Makoun se retourna et fit signe à Eleonore de le suivre, ce qu’elle fit, toujours rouge. Il s’enfonça dans la forêt, progressant rapidement malgré les branches basses et les quelques ronces.
Après plusieurs minutes de marche, ils arrivèrent à une caverne à l’extérieur de laquelle étaient installées des pièces de cuir sur des bâtons dans le but de les faire sécher au soleil. Il y entra. Elle, préféra rester au soleil, au chaud. Makoun ressortit avec des ’’vêtements’’ faits de fourrures. Son pagne, presque à lhorizontale, laissait quasiment voir son entrejambe. Eleonore rougit de plus belle mais, dans son esprit naissait une pensée, "elle doit quand même être forte pour porter un pagne comme ça". Puis, revenant à la réalité, elle remarqua qu’il s’était approché d’elle et lui tendait le pagne. Elle le prit et l’enfila, se rendant compte qu’il ne s’agissait que d’un pagne, elle soupira doucement et s’assit, faisant signe a Makoun de faire de même à côté d’elle. Il s’assit et durant le reste de la journée ils tentèrent d’apprendre la langue de l’autre. Au moment où le soleil baissait sur l’horizon, faisant s’enflammer la forêt et où la température le rejoignait nonchalamment, Makoun parlait mieux le français qu’Eleonore le féerique, ils parlaient donc en français.
Il se leva alors qu’Eleonore frissonnait. Il la prit par la main et l’emmena à l’intérieur.
Une fois dans la caverne circulaire, le sol tapissé de feuilles douces, il alluma un feu dans un cercle de pierres au centre de la pièce qui réchauffa vite le corps à moitié nu et grelottant de la jeune femme. Ils continuèrent de parler de tout et de rien, mangeant des fruits et Makoun ravivant le feu de temps en temps, puis ils allèrent se coucher chacun d’un côté du feu. Eleonore se déshabilla du peu qu’elle portait et s’allongea près du feu. Makoun, lui, était encore debout, dos au feu et à la jeune femme.
Il se retourna, Eleonore le regarda brièvement et vit que son pagne était tombé au sol et qu’il contournait le feu pour la rejoindre, son sexe dressé était tendu devant lui. Eleonore rougit et tenta de cacher sa féminité en se retournant. Lui s’était mis à genoux derrière elle et commençait à lui caresser le dos, elle se crispa un petit peu plus, les gestes de l’humanoïde se firent plus hésitant, puis, petit à petit, elle se détendit sous les tendres caressent de Makoun, puis elle se retourna et l’embrassa à pleine bouche.
Ce qu’elle ne savait pas (comment aurait-elle pu ?). C’est que ces créatures sécrètent des aphrodisiaques dans leur salive pour augmenter les chances de fécondation durant leurs accouplements et il fait augmenter la taille du pénis. (Quelques centimètres de plus en longueur et un peu plus large). D’un coup le corps d’Eleonore se réchauffa, elle vint poser sa main gauche sur la nuque de son partenaire et la droite sur son sexe chaud. Lui, de son côté, avait attrapé, à pleine main, les fesses d’Eleonore et continua de l’embrasser goulument. La main droite de la jeune femme commença d’hésitants va-et-vient autour du sexe de Makoun.
Ils étaient allongés à présent, Eleonore sur le dos et Makoun au-dessus d’elle, il avait glissé une main sur le vagin de sa partenaire et y avait fait entrer doigt pendant que sa langue titillait le bout du sein gauche d’Eleonore qui gémissait doucement, une main sur la tête de Makoun, puis il s’éloigna de la jeune femme et posa son pénis dur (et long d’environ 25 centimètres) sur l’entrejambe d’Eleonore, puis y inséra doucement le bout, elle gémit plus fort, s’accrochant aux feuilles, puis il rentra d’un coup, elle cria, son ventre la brulait, elle avait mal et était crispée, des larmes descendirent le long de ses joues, son ventre était étiré elle regarda et vit qu’il n’avait pas tout mis. Il força et rentra tout, elle cria, serra les dents, des vagues de douleurs envahissait son corps, puis petit à petit elles laissèrent place à du plaisir Makoun intensifia les va-et-vient, des vagues de plaisir la secouaient mais elle avait toujours ce sentiment de douleur due à l’étirement de son ventre, elle regarda vit son ventre déformer à chaque coup de bassin de la créature.
Son corps tressaillait à chaque coup, elle sentait son dos frotter contre le sol et sentait des vagues de plaisir la submerger. Elle se sentait étirée de l’intérieur, elle était baisée pour la première fois, elle aimait la sensation, elle criait à présent, les coups de bassin de Makoun étaient rapides et violents elle se faisait défoncer comme jamais. Puis il s’arrêta, se retira, Eleonore souffla quelques secondes, les vagues de plaisir continuant de déferler dans son corps. Puis il la retourna et la fit se mettre à quatre pattes. Il se remit dedans mais cette fois avec violence et le manège repris elle était de nouveau défoncer, son vagin lui faisait mal, elle criait, lui se contentait agripper ses fesses et de les ramener violemment vers lui puis il se coucha sur elle et accéléra encore. Eleonore sentait la bite de Makoun prendre de l’ampleur et sentait son vagin la bruler, les larmes continuaient de couler sur ses joues. Puis il s’arrêta d’un coup et Eleonore sentit le sperme chaud de Makoun se déverser dans sa chatte, elle se crispa, puis elle aussi vint à jouir, elle cria de tout son être, ses yeux fermés par le plaisir tandis que la semence de la créature se répandait dans son ventre, étiré par la quantité.
Il se retira et posa sa bite sur les fesses d’Eleonore et continua de gicler sur son dos et ses cheveux.
Elle sentit le liquide chaud dans son corps alors que la jouissance était encore présente de tout son être et sentit aussi le liquide sur son dos et couler sur ses côtes, elle tomba au sol, sur le ventre. Du sperme s’écoulait de sa chatte sur le sol. Elle s’endormit, fatiguée et haletante. Makoun, lui retourna se coucher.