En fait, j’avais très envie de sexe. Si j’étais resté à la maison, je me serais sûrement joint à mes parents que j’imaginais coïtant comme des bêtes, avec mon frère en guest-star.
Je le revoyais sur le corps de maman tout à l’heure, sa puissance musculature, sa peau d’éphèbe et ses grandes mains recouvrant les seins… Je me rendais compte, à présent, combien cette vision m’obnubilait.
Je devais me masturber si je voulais trouver le sommeil car, tant que l’excitation durerait, ce me serait impossible… mais avant, je voulus tenter quelque chose.
Stéphane dormait comme un loir et je résolus de profiter de son sommeil de plomb pour tenter de lui ravir une photo.
J’enlevai sa couette. Il était torse-nu, comme d’habitude, allongé sur le dos, le bras gauche écarté du corps, laissant deviner son aisselle fournie. Je m’appliquai à baisser le pantalon de pyjama ce que je parvins à faire sans trop de difficultés. Stéphane remua à peine.
Son gros sexe reposait dans l’écrin formé par ses cuises poilues et l’imposante toison pubienne. On devinait le dessin du gland sous un prépuce épais. Les couilles pendaient longues et grosses. Je pris une photo du mâle trapu, dont la force virile était endormie et apaisée. Plus petit que mon frère et moi, plus poilu, et très baraqué, je l’imaginais copulant avec ma mère… ce serait beau. Je finis de me masturber et éjaculai sur son pubis… sans le réveiller. Puis je repris deux photos, dont une du sexe, en gros plan sous mon nappage de sperme. Je remis le pantalon puis la couette… et j’envoyai les images à maman en lui disant : "Tu le trouves comment mon copain"?
La réponse ne se fit pas attendre : "Ta mère est occupée mais elle te fait savoir qu’elle serait heureuse d’éduquer ce jeune-homme. Elle te demande s’il dort vraiment ou comment tu as fait pour le prendre en photo avec du sperme plein les poils… C’est un montage? ".
Le mot était signé de papa. Suivait un snap où on voyait maman allongée avec un homme dessus, mais ce n’était ni mon frère ni mon père et je ne le reconnus pas, son crâne étant caché à demie.
"Je t’expliquerai les photos", répondis-je.
Puis, je m’endormis.
Nous devions travailler sur un projet le lundi après-midi suivant. Je décidai d’emmener Stéphane à la maison. C’est le jour de repos de maman; elle aurait le temps de s’occuper de mon pote pendant la journée. Je lui en ferai la surprise.
Après les cours du matin et le déjeuner pris en ville, nous arrivâmes à la maison. La voiture de papa était là. Il lui arrive de manger chez nous quand un chantier n’est pas très loin. Vu l’heure, il devait être au café, près du départ. Stéphane à mes basques, je gravis l’escalier et entrai dans la salle à manger.
Papa, entièrement nu, sexe mou et humide, tenait la tête de maman qui suçait Thierry, un collègue de papa, assez jeune.
– Tiens salut, les gamins, vous tombez bien, elle est chaude comme la braise. Nous faut qu’on y aille.
Thierry sortit sa bite et, aussitôt, du sperme s’échappa de la bouche de maman avec un mélange de salive. Il me dit.
– T’amène du monde en renfort ?
Je me tournai vers Stéphane qui était rouge comme une écrevisse. Je m’écartai pour le pousser en avant dans la pièce.
– Ouais, il à l’air costaud le gamin, fit Thierry.
— Allez, viens bonhomme, elle est à toi.
Comme Stéphane restait de marbre, les deux gars le saisirent par les épaules et l’amenèrent vers maman qui s’était mise à genoux. Déjà elle baissait la braguette. Il me regarda d’un air incrédule, pour ne pas dire désespéré. Maman avait baissé le boxer. La pine en sortit en pleine ascension pour disparaître immédiatement sucée, avalée, bouffée avec empressement.
Papa et Thierry se rhabillèrent et prirent congé en donnant une grande claque sur le cul de maman et une bonne bourrade à Stéphane qui se laissait faire sans mot dire. On les entendit dans l’escalier faire des commentaires.
– Dis donc, il a l’air costaud le jeunot.
– Sûr qu’elle va pas s’embêter ta femme.
– C’est con qu’ils soient pas venus plus tôt. Plus on est de fous…
– Bah… ça se retrouvera !
De mon côté je demandai à mon pote :
– Tu veux un café Steph ?
– Hein ?
– Un café ?
– Ben euh… je sais pas… je…
– Bon, ben j’vais en préparer, tu me diras si tu en veux. M’man, tu peux te presser s’il te plait parce qu’on a du boulot.
– Ça va dépendre de ton copain… s’il est endurant ou pas… dit-elle en extirpant la bite de sa bouche et en se rehaussant pour la coincer entre ses seins.
Je disparus dans la cuisine. J’avais envie de niquer aussi, mais je ne voulais pas, pour commencer, que mon pote sache que j’enfilais ma mère… Il l’apprendrait bien assez tôt. J’aurais peut-être du mal à le convaincre de me rendre la pareille s’il s’imaginait que j’attendais qu’il se livre lui-même à des jeux coupables avec sa maman.
Quand je revins, Stéphane, entièrement nu à l’exception d’une ridicule paire de chaussettes, était allongé sur le canapé, avec maman dessus en 69. Il ne faisait pas plus semblant de lui bouffer le minou qu’elle ne feignait de lui brouter les roustons. Il avait ramené ses grosses mains sur le cul, pour mieux écarter les globes fessiers. Je pris des photos discrètement.
Ma mère se releva et, en me voyant, Stéphane ne sut plus où se foutre.
– Non, mais, non c’est pas une bonne idée, c’est pas bien…
Et il se mit à débander.
– Tu vois pas que tu gènes ! Me dit maman .
Je ressortis un moment mais juste dans le couloir, sans m’éloigner. Maman se mit de telle sorte que Stéphane tourne le dos à la porte pour ne pas me voir. Elle ne fut pas longue à le relancer. J’épiais, très excité.
Elle s’agenouilla sur le canapé, le cul offert mais Steph resta là sans rien faire.
– Eh ben, qu’est-ce que tu attends, vas-y, bourre-moi.
Il sembla sortir d’un rêve, s’approcha, positionna sa bite en l’enfonça dans la chatte.
Sa queue était plus courte que la mienne, mais bien dure apparemment. C’était un plaisir de voir cette masse se démener. Ses muscles se tendaient et se contractaient sous l’effort. J’appréciai sa virilité, sa pilosité qui lui donnait un air sauvage et plus âgé. Le spectacle était sublime, un vrai film de cul. Cependant cela ne dura pas. Il éjacula assez vite en gueulant.
– Déjà ?dit maman
– Excusez-moi, c’est… j’ai pas l’habitude…
– Faut pas être gêné…
– Non mais…
Vraiment il ne savait plus où se mettre.
– Bon ben si u veux te laver, tu sais où est la salle de bain. Tu te grouilles on a du boulot. Lui dis-je.
Il disparut sans demander son reste.
– Alors ?
– Dommage qu’il soit pas plus endurant parce qu’il est puissant. Il me secouait bien et puis, il m’a rempli la chatte…
– Ouais, il jute bien.
– Tu l’as déjà vu ?
– Parties de branlette…
– Ah. J’espère que ton père saura lui apprendre à se maintenir plus longtemps.
– Je sais pas s’il a prévu de rester.
– Démerde-toi, j’ai envie d’un plan à quatre ce soir.
– A trois, sans moi, vous lui dites rien. C’est trop tôt. Je regarderai.
– OK.
Quand il fut lavé, nous nous mîmes au travail mais nous n’avancions pas. Je sentais bien qu’il y avait un malaise.
– Qu’est-ce t’as? T’es pas performant aujourd’hui.
– Non… écoute, Tonio… j’suis désolé. Je sais pas quoi dire.
– Dire quoi ?
– Ben pour tout à l’heure…
– Quoi…
– ben avec ta mère… t’es con ou quoi ?
– Où est le problème ?
– J’suis mal d’avoir… c’est ta mère tout de même…
– Elle est pas bonne ?
– Putain si, elle est bonne, très bonne même… mais… c’est.. enfin ça te fait rien ?
– Qu’est-ce que tu veux que ça me fasse à part bander ?
– Ben moi, si tu … avec la mienne… je serais fou ! Un mec qui touche à ma mère, je l’tue !
Ce n’était pas un bon point pour moi.
– Mais, c’est ma mère qui t’as cherché. C’est elle qu’a voulu,c’est son choix, c’est pas pareil. Elle fait ce qu’elle veut, c’est sa vie…
– Oui, bien sûr…
– Et t’as vu qu’avant elle était avec mon père et un pote…
– Oui… trop bizarre.
– C’est pas un coup d’essai… Ils sont comme ça… c’est leur vie, j’suis habitué…
– Et ton père… il, il aime vraiment ça ?
– Il en est dingue tu veux dire. Il adore voir ma mère se faire prendre… il participe ou pas…
– Et ça te choque pas ?
– Ben non, ça a toujours été comme ça, il ont une vie sexuelle très libre, ils aiment le cul… alors c’est naturel.
– Et ton père…il va avec d’autres femmes ?
– Non… c’est à sens unique. Il aime pas.
– C’est… c’est dingue quand même… Je n’en reviens pas que tu acceptes ça !
– Puisqu’ils sont heureux comme ça… et ça ne les empêche pas de s’aimer…
– Alors, tu m’en veux pas?
– Non bien sûr… Par contre, elle fait pas ça avec tout le monde… qu’avec les gars qui lui plaisent et en qui elle a confiance…. alors tu vas pas baver hein ? Tu fermes ta gueule, j’veux pas que ça se sache, ça reste entre nous…
– Promis, promis.
– Et tu remets ça ce soir ?
– Quoi ? Oh non, non…j’oserai jamais. D’ailleurs je rentre.
– Non reste.
– J’ai promis de rentrer.
– Tu dines avec nous au moins ?
– OK, mais pas plus.
– OK. Cool. On se remet au boulot ?
Nous travaillâmes un bon moment et, à la pause, il me questionna à nouveau, ce qui me permit de le faire en retour.
– Et toi tes parents ?
– Quoi ?
– Leur vie sexuelle ?
– Oh là, très rangée…
– Pas d’amant, de maîtresse ?
– T’es fou ! Ils sont fidèles.
Je ne dis évidemment rien mais n’en pensais pas moins.
Puis vint l’heure du diner, tous les quatre, mon frère et ma sur ne devant pas rentrer de la semaine pour cause d’études.
Papa attaqua directement.
– Alors jeune homme, c’était comment avec ma femme ?
Il devint écarlate et me regarda en riant artificiellement pour ne pas avoir à répondre et dissimuler sa géne.
Alors papa questionna maman.
– Et toi ma chérie, tu l’as trouvé comment ?
– Il a du potentiel.
– C’est à dire… on est parti vite… j’ai pas tout vu. Il est bien monté ?
– Ouais, ça va. Il a une bonne petite queue, pas trop longue mais bien dure. En revanche, il est lour, il est costaud, il a de la puissance. Il cogne bien.
– Ah ah !
– Par contre il a joui très vite.
– Pas cool ça. Qu’est-ce que vous avez à dire pour votre défense jeune homme ?
– Ben… en fait… j’ai été très surpris… Je m’attendais pas…
– Ah oui, évidemment. Tu feras mieux ce soir.
– Ben non, je reste pas..
– Comment ça ? Tu veux pas un plan sympa à trois ? On a toute la soirée pour nous.
— Non, j’ai dit que je rentrais…
Mais papa insista tant et si bien que Stéphane finit par accepter. Il passa un coup de fil et prit prétexte de travail pour rester.
Nous avions encore un peu de boulot mais vers 22 H 00 maman vint chercher Stéphane. Elle était entièrement nue.
– Tu viens Steph ? On va commencer.
– J’arrive.
Il se leva et se déshabilla. Il bandait déjà.
Je levai la main et ouvrit la paume comme si j’allais prêter serment.
– Ça va aller man ? Demandai-je.
– Cool mec, répondit-il en tapant sa main contre la mienne.
Et je le suivis.
Maman était allongée sur le dos, jambes ouvertes. Papa prit la direction des opérations.
– Vas-y, fous lui deux doigts dans la chatte…L’annulaire et le majeur… voila…et avec le pouce tu essaies de caresser le clito… T’as vu comme elle mouille ? T’as vu comme elle est chaude… Elle attend la bite là !
Maman gémissait et ondulait. Elle tendit la main pour attraper la queue de papa.
– Vous avez une grosse queue m’sieur.
Appelle-moi André gamin, tout le monde m’appelle comme ça…. allez, maintenant grimpe-la.
Mon pote s’allongea sur ma mère et commença à aller et venir. Quant à moi, j’enlevai mes vêtements un à un.
Papa se faisait sucer tout en donnant des conseils à Stéphane, sur le rythme, la position. L’important, disait-il, c’était de varier et de ne pas se laisser emporter.
Visiblement, maman kiffait.
– Fais-toi sucer maintenant pendant que je la prends en levrette.
Pendant le changement de position, Stéphane m’aperçut, bandant comme un turc. Il était entièrement décomplexé maintenant et me sourit en levant son pouce à l’instar de sa queue.
– T’as vu, tu fait triquer ton pote. Lui dit mon père.
– Ben vous êtes chauds tous les trois là, répliquai-je.
Ils restèrent un bon moment comme ça. Puis on intervertit les rôles.
– Vas pas si vite, vas pas si vite sans ça tu vas jouir trop tôt.. Joue un peu avec tes mains… agrippe les nibards, plus fort, tu peux pincer…elle aime.
Stéphane s’appliquait. Il était déjà en sueur.
– Alors ma chérie, il est comment, elle est bonne sa queue.
– Hummmm… j’adore comme il me ramone… surtout quand il va tout au fond et qu’il claque le cul bien fort.
Stéphane se mit à faire immédiatement ce que maman appréciait tant. Cramponné aux épaules il la pilonnait rapidement faisant rougir les chairs du postérieur.
– T’as déjà sodomisé bien sûr?
— Nan. Jamais.
– Alors vas-y. Fous-lui ta bite dans le cul…. Tu vas voir, c’est bon…. il est bien dilaté, ça va passer crème.
Et c’était vrai. La bite rentra toute seule dans le cul.
– Elle est bonne sa queue dans ton cul ?
– Oui, trop.
– Tu en veux une dans chaque trou ? Oh oui… Prenez-moi en sandwich. Répondit maman.
– T’as jamais fait ça non plus, non ? Tu préfères te mettre en dessus ou en dessous ?
– N’importe.
– Et toi ma puce, tu le veux où le gamin, dans ta chatte ou dans ton cul ?
– Remets-le dans ma chatte… ta bite est plus grosse pour bien me déchirer le fion.
– Ah salope, t’aime que je t’éclate le cul, hein !
– Oui, vas-y, bourre-moi bien.
– Tiens petit, allonge-toi sur le dos… ma femme va s’empaler sur ton zguègue et moi j’vais lui ramoner l’anus…. si tu sens que je vais trop vite et que le frottement de ma queue sur la tienne t’excite trop, tu dis… faut pas encore te faire jouir.
Mais, malgré cette recommandation, il faut impossible à Stéphane de soutenir le rythme.
– J’vais jouir, j’vais jouir, cria-t-il au bout de quelques instants.
Mon père s’écarta alors rapidement.
– Relève-toi gamin, viens lui juter entre les seins.
Stéphane eut juste le temps de se mettre debout. Déjà le sperme fusait dans tous les sens Stéphane étant incapable de contrôler ses mouvements.
Et maintenant bonhomme, regarde comment on baise bien une meuf.
Nous assistâmes en spectateurs à la fin de la saillie. Enfin presque en spectateur parce que je ne pus résister longtemps à l’envie de jouir et je me masturbai frénétiquement.
Papa commentait d’un ton professoral en indiquant à Stéphane ce qu’il fallait faire pour le plaisir de la dame, tout en gagnant en endurance.
Papa choisit d’éjaculer dans la bouche pour clôturer la soirée en apothéose.
Chacun regagna sa chambre. J’avais laissé la mienne à Stéphane et pris celle de mon frère. Je pensai au moyen de sauter la mère de mon pote. Ce ne serait pas facile car j’avais bien compris que, s’il était tout disposé à baiser la mienne, il n’était pas converti à l’idée de me voir grimper la sienne. Je crus cependant avoir trouvé une idée.
Le lendemain matin le réveil sonna plus tôt que prévu pour Stéphane. Il avait la forme des lèvres de ma mère pompant avidement son sexe jusqu’à ce qu’il éjacule. Quand j’entrai dans sa chambre pour m’assurer qu’il fut levé, j’arrivai juste au moment où, le menton dégoulinant de sperme, ma mère libérait sa queue de sa bouche.
– Bon, c’est pas le tout… faut que j’aille sucer ton père maintenant.
A suivre