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Un nouveau travail, une nouvelle vie – Chapitre 4

Un vrai coup de foudre - Chapitre 4



C’est Stéphanie qui me réveille, me proposant de venir prendre l’apéritif. J’acquiesce, vais pour m’habiller de mon jean et le chandail blanc, quand elle me tend une boite. Elle me dit que c’est un cadeau de sa part et qu’elle me veut dedans pour le repas. J’ouvre la boite et sort une robe de soirée. Elle est magnifique, d’un bleu océan, un petit décolleté devant mais un grand dur le dos, et fini évasée sur les genoux. Je passe mon ensemble lingerie bleue, avec cette chaleur pas besoin des bas, puis met la robe avec l’aide de mon amie pour fermer derrière. Je vais devant le miroir et demande à Stéphanie de me coiffer comme elle en a envie. Elle m’ondule les cheveux, ce qui va très bien avec cette robe. Touche finale, les escarpins. Je suis prête, je la regarde, elle hoche la tête puis me donne le bras avant de se diriger vers la terrasse.

On arrive à la terrasse en se tenant le bras. Lucie se tourne et me siffle, je rougis. On s’assoit autour d’une table basse sur des banquettes posées face à face, Lucie en face de Stéphanie et moi.

— J’ai découvert l’écurie, dis-je en regardant Lucie

— Oh bien, que penses-tu de ces étalons ?

— Je les ai trouvés très beaux et dociles, j’ai toujours rêvé de monter un cheval.

— Nous les traitons avec amour et soins, ce sont de bonnes bêtes, on ira faire un tour le week-end prochain ça te dit ? Me propose-t-elle

— Oh oui ! J’en serais enchanté

— Alors soit, je t’apprendrais à monter ! On va s’amuser tu verras.

— Je nai aucun doute madame, j’ai hâte !

Je regarde Stéphanie et lui demande si elle sera encore là le week-end suivant. Elle me répond qu’elle ne sait pas encore qu’elle verrait dans la semaine. Elle doit alors remarquer mon regard triste de penser à son départ puisqu’elle se serre contre moi.

Durant cette semaine, on a fait l’amour tous les soirs en petite tenue. Jusqu’au jeudi où elle nous annonce son départ, elle rentre chez elle dans l’après-midi. J’ai un gros coup de blues mais qui fut vite remplacé par la découverte de l’équitation.

Comme promis, Lucie m’emmène faire un tour à cheval le samedi après-midi. Je n’étais pas sûre de moi au départ mais j’ai vite pris de l’assurance. Je monte le grand cheval noir tandis que madame a choisi le blanc. Elle est magnifique sur cette bête, elle a comme une aura majestueuse. Elle est la reine de ce lieu. Après notre balade, on prend soin de nos étalons, on les brosse, chouchoute avant de les laisser se reposer tranquillement.

Cette séance m’a fait le plus grand bien, même si je pense toujours à Stéphanie, je me sens mieux. Après le repas du soir je m’enferme dans ma chambre et rejoins mon site habituel pour me faire plaisir. Cela faisait depuis presque l’arrivée de Stéphanie que je n’y ai pas été. Je me connecte, et partage des photos de moi en robe, celle qu’elle m’a offerte, puis d’autres en petite tenue et tous mes nouveaux achats.

Très vite, je peux lire plein de commentaires, flatteurs, gentils. Je reste vêtue de mon ensemble à jarretelles noires ainsi que d’un petit plug. Je prends mon temps, traîne sur le site, lis des histoires érotiques, avant de jouir vers deux heures du matin. En voyant l’heure, je ne prends même pas la peine de me doucher et je me couche en revêtant ma nuisette.

Je me réveille vers six heures avec une envie pressante. Je me rends aux toilettes, quand, passant devant une porte, j’entends des gémissements. Curieux, je regarde par le trou de serrure mais ne peux rien voir, la clé est sur la porte à l’intérieur. J’écoute quelques minutes puis l’envie devenant urgente je me hâte me soulager. Je passe à nouveau devant la porte mais plus aucun bruit, je me recouche, la tête pleine d’idées. Je rêve le reste de la nuit de sexe.

Je me lève vers 10 h, toute poisseuse, j’ai beaucoup transpiré durant ma nuit

Après le déjeuner, je vais dans ma chambre et commence à me caresser et me doigter. J’attrape un gode et commence à me remplir avec douceur. Après quelques vas et viens, je repense à Marcus et le plaisir qu’il m’a procuré avec sa vraie queue. Je décide d’aller le chercher. Je m’essuie, enfile un string et passe mon jogging du dimanche avec un t-shirt par-dessus mon soutif.

Je le trouve dans le salon en train de faire une pause devant la télé.

— Excuse-moi Marcus, dis-je pour attirer son attention

— Oh ! Tu m’as surpris, je ne t’ai pas entendu arriver.

— Désolé je ne voulais pas,

— Ne t’inquiète pas, tu as besoin de quelque chose ?

— Eu Oui, j’ai besoin de ton aide, il y a quelque chose que je ne peux pas faire toute seule.

— Bien sûr pas de problème, je te suis.

— Merci, dis-je en le menant vers le lieu de mes désirs.

Je le mène jusqu’à la porte n°35, je rentre en lui demandant d’attendre cinq minutes avant de rentrer. Je me hâte de passer la tenue de soubrette et lui demande de rentrer. Pas besoin de mots, il a saisi l’aide qu’il doit me fournir. Il ferme la porte, et je lui demande de prendre les directives, de faire ce qu’il veut de moi.

Il a les yeux qui brillent, il se déshabille, sa queue est au repos mais de grande taille quand même. Il me demande de la prendre en bouche, ce que je fais en me mettant à genoux devant lui. Je la sens grandir et durcir entre mes lèvres. Elle me remplit la bouche une fois tendue au max, et je ne peux en prendre que la moitié. Je continue ma pipe durant de longues minutes, tentant quelques gorges profondes, mais ce n’est pas évident avec ce calibre.

Il stoppe cet acte, m’attrape et me jette sur le lit, telle une poupée. Il me relève le cul, je laisse mes épaules contre le lit, j’adore vraiment cette position. Je sens la langue caresser ma rondelle et fouiller un peu plus loin. Je gémis c’est trop bon. Sa bouche quitte mon cul qu’il remplace vite par son gros gland foncé. Il ne rentre pas de suite, il fait durer le plaisir en frottant son mandrin dans ma raie. Je veux qu’il me pénètre jusqu’au fond, il m’agace et il le voit. Il rentre enfin son gland, avant de le retirer aussi tôt. Il joue comme cela un moment, qui me semble durer une éternité. Quand il se décide à me pénétrer entièrement, je pousse un long râle de plaisir. Ses grosses boules se posent contre les miennes, ce qui me certifie qu’il est rentré jusqu’au bout.

Il entame de longs et lents vas et viens pendant cinq bonnes minutes avant d’accélérer le rythme. Il y va tellement fort que ses cuisses claquent fort contre mes fesses. Elles doivent être toutes rouges et je me dis qu’on doit nous entendre jusqu’au salon. Il se retire et se couche dos sur le lit, je viens alors m’empaler sur son membre et commence à bouger à mon rythme avant qu’il ne m’attrape les fesses de ses grosses mains et m’impose le sien. Je suis son jouet et cela me plaît.

On change encore de position, à mon tour d’être couché sur le dos, les fesses au bord du lit avec Marcus m’enculant bruyamment. Je prends un plaisir fou à me faire baiser comme cela, et je ne manque pas de le montrer, autant avec mes expressions faciales que mes gémissements.

Marcus ralenti, je sens qu’il va venir. Il se retire, me fait glisser hors du lit, je me retrouve à nouveau à genoux devant lui. J’attrape sa queue, la branle en léchant son gland attendant ma récompense qui ne tarde pas à venir. Il jouit fort en grande quantité, j’en ai partout sur le visage. Je nettoie sa queue des dernières gouttes de sperme avant de récupérer celui sur mon visage pour l’amener à ma bouche tout en le regardant dans les yeux.

Je le remercie, il me remercie aussi puis s’en va. Je reste là quelques minutes le temps de récupérer un peu et pour me changer avant de retourner à ma chambre.

À suivre.

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