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Quel cul ! – Chapitre 17

L'inauguration du club house - Chapitre 1



Nous avons discuté les jours suivants de cette nouvelle expérience. Elle changeait complètement nos rapports.

Louise était jusquà ce jour une exhibitionniste qui aimait se montrer sous toutes les coutures en ayant des rapports sexuels exclusivement avec moi mais recevant et pratiquant des caresses.

De mon côté jadorais la voir se montrer, se faire caresser par des inconnus mais aussi et surtout le fait quelle acceptait de caresser et de sucer ces mêmes inconnus. Cest cela qui mexcitait le plus.

Louise mavoua que, pour la première fois dans le bois, cétait lâge du voyeur qui lavait excité : elle avait facilement le double de son âge, et il lavait trouvée « bandante ». Elle pensait à faire le pas depuis quelque temps déjà et attendait de trouver le « bon ».

Pour le suivant cétait lexcitation de penser quil lavait regardé se faire baiser par tous les trous par ce jeune qui lavait incité à recommencer.

Nous ne sommes pas revus pendant quelques temps. Javais du mal à accepter le fait quelle puisse baiser avec nimporte qui.

Surtout jétais devenu jaloux.

Je pensai que, puisquelle sétait fait sauter par des inconnus, rien ne lempêchait de le faire sans moi.

Elle était très jalouse elle aussi et ne supportait pas que je puisse regarder une autre quelle.

Pendant ces années passées ensemble je pensais quelle névoluerait pas vers autre chose que lexhibition et cela me suffisait.

Au bout de quelques semaines, nous déjeunâmes ensemble et nous avons fait le point sur lévolution de notre relation.

Louise, tout comme moi, prenait des années et elle trouvait, et lexpérience du bois lavait prouvée, quelle plaisait encore beaucoup. Il est vrai que, si elle avait pris un peu de poids, elle restait, surtout lorsquelle était en pantalon, très enviable. Et son cul, qui ne changeait pas au fil des années, était toujours aussi canon.

Elle me rassura. Oui elle voudrait encore baiser comme elle lavait fait, mais toujours en ma présence. Jamais elle ne le fera seule. Par contre lors des rencontres elle ne baiserait pas systématiquement avec ceux qui viendraient. Elle veut se réserver le choix de ceux avec qui elle voudra aller plus loin.

Par contre continuer à le faire dans la nature ne lui semblait plus adapté. Cest vrai quelle avait pris un pied formidable dans la forêt, mais rétroactivement, elle mesura les conséquences si nous avions été surpris par les gendarmes ou les gardes forestiers.

Se montrer était une chose, mais se faire baiser en était une autre !

Comme nous ne pouvions recevoir, nos rencontres devraient se dérouler dorénavant à lhôtel. Les amateurs devront mettre la main à la poche, car il était hors de question que nous financions ces parties de jambes en lair !

Je connaissais le type dhomme pour lequel elle se laisserait faire : 40/45 ans, assez grand, brun, sans trop dembonpoint, cultivé et propre sur lui.

Je commençais à mintéresser aux petites annonces sur les sites de rencontres.

Beaucoup de mytho, de farfelus et de curieux. Jexigeais avant tout un numéro de téléphone. Rien de tel pour se faire une idée de lindividu quune petite conversation. Cela en éliminait beaucoup et restaient ceux vraiment intéressés. Restait à faire le tri et à annoncer nos souhaits : nous recherchions un homme bi pour du voyeurisme avec possibilité si affinités de caresses manuelles et buccales, et, si accord parfait, une relation sexuelle à trois, le tout à lhôtel à sa charge.

Notre première rencontre eu lieu dans un motel de la région de Valenciennes. David nous avait communiqué son numéro de portable et nous avions pu discuter tous les trois. Presque arrivé sur les lieux je lappelai pour, dune part vérifier quil était bien présent et dautre part connaître le numéro de la chambre. Il nous y attendait devant dans sa voiture. Il était comme je le souhaitais et surtout comme Louise les aimait.

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