Je venais d’avoir mon bac. Avec deux copains, nous avons décidé que nous méritions des vacances après tous ces efforts. Le permis en poche depuis quelques mois et ayant récupéré la voiture de mes parents, je leur proposais d’aller à la Côte. Après avoir cherché la liste des campings, nous voilà en route pour Barcarès.
Nous arrivons au camping vers 16 heures. Le temps de monter la tente et de vider la voiture, la soirée a déjà commencé. Il est temps maintenant d’aller faire un tour dans le camping. Mes amis ont tous les deux une copine, mais ils ont décidé que ce sera les dernières vacances entre mecs. Pour ma part je suis célibataire, et je compte bien en profiter ici. En marchant dans l’allée près des sanitaires, je vois une fille, penchée au-dessus des lavabos, en train de laver la vaisselle. Elle a bloqué son bassin contre le bac et s’affaire avec une casserole. Elle porte un petit short blanc qui laisse dépasser un morceau de fesse très ferme. En haut, elle porte un T-Shirt ample, blanc aussi. Tout ce blanc contraste tellement avec sa peau de brune parfaitement bronzée. Méthodiquement elle nettoie le manche de la casserole. Sa main monte et descend le long de ce cylindre en bois. J’ai quelque chose qui se met à bouger dans mon caleçon. J’imagine cette sublime brune d’un mètre soixante environ, en train de m’astiquer le manche. Ses hanches offertes, sont une invitation au plaisir.
Mais qu’est ce qui se passe ? Un de mes copains se dirige silencieusement vers elle, et la pince au niveau de la taille, en criant ’Coucou Cynthia !!!’.
Elle ne s’attendait pas du tout à ça, et laisse tomber la casserole dans l’eau. Quand elle se retourne, elle est complètement trempée.
Mais, dès qu’elle voit que c’est Christian qui est devant elle, elle lui saute au coup, et lui fait les bises. Ils se connaissent donc. Je comprends mieux le comportement de Christian maintenant. Elle nous explique qu’elle est ici avec trois copines et qu’elles viennent d’arriver il y a trois jours.
Mais moi, je n’entends qu’à moitié ce qu’elle nous raconte. L’eau a créé des taches translucides sur son T-Shirt. Maintenant on voit parfaitement qu’elle porte un soutien-gorge rose en dessous. Mais ce dernier, a du lui glisser légèrement, car on voit l’auréole de son téton droit qui dépasse. Le contact de l’eau froide qui colle contre sa peau fait pointer arrogamment son téton.
’Tu ne me présentes pas tes copains ?’
’Si, voici David, et ça c’est Stéphane’
Tiens, elle s’approche de David et lui fait les bises, et puis de moi. Elle me pose sa main sur la hanche, et se met sur la pointe des pieds parce que j’étais encore dans mes pensées érotiques et n’ai même pas fait attention qu’elle s’approchait de moi. Cette main posée sur ma hanche me rend fou. Et je m’empresse de faire de même lorsque je m’approche de sa joue pour lui faire les bises. Son parfum m’enivre. Je ne peux plus me contrôler et lorsque ma joue frôle la sienne, je pose mes lèvres sur sa joue et, je fais glisser ma langue. En même temps que mes lèvres se posent sur sa peau satinée, elle peut sentir ma langue qui lui lèche discrètement cette partie de sa peau maintenant cachée par mes lèvres.
Je n’en reviens pas encore d’avoir fait ça. Je m’attends à une réaction de sa part. Rien. Sans même me jeter un coup d’oeil, elle lance à Christian que nous devons venir boire un pot dans leur tente.
Je n’arrive pas à y croire ; elle n’a rien dit.
Elle nous présente ses copines et nous commençons à jouer au UNO en buvant du Malibu Ananas. Je suis assis en face de Cynthia. Chaque fois qu’elle se penche pour oser des cartes, on T-Shirt beaucoup trop large me laisse voir la naissance de ses seins. De voir ces deux magnifiques collines se balancer devant mes yeux m’excite profondément. Après une heure, nous arrêtons de jouer, et nous commençons discuter. Là, Cynthia s’affale dans sa chaise. Je suis dégoûté, car mon spectacle est fini. Soudain, je sens un pied nu qui remonte lentement le long de mon tibia. Je regarde Cynthia ; elle discute avec Christian. C’est pourtant bien elle qui est en train de me toucher. Avec ses orteils elle arrive au niveau de mon genou et me chatouille l’intérieur de la cuisse. Cette caresse a pour effet de me faire remonter les testicules. Comme elle m’excite…
Je ne sais pas combien de temps ce manège dure, mais voilà que nous regagnons notre tente. Je n’avais eu droit qu’à de formelles bises lorsqu’elle m’a dit au revoir.
Comme nous sommes trois dans la tente et qu’elle a deux compartiments, j’ai le privilège de dormir seul. Je m’allonge sur mon sac de couchage, je fais glisser mon bermuda et mon caleçon, et me voilà uniquement en T-Shirt encore. Avec mes mains, je me frôle mes côtés. Je passe sur mon ventre, et puis je monte vers mon torse. Je ferme les yeux, et m’imagine que je suis en train de toucher Cynthia. Je me mets un doigt en bouche, le passe sous mon T-Shirt et le pose sur mon téton droit. Hmm. Voilà ce téton qui s’était dévoilé il y a quelques heures. Je m’imagines poser mes lèvres sur ce bout de chaire rose. Ma langue tourne autour du téton. Il gonfle. Je l’aspire. Et puis le relâche ; comme si j’étais en train de le masturber.
Ma main droite est en train de s’occuper de ma bite, tandis que ma main gauche titille mon téton. Je continue à m’imaginer que je suis avec Cynthia. Je suce son téton.
Je prends son sein en bouche, autant qu’il m’est permis. A l’intérieur, ma langue tourne autour du téton. Je laisse échapper son sein et je me jette de nouveau sur son téton en le prenant entre mes lèvres. Cette fois-ci, j’exerce une forte pression. Puis je l’aspire violemment. Et lorsque je le relâche, je le mordille. Comme si je mâchais un chewing-gum. J’imagine on plaisir qui monte. Ma main droite me branle de plus en plus vite. Ma respiration s’accélère. Hmm. C’est bon. J’éjacule sur mon ventre en m’imaginant avoir ma tête dans les seins de Cynthia.
Le lendemain nous allons à la plage avec les filles. ?a a du m’échapper hier soir.
Aujourd’hui j’attaque !
Je pose ma serviette à côté d’elle. J’observe comment lorsqu’elle enlève son t-shirt, mais aujourd’hui ses sein sont bien rangés dans son maillot de bain rose. Ensuite, elle s’assied, ouvre la fermeture éclair de son short et le prend au niveau des hanches. Pour le faire glisser. Pour ce faire, elle monte son bassin de manière arrogante. Elle fait sortir une jambe, puis l’autre. Je continue à regarder la scène. Moi je suis couché sur le ventre la tête vers la mer. Dans cette position, je peux voir Cynthia de face. Je ne suis pas déçu de ne pas avoir vu le téton d’hier soir. En effet, toujours assise face à mes yeux, elle écarte les jambes pour pouvoir ajuster son maillot de bain. Elle glisse ses deux mains à la lisière du triangle de tissu rose et les fait lentement glisser de devant vers derrière. Je ne loupe pas une miette de ce spectacle. Quand elle arrive entre ses jambes, elle soulève le tissu avant de bien l’appliquer sur son jardin intime. Mais pendant cette seconde, j’ai pu voir ses lèvres roses entourées de poils noirs. Alors qu’elle est à peine en train d’enlever ses mains de son maillot, elle me regarde et me propose qu’on aille rejoindre les autres. J’étais tellement absorbé, que je n’avais même pas remarqué qu’ils étaient déjà tous à l’eau.
Elle court jusqu’à la mer, ce qui fait sortir le bas de ses fesses. Je me précipite de la rejoindre. Les autres jouent à un genre de rugby avec une balle gonflable. Le but c’est de prendre la balle à l’autre équipe. Cynthia et moi complétons chacun une autre équipe. Ce jeu est très riche en contact.
Cynthia a la balle, je tente une nouvelle technique pour lui la subtiliser. Je plonge, lui attrape les jambes et la fait basculer. ?a ne lui plait pas de boire la tasse. La balle est déjà ailleurs. Quand à nous, nous poursuivons notre accrochage. Cynthia me lance :
’ça te plairait de te faire couler comme ça ?’
’si c’est par une jolie fille comme toi ; oui’
Et tout de suite, elle plonge sous l’eau, et m’attrape au niveau des genoux. Pour me faire basculer, une de ses mains remontre jusqu’à mon entrejambe. Son bras passe sur mon sexe, pour pouvoir accrocher mon maillot par derrière. Ne voulant pas boire la tasse, je me défends, et l’attrape au niveau de la taille. Voulant le faire remonter, je lui agrippe le dos. ?a a bien marché, car la voilà hors de l’eau. Mais dans ma manoeuvre, je lui ai ouvert le soutien-gorge par mégarde. Plutôt que de le remettre, elle l’enlève complètement et me lance :
’t’es fier de toi !’
je ne sais pas quoi lui répondre. De voir cette magnifique créature en face de moi, les seins à l’air, ça me laisse sans voix.
’En plus tu profites du spectacles’
Je deviens de plus en plus rouge.
Elle continue :
’maintenant que tu as vu mes seins, ça ne sert plus à rien que je remette mon haut’
Wouah. Ce n’est pas pour me déplaire.
Mais elle continue :
’pour te faire pardonner, il faut qu’on soit à égalité’
Je ne comprends pas ce qu’elle veut. Mais elle joint les gestes à la parole, et descend ses mains sous l’eau, et veux baisser mon maillot. Comme j’ai noué la ficelle, elle n’y arrive pas. J’en profite pour lui dire que je ne suis pas d’accord. Mais elle me fait bien comprendre que je n’ai pas le choix. Je n’insiste plus, car la situation m’excite vraiment.
Elle retourne le haut de mon maillot, et dénoue la ficelle. Cette proximité me fait avoir un début d’érection. Elle fait glisser le maillot le long de mes hanches. Mais voilà que ça bloque.
’En plus ça t’excite’ me dit-elle.
’c’est moi qui te fais bander ?’
Je me tais.
Et là, j’hallucine. Pour faire descendre mon maillot complètement, elle y glisse une main, empoigne ma bitte, et libère le maillot. Puis elle relâche prise pour faire complètement enlever mon maillot.
Elle continue à m’allumer :
’Ce sont mes seins qui te font cet effet? Tu sais, je suis déçue ; ta bitte n’était pas très dure. Je ne dois pas être très excitante …’
je coupe court à ses propos en lui faisant remarquer que nous n’étions pas à égalité.
’je vois ce que tu veux dire’ et elle fait glisser son bas et me le tend.
De sa main droite elle touche ma bite et me lance : ’je ne t’excite toujours pas plus?’
Mais cette fois-ci, elle garde ma bite en main. Elle prends son autre main, et se la passe sur le téton. Le souvenir de ma masturbation de la veille st omniprésent. Et cette main sur ma bite. Mon érection grandit. En face de moi, Cynthia se pince le téton en rejetant sa tête en arrière. ?a l’excite on dirait.
Elle arrête soudainement de se toucher le sein.
’T’es vraiment difficile’ me fait-elle, en exerçant en même temps une pression sur mon pénis.
Elle approche sa bouche de mon torse, et se met à sucer mon téton. Mon Dieu comme c’est bon. De sa main droite, elle a entamé une lente masturbation. Je bande dur maintenant.
’Et bien c’est pas trop tôt’ me lance-t-elle arrogamment. Et elle arrête de me lécher.
Je lui fait remarquer que j’aurai envie qu’elle continue.
’Egalité’ me lance-t-elle.
Je comprends ce qu’elle veut dire.
Je dois aussi l’exciter.
Je la prends par les épaules, elle la tourne. Je passe ma tête dans sa nuque, et lui suce le lobe de l’oreille. Elle laisse tomber sa tête en arrière. Je promène ma bouche jusqu’à la sienne. Nous nous embrassons fougueusement. Je caresse son côté avec ma main droite. Je descends le long de sa cuisse. Et puis je remonte en m’attardant sur ses fesses. Elle recule son bassin pour pouvoir mieux profiter de mes caresses. Comme je suis très proche d’elle, ce mouvement a pour effet de plaquer ma bite contre le bas de son dos. Ce contact ne lui déplait pas. Au contraire, elle commence à frotter ses fesses contre mon bassin. J’accompagne ses mouvements en plaçant ma main droite sur la naissance de son pubis. Avec ma bouche, je lui lèche toujours le cou. Elle vient poser une main sur la mienne et dirige lentement nos deux mains vers le bas. Elle est en train de se toucher le clito. Elle ondule de plus en plus vite. Je prends son sein dans mon autre main et le malaxe.
’Touche moi le clito’ me supplie-t-elle.
Je m’exécute. Son clito est dur. Je commence à le branler comme si c’était une bite.
Sa respiration s’accélère.
’Pince moi les tétons’ me supplie-t-elle.
En même temps que je lui écrase le téton entre mes doigts, je lui introduis un doigt dans sa vulve. Un cri lui échappe. Elle se retourne et m’embrasse avec une ardeur torride. Mon doigt est toujours dans sa chatte.
Elle me lèche le torse désormais, en s’attardant sur mes tétons. Comme ça m’excite !
Mes mouvements de va et vient s’accélèrent dans sa chatte. Je sens qu’elle voudrait un peu plus que mon doigt. Elle prend ma bite. La rigidité a l’air de lui convenir cette fois-ci. Elle retire mon doigt de son vagin et me regarde dans les yeux.
’j’ai envie que tu me pénètres’
Elle passe une jambe au niveau de mes hanches. Elle prend ensuite ma bite en main et se la dirige vers la vulve. J’ai l’impression d’être aspiré.
Mon Dieu comme c’est bon. La différence de pression entre l’extérieur et l’intérieur accentue encore le contact chaud contre ses parois. Ses fesses décrivent des cercles en même temps que lui administre des coups de reins. Tous ces mouvements me rendent dingues. Je lui pose mes deux mais sur les seins et pince ses tétons. ?a a pour conséquence de l’exciter encore plus. Nos deux pubis se touchent à chaque mouvement. Je sens mon gland buter contre ses parois. Elle se concentre sur un de mes tétons, et le suce comme une déesse.
Je vais bientôt éjaculer.
Je lui lance alors :
’Mets toi un doigt dans le cul’
Elle se l’introduit immédiatement. ?a lui fait échapper un râle. Je vais jouir me lance-t-elle.
Je serre ses seins le plus fort possible et lui donne un grand coup de rein. Sa tête tombe en arrière. Je sens ses spasmes autour de ma bite. Son doigt dans le cul frôle ma bite à travers sa paroi vaginale.
Je ressors ma bite. Et la pénètre d’un coup sec.
Mon sperme se répand dans son vagin. Elle crie au contact du liquide chaud. Ses parois bougent encore plus. Son orgasme dure longtemps. Mes jambes sont contractées.
Elle se laisse alors tomber dans mes bras. Ses yeux encore fermés figent le souvenir de ce plaisir intense.
Après une minute elle me confie : je ne m’étais jamais mis un doigt dans le cul. Comme c’était bon ! ça m’a presque aussitôt amené à l’orgasme.
Ma bite est encore dans son vagin.
Une sérénité indescriptible nous a envahi.
Elle me dit alors d’une voix douce et sensuelle.
’A nous deux, nous allons découvrir des plaisirs insoupçonnés’
Cri Bleu
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