Jai trompé mon chum. Eh oui, jai fait ça, mais seulement une fois, ce fameux dimanche soir. Mon chum nétait pas là, et jen ai profité, mais pourtant, rien de prévu au départ naurait du arriver. Mon nom, cest Stéphanie, je mesure 1m80 et pèse 130 livres. Jai les cheveux blonds, de beaux yeux clairs et une belle poitrine, enfin, pour ceux qui aiment avoir un sein entier dans leurs mains ! Ça sest passé dans un party privé de fin de saison de Volley Ball féminin de la saison collégiale.
Lhistoire se passe donc à la fin du mois de mai 2010. Une de nos coéquipières avait emprunté le chalet de son grand-père, qui avait accepté de nous laisser le chalet pour la fin de semaine. On avait eu une excellente saison, perdant uniquement avant la grande finale. Nous étions très fières de nous. On a donc passé la fin de semaine entre filles, à faire du Kayak, du bateau à moteur, à boire et à jouer à divers jeux de société, ainsi que faire du véhicule tout terrain dans les forêts de Chertsey, au nord de Montréal. La fin de semaine fut magnifique. Le seul hic qui y avait au tableau, cétait que mon automobile était en panne. Pas un gros problème en soi vous aller dire, mais je nhabitais pas du tout dans la même région que les filles, jhabitais Joliette alors que les autres filles habitaient sur la rive sud de Montréal. Annie, la petite fille du propriétaire du chalet sétait donc arrangée avec ce dernier pour quil vienne fermer le chalet le lendemain soir, après que mon père adoré soit venu me chercher. Cest ainsi que dimanche, après le souper, les filles quittèrent le chalet, me laissant seule pour la nuit. Je métais amené un livre, et avait lintention de me coucher tôt. Ce fût une heure plus tard que le premier imprévu arriva, en fait, lIMPRÉVU ! Jentendis une automobile sapprocher du chalet. La peur menvahit, jétais seule, avec aucun moyen de communication et rien pour me défendre si on mattaquait. Tremblante, je mapprochai de la fenêtre, et avec soulagement, je reconnu le grand-père de mon ami. Je ne mattendais pas à voir lhomme de 78 ans ce soir, il était supposé de venir le lendemain, après mon départ. Il ouvrit la porte, la referma et me sourit !
« Ah, la petite Stéphanie, je ne mattendais pas à te voir si tard, tu nes pas encore parti ?
-Non monsieur, mon père venait me chercher que demain seulement.
-Suis-je bête ! Je me suis trompé de journée ! Ma femme me le disait, mais je mobstinais avec elle que je devais monter aujourdhui, alors quelle disait que cétait demain ! Elle avait raison. Ça ne te dérange pas trop de passer la soirée avec moi ?
Non monsieur, ça me fera plaisir davoir de la compagnie ! »
Ça resta comme ça, mais pas pour longtemps. Il vint sassoir près de moi, et commença à me parler. Il se collait. Je trouvais ça étrange, mais je faisais comme si de rien nétait. Lorsquil déposa sa main sur ma cuisse, jeus un mouvement de recul. Il se rapprocha encore de moi, et mempoigna un sein !
« -Mais quest-ce que vous faites ! Dis-je avec colère.
-Tu es tellement jeune, tellement belle, et nous sommes seules, jai envie de te toucher !
-Lâchez-moi ! Il nen est pas question !
-Allez, laisse-moi te masser les seins ! Juste ça ! Et je te laisse le chalet les deux fins de semaines de ton choix cet été ! »
Il est vrai que nous voulions faire de gros party en nature et que nous avions lintention de louer un chalet cet été. Et ça coutait cher.
« -Daccord, mais seulement une dizaine de minute, je ne suis pas une prostituée !
-Pour seulement dix minutes, tu devras aussi enlever ta camisole, je veux voir tes seins nus ! »
Jai accepté. Jai donc laissé ce vieux vicieux malaxer mes seins pendant une dizaine de minutes. Il les pressait, les étirait, les écrasais, les brassait. Je dois avouer que je nai pas trouvé cela désagréable, ce qui causa la perte de ma fidélité. Ma vulve commençait à shumidifier, à tremper en fait, et je commençais à soupirer. Maurice (son nom) sen aperçut, il se leva, retira ses vêtements et se rua sur moi, menlevant mon jogging et mon string, et se mit à membrasser fougueusement sur la bouche. Mes dernières défenses tombèrent, je le laissai membrasser, je lembrassai à mon tour, lentourant de mes bras pendant que ce dernier doigtait ma vulve et la massait. Je soupirais de plaisir, je ne pouvais croire ce qui marrivait, ce que je faisais. Javais un chum, pourtant je le trompais, si je voulais le tromper, je pouvais prendre surement le gars que je voulais, jallais baiser avec un vieux de 78 ans ! Cette pensée, dans la situation présente, me décida alors davantage à passer à lacte ! Je me retournai, et pris son sexe en bouche. Je me mis à pomper son gland, et son pénis en entier, lenfonçant au fond de ma gorge, léchant lalentours de ses testicules ratatinés et poilus, qui sentaient la sueur à plein nez. En fait ce vieillard sentait fort tout court, avec le nez si près de sa peau, je men apercevais très clairement ! Pendant que je le suçais, il enfouit sa tête entre mes cuisses, et commença à me lécher la vulve, et lintérieur du vagin ! Une décharge électrique de plaisir parcourut mon jeune corps ! Je lâchai un puissant cri de plaisir ! Je cessai ma fellation, je ne voulais pas quil jouisse, enfin si, mais je voulais quil jouisse dans mon vagin !
Je lui ai donc demandé de se coucher sur le dos, et je suis embarquée par-dessus lui, mempalant sur son pieu ! Jai commencé tranquillement, je sentais que je devais prendre linitiative, étant plus jeune. De mouvement en mouvement, jaugmentais la cadence, je sentais son vieux pénis tout flétris au fond de moi, il gémissait de plaisir ! Cétait moi désormais qui était ivre de désir, je sentais que je létais encore plus que lui, je lembrassais, sur le torse, la bouche, dans le cou, je sentais sa forte odeur de transpiration, lui continuait de saccrocher à mes seins, mes mamelles se ballotant au gré des coups de reins que je donnais ! Ma vulve dégoulinait de plaisir ! Je transpirais à grosse goutte, nous étions moites tous les deux, jétais essoufflée, excitée, jhaletais comme jamais à cause de la combinaison effort presque individuels et plaisir qui me vidait de toute mon énergie ! Je sentais venir lorgasme en moi, une poussée de plaisir, une décharge de bonheur se former dans mon bas ventre, qui explosa en me faisant pousser un cri de bête sauvage ! Maurice expulsa alors sa semence dans mon ventre, devenant ainsi le troisième homme à éjaculer dans mon corps ! Je me couchai ensuite sur le côté, pour reprendre mes esprits !
Nous restâmes ainsi, pendant une heure, Maurice reprenait ses esprits, se leva et sorti dehors, nu ! Quoi quil était seul dans le coin, cest sur ! Il revint avec une corde. Méfiante, je lui demandai ce quil voulait faire avec ça, il nétait pas question que je me fasse attacher !
« -Quallez-vous faire avec ça ?
-Ah, cest une surprise ! À Mon âge, je ne peux plus récupérer aussi vite quavant pour baiser, et demain, je ne sais pas à quel heure ton père va venir te chercher, alors je vais me gâter avec toi ce soir ! Je vais te ligoter les seins !
-Quoi !!??
-Ça sera surement douloureux, mais ça ne durera pas plus dune demi-heure. Je veux que tu joues sans cesse avec tes seins durant ce moment ! »
Il passa derrière moi, empoigna un de mes seins, et entoura la corde cinq ou six fois autour de mon seins, serrant assez fort pour assez bien le comprimer et me faire mal, ensuite, il fit de même avec lautre. Il ligota finalement la corde dans mon dos et alla sasseoir devant moi. Je ressentais une vive douleur dans mes seins. Il était clair pour moi que mon sang ny circulait plus aussi bien ! Malgré tout, je me suis mis à me les frotter, les frapper lun contre lautre, à me les malaxer. Ils étaient chauds, et ils prenaient du volume au fur et à mesure que le temps avançait, rougissant toujours plus. Je fermais les yeux, me mordant les lèvres pour ne pas trop gémir de douleur. Je sentais que si je disais à Maurice de tout arrêter, il le ferait, mais jétais encore plus curieuse de savoir ou ce dernier libérerait mes seins, et si mes seins commençaient à prendre une teinte violacée qui me plaisait de moins en moins, ma vulve elle, semblait apprécier, suintante de mouille ! Bon daccord, je lavoue, jaimais ça ressentir cette douleur dans mes seins, ils étaient rendu violacée encore plus foncée, et je me surpris à souhaiter que Maurice me les laisse ligoter ainsi encore une autre demi-heure ! Cinq minutes plus tard par contre, il coupa la corde, le sang se mit à re-circuler normalement, me causant une douleur atroce dans les seins. Ils pendouillaient, mais reprenait graduellement leur taille et leur couleur normale.
Lorsque tout fut rentré dans lordre, Maurice se coucha sur moi et membrassa. Son pénis était toujours mou, cétait évident pour moi que lon ne baiserait plus ce soir !
« -Je veux passer ma queue entre tes seins !
-Mais vous nêtes même pas en érection !
-Et alors ! Jaimerais ça pareil, alors laisse-moi faire ! »
Jobtempérai à sa demande, il de plaça par-dessus moi, et à ma grande surprise, ce mit à uriner ! Sur moi ! En fait, il marrosa tout dabord le visage et emplit avec surprise ma bouche, avant darroser généreusement mes seins et mon ventre de son urine ! Je toussai, crachai et avalai une bonne part durine. Jétais furieuse ! Est-ce que ça mexcitait ? Oui, mais jétais dans un drôle détat, je le sentais, et de plus, il ne mavait jamais demandé la permission de muriner dessus. Il ny avait pas deau courante au chalet, jallais sentir lurine à coup sur ! Quallais-je dire au autre ?
« -Tu iras te laver dans le lac, maintenant, laisses-moi me branler entre tes seins ! »
Je le laissai néanmoins faire sa petite branlette espagnole entre mes seins, les comprimant et sentant lurine couler dans ma craque de seins. Soyons honnête, jai aimé le fait de mêtre fait uriner dessus après coup. Ça reste excitant ! Mais ça ne mavait pas préparé à ce que Maurice avait lintention de me faire secrètement. Il vint me caresser le visage avec son pénis, mais ce faisant, il sétait bien installé, et il se mit à chier, oui, à chier entre mes deux seins ! Et un très bon tas de merde molle ! Ça sentait la merde, vous navez pas idée, il sentait mauvais !
« Quest-ce que vous me faites encore !!??!! Lançai-je avec colère !
-Je te chie dessus, jai toujours voulu voir une fille se masser avec de la merde, tes belle et fait pour ça, allez, couvre toi de merde que je te regarde faire ! Je rajoute deux autres fins de semaine de chalet ! »
Si je navais pas eu un petit gout de le faire, jaurais dit non. Mais la curiosité lemporta ! Jécrasai donc le tas de merde entre mes deux seins, pris de la merde plein les mains, et commençai ainsi à men recouvrir les seins, et ventre et les jambes. La vulve et le visage, il nen était pas question, je ne voulais pas attraper dinfection. Je dois avouer que lodeur commençait à mexciter, ainsi que la vue de mes seins, désormais brun. Ils en avaient pris des couleurs ce soir là ! Maurice mobservait, le regard avide, me masser les seins dans la merde. Ma vulve criait famine, elle me demandait que je moccupe delle ! Ny tenant plus, avec mes mains couvertes de merde, je me mis à me masturber furieusement, barbouillant ma vulve entièrement en brun, mais tans-pis pour le reste, jen avais trop envie ! Je titillais mon clitoris, enfonçait mes doigts dans mes entrailles, avec une vigueur que je navais jamais eu envers moi-même ! Lorgasme vint me chercher peu de temps après !
Javais passé toute une soirée ! Mais jétais belle, souillée de merde, durine, dans cet endroit perdu. Maurice me fit laver la pièce en échange dun savon pour que je puisse aller me laver dans le lac. Jai accepté avec empressement ! Après mon lavage, jai passé une demi-heure à renifler mon propre corps, pour savoir si je sentais encore mauvais. Mais je ne sentais que ma propre odeur personnelle et lodeur du savon, jétais rassurée. Nous avons dormi séparément cette nuit là. Jai toujours été une fille fidèle depuis ce jour, je nai jamais refais les pratiques bizarres pratiquées ce soir là non plus. Javoue toutefois mêtre masturbée de nouveau en y repensant !