Après le dîner, Jean monte voir Chloé qui n’a pas reparue depuis qu’elle s’est sauvée dans sa chambre.
Devant la porte de la chambre de Chloé, Jean frappe doucement.
— Allez-vous-en ! Je veux voir personne !
Jean frappe une nouvelle fois et n’ayant pas de réponse, il ouvre la porte qui n’est pas fermée à clé et il entre dans la chambre.
— Mon Dieu ! Non ! S’écrie Chloé. Ils t’ont envoyé pour me BAISER aussi, c’est ça, hein ?
— Non, personne ne m’a envoyé ! Et, Mademoiselle, je ne baise que celles qui sont consentantes ! Et surtout pas une jeune fille fragile et aussi belle que toi.
— Ouais ! Tu dis ça pour me rassurer. Mais je suis sûre que tu aimerais bien me baiser aussi.
Jean s’assoie sur une chaise près de son lit et lui dit.
— Écoute, Chloé, personne ne m’a envoyé pour te baiser ! Je n’ai jamais voulu te faire du mal, mais apparemment je l’ai fait. Je suis désolé que tu m’as vu avec ta mère dans une situation extrêmement perturbante pour toi. Mais en vérité, ta mère avait vraiment besoin de ce que je lui ai donné…
— QUOI ! D’une chatte pleine de sperme !
— Entre autres ! Et pas que dans sa belle chatte ! Au cas où tu ne l’aurais pas remarqué, ta mère m’a avoué que ton père est plutôt absent du côté sexe. Par contre, ta mère, à son âge, est au sommet de sa sexualité et ton père n’assure plus du tout !
— Et ça vous donne le droit de la baiser !
— Non, mais ta mère m’a donné le droit de le faire. Elle m’a même supplié de le faire et j’ai adoré faire l’amour avec elle. Ta mère est une bombe sexuelle, crois-moi. A partir de maintenant elle sera une femme plus heureuse, sans frustration et sans aucun remord. Réfléchi Chloé… et parle avec ta mère.
Chloé ne répond pas et Jean se lève pour sortir de la chambre. Lorsqu’il s’apprête à ouvrir la porte il entend une voix douce lui dire.
— Tu n’as pas envie de me baiser, n’est-ce pas ? D’abord, mon copain me laisse tomber et maintenant tu me tournes le dos !
Puis après un petit reniflement.
— Je dois être vraiment moche pour être si indésirable !
— Qui a dit que tu étais ’indésirable’, à part ton conard d’ex-petit ami ?
— Toi… tu l’as fait. Tu as dit que tu ne voulais pas me baiser ! Tu baises toutes les femmes de la maison mais tu ne vas pas me baiser ! Suis-je si repoussante ou penses-tu que je suis trop jeune pour me prendre un sexe aussi gros que le tien ?
Jean la regarde un instant et il sent sa queue qui se réveille dans son pantalon d’intérieur en imaginant son sexe dans la jeune chatte de Chloé.
— Je n’ai jamais dit que je ne voulais pas te baiser. J’ai dit que je ne suis pas venu ici pour te baiser ! Il y a une différence.
Chloé essaye de parler, mais il lui cloue le bec en continuant rapidement.
— Deuxièmement, tu es tout sauf repoussante ! Chloé, tu es une magnifique jeune fille au corps chaud et désirable ! Oui, tu es jeune, mais si sexy. Moi ou tout autre homme sensé et normalement constitué aimerait bien te baiser, si tu le désires… ou si tu lui fais comprendre…
— Comment puis-je savoir si tu ne dis pas ça pour me faire plaisir.
Demande Chloé en regardant la bosse qui apparaît dans son pantalon.
— Si tu en as vraiment envie il faut le faire et quand on aura fini, tu me reposeras la question si tu penses que c’est nécessaire…
Chloé semble réfléchir puis elle commence à baisser son jean en disant.
— Eh bien, qu’est-ce que tu attends ? Amène ta sale bite ici !
Chloé fini de retirer son jeans et Jean retire son pantalon en même temps. Il se glisse sur le lit à côté d’elle qui lui tend ses bras pour l’embrasser avec sa langue qui se met timidement dans sa bouche. Pendant qu’ils s’embrassent, Jean tire son slip sur ses hanches puis sur ses jambes. Chloé passe son teeshirt par-dessus sa tête et le jette par terre. Avant qu’elle ne retire son demi-soutien-gorge en dentelle Jean siffle d’admiration.
— Waouh ! Chloé, tu es belle à croquer ! Vraiment sexy. Je n’aurais pas imaginé que tu avais un corps aussi fantastique caché sous tes vêtements !
Il l’embrasse avec plus de ferveur puis il la pousse sur le lit pour embrasser tout son visage, son cou, ses épaules, avant que ses lèvres glissent dans la vallée qui sépare ses superbes seins.
— Putain, Chloé, Comment peux-tu cacher de telles merveilles ! Ils sont énormes par rapport à ta taille !
Je les adore !
Pendant que sa langue glisse dans le creux de ses seins, il dégrafe son soutien-gorge. Il retire avec ses dents chaque moitié du soutien-gorge qui couvre à peine ses superbes rondeurs et passe un instant à embrasser et à lécher chaque sein et ses aréoles roses sans jamais toucher un des tétons tous durs.
Chloé gémit doucement en caressant ses cheveux.
Après avoir passé quelques minutes sur son imposante poitrine, Jean finit par prendre un de ses tétons entre ses lèvres pour passer sa langue dessus. Chloé se redresse brusquement sous lui, haletante.
— Oooohh…, doux jésus !
Jean passe ses lèvres et sa langue de nouveau autour de son aréole gonflée avant d’aspirer de nouveau son téton de plus en plus dur pour le sucer avec force.
— Aaaahhhhh, Jean ! Putain ! Ouiii, suce-le, ouiiiii, mord ! Oh mon Dieu, j’adore me faire sucer les tétons ! OOOoohhhh, que c’est bon !
Pendant que sa bouche s’occupe de son téton gauche, ses doigts pincent et tirent sur le droit pour entendre Chloé gémir plus fort.
Jean passe d’un téton à l’autre et Chloé gémit de plus en plus en se tortillant sous lui. Continuant de jouer avec ses seins avec sa bouche et une main, l’autre glisse sur son ventre pour se poser sur sa jeune chatte et frotter son clitoris entre son pouce et son index.
— OOOOHH, Merde ! Jean ! Tu vas me faire jouir ! OOOhhh, Ouiiiii … je jouiiiissss !
Jean se dit que Chloé devait être sacrement excitée à la pensée de se faire baiser comme sa mère pour jouir aussi vite.
Quand son orgasme s’apaise, Jean se recule de ses gros seins tous rouges coiffés de deux tétons extrêmement durs et longs. Ses yeux plongeant dans les siens, il murmure.
— Je suppose que tu aimes ça, Chloé ?
— Oh mon Dieu, oui ! Pas un de mes petit amis ne m’a fait jouir comme ça ! Et pas aussi vite ! Putain de merde, Jean ! Tu es à la hauteur de ta réputation !
— Tout le plaisir est pour moi. Jeune fille. Tes seins et tes magnifiques tétons sont succulent !
Lui dit Jean juste avant de glisser vers le bas pour mettre son visage entre ses cuisses, juste au-dessus de sa chatte toute lisse, sans poils.
— Dis donc, jeune fille, en regardant ce diamant et cette crevasse imberbe, j’ai envie de te demander quel âge tu as ?
— J’ai l’âge de me faire sauter par un vieux pervers ! Vas-tu juste la regarder ou la manger ?
La langue de Jean répond à sa question en glissant dans la fente toute lisse, de bas en haut et vice-versa. Chloé gémit deux fois et ses jambes se raidissent. Ses grandes lèvres roses, bien humides après son premier orgasme, s’ouvrent plus et Jean pousse le bout de sa langue pour caresser ses petites lèvres brillantes et divinement ourlées avant de sucer son clitoris et l’exciter avec sa langue.
— AAAAAHHHH, JEAN ! OOOhhh, ouiiiii… enfonce tes doigts !
Crie-t-elle lorsque deux doigts glissent dans sa petite chatte pour la masturber en même temps que son clito est agressé par la langue habile de Jean.
Il ne faut pas plus de deux minutes avant qu’elle ne projette ses hanches dans les airs, son clito aspiré dans la bouche de Jean avec son deuxième orgasme qui la propulse au septième ciel.
Retombant sur le lit, cuisses écartées plus que jamais, elle essaye de dire quelque chose, mais haletante, elle n’y parvient qu’à son troisième essai,
— OOOhhh, Jean, comment… comment peux-tu faire ça… je n’ai jamais… OOOhhh… baise-moi… viens sur moi. Je veux t’embrasser et baise-moi ! Je veux ta bite dans mon ventre !
Quand Jean remonte sur elle en se disant que cette petite est hyper-sensible, elle attrape son sexe et le guide dans sa chatte. Lorsque que Jean la pousse un peu dedans elle gémit.
— Oh Jean, elle est grosse ! Peut-être que ma chatte est trop petite pour ton sexe.
— Ne t’inquiète pas, je vais te prendre en douceur. Si tu ne peux pas me recevoir entièrement, je me contenterai de ce que tu peux gérer. Ça te va, Bébé…
Ses yeux acquiescent d’un battement de cils et Jean l’embrasse langoureusement en commençant à la baiser lentement. Soutenu par ses bras, regardant son visage d’ange, baissant ses yeux sur son petit corps, il regarde ses gros seins pour ne pas avoir l’impression de baiser une toute jeune fille.
Une très belle jeune fille qui, finalement, enroule ses jambes autour de ses hanches, pour réponde à ses coups de bite qui vont de plus en plus loin. Jean sent son gland arriver en butée, s’arrête de bouger, et sourit sous cette sensation familière. Chloé le regarde.
— Jean… qu’est-ce qu’il y a ?
— Chloé, tu as toute ma queue en toi !
Ses yeux s’écarquillent et elle soulève sa tête pour s’assurer qu’il a raison.
— OOOhhh, Jean… je sentais bien que tu allais de plus en plus profondément mais je ne pensais pas pouvoir recevoir dans ma petite chatte une si grosse et longue bite !
Elle retire ses jambes enroulées sur son corps pour les écarter largement comme dans un exercice de gymnastique qu’elle pratique avec sa mère et elle reste bouche bée devant leurs corps connectés.
— C’est vachement érotique ! Mais maintenant ne reste pas comme ça ! Baise-moi comme tu en as envie !
— Comme ça !
Répond Jean en mettant ses hanches en mouvement pour pilonner sa jeune chatte soumise à sa grosse queue.
Les yeux de Chloé passent de sa bite qui la martèle à ses yeux quand Jean se maintiens au-dessus d’elle lorsqu’il reste quelques secondes au fond de son vagin étroit, son gland en appui sur le col de son utérus, puis ils reviennent sur sa queue quand recommence à pilonner sa petite chatte qui s’est rapidement adaptée à son long et gros sexe.
Chloé qui a déjà jouit 2 fois, réussit à tenir plus de dix minutes avant de gémir.
— OOOhhh, Jean ! Que c’est bon de te sentir si bien en moi ! AAAhh, ouiiiii, vas-y baise moi bien ! Baise-moi comme tu baises ses salopes qui sont en bas et qui doivent nous écouter. Oh mon Dieu… mon Dieu… oh mon Dieu… je… je… AAAAHHHHHHHH…
Son crie aigu marque le début d’un nouvel orgasme et Jean commence vraiment à lui défoncer sa chatte noyée par une cyprine abondante.
— OUIIIII, Chloé, jouis pour moi ! Jouis sous la queue d’un Papy chanceux !
— OH PUTAIN DE MERDE ! JE JOUIIIIISSSSSSSSS ! OUIIIIIIIIII, BAISE-MOI PAPY !
Une nouvelle fois elle enroule ses jambes autour de sa taille pour le retenir contre sa chatte balayée de spasmes qui font trembler tout son jeune corps.
Elle rouvre ses yeux pour regarder Jean, leurs corps toujours étroitement serrés l’un contre l’autre par ses jambes. Elle cesse de trembler et baisse ses yeux sur leurs corps joints et lui dit
— C’est chaque fois plus fort ! Un peu plus je tombais dans les pommes ! Putain ! C’est quoi ce morceau ?
Chloé vient de poser sa main sur son ventre, juste en dessous de son nombril et passe sa main dessus.
— Humm, bouge ta queue plusieurs fois de suite, s’il te plaît.
Ce que fait Jean et elle s’écrit.
— Non de Dieu ! C’est ton pénis dans mon vagin ! Je n’ai jamais vu et senti comme ça la bite d’un mec quand elle est dans mon vagin ! Pas étonnant que je me sente si bien remplie… si pleine de toi !
Jean n’arrête pas ses mouvements de hanche et bientôt elle s’accroche à ses bras pour soulever son cul et accompagner les pénétrations de sa queue dans son vagin insatiable.
Chloé finit par avoir encore un bel orgasme et alors qu’elle roule une pelle à Jean, elle sent sa queue gonfler et s’allonger dans sa chatte qui palpite encore. Elle s’écrie.
— Ooohh, ouiiiii… je sens que tu vas jouir ! Jouis en moi Jean ! Tu ne crains rien et je veux sentir ton sperme ! J’ai besoin de ton sperme !
À ce moment-là, la bite de Jean à un sursaut et il balance une première giclée de sperme au fond de sa chatte.
Les yeux de Chloé scintillent et elle crie presque.
— Jean ! Je sens que tu jouis ! Je sens ton sperme ! Ouiiiii, Oooh, encore une fois ! Oooh, oui ! C’est ça ! encore ! Remplis ma chatte ! OOOooohhh, je jouiiiisssss encoooore !
Chloé, suspendue par ses bras et ses jambes au corps de Jean, jouis avec lui et leurs jouissances se terminent en même temps. Ils s’embrassent jusqu’à ce qu’elle en perdre le souffle, et qu’elle lâche ses épaules pour retomber sur le lit, ses jambes toujours serrées contre ses hanches, sa bite écrasée par les muscles de sa chatte pleine de convulsions.
Soudain, elle laisse tomber ses jambes et elle le repousse en criant.
— Laisse-moi me lever ! Je dois voir ma mère !
Elle sort du lit, attrape son jean, essaye de le mettre avant de le jeter par terre en disant.
— Bordel de merde !
Elle sort à poil de la chambre suivi par Jean qui la rattrape en arrivant dans le salon alors qu’elle se glisse sur le canapé, à côté de sa mère surprise.
Tout le monde est là et tous ont été surpris par son entrée intempestive, toute nue, jusqu’à ce qu’elle dise.
— Maman… Martine, je suis tellement désolée de vous avoir crié après ! Vous avez raison… Jean est incontestablement le meilleur baiseur de la terre ! Je n’aurais jamais pensé qu’on puisse avoir autant de plaisir à faire l’amour ! Il est génial ! il a fait vibrer toutes les fibres de mon corps et … plusieurs fois de suite ! Oh, maman, tu peux baiser avec lui aussi souvent que tu veux, je ne serai pas jalouse… promis ! Mais il faut qu’il continue de me baiser aussi !
— Bienvenue au harem familiale !
Crie Flora en applaudissant la nouvelle venue dans ce cercle vicieux et pervers.
Jean s’apprête à prendre sa douche, et il se demande comment il va pouvoir gérer toute ses femmes et surtout… aura-t-il la force et la santé pour continuer de les baiser autant.
Ses réflexions sont interrompues par Pauline qui, toute nue, entre dans la douche avec lui et qui se met immédiatement à genoux pour prendre sa queue un peu molle dans sa bouche. Elle la suce en caressant ses couilles et ses fesses, puis elle lèche son scrotum et ses cuisses trempés par la mouille abondante de sa fille tellement Jean la fait jouir. Levant ses yeux vers Jean elle lui dit.
— Huuuummm, j’adore la saveur de la chatte de ma fille !
Elle reprend sa bite dans sa bouche et sous l’effet de sa langue habile et de ses mains baladeuses, la queue de Jean s’allonge et se durcie lui permettant de lui faire une gorge profonde en le regardant. L’amour qu’elle porte à son sexe se voit dans ses yeux avant qu’elle se recule pour déglutir et respirer, puis de ravaler son pénis jusqu’à la racine.
Pauline lui fait une pipe mémorable et utilise ses mains sur n’importe quelle partie de son corps comme pour lui rappeler qu’elle a plus d’expérience que sa fille. Après dix minutes de ce traitement et après son incroyable baise avec sa fille, les couilles de Jean remontent dans son scrotum.
Pauline, qui les serrait dans une de ses mains, les sent vibrées et elle lui dit.
— Si ma salope de fille ne t’a pas vidé les couilles complétement, jouis dans ma bouche et envoie-moi ton sperme tout droit dans mon ventre !
Ses lèvres se referment sur sa queue et elle prend toute sa bite dans sa bouche affamée, son nez enfoui dans ses poils pubiens, respirant la forte odeur de mâle qui vient de baiser plusieurs femelles.
Après avoir pris dans sa gorge le reste de foutre qui restait dans ses burnes, elle continue de branler son sexe en le léchant partout afin de ne pas perdre une seule goutte de cette crème qu’elle adore de plus en plus.
A suivre
Phantome
