Le taxi vient de la déposer devant une ancienne bâtisse de pierres au c?ur de la vielle ville, elle a sonné voilà bien dix minutes et elle attend que cette petite porte de bois sculpté s?ouvre. Il fait un peu frais comme chaque année au début du printemps. La rue est sombre mais un lampadaire au-dessus d?elle lui procure une lumière rassurante.
Christine a le ventre serré, elle aimerait bien que l?attente ne se prolonge pas trop. Le taxi est reparti et la voilà accompagnée de son amant devant cette porte close.
Elle repense alors à ce qui l?a amenée ici dans ce lieu inconnu, une invitation qu?elle a reçue par mail lui proposant une soirée très spéciale.
Après une vie de mère et d?épouse honnête auprès d?un égoïste qui ne l?avait jamais satisfaite, une fois les enfants partis faire leur vie, elle avait, un beau matin décidé de rendre son tablier et demanda le divorce. Elle sourit encore quand elle pense à l?air stupéfait de son ex.
Elle s?est installée, seule, dans un grand appartement du centre ville. La solitude affective ne lui pèse pas, en tout cas pas plus que pendant son mariage! Son travail la passionne et lui procure largement de quoi mener la vie bourgeoise qu?elle a toujours connue.
Depuis quelques mois elle participe à des causeries sur l?Internet, ? Etonnant comme l?anonymat permet de confier à des étrangers des pensées profondément intimes. ? Elle a fait la connaissance d?autres femmes exactement dans sa situation, nombreuses sont celles qui ont abandonné leur mari pour refaire leur vie et s?occuper d?elles. C?est à l?une d?elles qu?elle doit l?invitation de ce soir.
Suivant leur exemple elle a passé une annonce cherchant un homme plus jeune qu?elle mais indépendant. C?est fou ce qu?il y en a. Elle n?aurait jamais cru que ce serait aussi facile. Au début elle avait pensé que son âge serait un handicap ou encore sa taille, 1,80, mais non. Au contraire elle se rendait compte que tout cela plaisait plutôt aux jeunes gens immatures, ce qui tombait bien. Il semblait que son visage un peu sévère et ses cheveux longs, cendrés qu?elle ramène en arrière en un strict chignon les attire. Elle est grande et bien proportionnée, de partout. Ses jambes sont son principal atout, ses pieds surtout minces et nerveux, la cheville fine, dès que le temps s?y prête, elle porte des sandales à talons comme ce soir, les trois brides minuscules ne masquent rien de cette partie de son anatomie.
Ca lui plait de voir les hommes regarder ses pieds, de toute évidence ça les excite. Son amant Stéphane, qui l?accompagne ce soir leur rend de fréquents hommages, notamment lorsqu?ils sont assis en vis à vis et qu?elle lui caresse le sexe sous la table d?un bistro ou d?un restaurant, il décharge très vite dans son pantalon. Ca l?amuse de savoir qu?il va passer toute une soirée avec le contact de son sperme froid et gluant contre son sexe.
Et cette porte qui ne s?ouvre toujours pas.
Stéphane aussi s?impatiente et son énervement augmente au fur et à mesure de l?attente. Elle le sait gêné de rester comme ça sur le trottoir dans la tenue quelle lui avait imposée. Sa longue cape ne laisse voir que ses pieds cambrés dans de fines chaussures à talons et ses chevilles à travers le voile noir de ses bas. Elle lui a très légèrement maquillé les yeux et les joues. Il porte une veste et un pantalon de kimono de couleur sombre, c?est pratique car il n?y a pas de boutons. Elle le veut accessible.
Christine adore jouer à la poupée avec son amant et comme il a à peu près sa taille elle lui prête ses vêtements pour le travestir. Elle aime le faire marcher avec ses chaussures à talons, ça accentue la cambrure de ses reins et rend sa démarche mal assurée, ça le fragilise. Et puis elle sait également que cette posture lui procure des érections irrésistibles qu?elle soulage de sa main autoritaire, s?il sait le mériter.
Enfin le loquet électrique se libère et la porte s?entrouvre sur un long corridor dans lequel ils s?engagent rapidement, ils entendent la porte se refermer derrière eux, ils n?ont encore vu personne.
Il fait chaud et une faible lumière éclaire le passage, on entend le bruit de leurs talons sur le sol de pierre, ils descendent un escalier et parviennent dans un vestibule meublé de banquettes couvertes de velours rouge des tableaux coquins sont accrochés aux murs de pierre, il n?y a personne. Christine que la curiosité étreint, a la gorge serrée et sent une bouffée de désir monter dans ses reins. Elle voudrait se détendre un peu avant d?affronter les autres invités, elle prend Stéphane par les épaules l?appuie contre un mur sort sa verge écarte sa petite culotte et l?enfile d?un seul coup dans sa fente. ? Baise moi mais je t?interdis de jouir, je veux que tu te réserves pour plus tard ?. Quelques coups suffisent pour déclencher l?orgasme de Christine qui se sépare de son amant et se rajuste prestement tandis qu?il se retrouve la queue dressée et trempée des sécrétions de sa maîtresse. ? Allons viens ?, Il n?a que le temps de rabattre sa cape pour cacher son sexe gorgé d?excitation.
Finalement ils aboutissent à une pièce légèrement éclairée meublée d?un gigantesque bar doré et noir, les murs et le plafond sont couverts de miroirs fumés couleur bronze un peu mat qui renvoie les reflets imprécis des personnes présentes.
Une grande brune magnifique vêtue d?une longue robe noire décolletée toute simple accueille Christine ? Bonsoir je m?appelle Laura et je suis l?organisatrice de cette soirée ? et lisant l?invitation que vient de lui tendre Christine ? Et vous c?est Christine et son amant ?.
Laura l?accompagne au vestiaire pour qu?elle se débarrasse de son manteau. L?hôtesse retire la cape de Stéphane et regarde avec amusement son sexe dressé à la verticale, elle le gratifie d?une caresse rapide et constate qu?il est encore tout mouillé de cyprin. Tout en portant ses doigts à son nez pour humer le parfum intime de Christine elle dit ? J?espère qu?il n?a pas joui, car la soirée va être longue ?. Laura dit à Stéphane de l?attendre et accompagne Christine au bar où elle lui présente un choix de boissons de toutes les couleurs, Christine en prend une bleue puis accompagne l?hôtesse vers un groupe de femmes, il n?y a que des femmes dans la pièce. Toutes d?âge mûr, et toutes ainsi que Christine l?apprendra plus tard, divorcées et peu désireuses de se remarier. Elles la regardent avec un sourire doux et complice et Christine se sent tout de suite à l?aise avec ces inconnues, venues comme elle passer un bon moment.
Chacune donne son prénom mais Christine les oublie excepté celui de Lia, une superbe métisse élancée comme une liane les cheveux tirés autour d?un visage enfantin et malicieux, son sourire découvre des dents blanches qui contrastent avec sa peau couleur pain d?épice. Elle porte un long fourreau blanc dont le décolleté encadre la naissance de seins plutôt gros et qui lui donnent une apparence de fragilité si on les compare à sa taille très fine. De très hauts talons la cambrent dans une attitude très sensuelle. Christine la trouve très belle. ? Si j?étais un homme ? pense ?elle. La conversation est somme toute banale, chacune a apporté son manger comme dans une auberge espagnole, plaisante Dominique qui semble être une habituée. C?est la seule à porter un pantalon, elle est plutôt petite avec des cheveux noirs très courts, un peu le type grec. Elle porte un maillot marin avec des manches mi-longues et des chaussures plates. On pourrait la prendre pour un garçon s?il n?y avait pas ces deux petits seins bien fiers qui tendent son polo.
Pendant ce temps Laura emmène Stéphane dans une pièce qui fait office de vestiaire où se trouvent déjà les autres accompagnateurs qui bavardent en attendant le retour de l?hôtesse. Ils sont tous très jeunes disons entre 20 et 25 ans et bâtis un peu sur le même modèle, minces pas très costauds presque efféminés. Laura demande le silence et leur fait un petit briefing : ….
En résumé, elle leur dit qu?ils sont à l?entière disposition des femmes présentes et qu?ils doivent se consacrer à leur seul plaisir en oubliant le leur, elle insiste pour qu?en aucun cas ils ne soulagent eux mêmes. Elle remet à chacun un fortifiant, de quoi maintenir leur queue dressée pendant plusieurs heures. Ils doivent se déshabiller prendre une douche se parfumer et revêtir les accessoires quelle leur a remis, tandis qu?ils s?affairent Laura contemple ces corps imberbes et souples et plus particulièrement les sexes tendus qui se balancent au gré de leurs mouvements au-dessus de deux petites glandes remontées et bien fermes.
Ils sont prêts, Ils portent des chaussures à talons des bas noirs qui montent jusqu?en haut des cuisses et un petit gilet de domestique à rayures noires et rouges qui s?arrête au-dessus des fesses et juste au-dessus du pubis, leur sexe et leurs fesses sont totalement découverts et accessibles. Ils ont les épaules et les bras nus. Laura leur a remis un accessoire composé d?un anneau de métal dans lequel ils font passer leur verge et leurs testicules deux lanières de cuir noir enserrent et séparent ces dernières pour les projeter vers l?avant, un anneau peut recevoir une laisse bien pratique pour la promenade, elle leur donne également un harnachement composé d?un collier relié à deux bracelets par de courtes chaînes qui leur interdisent de baisser les mains plus bas que la poitrine. Un petit loup noir cache le haut de leur visage.
Avant de quitter la pièce, Laura leur demande de lui tourner le dos et de se baisser en avant, munie d?un pot de crème elle passe derrière chacun d?eux et leur enfile d?un seul coup son majeur dans l?anus, quand il est complètement enfoncé, elle l?y maintient sans bouger puis effectue un lent mouvement de va et vient qu?elle interrompt avant qu?aucun d?eux n?ait pu jouir. C?est sa façon de leur montrer qu?ils sont à sa merci et ils sentiront la présence de la pommade à l?entrée de leur orifice, un petit peu comme une femme qui mouille.
Pendant ce temps les femmes sont passées dans la salle à manger
Un petit buffet d ?entrées est dressé et une partie de la pièce est jonchée d?épais tapis de coussins, deux banquettes son accotées contre un mur, de la musique incite quelques-unes à danser. Des chandelles assurent un éclairage parcimonieux tous les visages sont beaux et les yeux brillants. Christine papote avec Lia quand les garçons les rejoignent, ils portent des plateaux et proposent des boissons et des mets de toutes sortes en déambulant entre les groupes qui se sont formés. Laura organise leur ballet pour que chacune puisse les contempler à loisir et chercher son compagnon. En voyant toutes ces queues dressées bien blanches qui se balancent pendant qu?ils marchent à petits pas, les fesses cambrées et bien serrées Christine ressent une vive excitation dans ses seins et son ventre. Un garçon lui présente des coupes de champagne, Christine en prend une et de l?autre main elle saisit sa verge congestionnée qui se tend vers elle. En tentant de se dégager de l?étreinte il fait un pas en arrière et manque perdre l?équilibre à cause de ses hauts talons, c?est à la main de Christine qui ne le lâche pas qu?il doit de rester debout.
Elle fixe le garçon droit dans les yeux tout en explorant ses parties intimes, elle apprécie la douceur de la peau à cet endroit et sa chaleur, elle retrousse son prépuce et prend le gland entre l?extrémité de ses doigts. ? Tu mouilles petite salope ? lui dit-elle en serrant l?extrémité veloutée du garçon jusqu?à le voir cligner des yeux. Ensuite elle tâte l?anneau et les lanières de cuir qu?elle saisit pour l?attirer près d?elle, mais le plateau la gêne, elle lui dit d?aller le poser. Une fois revenu, elle le prend contre elle et commence à danser un slow, elle pose sa main gauche sur ses fesses nues et de l?autre elle saisit son jeune sexe qui pointe vers sa hanche. Elle le caresse sans le branler, tantôt elle fait doucement coulisser sa main autour de la queue, tantôt elle effleure ses couilles rendues encore plus sensibles par la présence des courroies qui les compriment. Elle est à cheval sur la cuisse droite du garçon qui est au contact de sa chatte. Elle est trempée et son cavalier sent l’humidité sur sa cuisse. Elle sent qu?elle va venir et pour qu?il l?accompagne, elle lui fait baiser sa main. Ils se mettent à onduler des reins jusqu?à ce qu?un fantastique orgasme leur vrille le ventre. Ils se cramponnent l?un à l?autre et Christine sent sur son bras la chaleur de la semence qui gicle tandis que la queue ne cesse de tressauter dans sa main bien serrée. En utilisant son sperme elle lubrifie sa hampe et le branle doucement jusqu?à ce que le membre repu se détende un peu.
? Viens, tu vas me lécher maintenant ?, et le tenant toujours par la verge elle l?entraîne vers une banquette, ? A genoux ? elle écarte ses cuisses en soulevant sa robe et colle le visage du garçon contre sa culotte trempée. Elle se renverse contre le mur et savoure cette bouche qui lui caresse l?entrecuisses a travers le fin tissus. Il est expérimenté, bien dressé sans doute, car il varie le caresses tantôt il appuie fermement sa bouche sur sa fente et frotte son nez sur son bouton, tantôt il se contente de lécher sa culotte, il lui arrive aussi d?aspirer son jus à travers le tissu ce qui provoque une sensation de fraîcheur sur ses grandes lèvres. Christine retire sa culotte et remet la tête de son compagnon entre ses cuisses. Malgré l?obscurité il peut voir la courte toison qui ne cache rien, elle a une chatte de jeune fille, deux lèvres longues et bien appliquées l?une contre l?autre qui ne laissent rien voir de son sexe. Il commence à laper son bouton mais elle l?arrête, elle ne désire pas jouir trop vite et lui dit de la caresser partout avec sa bouche et sa langue elle pourrait se faire lécher comme ça pendant des heures. Plus bas, en dessous la peau totalement épilée est toute douce et il en profite longuement. Et Christine le sent boire à sa source intime. Il lui ouvre le sexe avec les mains et vient coller l?intérieur de ses lèvres sur les muqueuses ainsi découvertes, elle sent sa langue qui la fourre, sa bouche est chaude c?est doux, c?est bon.
? Tout se passe bien, Christine ? ?, Laura qu?elle n?avait pas vu arriver est debout près d?elle, ? Oui, mais pourriez vous m?envoyer Stéphane, mon amant ? Je voudrais le regarder se faire prendre par le jeune homme qui me fait tant de bien ? Laura acquiesce et disparaît.
Christine veut profiter de cette soirée pour regarder son amant se faire sodomiser par un autre homme. Il aime ça quand équipée d?un godemiché elle le prend en levrette, mais elle veut qu?il expérimente une vraie bite, qu?il se sente totalement pute, objet du désir d?un homme. Elle souhaite que d?autres femmes le voient, elle veut elle-même préparer son petit cul en le massant avec de la vaseline, elle veut diriger la verge entre ses fesses et pousser l?intrus à l?empaler d?un seul coup jusqu?aux couilles. Elle veut qu?il ne bouge plus et que ce soit Stéphane lui-même qui demande à être baisé parce qu?il n?y tient plus. Ils sont a quatre pattes sur la banquette tandis qu?elle caresse le membre de Stéphane et prend dans sa main les deux paires de couilles collées l?une à l?autre et les tient ainsi un bon moment. Les garçons ne bougent pas, elle donne à son amant le temps d?éprouver la présence de l?autre mâle entre ses reins, de sentir pris aux hanches comme une chienne.
? Baise le doucement par petits coups rapides et reste bien enfoncé ?
Puis :
? Maintenant sors, ne laisse que ton gland dans l?entrée, juste au bord, là, ne bouge plus ?
Et encore :
? Enfile-le d?un seul coup, à fond et lime le bien ?.
Ca lui plait d?être l?ordonnatrice des plaisirs de Stéphane, et de participer à ses initiations. Quand le garçon a pris son plaisir entre les fesses de Stéphane il se dégage et va demander à Laura de le laver car ses mains son toujours entravées.
Maintenant Christine veut voir son amant faire une pipe, elle veut voir sa bouche remplie par un sexe bandé, qui l?utilise comme une chatte pour y prendre son plaisir. Elle fait signe à un jeune homme qui se relève après avoir léché Lia. Non qu?il ait un membre volumineux, mais elle en apprécie la couleur et la forme du gland bombé et au pourtour saillant. Christine n?aime pas particulièrement les grosses bites, elle les aime de taille normale mais surtout bien dures, et avec un gland bien dessiné.
Elle fait asseoir Stéphane, place le jeune homme debout devant lui, c?est elle qui dirige vers les lèvres de son amant le membre décalotté et quand il ouvre la bouche pour le prendre, elle joue à le dévier sur ses joues et son menton pour qu?il sente sur son visage la tiédeur et la douceur soyeuse du gland, qu?il flaire l?odeur musquée, elle le frotte sur ses lèvres jusqu?à ce qu?il ouvre la bouche pour enfourner la queue. Elle l?observe, découvrir le plaisir de la fellation. Il ne pourra plus oublier le velouté de la peau, la chaleur de l?organe moelleux et ferme à la fois, le goût un peu salé qui suinte à l?extrémité, sa bouche est remplie d?un organe vivant qui réagit au gré des caresses ou des morsures, qui se tend pour se faire sucer ou se dérobe quand la sensation devient trop vive, il sent le sang battre entre ses lèvres et finalement quand la verge libère son foutre dans sa bouche, il reste sans bouger et l?accompagne jusqu?au dernier spasme, collée à l?intérieur de ses joues, sur sa langue, contre son palais. Un peu plus tard, Il la quittera à regret mais conservera la chaude semence au goût acre. Christine viendra alors l?embrasser à pleine bouche et partager sa première récolte sexuelle, témoin de sa première pipe.
Alors, prise de compassion devant la queue toujours dressée de son amant que son harnachement empêche de se toucher, elle le masturbera, simplement dans un rythme lent et régulier, son excitation sera telle que seules quelques minutes suffiront pour qu?elle sente dans ses doigts les prémisses de l?éjaculation. Quand elle pensera avoir atteint le point de non-retour elle lâchera le membre qui ne tardera pas à cracher de longs jets blanchâtres dans un balancement désordonné.
La nuit est loin d?être terminée, ce sera l?objet d?autres chapitres, mais après cette soirée Christine dut se remettre à la recherche d?un nouvel amant. Dès le lendemain Stéphane déménageait à quelques pâtés de maisons, pour s?installer avec le garçon qui l?avait si bien fourré. Une vocation était née.
Marc
Août 2002