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Nous deux, Mary et Pierre – Chapitre 4

Drôle d'après midi de Septembre - Chapitre 2



Chapitre 4 : les vacances torrides

Après notre week-end torride, samedi de courses, avec une conclusion explosive. Le dimanche nous n’avons quitté ma chambre que pour nous restaurer rapidement. Nous avons fait l’amour toute la journée, « bestialement, sensuellement, tendrement », l’Amour, l’amour vrai entre deux êtres qui s’aiment d’une passion sans limites !!

Au placard, les « interdits », la bonne morale, les doutes, les remords.

Nous voulons vivre notre amour, comme d’autres couples, même si nous devons rester discrets.

Lundi soir, maman rentre du boulot vers 18h, les bras chargés de catalogues de voyages.

Je l’accueille avec plaisir, je la prends dans mes bras, on s’embrasse tendrement, nos lèvres se joignent, notre amour fusionne par ce baiser.

Maman changée, en tenue décontractée, nous voilà assis sur le canapé, collés l’un à l’autre, nous consultons les catalogues, Mary respire le bonheur, et elle me dit : « j’ai été reçue par une charmante personne, une certaine Valérie, une très belle femme, je pense qu’elle te plairait.

— Mais maman, il n’y a que toi qui me plaises !

— Comme c’est chou ce que tu me dis.

Notre choix est rapide, la Martinique, hôtel 4 étoiles sur la commune du Diamant.

— Demain je vais réserver pour deux semaines, et tu verras mon chéri, on va passer des vacances torrides !! J’ai ma petite idée là-dessus…

Oulalah, qu’est-ce qu’elle me manigance encore, une vraie « chipie » !

— Mais maman, tu as vu le prix du séjour ?

— Pas de soucis mon amour, tu sais bien, tes grands-parents nous ont laissé un bel héritage, alors profitons !!…

Comme prévu, je contacte mon école pour les résultats de mon diplôme, et après une brève attente, le résultat tombe : « admis avec mention AB ». Dans la foulée, j’appelle maman pour lui annoncer la bonne nouvelle, elle est aux anges.

— Tu vois que tu es reçu ! Tu as vraiment gagné ton séjour !!.

Début août, direction Orly, maman est radieuse dans son petit pantalon crème, bien moulant, tee-shirt noir, qui met en valeur sa voluptueuse poitrine. Petites baskets noires, et toujours joliment coiffée, avec sa queue de cheval. Petit gilet pour le vol, un vrai régal pour mes yeux.

Pour moi, jean, baskets, un polo de la marque au croco. Direction l’embarquement, je pousse le chariot avec nos valises, Mary me donne le bras, aucune gêne entre nous. Pendant l’attente en salle d’embarquement maman est blottie contre moi, la tête contre mon épaule. Me caressant le bras tendrement, elle me susurre à l’oreille : « comme je suis heureuse de partir avec mon chéri, on va passer d’excellentes vacances ».

Huit heures de vol, passées blottis l’un contre l’autre, bisous, caresses, mais malgré tout, nous resterons sages…

Nous voici arrivés à l’aéroport du Lamentin, en descendant de l’avion, nous sommes de suite envoûtés par les odeurs de fleurs.

Un mini bus nous dépose à l’hôtel. Nous nous installons dans notre chambre, grande, lumineuse, pourvue d’un lit immense, une grande salle de bain avec douche à l’italienne. En la voyant, maman sourit, elle repense sûrement aux bons moments passés chez nous, dans notre propre douche. Moi aussi. En y repensant, ma virilité donne des signes dans mon boxer.

Après nous être installés, nous prenons une douche tous les deux, une douche plus que sage, nous n’avons même jamais été aussi sérieux. Nous nous lavons mutuellement, tout en échangeant des sourires qui veulent dire beaucoup…

Après un dîner rapide, nous allons nous coucher, la fatigue du voyage faisant son uvre.

Nous nous couchons, seul un drap nous couvre, maman s’allonge sur le côté, je me colle dans son dos, une main sur son sein, je l’embrasse dans le cou et lui souhaite une bonne nuit. Nous sombrons de suite dans un sommeil réparateur.

Deux heures du matin, je suis réveillé, le décalage horaire probablement, mais il y en un qui ne connaît pas le décalage… Je bande comme un gros cochon, collé dans le dos de maman.

— Dis donc, ton engin se réveille plus vite que toi mon chéri !!

Cela me fait toujours tout drôle qu’elle m’appelle son « chéri ».

Je me colle encore plus, ma virilité bien calée dans la raie de son magnifique popotin. J’ai une envie folle de la baiser !!!! Je malaxe ses deux belles oranges.

— Après la bête, monsieur se réveille quand même, pourtant ça fait un moment que je frotte mon cul contre ta queue !

— Du calme ma belle, je vais m’occuper de ta petite personne !…

Maman se retourne sur le dos, nos lèvres se lient pour un baiser passionné. Mary me caresse le dos, tandis que je flatte ses seins, un vrai régal que de s’occuper de sa magnifique poitrine.

— Fais-moi l’amour mon chéri, j’ai trop envie de te sentir en moi.

Je me glisse le long de son corps, ma bouche arrive au niveau de sa minette, toujours aussi agréable à regarder.

— Ma chérie je vais commencer par dévorer ta magnifique chatte !

— Oh oui mon amour j’adore sentir ta langue sur ma petite chatte.

Je commence mon cunni en douceur, léchage dans les règles de l’art, maman coule, en ronronnant de bonheur.

J’y mets tout mon cur, ma langue fouille sa foufoune en profondeur, je titille son clito avec mon index.

— Continue, ne t’arrête pas, c’est trop bon mon fils !

Sa jouissance arrive, elle se tend de tout son corps, elle est secouée comme un pantin, ses mains appuient sur ma tête afin que je n’arrête pas mon « travail », elle gémit en silence, nous pensons aux voisins…

— Viens par ici que je m’occupe un peu de ton merveilleux engin !!!!

Je me place à califourchon sur maman, elle attrape ma queue des deux mains, pour me pomper. Elle y met tout son cur, elle m’avale entièrement, je la contemple, on dirait une affamée, tellement elle me pompe, à cette cadence je ne vais pas tenir longtemps.

— Arrête, j’ai trop envie de te sauter, ma salope de maman !!

Je m’allonge sur elle, qui écarte les cuisses impudiquement, je place ma bite à l’entrée de sa grotte d’amour, et je commence à la pilonner en cadence. Mais j’ai envie d’autre chose, je place ses chevilles sur mes épaules, profitant au passage pour lui faire quelques léchouilles sur ses jolis pieds. Mary me regarde, un peu surprise par mon initiative. « Dis donc mon coco, on se permet des fantaisies avec sa petite maman ?…

— Tu vas adorer, mon amour.

Je mets tout mon cur dans un pilonnage profond, nous sommes tous les deux en transes, par cette nouvelle position.

Encore une fois nous atteignons le nirvana suprême.

Mary jouit bruyamment pour la seconde fois, je la rejoins en me vidant par de longs jets tout au fond de sa matrice. Ses jambes enserrent mes reins, telle une pince. Nous reprenons notre souffle, tendrement enlacés.

— C’est l’air des Antilles qui te donne toutes ces idées coquines ?

— Non, je me sens inspiré quand nous faisons l’amour.

La fatigue refait surface, et nous nous rendormons dans les bras l’un de l’autre.

Les vacances se passent à merveille, nous avons loué une voiture. Visites, plage, farniente, bronzette, câlin, gros câlins, et bien plus !!…

Un jour en fin d’après-midi, en nous promenant sur une plage du sud de l’île, Maman à peine vêtue de son bikini turquoise et jaune ne couvrant pas grand-chose, nous marchons main dans la main, les pieds dans l’eau, sur cette plage presque déserte. Nous croisons alors un couple d’un certain âge. Une fois passé, nous entendons distinctement : « tu as vu la nana, elle est avec un jeune.

Mary se retourne, et leur dit : « eh oui il est jeune, et il me baise en plus !…» laissant le couple interloqué.

— Calme-toi mon amour !

— Ils me gonflent tous ces cons, qu’ils s’occupent de leur cul !

De retour à l’hôtel, maman a retrouvé son calme, et surtout le sourire. Une fois dans la chambre, je lui roule une pelle endiablée, et elle y met autant de fougue que moi. Rompant notre baiser, maman se dirige vers la salle de bain, et en ressort très vite. « Attrape, ça va te plaire !… » Je capte la boîte, et vois tout de suite de quoi il s’agit. « Lubrifiant ». Malin que je suis, je sais bien ce qu’elle veut, je lui dis : « tu n’en as pas besoin, vu comment tu mouilles quand on fait l’amour, je n’en vois pas l’utilité.

« Espèce de gros coquin, tu sais très bien ce que je souhaite… ». Voulant lui faire dire son envie, je joue alors l’innocent : « non je ne vois pas du tout ma chérie, précise ta pensée. » Je la pousse à m’avouer son désir. « Tu te rappelles ce que je t’ai dit la première fois où nous avons fait l’amour ? Un endroit de mon intimité n’a jamais été visité, et je veux que ce soit toi le premier !! » Je la sens tendue. Maman reprend : « j’ai une grosse envie de me faire sodomiser par toi, et rien que par toi mon amour ! Oui, j’ai envie de me faire enculer, comme la bonne salope que je suis !! » Après cet incroyable aveu, nous demeurons silencieux quelques instants. Puis, Maman reprend. « Mais avant les festivités, une douche, on mange, et je suis à toi pour notre petite affaire, on aura toute la nuit pour mon dépucelage, mon petit cochon !…

Après la douche, Maman se pare de sa robe blanche ornée de grandes fleurs roses. Très jolie, certes, mais… Longue, jusqu’aux chevilles, et quasiment pas décolletée.

Cela dit, cette robe est très transparente, cela se confirme en contrejour, en passant devant la baie vitrée de notre chambre. Je distingue ses merveilleuses courbes. Dessous, elle est seulement vêtue d’un string, plus que mini, et surtout sans soutif.

Direction le restaurant de l’hôtel, main dans la main, nous devinons des regards très envieux. J’admire Mary, je suis fier comme un coq d’avoir une aussi belle femme à mes côtés.

Nous dînons en parlant de tout, sans cesser de nous dévorer des yeux. La sono du restaurant diffuse de la biguine, danse très érotique, si on la pratique avec finesse.

A la fin du repas, j’invite Maman à danser, nous la jouons « collé/serré », ma jambe frotte son entrecuisse. Je sens maman parcourue de frissons. Les yeux fermés, elle savoure le traitement que je lui prodigue. Ma virilité réagit également, je me serre le plus possible contre elle, tout en continuant à danser.

Maman me souffle à l’oreille : « je crois mon chéri que l’on ferait mieux de retourner dans notre chambre, vu l’état d’excitation dans lequel nous sommes tous les deux, on ne va pas pouvoir se retenir longtemps !…

J’approuve avec un large sourire les propos de Maman, avec la perspective de ce qui nous attend !…

Nous regagnons notre chambre le plus vite possible, comme deux ados. Une fois franchie la porte, je plaque Maman contre le mur de la chambre, ses bras autour de mon cou, mes mains sur ses hanches, nous nous embrassons à pleine bouche, jusqu’à perdre haleine. L’amour transpire par nos lèvres, je dégrafe la robe de Maman, la fait passer par-dessus sa tête, mon tee-shirt prend le même chemin. À moitié nus, nous reprenons notre baiser passionné. Je romps ce baiser, et lui demande :

— Tu veux toujours essayer ?

— Plutôt deux fois d’une, je veux tout connaître avec toi mon petit cochon de fils

Je pousse Maman sur le lit, je quitte short et boxer, avant de lui enlever son mini string. Je me couche sur elle, au passage je m’occupe de sa merveilleuse poitrine que je couvre de mille baisers. Je léchouille les tétons, qui réagissent au quart de tour, tandis que Maman me caresse le cou amoureusement. Nos bouches se retrouvent pour un baiser endiablé !…

Je descends, en promenant la pointe de ma langue tout le long de son corps, Maman se cambre, saisie d’un frisson.

« Olalah, quel délice !… » gémit-elle.

Je lui écarte les jambes tout en lui remontant les cuisses, m’offrant un accès parfait à toute son intimité. Je commence un léchage de sa minette. Maman commence à couler. « Oh oui, bouffe-moi bien. » Il ne faut pas me le dire deux fois, ma langue s’attarde sur sa petite rondelle, j’effectue des cercles avec la pointe. Maman coule de plus belle, je darde ma langue dans son petit trou, la fais légèrement rentrer. « Que c’est bon mon amour ! Humm, c’est tout nouveau pour moi, quel délice !!

Passons maintenant aux choses « sérieuses », je rentre mon index dans son puits dégoulinant de cyprine pour bien le lubrifier, je masse sa rondelle, afin de bien l’assouplir, et je m’enfonce tout doucement jusqu’à la première phalange,

— Oh ça me fait tout bizarre !! Je ne connaissais pas.

Je continue ma visite, en poussant lentement mon doigt, le tournant lentement sur lui-même. Je sens le sphincter se détendre tout doucement. Mon doigt se retrouve complètement au fond de son cul.

— Ho ouiiiii que c’est bon, ne tarrête pas !

Je veux lui mettre un deuxième doigt, mais auparavant je lui badigeonne son petit trou de lubrifiant, ainsi que mes doigts. Tout en douceur, pour qu’elle en garde un bon souvenir, je rentre donc mes deux doigts en tournant. Maman gémit, ahane très fort, elle apprécie ce traitement, son sphincter commence à bien s’ouvrir. J’entame un va-et-vient avec mes doigts.

« Putain que c’est bon de se faire doigter le cul !!… » s’écrie-t-elle.

Je la sens prête à accueillir ma queue.

— Maman, mets-toi à quatre pattes.

Elle s’exécute avec un large sourire, je lui remets du lubrifiant sur son trou du cul, le fais bien pénétrer à l’intérieur, et m’en tartine la queue, ça devrait glisser du tonnerre.

Je présente ma queue tendue, dure comme de l’acier, sur son petit trou. Je perçois une légère résistance, j’insiste sans trop forcer, le sphincter s’ouvre, mon gland pénètre en entier. Maman pousse un petit cri, sûrement de surprise.

— Ça va Maman ? Pas trop douloureux ?

— Non, mais très surprenant, continue en douceur.

Fait-elle tout en gémissant.

Je continue à pousser, toujours en douceur, je pénètre son petit conduit, centimètre par centimètre, jusqu’à ce que mes couilles touchent son cul.

— Ça va toujours mon amour ? Pas trop douloureux ?

— Ça va, mais attend un peu avant de mettre la machine en marche, que je m’habitue d’avoir ta grosse bite dans mon cul…

Je sens ma queue écrasée dans son canal étroit, je commence à ressortir légèrement et replonge dans son fondement, mes mouvements de pilonnage se font plus amples, mes couilles claquent contre sa chatte. Mary commence sérieusement à apprécier mon traitement, ses gémissements montent en intensité, je ralentis.

— Ah non, plus fort, encule bien ta salope de mère !!… C’est trop bon de se faire péter le fion, j’adorrrreeee !!

— Ah ma salope, tu aimes te faire bourrer le cul par ton fils, hein ?

— Oh que oui, c’est trop bon, accélère encore.

Je la pilonne à présent de toute ma longueur, Mary passe sa main entre ses cuisses, s’astique la chatte, y enfonce deux doigts, je sens le contact de ceux-ci sur ma queue, à travers la fine paroi séparant les deux conduits.

— Putain, c’est trop bon maman, quel bonheur d’être dans ton cul, de sentir tes doigts dans ta chatte, tu es une vraie salope.

— Oh ouiiii mon chéri, je suis une vraie salope, surtout quand j’ai la grosse bite de mon fils dans le cul !!!!!

Je sens la pression monter, je lui déchire le cul tellement j’y vais fort. Sa magnifique queue de cheval se balance sous mes yeux. Je la prends dans ma main, et la tire vigoureusement, obligeant Maman à cambrer la tête en arrière.

— Oh oui, tire-moi les cheveux pendant que tu m’encules ! Je sens que ça vient, ouiiiii, lâche ta sauce, inonde moi les boyaux !…

Les paroles crues de Maman font monter mon excitation jusqu’au nirvana.

— Je viens, haaaaaa !!…

Je me vide en de longs jets, mon jus d’amour inonde son fin conduit.

— Je jouis mon salaud, je sens ton jus qui me remplit !!!!

Notre jouissance est fulgurante, comme une électrocution dans notre plaisir, nous nous écroulons sur le lit, moi toujours planté dans son joli petit cul.

Nous reprenons nos esprits, nous sommes allés tellement loin dans notre plaisir pour une première ! Ce fut pharaonique. Je sors du joli cul de Maman, m’allonge à ses côtés.

— Quel pied, tu m’as éclaté le derrière, et j’ai adoré !!

— Moi aussi Maman j’ai adoré, on a peut-être été un peu loin au niveau des paroles

— Pas de soucis mon chéri, on était trop excités tous les deux, plus aucun contrôle

— Cool, alors !!…

— Mon chéri, tu me fais redevenir femme, c’est un vrai pied que de baiser avec toi, et maintenant par tous les trous !…

Nous sommes lessivés par cette partie de baise sauvage, nous sombrons très vite dans un sommeil réparateur.

A suivre…

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