Ma femme reçoit beaucoup une amie, Agnès. Je la trouve baisable cette Agnès là. Un soir au lit, après une bonne partie de baise j’en parle à Julie, ma femme. Pour elle c’est une bonne idée. Elle va arranger ce genre de rencontre. C’est quand même rare que votre épouse vous propose de vous mettre en contact avec une autre femme surtout pour tirer un coup. Du coup elle me fait bander: je la baise comme si c’était l’autre.
Plusieurs jours après, Julie me dit que Agnès viendra ce soir dîner avec nous. J’en suis content non pas parce que je n’aimai plus ma femme, au contraire je sens que je l’aimerai encore plus après, surtout si elle reste près de moi.
Le dîner se passe bien, en bavardages continuels sur tout et rien. Je ne vais pas faire le premier pas. Julie demande à Agnès si elle aime baiser en groupe. Et là, surprise, elle adore le faire à trois, avec une autre femme et un homme. Elle m’en fait bander.
J’ai encore une énorme surprise: ma femme se lève vient poser ses lèvres sur la bouche d’Agnès. C’est la première fois que je la vois ainsi. Elle ne s’arrête pas là, elle pose une main sur un sein, le caresse longtemps, tout le temps de la longueur du baiser. Agnès se prend au jeu. Elle passe une main derrière elle, trouve le bas de la robe de ma femme, y passe dessous et monte vers le con de Julie.
Elles me font bander.
J’ai besoin en urgence de prendre une des deux et ma la farcir. En attendant elles semblent se satisfaire comme de vraies gouines. Ma femme enlève sa robe, elle apparaît nue. Je reconnais que son corps est très sexy, qu’elle attire les regards des hommes dans la rue. Mais à ce point, avec une autre fille, elle est encore plus sexy. Agnès aussi se déshabille, elle aussi est nue sous sa jupe et son petit boléro. Elles sont corps à corps, seins contre poitrine, pubis bien collés. Je n’en peux plus je me déshabille moi aussi. Agnès me regarde en inspectant ma bite. Elle doit lui plaire: elle se pose à genoux par terre, pend ma pine dans sa bouche. Sa fellation est merveilleusement menée. Elle sait fort bien sucer: elle arrête après un moment pour que je ne jouisse pas. Elle revient vers Julie, l’embrasse encore. Elle se penche vers le sexe que ma femme, sort sa langue la pose juste à l’entrée des lèvres pour faire ressortir le clitoris. Julie ferme les yeux, soudain à des secousses, signe avant coureur de son orgasme. Elle caresse la tête d’Agnès.
Quand ma femme fini de jouir je lui demande de baiser une fois avec moi, avant que je me paye sa copine. Pas question: Agnès est là pour nous deux. Je prends cette dernière par le bras, l’entraîne vers la chambre. Je la couche sur le dos. Ma femme est avec nous, elle nous regarde. Je me couche la tête tout près du sexe de cette fille, arrive sur son clitoris, le suce lentement jusqu’à ce qu’elle pousse un drôle de bruit qui tiens du rugissement de la lionne en moins fort. C’est sa façon à elle de jouir. Je laisse la place à Julie qui bien sur ne la refuse pas: elle aussi prend le clitoris de notre amie le lèche à peine 2 minutes quand elle tuait encore. Quand ma femme se relève nous échangeons un baiser rempli de la cyprine d’Agnès. C’est maintenant mon tour: je vais sur le corps d’Agnès, m’installe entre ses cuisses ouvertes. C’est Julie qui me guide vers le con ouvert. Je pénètre lentement dans cette grotte secrète. Nous entamons un vas et viens du diable. Elle jouit deux ou trois fois quand elle me demande de sortir d’elle: elle se met en levrette pour me donner son cul: elle préfère de faire sodomiser. Je n’ai rien contre. Encore cette fois je reçois l’aide de ma femme qui mouille bien l’anus, et m’y dirige. Je ne pensais pas entrer si facilement dans ce cul. Je lime Agnès qui répond par plusieurs jouissances Je jouis enfin dans ses entrailles. Quand j’en sors à peine bandant, ma femme prend ma bite dans sa bouche la lèche pour bien la nettoyer et surtout me faire bander encore. Elle arrête quand Agnès vient sucer ma femme qui écarte bien les jambes à son tour. Elles finissent en 69. Entre le léchage conjugal et ce 69 je reprends toute ma vigueur. Cette fois ma femme se met en levrette, les lèvres de d’Agnès toujours sur son con. Elle ouvre ses fesses : "encules moi". Ça, j’aime qu’elle me le demande. Cette fois c’est Agnès qui mouille bien le cul de Julie. Je trouve vite ce cul, je m’y engouffre: je connais parfaitement cet endroit par lequel nous avons suffisamment joui.
Cette séance terminée je demande à ma femme comment elle a pu faire l’amour avec une autre: c’était son fantasme depuis qu’elle connaît Agnès: elle n’osait pas le lui demandé. Ce n’est que quand elle lui a dit que j’aimerai la baiser qu’elles se sont mises d’accord sur la conduite de cette baise.
Nous ne regrettons pas du tout Agnès, nous n’en avons pas le temps: elle vient chez nous une fois par semaine et Julie m’a dit qu’elle se voyaient souvent sans moi.