ce n’était pas déjà le cas. Je me mis donc dans mon lit pour cacher ma gaule et l’attendit. Mon pote dormait toujours à poings fermés. Quand elle revint de la salle de bain, elle se coucha à côté de moi, me dit bonne nuit et éteignit la lumière. Et c’est tout ? Nan, je ne pouvais pas en rester là, c’était l’occasion idéale depuis le temps que je fantasmais sur elle je ne pouvais pas m’arrêter là, une opportunité comme celle là ne se représenterait pas avant longtemps, il fallait que je tente un truc. Et si ça se trouve elle pensait la même chose que moi, elle fantasmait peut-être en même temps que moi ! Dans ma tête pleins d’idées salaces fusées dans ma tête, mais je n’osais pas faire quoi que ce soit, je restais crispé. Et si elle me refoulait si je tentais un truc ? Je passerai pour un gros pervers et j’aurais tout gâché ! Une demie-heure s’était déjà écoulé et toujours rien. Pour savoir si elle dormait ou pas je tenta un truc et lui dis : "J’arrive pas à dormir". "Moi non plus" me répondit-elle. Elle ne dormait pas. Pourtant nous étions tous les deux crevés par la fatigue et l’alcool, c’était bizarre, cela voulait peut-être dire qu’elle aussi s’empêchait de dormir en pensant à moi ? Je ne savait pas, et avec le doute, je ne tenta rien. Je me haïssais, je minsultais de "dégonflé" ! Le temps passait et des fantômes de plus en plus chauds me passaient par la tête. Cette fois-ci elle dormait, je le remarque par son souffle lent et plus fort. A ce moment là jeus une poussée d’adrénaline et je pris mes couilles à demain. Alors qu’elle dormait sur le ventre, je faufila tout doucement ma main sous la couette, jusqu’à atteindre ses précieuses fesses. Je m’arrêta un instant pour repérer la moindre réactions de sa part mais il n’en fit rien. Je continua donc ma descente et passa délicatement ma main sous sa culotte pour atteindre son fameux trou de balle. J’y mis un premier doigt à l’entrée de son trou, sans l’enfoncer, juste pour avoir l’odeur, puis retira ma main pour m’enivrer de son parfum d’anus. En sentant mon doigt, l’odeur m’excita comme jamais, j’aimais cette odeur sale, "popol" était en forme. Je retourna à la charge mais cette fois-ci en l’enfonçant plus loin, à la deuxième phalange. Je sentais la chaleur qui recouvrait mon doigt, je le laissa une dizaine de seconde puis le retira pour le sentir de nouveau. J’étais aux anges, cette odeur de cul qui appartenait à la personne qui me faisait fantasmer depuis des semaines me rendait fou.
"Vas-y continue" j’entendis. Oh mon dieu, à ces paroles j’eus un sentiment de soulagement extrêmes, ça y est elle était open, je pouvais enfin la baiser !
"Ah tu dors pas ?" lui dis-je
"Nan j’attendais que tu tentes un truc" me répondit elle d’un air content
"Et bah allons-y"
Plus serein, je léchais de suite mes deux doigts que j’enfilais directement dans son cul, le plus profond que je pouvais. Elle aimait ça la cochonne, je le savais !
"J’adore qu’on me titille l’anus"
A ces mots, je fis des vas et viens de plus en plus rapides, elle commençait à respirer de plus en plus fort, alors au bout de plusieurs minutes je me mit a plat ventre sur elle et mis ma tête entre ses deux jolies fesses biens fermes que je tâtais avec plaisir. Je sortis ma langue et la plongea dans son chemin boueux. Je lui envoyé des rafales de langues, j’étais hyper excité et elle aussi. Après plusieurs minutes dans cette position je lui dit de se retourner et on se roula des grosses pelles bien baveuses, comme dans mes fantasmes. On se léchait tout le visage, elle m’attrapait la langue avec sa bouche et moi de même, nos visages étaient luisant de baves, c’était tout simplement génial. Je descendis ensuite au niveau de son abricot pour lui administrer un cunnilingus comme j’aime les faire et comme elle aimait les recevoir. Elle mouillait abondamment et j’aimais ça. J’avalais sa mouille en même temps que je lui astiquait son vagin. Elle était en transe, presque au point de jouir. Au bout d’un moment elle pris elle même l’initiative de relever ma tête de me pousser sur le coté, sur le dos.
"A ton tour de souffrir !" me dit-elle en souriant
Oh bon dieu, elle avait l’air d’avoir très faim la cochonne. Elle retira mon caleçon et embrocha ma verge dans sa bouche tout en le masturbant. Elle commença doucement, sans aller trop loin, je sentais la chaleur de sa bouche ainsi que sa langue qui parcourait ma verge. Puis au fur et à mesure elle allait de plus en plus loin, elle savait y faire ! Je pris alors sa tête pour enfoncer ma bite au plus profond d’elle plusieurs fois. C’était tout simplement magique ! Ses gorges profondes m’excitait à mort, de la bave dégoulinait, elle s’en servait comme lubrifiant.
Elle me dit exactement ces mots : "J’aime bien me faire dominer un peu comme tu fais"
Et on reprit les gorges profondes de plus belle. Essoufflée, elle arrêta au bout de 5 minutes. Je sentais mon sperme monter, ça n’allait pas tarder à sortir. Je commença à la bifler et elle aimait ça. C’était du sexe comme je l’aimait, un peu sale, un peu violent et dominateur, d’ailleurs elle aussi aimait ce genre de pratique apparemment.
"J’aime bien aussi me faire dominer" lui dis-je.
Ni une ni deux elle se mis à cheval sur moi pour remonter jusqu’à ma tête ou elle me fit un face-sitting, j’adorais ! J’avais à la fois l’odeur et la mouille de son vagin et en prime, l’odeur de son cul. Elle se frotta à mon visage pas des mouvements de vas et viens pendant que je me contentais de sortir ma langue pour lécher tout ça. Au bout de cinq bonne minutes, on passa aux choses sérieuses.
"Vas-y met toi à quatre pattes" lui dis-je "Tu veux bien que je passe par les fesses ?"
"Oui oui vas-y, met moi la misère !" me répondit-elle
"Vas-y crache sur ma bite pour la lubrifier"
Une fois cela fait, j’entrais doucement dans son entre déjà bien humidifiées par le face-sitting puis je la pina sans pitié. Elle ne pouvait s’empêcher de crier de plaisir : "Oh oui c’est bon !" dit-elle d’une voie à peine perceptible. De mon côté je ne pouvais pas m’empêcher d’émettre aussi des sons de plaisir. On savait que notre pote dormait à côté et qu’il pouvait tout entendre mais on s’en fichait. Me sentant venir au bout de quelques minutes, je me retira de son trou de balle, je ne voulais pas finir sans avoir plongé dans son vagin. On repris nos esprits seulement quelques secondes. Nos corps étant un peu humidifiés par la transpiration, on se lécha mutuellement, juste pour avoir le gout de la sueur. Je lui lécha le visage, les aisselles, et la raie de ses fesses, là ou ça transpirait le plus. Elle fit de même en léchant carrément mes fesses, ma raie en même mon anus, sacrée cochonne !
Une fois"propre", on décida de bien finir le boulot. Elle me suggéra une position :
"Ça te dit que je m’allonge sur le ventre et que tu me prennes par derrières, j’adore cette position !"
"Pas de soucis" lui répondais-je, et on s’exécuta.
J’entrais donc dans son vagin et la baisa violemment, avec de grands coups de bassins, elle n’en pouvait plus et moi non plus, on jouissait de plaisir, un plaisir commun. Elle jutait beaucoup, les draps étaient trempés. Je ne tarda pas à sentir mon éjaculation venir.
"Tu prends la pilule ?" dis-je rapidement.
"Oui !" dit-elle en criant.
Et à peine avait elle répondue que je jouissais une flaque énorme de sperme dans son vagin. Jamais je n’avais pris autant de plaisir avec une fille et elle m’avoua qu’elle aussi avec moi.
Cette cochonne avait encore faim si bien qu’elle lécha le sperme qui coulait de son vagin pour l’avaler, quelle cochonne alors !
On se sentait tellement bien après ça, je m’en souviens encore et je m’en souviendrais toute ma vie je pense. Je lui demanda si je pouvais garder sa culotte, c’est une chose que j’avais l’habitude de faire après chaque conquêtes. Elle acquiesça, à condition que je lui donnait mon caleçon. L’échange se fit. Après ça, épuisés, nous nous endormions pour de bons, et très rapidement.
Cela fait maintenant 2 mois que cette histoire est passée et Elise est toujours avec son copain, qu’elle aime de tout son coeur. Quand à notre relation, elle est devenue très amicale, il nous arrive de reparler de cette nuit torride et nous avons même prévu de recommencer. Cependant, on se dit que plus on attend mieux ce sera, alors on se limite à une baise tout les 3 mois. Cela nous convient. En discutant, on a découvert une passion fétichiste commune à nous deux : on fantasme sur les sous vêtements sales. Alors on a convenu un marché comme quoi elle porterai la même culotte pendant toute la semaine et moi le même caleçon, qu’on s’échange en fin de semaine, histoire de passer un week-end en compagnie de bonnes odeurs…
Aaaah, que j’aime cette nouvelle vie d’étudiant !