La femme :
Je fais le tour du quartier des prostituées. Si je trouve la fille que je cherche je suis sure de faire plaisir à mon homme. Comment trouver un type de filles qui correspond parfaitement à ses vux gâchés ? Je dois passer pour une je ne sais quoi aux yeux des professionnelles. En plus je ne peux pas engager une fille sur son seul aspect. Il faut un genre d’examen. Tant pis pour lui, il se contentera de mon choix. (J’ignore les blondes, fausses la plus part).Il faut que je me dévoue, même si je n’aime pas les filles.
J’ai un bol de chance quand j’en vois une correspondante à mes goûts, pardon, à ses à nos goûts. Quand je fais part des ma intentions la fille me regarde comme si j’étais folle. Devant mon offre de 250 ; elle m’entraîne dans sa chambre.
Me voilà devant une femme qui se déshabille tranquillement, qui sans pudeur de montre nue. Je lui demande si elle est sensuelle. Elle se moque de moi : si elle fait ce métier qu’elle a choisi c’est à cause des avantagea apportés par la baise
La fille :
Une folle qui me demande de me mettre nue devant elle qui me demande si j’aime baiser.En plus elle me propose une jeu avec elle. Elle paie pour me la caresser et la faire jouir. Tous les goûts sont dans la nature. J’en connais des tordus, mais rare sont les femmes qui cherche une nana pour se faire reluire. Enfin il faut bien gagner sa vie. Je suis nue devant elle. Comme elle ne fait rien, je la déshabille lentement comme le ferait son amant. Elle est bien fichue avec ses seins en pointes qui vont en haut.Qu’est ce que diable elle vient me demander alors qu’un homme la satisferait bien mieux que moi. J’entame l’excitation, les caresses préliminaires. Elle réagit plutôt bien. Quand je passe ma main sur la chatte, elle est toute mouillée. Elle m’excite, la vache. Elle l’aura cherché quand je la branle. Je glisse jusque dans son ventre. J’ai encore plus envie d’elle. Je pose ma bouche sur sa fente. Je déguste son jus longuement. Je ne me souviens pas voir fait cette chose à une autre. Elle me donne envie moi aussi d’avoir sa langue sur moi. Je me met en 69. Elle se jette presque sur moi. Elle meurt d’envie de ma cyprine. Ce n’est plus une cliente, c’est une copine. Nous apprécions d’avoir des doigts dans le cul, chose que j’interdis à mes clients. Nous recommençons trois fois avant d’arrêter, moi pour continuer, si possible ma journée, elle parce qu’elle est crevée.
La femme :
Ça y est. J’ai trouvé la fille qui lui fera plaisir. J’ai essayé ce qu’elle savoir faire avec sa langue. Les deux heures passés avec elles se sont terminées plus rapidement que je le croyais. Finalement c’est bon de jouir avec une fille. Mais lui sera plus que satisfait pour sa fête. Je lui ai promis un beau cadeau : la fille est joli, bien fichue, baise comme une déesse. Elle saura bien le sucer.
La fille :
Je ne comprends rien, elle me demande de faire l’amour avec elle et elle me commande pour la soirée d’anniversaire de son mari pour une simple fellation. Elle pourrait fort bien la faire, elle me semble douées pour à. Je verrais bien comment ça ce passera demain soir. J’espère qu’il me baisera, qu’elle me sucera comme tout à l’heure. Je me demande si c’est pour lui ou elle. J’espère surtout qu’un autre homme ne sera pas là, j’ai horreur de parties carrées. J’espère surtout que les 500 sont dans la norme. Je vais m’habiller comme une fille normale, avec tout, soutien gorges, culotte, bas, robe longue, chaussures basses. Je serait une fille tout ce qu’il y a de normale.
La femme :
Ouf j’ai fais mon choix. J’ai transpiré du cul pour y arriver. Elle m’a faite jouir plusieurs fois. J’ai pris mon pied. Je ne vais quand même pas le lui dire, ou alors après. Je vais m’habiller façon maîtresse de maison, robe longue, juste ouverte sur le coté. Je pense oublier ma culotte, pas le soutien gorge. Il se fait tard, elle ne va pas sauter la consigne ?
La fille :
J’arrive en retard volontairement pur faire chauffer l’attente. Je suis sur qu’elle n’a rien dit à son Jules. Un coup sur la porte, j’ouvre pour me trouver dans un appartement cossu. Je l’entends dire assez fort : c’est pour toi. Suivi d’un ha ! Bon !
L’homme :
Qu’est ce qu’elle veut cette fille ? Mon épouse me dit qu’elle est pour moi. Grand dieu pour quoi faire, pas me la farcir devant elle. Elle s’approche d’elle, pose sa bouche sur l’autre. Elles échangent un baisers de filles qui se connaissent bien. Elles restent longuement collées, sans avoir l’intention apparente de vouloir s’ignorer.
Arrivant passe lentement une main sur la chatte de ma femme qui tend le bas ventre. Elles commencent à se déshabiller. C’est charmant excitant et tout. Mais moi ? C’est la visiteuse qui se montre comme au jour de sa naissance. Je n’en vois que le dos, il est attirant, surtout que les mains de ma femmes sont dessus. Si l’autre embrasse le cou de ma femme, celle ci lève la tête. Je vois distinctement les seins se caresser lentement. Les mains des deux femmes sont sur les chattes. Elles se masturbent sans soucis pour moi. Je ne pensais jamais que la main de ma femme soit si agile sur le con d’une autre, même si je savais que sur le sien, elle se débrouille plutôt bien.
Je bande comme un âne. Elles s’arrangent entre elle et après jouissance, elles s’intéressent à moi. C’est cette inconnue qui se penche prend ma bite dans le bouche. Celle de ma femme la suit. J’ai deux langues et deux bouches pour moi seul. La nouvelle a du métier, je n’en toute pas et pourtant elle arrête vite en se mettant sur moi, les jambes ouvertes avec un gentil « baises moi ».La bouche de ma femme vient sur celle que je baise. Je jouis en pagaille. Le con doit être plus que plein. Ma femme se met sous elle pour récolter la sperme trop.
La fille :
Je suis partie en laissant les sous. Je sais que je reviendrais pour leur plaisir simplement le mien bien sur surtout.