Bonjour, je m’appelle Cindy. Ça fait un moment que je n’ai pas posté mes aventures, j’en suis désolé.
Suite à mon dépucelage très… Complet dans le sud, je me retrouve un peu frustré dans ma ville Normande. Pas vraiment d’occasion me faisant grimper aux rideaux. Soit, quelques aventures en boite mais je m’aperçois que les jeunes de mon âge ou un peu plus vieux ne m’intéressent pas. Mais comment avoir des bons coups avec des "vieux" (à comprendre 40/50 ans minimum) dans une ville où il y a de fortes chances que la personne te connaisse toi ou ta famille… Je ne le sentais pas du tout.
Par hasard, je découvris une alternative à ce problème. Un jour, je pars en voiture pour aller sur Paris chez une amie partie faire ses études dans la capitale. Me voilà parti en voiture un vendredi en fin d’après-midi de janvier sur la route. Après 30 minutes sur l’autoroute (et 1h avant cela sur la nationale), je m’arrête sur une aire d’autoroute. Il est 18h, le soleil est presque couché. Pas de place au niveau de la station-service, je me gare plus loin. Je vais assouvir mon besoin pressant et prends le temps de boire un café.
Beaucoup d’homme en transit dans la station, peu de femmes et encore moins de jeunes femmes. Il y a de tout. VRP, voyageur, camionneur. Bref, de tout.
L’un de ces camionneurs me mate avec insistance. Il n’est pas vraiment attirant mais, pour une raison qui m’échappe, cela m’excite. Peut-être le manque de sexe, peut-être le fait qu’il a un âge qui correspond à mes attentes, en tout cas, je ne peux me retenir de lui rendre son regard insistant. En sortant de la station par la porte arrière pour rejoindre le fond du parking, il se met à mon niveau et m’aborde.
— Bonjour mademoiselle
— Bonjour
— Ce n’est pas dans mes habitudes d’aborder les jeunes femmes comme vous, mais je vous trouve très attirante
— Merci. C’est gentil.
— Vous êtes seule ?
— Oui, je me rends à Paris pour le week-end.
— Ah d’accord. Au risque de paraitre rustre, j’aimerai beaucoup passer un peu de temps avec vous… Dans mon camion par exemple.
— Ah ok, c’est très direct ! Et je me mets à rire d’un petit rire débile de midinette ! La honte !
— Il ne faut pas perdre de temps dans la vie, et je n’ai pas pu ne pas remarquer votre regard… Peu farouche. Je me suis dit que s’il y avait moyen de prendre du bon temps, il ne fallait pas louper l’occasion.
— Très juste en effet. Et il est garé où ce camion ?
— Un peu plus loin vers le fond du parking.
— Montre-moi ton gros camion alors ! (mais qu’est-ce que je peux être conne quand je m’y mets, c’est totalement nul !)
Me voilà parti avec cet inconnu pour aller "visiter" son camion. Je sais, ça fait un peu pute mais franchement, à ce moment-là, je ne voyais que la partie de jambe en l’air et potentiellement la jouissance qui va avec. Arrivé dans la cabine, il ferme rapidement les rideaux "pour que ce soit plus intime" me dit-il. Il commence à me caresser les fesses à travers mon jean (oui, en janvier, je ne mets pas de robe, trop frileuse). Et me flatte de mots crus mais sans violence dans la voix.
— Mmmm, tu as un boule, il est vraiment très beau, j’aimerai vraiment en voire plus… Surtout que le balcon a l’air bien rempli aussi
— Je n’ai pas à me plaindre à ce niveau-là.
Et j’enlève mon pull et mon débardeur pour lui faire admirer les seins dans leur soutien-gorge. Il les prend en main et les fait sortir des bonnets pour pouvoir les admirer. Pendant ce temps, j’enlève mes chaussures et défais ma ceinture. Je commence ensuite à lui caresser l’entrecuisse et sens un membre déjà bien dur dans son pantalon. Dur et d’une taille respectable sans être extraordinaire. Ma curiosité l’emportant, j’ouvre sans attendre son pantalon et découvre un sexe en effet fort intéressant. Je commence à le branler délicatement pour ne pas aller trop vite. Il finit de me déshabiller pendant que sa queue atteint sa taille finale dans ma main. Elle est large et pas trop longue, tout ce que j’aime. Sentir une queue m’écarter à fond le vagin est un plaisir que j’adore.
Là, il me demande quelque chose d’inattendu !
— Empale-toi sur le levier de vitesse pendant que tu me suces !
— Quoi ? Sur le levier ? Mais il est énorme !!
— Ça te fait peur ? Je suis sûr qu’il va rentrer. Je pense que tu en as vu dautres et que tu vas aimer…
Je regarde le levier avec un mélange d’envie et de peur. Il est vraiment très gros. Mais l’envie prend le dessus, et je me mets en position, non sans avoir demandé une capote pour mettre dessus. On ne sait pas qui a déjà utilisé cet instrument de conduite comme gode après tout. L’entrée du levier fut très difficile. J’eus beaucoup de mal à y arriver. Mais une fois inséré, une chaleur de plaisir monta de mon sexe dans tout mon corps. C’était exquis. Après quelques va-et-vient, il se mit devant moi et je le pris en bouche. La taille de la cabine est assez grande et haute et cela lui permet d’être à peu près debout, juste légèrement penché au-dessus de moi pendant que je le pompais. Il en profitait d’ailleurs pour me caresser le cul et regarder ce levier de vitesse entrer et sortir de ma chatte.
— Tu vois que ça rentre ! Oohh oui vas-y, suces bien comme ça ! T’es une championne ma belle !
Après quelques minutes à ce rythme, il se recule et me dit de me relever. La sortie complète de levier me fit comme un vide mais je savais qu’il allait être vite comblé. Sa queue était trapue, comprenez pas trop long (pas courte non plus) mais large, et bien dure. Signe qui ne trompe pas quant à ce qui m’attendait. Il m’entraine dans la cabine arrière où se trouve une couchette, s’assoie et me dit de venir le chevaucher comme le levier de vitesse précédemment. Je lui mets une capote et viens m’emmancher directement dessus en lui tournant le dos. Il me prend les seins sans ménagement et je commence à faire coulisser son dard dans ma chatte de plus en plus rapidement. L’orgasme commence à monter dans le ventre mais il m’arrête d’un coup et fait ressortir sa queue. Non, pas maintenant ! Il n’est quand même pas déjà venu !!!
— Pourquoi tu arrêtes ??!!
— Pour te la mettre autre part ma jolie ! Je suis sûr que tu aimes ça par le cul !
— Oh oui ! J’aime !
Et je prends sa queue pour la diriger vers l’entrée des artistes. Elle est bien large et cela fait un moment que mon petit trou n’a pas eu de visite digne de ce nom… Je pense que je vais la sentir passer…
— Tu as du lubrifiant ? Parce que je ne pense pas que ma mouille va suffire… Elle est bien grosse !
— Oui bien sûr.
Une fois le lubrifiant appliqué sur la queue et sur mon petit trou, je me remets en position assise pour me la mettre bien comme il faut. Et là, même avec le lubrifiant, elle a du mal à rentrer. Il faut dire que mes derniers amants n’étaient soit pas très curieux pour explorer la face cachée de la lune, soit pas vraiment dans les mêmes tailles que celle-ci. Bon, je prends une profonde respiration et me laisse tomber d’un coup. Je pousse un cri de douleur lorsque le gland me défonce le trou mais insiste en poussant vers le bas pour la mettre au plus profond. Elle s’enfonce d’un coup et je reste sans bouger avec une respiration rapide. Je m’aperçois que des larmes me coulent sur les joues. C’est la première fois que cela m’arrive… Bon, elle est dedans, reste plus qu’à faire en sorte d’enfin avoir cet orgasme ! Ma main se positionne sur mon clito pendant qu’il reprend mes seins en main et pince délicatement mes tétons. Je remonte, ça brule un peu, redescend, commence à accélérer le mouvement sans aller trop vite car tout de même douloureux. Ma main s’active sur mon clito et le plaisir commence à revenir petit à petit. Je me donne autant que possible dans des mouvements rapides de mes hanches. Mon partenaire donne de petits coups aussi pour enfoncer sa queue le plus loin possible à chaque fois que je redescends sur lui. Je ne peux m’empêcher de lâcher des cris de plus en plus fort, indiquant mon plaisir grandissant à mon amant d’une heure, qui lui aussi commence à pousser des râles. Ses mains sont descendues sur mes hanches et je les sens se crisper et me serrer plus fort. Lorsque dans un cri l’orgasme m’envahit, je redescends violemment sur sa queue et la sens se contracter en plusieurs spasmes. Il jouit en m’attirant contre lui et me caressant le corps du ventre à la tête et m’embrassant le cou.
— Que c’est bon ! Ton cul est juste serré comme il faut pour ma queue.
— Oh oui ! J’ai vraiment joui, c’était top. Un putain d’orgasme… Ça faisait longtemps que j’avais pas joui comme ça !! Merci
— Ah non, merci à toi. Tu as été parfaite pour un vieux vicelard comme moi.
— C’est justement les vicelards comme toi qui me font le plus jouir. Bon, faut que j’y aille, sinon je vais jamais arriver à Paris. Mais si tu as un numéro de tél, on pourrait se revoir qui sait ?!
— Mais avec plaisir !
Et je repars de son camion avec un orgasme et son numéro au cas où il passe par chez moi ou bien que je sois sur la route pour se retrouver un jour. Peu probable mais sait-on jamais ?
Le reste de la route fut calme, je devais me concentrer un minimum car cette partie de baise m’avait un peu fatigué tout de même. Je pensais pouvoir me reposer chez mon amie mais voilà, elle avait prévu des activités pour le week-end. Rien de bien sexy et excitant… Je devais faire en sorte que ça change.
Je lui raconte mon trajet et surtout mon arrêt plus long que prévu sur l’aire d’autoroute. Je lui explique que les jeunes ne m’attirent pas et que ce sont les "vieux" qui m’excitent.
— Excuse-moi mais quelle salope tu fais quand même ! Mais je t’envie parce que je n’aurais jamais eu le courage de le suivre.
— Tu sais, tous les hommes ne sont pas des serials killers. Lui il a eu le courage de m’aborder et il me convenait bien au niveau de mes critères donc, pourquoi pas ? Contrairement aux autres qui me mataient mais qui n’ont pas bougé une oreille…
— C’est vrai mais imagine qu’il y a eu un copilote dans le camion quand tu es montée, t’aurais pas fait la fière là !
— Dépend. Deux hommes c’est super aussi, t’as jamais essayé ?
— Quoi tu l’as déjà fait avec deux hommes ?
— Avec trois aussi l’été dernier en fait ! Et j’éclate de rire en voyant sa tête à cette information. Faut te dévergonder ma grande ! Aller, ce week-end, on se lève des mecs. Et pas qu’un chacune ! Il y a bien des endroits sur Paris où on peut baiser non ?
— Oui certainement mais je ne suis pas trop au fait de ça.
— Et bien on va se renseigner !
Et nous voilà partis dans Paris pour trouver un endroit où pouvoir s’éclater. A savoir qu’internet à ce moment-là n’était pas dans toutes les maisons. C’était cher (l’abonnement) et je ne parle pas de l’ordinateur qu’il fallait. Mais où aller ? Un endroit connu de tous : Pigalle. Très vite, nous allons vers une boutique de lingerie fine dirons-nous. La vendeuse, une femme charmante, nous renseigne et nous dit que plusieurs endroits correspondraient à ce que nous cherchons (moi en tout cas). Un sex-shop un peu glauque d’extérieur mais dont le public est très respectueux, un club libertin dans le même coin et un cinéma porno. Avantage du sex-shop et du cinéma c’est qu’ils sont ouverts en journée. Il faut attendre le soir pour le club. Pour la remerciée, je lui prends un ensemble vraiment sexy, un soutien-gorge, un string et un porte-jarretelle le tout blanc. J’ai déjà des bas qui vont avec dans ma valise.
— On fait quoi ? Me demande mon amie un peu gênée.
— Je pense que le cinéma serait une bonne première cible non ?
— Tu comptes vraiment aller dans un cinéma porno pour te faire baiser par des inconnus ???
— Non, pas moi, nous. Tu vas venir avec moi !
— Alors là, ne compte pas là-dessus. Je ne suis pas en manque de bite au point de m’abaisser à me faire baiser par le premier venu !
— Tu as tort, c’est ce qu’il y a de mieux ! Moi j’y vais !
Elle me suit jusqu’à l’entrée mais au moment d’aller au guichet se ravise et me dit qu’elle m’attend dans un bar un peu plus bas vers Saint-Lazare.
— Ok, pas de soucis, je te raconterai !
Et j’entre dans le cinéma. Pas de bol, pas de séance pour l’instant, il faut attendre 45 bonnes minutes pour la suivante. Mon amie est déjà partie… Le sex-shop indiqué par la vendeuse est à deux pas, pourquoi ne pas y aller en attendant ?
Je me rapproche et vois, le temps d’y arriver, deux hommes y entrer. Impossible de l’extérieur de voir s’il y a du monde mais il y aura au moins ces deux-là. Pas mal en plus. La trentaine bien passée, des corps relativement neutres (pas des athlètes quoi) mais ce n’est pas ça qui m’intéresse chez eux. Je pousse le rideau cachant l’entrée et l’intérieur de la boutique et découvre qu’il y a plus que deux hommes. Il y a même un couple de quadra en train de s’exciter en regardant les jaquettes des films. C’est la première fois que j’entre dans un sex-shop, je ne suis pas à l’aise, je l’avoue, mais je décide de faire un tour du magasin. Dans le fond, des cabines de projection. Un siège dedans à peu près confortable à la vue et inclinable. OK, intéressant. Plusieurs cabines utilisées avec, en s’y approchant, le son des films projetées dans chacune. Je retourne dans l’espace principal et commence à regarder les films, livres et sextoy exposés. Je m’attarde sur un rayon contenant des vidéos de partouse. Ça, ça me parle ! J’en regarde quelques une lorsque la femme du couple vient se mettre à côté de moi.
— J’adore regarder ces films, mais j’aime encore plus participer à des partouses. Et toi ? Juste voyeuse ou pratiquante ?
— J’en ai fait une seule l’été dernier et j’avoue que ça m’a bien plu. Mais pas avec autant de mecs. Juste trois.
— C’est déjà pas mal pour une première. Je suis monté à six une fois. J’étais exténuée.
— Tu devais en effet.
— Tu veux aller en cabine avec moi et mon mari ? On a très envie de baiser avec toi.
— Je pensais plus à un peu plus de monde en fait. Même si toi et ton mari vous me plaisez beaucoup.
— Tu n’as qu’à considérer que c’est un avant-gout. On va au cinéma après, c’est en attendant. Mon mari adore me voir avec une autre femme, surtout quand elle est jeune comme toi.
— Pourquoi pas ? Je pourrai vous accompagner au ciné après ? Je voulais essayer mais la prochaine séance n’est pas tout de suite.
— Avec plaisir ! Tu viens ? Mon homme a déjà pris la cabine…
— Je te suis
Me voilà dans la cabine. Pour être honnête, rien de très émoustillant… C’est petit, ça sent le sperme et la transpiration, mais le fait d’être ici avec cette charmante femme et son mari me fait passer outre tout ça. Il y a longtemps que je n’ai pas baisé avec une femme… Depuis l’été dernier en fait !
Monsieur s’installe tranquillement sur le fauteuil, prêt pour nous regarder nous gouiner. Madame s’approche de moi et commence par un long baiser langoureux tout en me retirant mon pull, dévoilant mon soutien-gorge. Je lui réponds en ouvrant la fermeture éclair dans le dos de sa robe pour la laisser tomber à ses pieds. Elle ne porte en dessous qu’une culotte brésilienne en dentelle magnifique qui épouse les courbes de ses hanches et des collants. J’en profite aussitôt pour me baisser et prendre entre mes lèvres un de ses tétons. Ma main descend dans le même temps vers le bas de son ventre et dérive sur ses fesses. Elle me caresse la tête en poussant de petits râles d’encouragement.
— C’est bien ma belle, suce-moi bien les tétons. Oui comme ça, c’est bon… Ça te plait mon chéri ?
— Oh oui ! Mais j’aimerai en voir plus de notre jeune amie.
Sur ces mots, il se lève, ouvre mon pantalon et le fait glissé le long de mes jambes. Sa femme en profite pour dégrafer mon soutif. Je retire mes chaussures comme je peux pour me dégager les jambes et les mains de l’homme, une fois mon pantalon retiré, remonte le long de mes cuisses pour attraper mon string et lui faire suivre le même chemin. Me voilà complètement nue entièrement dévolue à leur bon vouloir. L’homme me caresse les fesses et passe entre mes cuisses que j’entrouvre.
— Elle mouille déjà ! Tu vas bien t’occuper de ma femme n’est-ce pas ?
— Oui, avec grand plaisir !
— Très bien, j’aime quand nos partenaires sont aussi mignonnes et dociles.
Et sur ces paroles, il se rassoit dans le fauteuil. Je fais pivoter sa femme, lui baisse collants et culotte et la fais se pencher en avant, m’offrant son cul. Je m’accroupis derrière elle et ma langue commence son exploration entre ses fesses et ses cuisses qu’elle ouvre bien en grand pour me permettre d’accéder à son paradis. Ma langue s’attarde sur sa vulve avant de pousser jusqu’à son clito sorti de sa cachette que je m’applique à titiller pour déclencher les premiers vrais cris de plaisir. Je remonte ensuite vers son cul pour lui lécher le rectum. Ma langue force un peu pour pouvoir la pénétrer par ce trou m’ayant donné tant de plaisir la veille. Deux de mes doigts s’immiscent dans sa chatte pour la ramoner pendant ce temps et, de l’autre main, je lui masturbe le clito. La jouissance arrive rapidement, me couvrant les doigts de cyprine. Elle se dégage de moi et me fait me relever. Je la regarde dans les yeux et me lèche les doigts goulûment. Elle me regarde et me roule une pelle torride. Elle me pousse alors vers son homme qui ne s’est pas déshabillé d’un pouce. Je me retrouve assise sur lui avec ses mains sur mes seins. Madame s’agenouille devant moi, m’écarte les cuisses et fourre sa tête entre elles pour me bouffer comme une furieuse la chatte. Je commence à jouir immédiatement. Elle me plante rapidement deux doigts puis trois dans la chatte pour me branler frénétiquement tout en aspirant mon clito entre ses lèvres. Je ne peux retenir très longtemps un orgasme puissant libérant aussi une quantité non négligeable de cyprine. Elle essaye d’en prendre le maximum en bouche et se relève pour la donner à son mari dans un baiser fougueux.
Je suis là pantelante, assise sur monsieur, madame coller contre moi pour qu’elle puisse l’embrasser.
— Tu as été super ! Quelle mise en bouche avant le cinéma ! Je ne t’ai pas dit mon chéri mais cette jeune trainée va nous accompagner, cela ne te dérange pas ?
— Au contraire, j’ai hâte de la voir en action.
— J’espère que tu me prendras parce que là, vous m’avez bien chauffé tous les deux mais j’aurai aimé ta queue.
— Ne t’inquiète pas, tu l’auras tout à l’heure.
Sur ces bonnes paroles, nous nous rhabillons toutes les deux. Je choisis de ne pas remettre mes sous-vêtements. Madame, elle, ne remet que ses collants. Il fait froid dehors tout de même. Nous ressortons de la cabine et nous dirigeons vers la sortie. Devant le cinéma, ils me payent la place et nous choisissons d’aller à la projection d’un film parlant d’une académie pour jeune femme un peu particulière. Nous ne sommes pas les premiers et plusieurs hommes, une bonne douzaine avec une moyenne d’âge de 35/40 ans (donc parfait pour moi), sont déjà en place, éparpillés dans la salle.
Le couple m’entraine vers le milieu, une rangée libre mais avec du monde devant et derrière. Ils me placent entre eux et, à peine assise, monsieur commence à me caresser les seins pendant que madame déboutonne mon jean et enlève mes chaussures "pour que ce soit plus simple pour la suite" me dit-elle à l’oreille. Je me laisse faire au début mais très vite, ma main se dirige vers l’entrejambe de l’homme. Il ouvre son pantalon et je peux enfin prendre en main son sexe. Pendant ce temps, madame me fourre une main entre les cuisses et me plante directement deux doigts dans la chatte. Pas compliqué vu que je suis encore toute mouillée de notre baise. Je ne fais pas plus attention que ça mais deux hommes sont venus se positionner derrière nous. L’un est déjà en train de caresser les seins de madame pendant que l’autre me caresse le sein non pris par monsieur.
Je tourne la tête pour le regarder et lui lance un petit sourire. Il a déjà sa queue en main et est en train de se caresser doucement. Elle est juste à côté de mon visage, à quelques centimètres. J’ouvre la bouche pour l’inviter et il ne se fait pas prier. A l’écran, deux femmes se font prendre par un mec et c’est très chaud. Mais les regards ne sont pas très tournés vers l’écran, plus vers nous étonnamment !
Je prends donc ce sexe bandé en bouche et commence de petits mouvements de tête, la position ne me permettant pas de faire mieux. Madame a retiré sa main pour s’occuper d’un second homme venu devant elle. Elle alterne les pipes entre les deux. Bientôt tous les hommes de la salle sont debout autour de nous. Certains ne font que regarder, d’autres viennent nous caresser. Mes vêtements sont très rapidement retirés et je me retrouve nue, assise jambes écartées avec un homme me broutant et doigtant la chatte, un dans chaque main et un dans la bouche. Je regarde monsieur et lui fais comprendre que je veux qu’il me baise enfin. Il prend une capote, l’enfile et se place entre mes jambes, repoussant mon brouteur de minou qui prend sa place dans ma main. Il rentre bien évidemment sans aucun souci et commence à me baiser fort dès le départ. Sa femme à côté est en train de se faire prendre en levrette et en profite pour bien sucer deux autres hommes de la rangée de derrière. L’homme derrière moi me dit à l’oreille qu’il a très envie de me défoncer le cul.
— Pas de problème, j’aime me faire défoncer par plusieurs hommes en même temps !
Il fait le tour, monsieur comprend qu’il y a changement de position. Je fais assoir mon enculeur, me mets à cheval sur lui et fais entrer sa queue dans mon cul. Monsieur se remet devant moi et je l’attire en lui prenant les hanches pour qu’il comprenne que j’attends sa queue en moi. Mais, à ma grande surprise, il ne fait pas ce que j’attends. Pensant sûrement que le sexe de mon partenaire n’est pas très volumineux (ce qui n’est pas totalement faux), il prend la décision de vouloir me la mettre lui aussi dans le cul. Là, je suis surprise mais il s’exécute tellement vite que je n’ai pas le temps d’avoir peur et il plante son gland rapidement avec la queue de mon autre amant. Le fait que je mouille comme une fontaine aide grandement les choses. Je me retrouve donc avec deux bites bien encrées dans le cul ! Une première qui ne retire rien du plaisir soudain que cela me procure. Je suis de plus en plus sensible à l’anal qui me procure énormément de plaisir. Mais là, deux c’est le pied.
Mon partenaire de droite en profite d’ailleurs pour me planter deux doigts dans la chatte. Je suis en train de partir dans un orgasme incroyable mais garde la tête suffisamment froide pour lui dire de se faire une place et de me planter sa queue dans la chatte. Un changement de position est nécessaire de nouveau. Me voilà à quatre pattes dans l’allée centrale avec un mec sous moi qui me plante sa queue dans la chatte, le second qui vient se mettre derrière pour me prendre le cul et monsieur à cheval qui tente (avec succès après quelques tentatives) de la rentrer lui aussi dans mon rectum. Un fois les trois protagonistes en place, c’est un balai de coup de queue qui me pilonne. Je suis en transe, la tête renversée en arrière la bouche grande ouverte en train de crier comme une malade. Ce qui permet à un quatrième de venir me la mettre dans la bouche et commence à me la baiser. Je ne suis plus maître de mon corps et finis par me laisser faire et envahir par une jouissance incroyable aboutissant à un 1er orgasme électrisant. Mais mes compagnons ne s’arrêtent pas et continuent leur labeur. Le 1er à lâcher est monsieur. Il ne faut pas lui en vouloir, il a été tellement excité depuis le sex-shop, je ne sais pas comment il a fait pour ne pas jouir avant. Il est suivi par celui se trouvant dans ma chatte qui vient dans un râle reconnaissable. Le deuxième enculeur continu à me bourrer le cul, déclenchant un second orgasme que je sentais déjà monter depuis un moment. Il se retire juste après, enlève la capote et me gicle sur le cul. Je me retrouve "juste" avec une bite dans la bouche et un homme commençant à donner des signes de jouissance montante. Il retire sa bite et éjacule sur mon visage de longs et épais jets de sperme, me recouvrant les joues et le menton. Quelques jets arrivent dans ma bouche mais je les recrache aussitôt. Je suis pantelante au milieu de l’allée lorsque des mains me prennent la taille et une nouvelle queue s’insère dans ma chatte et commence directement à me pilonner. L’impression est qu’elle est bien longue et surtout bien épaisse. Je la sens bien dans ma chatte malgré l’excitation. Des cris commencent à sortir machinalement de ma gorge et je repars en jouissance très rapidement. Il me prend pendant de longues minutes, déclenchant un troisième orgasme, et se retire pour venir lui aussi se vider les couilles sur mon visage.
Je n’en peux plus, je suis exténuée. Heureusement que madame était là pour s’occuper des autres hommes, je ne pense pas que j’aurai pût satisfaire tout le monde. Je m’assoie dos contre un siège pour éviter de me faire reprendre par surprise et réalise que j’ai le visage et les cheveux dégoulinants de sperme, le dernier ayant lâché lui aussi beaucoup de semence.
Je ne sais pas comment je vais pouvoir me laver, je suis poisseuse, je sens le sperme à deux kilomètres à la ronde, bref, c’est la cata !
Madame en finit avec son dernier prétendant elle aussi bien recouverte de sperme sur le visage et les seins. Elle s’approche de moi, me relève, se colle à moi pour m’embrasser à pleine bouche et m’entraine vers le fond du cinéma.
— On va se débarbouiller, viens avec moi.
— Il y a des douches ?
— Oui… Ouvertes à tous les regards mais bon, c’est un cinéma porno en même temps, pas la piscine. Et elle rigole.
— Je suis exténuée, ils m’ont démoli !
— J’ai vu ça ! Tu as pris chère ! Mais c’était super excitant à regarder lorsque je le pouvais.
— Je n’ai pas eu trop le temps de te voir pour être honnête.
— C’était plutôt cool, pas mal de bon baiseur, ce n’est pas toujours le cas. Et surtout il y avait du monde. Parfois, il n’y a que deux ou trois hommes qui n’osent pas approcher. Là, ils étaient nombreux et actifs, c’était bien.
Nous nous rendons dans les douches qui se trouvent être dans le couloir menant aux différentes salles (trois en tout) et nous lavons avec un gel douche à disposition. Faut pas trop regarder mais ça enlève le plus gros au moins. Nous retournons toujours nues dans la salle où monsieur nous attend avec nos vêtements. Les autres protagonistes sont déjà partis. Nous nous rhabillons et sortons du cinéma. Ils me proposent de venir boire un verre mais mon amie m’attend, je décline donc l’invitation. Nous nous embrassons fougueusement avant de nous séparer et je redescends vers l’endroit où ma copine m’attend depuis plus d’une heure maintenant.
— Alors ? Tu t’es bien dévergondée ?
— Tu aurais dû venir, c’était exceptionnel !
— Pfff, non, pas mon truc.
— Parce que tu n’as jamais fait… Tu veux que je te raconte ?
— Non, enfin si, enfin, je ne sais pas !!! Pas ici devant tout le monde en tout cas… Peut-être à l’appart ce soir… On verra
Après avoir pris une conso et m’être un peu reposée, nous rentrons à son appartement.
— Mais tu l’as vraiment fait ? Je veux dire, au cinéma et tout ?!
— Oui mais pas que. Je suis allé dans un sex-shop avant pour attendre que la séance commence. Mais tu étais déjà partie (pas de téléphone portable à l’époque). Je te raconte ?
— Mmmmm. Je pense qu’il va me falloir un verre avant. Là, je ne suis pas en état d’entendre des histoires de cul.
— Ah en fait, tu aimes ça mais lorsque tu en as un coup dans le nez !!!!
— En fait, ça me dévergonde un peu mais pas au point de faire ce que tu as fait ! Juste pour regarder des vidéos porno quand je me sens seule… Ou lire des histoires dans des magazines pour adulte.
— Tu achètes ça ?? Tu me surprends, je ne te croyais pas comme ça !
— En fait, je suis abonnée à un magazine d’histoire de cul, je le reçois tous les mois… Et elle baisse la tête en rougissant.
— Ne fais pas cette tête, c’est pas grave ! Mais la réalité est encore mieux que de se l’imaginer, je te l’assure avec ce que j’ai vécu aujourd’hui !
Et après un (bon) apéro et une bouteille de blanc en mangeant, elle est dans les bonnes dispositions dans le canapé pour entendre mon histoire. Je lui raconte tout dans le détail. Je la vois rougir plusieurs fois et comprends que c’est d’excitation et non de gêne. En effet, je ne la regarde pas forcément pendant que je raconte l’histoire, je suis dans le canapé les yeux fermés pour me remémorer le plus de détail possible. Lorsque, au moment de la première éjaculation sur mon visage (vers la fin tout de même de l’histoire), je tourne la tête vers elle, je la vois les yeux fermés tête en arrière et la main dans son pantalon qu’elle avait discrètement ouvert. Elle faisait en sorte de ne pas faire de bruit, et comme j’étais à fond dans mon histoire, je n’y prêtais pas attention. Je continue à raconter tout en m’approchant d’elle. Elle ne s’aperçoit pas que j’ai ralenti le récit et sursaute lorsque ma main passe sous son T-shirt pour le relever.
Je fais très vite pour éviter toutes représailles et colle ma bouche sur l’un de ses tétons que j’aspire immédiatement. A ma grande surprise, elle pose une main sur ma tête et continue à se masturber de l’autre. Ok, je comprends qu’elle est lesbienne, d’où le peu d’intérêt pour aller se faire baiser cet après-midi. Elle est plus excitée par mon récit d’avec l’autre femme que de l’éjaculation sur mon visage…!
Elle ne se retient plus et j’entends sa respiration s’accélérer avec de tous petits cris sortir de sa bouche. Je me redresse pour la déshabiller. Elle se laisse faire. Je me mets debout devant elle et entame un strip-tease langoureux. Elle reprend sa masturbation en me regardant, les jambes grandes ouvertes. Une fois nue, je me jette entre ses jambes et lui embouche son clito qu’elle a de très gros. Rapidement, elle se met à jouir très fort et, dans un spasme révélateur d’un orgasme, m’inonde elle aussi le visage de cyprine. Décidément, c’est la journée ! Elle me redresse et, sans un mot, m’embrasse et m’entraine dans sa chambre. Là, elle me dit de m’allonger et va vers son mini-dressing. Je ne vois pas ce qu’elle fait mais suis surprise de la voir revenir avec un gode-ceinture attaché.
— Tu en as pris plein aujourd’hui, tu n’es pas à une de plus !
— Oh oui, prends moi !
Et elle vient tout doucement s’allonger sur moi. Elle m’embrasse du sexe jusqu’à la bouche. Et au moment de mettre sa langue dans ma bouche, me plante le gode dans la chatte. Mais pas violemment, doucement, avec tendresse presque. En m’embrassant et me regardant dans les yeux.
— J’ai envie de ça depuis si longtemps, mais je n’ai jamais osé te demander…
— Chut et prends-moi !
Et là, elle commence à bouger. Progressivement, elle accélère le mouvement jusqu’à se redresser sur ses coudes, me relever les jambes sur ses avant-bras et commencer à me défoncer. Apparemment, son gode-ceinture est double ou a un truc car elle part elle aussi et commence à jouir autant que moi. Nous prenons notre pied ensemble et elle retombe sur moi. Je suis à bout de souffle. Il faut dire que je n’ai pas arrêté de baiser depuis l’après-midi ! Elle se retire tout doucement et s’allonge contre moi. Je me blottis au creux de son bras avec un sein comme oreiller. Je m’endors presque aussitôt.
Le dimanche matin, après le petit déj’, je traine dans l’appartement en culotte. Mon amie est partie de bonne heure, avant mon réveil, faire un footing (courir ! Quelle idée !) et revient dans une tenue typique moulante aux couleurs flashy. Elle est en nage mais est très sexy. Elle me voit, m’embrasse tendrement et file sous la douche. Inconsciemment, je vais la rejoindre pour une séance de nettoyage mutuel. Évidemment, nos gestes ne restent pas juste sur nos dos et épaules et très vite, je suis à genoux derrière elle qui prend appui avec ses mains sur le mur de la douche. Elle m’offre ainsi sa croupe et ma langue commence à se promener de sa rosette à sa vulve, sans oublier son clito. Je commence aussi à lui planter deux puis trois doigts dans la chatte.
— Oh ouuiiii ! Vas-y ! Plus fort !!
Je m’exécute et commence à la branler de plus en plus fort tout en insinuant ma langue dans son cul. Elle se raidit d’un coup dans un orgasme qui la fait se retrouver à genoux aussi. Ma main ne quitte pas son entrejambe et je continue à la pistonner. Je rentre un quatrième doigt. Elle a du mal à se reprendre et continue à jouir bruyamment. Je me dis qu’au point où elle est, un fist ne la dérangerait pas et, aider par sa mouille et le savon de notre douche, je le tente. Ce ne doit pas être la première fois car je n’ai pas trop de mal à insérer ma main jusqu’au poignet (même si j’ai de petites mains). Elle jouit de plus en plus fort et je serre le poing à l’intérieur de son vagin pour bien la défoncer. Je sens ses contractions à travers son vagin au fur et à mesure que l’orgasme arrive et accélère pour le faire exploser. Elle n’en peut plus et je retire ma main délicatement. Je ressors de la douche, me sèche et vais l’attendre sur le lit.
Elle met cinq bonnes minutes à sortir. Je suis assise nue sur le lit et je l’attends. Elle vient directement vers moi d’un pas décidé, me pousse sur le lit et me saute dessus. Elle m’attrape les poignets et les met au-dessus de ma tête. Pas un mot, rien, juste un regard dur se plantant au fond du mien. Elle se penche alors vers moi et m’embrasse à pleine bouche tout en me maintenant les poignets. Puis elle relâche l’étreinte et descend pour me prendre un sein en bouche. Elle le lèche, le mordille, joue avec le téton de sa langue et ses dents. Une main vient s’occuper du second tandis que l’autre descend se poser sur mon pubis. Elle commence alors à me masser le clito et glisse ensuite plus bas pour venir planter directement trois doigts dans ma chatte. Elle a toujours un sein en bouche en faisant ça. Je me laisse aller et commence à prendre du plaisir. Ses doigts me fouillent profondément et je me demande si elle va m’administrer le même traitement que celui que je lui ai fait dans la douche. Mais non, elle laisse mes seins pour prendre en bouche mon clito et me doigter de plus en plus frénétiquement. Je pars dans un orgasme terrible et jouis bruyamment. Elle se redresse alors, retire ses doigts, les lèches goulument et m’embrasse tendrement. Nous restons ainsi dans les bras l’une de l’autre quelques dizaines de minutes puis nous allons préparer le repas du midi.
Je pars à contrecur en milieu d’après-midi pour retourner sur Cherbourg.
La vie parisienne me parait délurée comme je l’aime et je lui promets de revenir la voir rapidement.
J’ai aimé ce passage lesbien mais il me manque quand même quelque chose. Un gode, ce n’est pas une bite. Elle ne jouit pas, n’explose pas de foutre dans la bouche. Bref, je veux un homme ! Je me dis que l’expérience de l’aller peut se reproduire au retour. Surtout avec ces routiers bloqués pour certains depuis le vendredi soir. Rien de mieux qu’un homme en manque pour te donner du plaisir.
J’arrive à la sortie de Paris (Mantes la jolie pour moi) vers 19h. Il y avait pas mal de monde dans Paris même pour repartir et j’ai perdu beaucoup de temps. Je pense m’arrêter pour manger dans un resto d’autoroute du côté de Rouen. Quelques voitures et beaucoup de camions dans le fond du parking, très bien. Il fait nuit donc pas mal pour la discrétion.
Je commence par la partie restaurant car j’ai faim et envie d’aller aux toilettes. A l’intérieur, beaucoup de voyageurs, surtout des familles. Donc ne pas faire de vague ! Je mange en vitesse et remonte en voiture. Cette aire d’autoroute sépare bien le parking restaurant et le parking routier qui dispose d’un bloc sanitaire à part au fond. Toilettes homme/femme et même douche y sont proposées. Pratique !
Je me gare bien à l’abri de la lumière des quelques lampadaires pour être tranquille. J’attends un peu pour observer ce qui se passe. Je ne vois pas tout le parking mais suffisamment pour m’apercevoir qu’il y a un groupe de routier, environ six ou sept, qui discutent ensemble. Il y a de tout : petit, grand, gros, maigre et de toutes les couleurs. La majorité n’a pas l’air très vieux mais certains m’intéressent plus particulièrement. Mais ils sont en bande et donc indissociables.
Je décide de faire une approche mais, en jean pull, ce n’est pas le plus sexy… Je chope ma valise et prends une robe que j’avais emmenée au cas où on sortirait. J’avais aussi une paire de collants pour me protéger du froid. Je me déshabille dans la voiture et mets robe et collant. Évidemment, je ne garde pas mes baskets mais mets une paire d’escarpins talon pas trop haut. Je mets par dessus mon blouson cuir et le tour est joué.
Je sors de la voiture et me dirige vers les sanitaires en faisant en sorte de me faire repérer par le groupe sans passer à proximité. Ne pas faire la nana qui cherche à se faire baiser mais juste qui va aux toilettes. Ils me voient bien et j’entends des mots et sifflements fuser. Je me tourne vers le groupe et leur adresse un petit signe de main et un beau sourire. Je rentre côté femme et fais semblant d’aller me soulager.
J’entends très vite des pas dans le couloir. J’enlève les collants et les mets dans la poche de mon blouson. J’ouvre la porte et me retrouve devant quatre des routiers. Je m’aperçois que deux autres font le guet à l’entrée du bloc sanitaire. En gros, il pense que je vais me débattre lorsqu’ils vont vouloir me baiser… S’ils savaient !!
Le plus proche me pose une main sur l’épaule et me pousse dans le chiotte que je viens de laisser. Je le regarde avec un regard de défis.
— Tu fais quoi là ?
— T’inquiète pas ma petite, tout va bien. On s’est juste dit avec les copains que tu aurais peut-être besoin d’un peu de compagnie…
— Et si je n’ai pas envie de compagnie ? Si j’ai juste envie de me faire baiser ?
Le regard de l’homme me fait comprendre qu’il est déboussolé. Ses collègues de route, eux, commencent à approuver ma dernière réplique.
— Hey, on est tombé sur une salope ??!!
— Elle veut nous vider les couilles cette pute ??!!
Je les regarde tour à tour et, sans un mot, m’accroupis pour faire sortir la queue du gars m’ayant repoussé dans les chiottes. Je lui sors la queue et commence à le sucer doucement. Il ne met pas longtemps à bander. Les autres me traitent de tous les noms possibles synonyme et salope. Je m’en fous complètement ! J’en suis une ! Je me relève et les regarde de nouveau.
— Il n’y a pas un endroit moins glauque pour le faire ? On peut peut-être aller dans un de vos camions ? Ce serait plus confortable non ?
— On rentre pas tous dans un camion. Au mieux à trois pas plus !
— Ben vous ferez un roulement ! Je veux que vous me baisiez tous !
— On a qu’à aller dans le bus de Jojo, il est vide !
— Jojo ? On peut l’emmener dans le bus ? A l’étage ce sera discret et on aura plus de place !
— Ok mais vous nettoyez après ! Pas envie de nettoyer votre foutre !
— Il est gay, c’est pour ça qu’il ne vient pas ! Me dit l’un des gars qui avait passé sa main sous ma robe pour me caresser les fesses.
Nous voilà partis pour le bus de Jojo. Il nous l’ouvre et on monte tous à l’étage. Au final, six gars m’accompagnent. L’un d’eux a été cherché une boite de 20 capotes dans son camion, on a de quoi voir venir !
Très rapidement, plusieurs mains me caressent et ma robe ne reste pas longtemps en place, suivie de près par mon soutien-gorge. Mon string dure plus longtemps mais pas beaucoup. Je me retrouve nue, debout entre trois gars en train de me faire peloter de partout et en les branlant à tour de rôle. Je décide de prendre l’initiative et m’agenouille de nouveau pour les sucer. Comme pour le physique, il y a des queues de toute taille et forme. L’un d’entre eux est trop excité et jouit très vite sur ma poitrine. Rapide et pas très consistant. A peine de quoi recouvrir mon téton…
Les deux autres par contre sont endurants. Le but n’étant pas de les faire jouir comme ça, j’en pousse un pour l’allonger dans l’allée de sièges. Je prends une capote, lui mets et l’enfourche énergiquement. Je commence à le baiser et attire un autre devant moi pour le prendre en bouche. Un troisième n’attend pas, met une capote et décide de me faire le cul. Mais voilà, l’obscurité fait qu’il loupe le trou et se retrouve dans mon vagin avec celui déjà en place ! Double vaginale ! Ça faisait longtemps depuis l’été dernier ! Je commence à jouir fort et leur dit de me prendre plus violemment dans mon vagin.
Un quatrième se dit qu’il a une idée et enfile lui aussi une capote. Il demande à celui derrière moi de se pencher en arrière et viens se mettre à cheval sur ma croupe. Il ne va pas essayer de mettre sa queue aussi dans mon vagin quand même ???!!! Trois serait trop !
Mais non. Lui, ce qu’il veut, c’est mon cul ! Et il ne manque pas sa cible, même s’il a du mal à entrer du fait de ma chatte distordue qui remonte vers mon trou du cul. Mais une fois à l’intérieur, je n’arrive plus à tenir la bite en bouche. Je jouis trop ! Ils s’activent tous les trois à un rythme différent et je comprends que celui qui m’a enculé par le mauvais trou a joui. Il se retire et laisse plus de place à celui dans mon cul. Je reprends ma pipe et l’orgasme arrive lorsqu’il décharge dans ma bouche. Je recrache tout (tant pis pour la moquette !) et vois un autre enfiler une capote. Seconde double vaginale ? Non ! Lui vise la double anale ! Heureusement qu’ils n’ont pas de trop gros membres car sinon impossible ! Et il y arrive ! Je me fais de nouveau prendre par trois mecs. Je jouis comme une malade. Que ça fait du bien !!
Celui dans mon vagin me malaxe les seins sans ménagement et d’un coup se fige et jouis en moi (dans la capote pour être exact). Il se retire mais ne peut se relever du fait de ces deux compères s’affairant dans mon cul. Je sens une sensation incroyable monter de mon ventre. Une chaleur indescriptible m’envahit et un orgasme me secoue de spasmes pendant plusieurs secondes. Je perds à moitié connaissance tellement il est violent. L’un des deux encore en action se retire et jouit sur mes fesses. Le second le suit rapidement et se libère sur mon dos.
Plus qu’un qui regarde en se branlant. Il n’a pas le temps de faire quoi que ce soit et me lâche sa purée sur le visage en voulant me la mettre en bouche. Je n’aurais pas eu la force de le sucer de toute façon. Je me retrouve par terre, ruisselante de foutre.
Le Jojo arrive et me relève. Il prend mes affaires et m’entraine nue dans les douches. Je me lave plus ou moins bien et me rhabille en le remerciant.
— Ben ma belle, tu as pris chère ! Je n’avais jamais vu une nana se faire prendre en double… Surtout une jeune et belle comme toi !
— J’adore ça, je ne peux pas me retenir. J’aime me faire prendre par plusieurs mecs.
— Un brin nympho non ?
— Oui, et j’assume !
— Tu as bien raison. Il faut profiter tant qu’on le peut. J’aurais bien aimé être à ta place pour tout te dire mais il n’y en a pas un seul qui veut baiser un homme. Juste des femmes.
— C’est bien dommage ! Je suis sûr que tu es un bon coup !
— Mes amants ne se plaignent pas en tout cas.
Nous rigolons cinq minutes et il m’invite dans son bus pour prendre un café. Après avoir discuté pas loin d’une demi-heure, je le remercie encore et remonte en voiture. Il n’est pas loin de 22h et j’ai encore au moins 2h30 de route.
Je décide de partir mais en sachant que j’allais faire une pause dodo dans pas longtemps. Mais pas ici, pas avec les mecs qui m’ont baisé. Ils seraient capables d’en redemander et je ne m’en sortirai pas. Après 30 km, j’arrive sur une autre aire d’autoroute. Pas de station, juste des sanitaires. Pas grave, c’est pour dormir un peu. Je me gare hors des lampadaires mais pour ne pas qu’ils me dérangent pour dormir.
Je dors 20 bonnes minutes réparatrices et me réveille. Je regarde autour de moi et vois une voiture un peu plus loin, encore plus à l’écart des lampadaires. Mais ce qui attire mon regard c’est surtout le fait qu’il y a deux hommes à l’extérieur, un de chaque côté de la voiture, et qu’ils sont en train de… Se branler ??? Mais oui ! C’est bien ça ! Les vitres de la voiture sont embuées mais je la vois avoir des mouvements bizarres sur ses amortisseurs. Ok, un couple est en train de baiser dedans avec deux mecs qui les matent. La boule dans mon ventre me fait dire que ça m’excite et que j’aimerai bien aller voir. Soit po
