Nous sommes à la veille de notre départ pour Montréal et Jenny et moi nous occupons des derniers préparatifs, enfin, surtout elle à vrai dire car elle doit faire une intervention lors d’un colloque durant la convention. À la base, c’est son frère qui devait parler mais étant donné qu’il ne vient pas, c’est Jenny qui s’en chargera et elle stresse un peu ; elle est très à l’aise pour parler lors d’une réunion privée mais là, elle va devoir s’exprimer devant ses pairs ainsi que de potentiels clients et qui plus est dans la langue de Shakespeare, du coup, ça lui met une pression supplémentaire. Je fais en sorte de la rassurer le plus possible en lui disant qu’elle va assurer et que tout se passera bien ce que je pense vraiment par ailleurs mais Jenny n’aimant rien laisser au hasard, elle continue malgré tout de se mettre la pression même si elle sait qu’elle en est largement capable.
Son frère finit par nous rejoindre afin de régler les derniers détails avec sa sur et quant à moi, je file voir Shama dans son bureau car ce sera à elle de s’occuper des tâches urgentes que je ne pourrais faire pendant mon absence.
— Alors, prêt pour le départ ? Me demande-t-elle.
— Oui, Jenny est un peu en stress mais ça va.
— Je me fais pas de soucis pour elle, d’autant plus que tu te chargeras de la détendre quand il le faudra, pas vrai ? Dit-elle en me lançant un clin d’il.
— Ah oui, donc toi direct, tu penses au cul !
— Et tu crois qu’elle pensait à quoi en te faisant venir avec elle ?
— Je suis son bras droit, c’est logique que ce soit moi qui y aille vu que son frère peut pas.
— T’es aussi sa queue droite selon les moments, hein mon cochon ?
— Que veux-tu, mon rôle est d’apporter toute l’aide dont ma patronne a besoin !
— Et à tes autres collègues, tu leur apportes de l’aide aussi ?
— S’il le faut, bien sûr.
— Ben j’ai besoin d’aide alors.
— T’as besoin de quoi ?
— Ça me gratte entre les fesses.
— Utilise tes doigts.
— Ça me gratte à l’intérieur et ils sont pas assez grands pour me soulager efficacement.
Je ricane alors que Shama me regarde d’une manière particulièrement obscène.
— T’en as jamais marre toi hein.
— Jamais !
— Je dois retourner voir Jenny dans pas longtemps Shama.
— Et alors ? Je te demande pas de me baiser pendant toute la matinée.
Je soupire.
— Je vais pas voir ta queue pendant… Tiens d’ailleurs, vous revenez quand déjà ?
— Vendredi soir.
— Donc de toute la semaine, je vais pas voir ta queue, laisse-moi en profiter une dernière fois avant ton départ au moins ! Allez Flo, un p’tit quickie !
— Un quoi ?
— Un quickie, un coup vite fait quoi !
— Ben dis un coup vite fait alors.
— J’aime bien quickie, ça fait plus coquin je trouve ! Allez, je vais aux toilettes et tu me rejoins dans deux minutes.
Shama se lève non sans avoir d’abord pris quelque chose dans son sac à main.
— Qu’est-ce t’a pris ? Lui demandai-je.
— C’est du lubrifiant, c’est plus pratique quand il faut que ça aille vite. Allez, j’y vais !
Shama me regarde en se mordillant les lèvres avant de filer au petit trot vers les toilettes.
Je pense qu’elle constitue la collaboratrice que rêveraient d’avoir tous les hommes car sans parler de ses propositions excitantes, elle les amène d’une manière qui fait qu’il est très difficile de lui dire non. C’est vrai que c’est quand même dangereux de faire ça dans les locaux mais bon, comment résister à une Indienne chaude comme la braise qui vous propose de visiter son cul ?
Après un petit moment pendant lequel mon imagination commence à faire son uvre et à réveiller mon sexe, je me lève et me dirige vers les toilettes ; je ne croise personne, ce qui tombe plutôt bien pour le coup, et je rentre dans les WC pour ensuite aller à l’endroit habituel de nos ébats. J’y trouve Shama qui, dès que j’ai bouclé la porte derrière moi, s’occupe de déboutonner mon pantalon puis de descendre mes habits à mes pieds. Mon sexe est en mode « demi-molle » et elle met alors une bonne dose de lubrifiant au creux de sa main avant d’aller empoigner ma queue pour me branler rapidement. Ses gestes rapides et précis accompagnés de ses petits soupirs et de son regard gourmand ne tardent pas à me mettre au garde à vous, la peau de mon sexe luisante de gel glissant parfaitement entre ses doigts.
— Ce qui est cool avec toi, c’est que tu mets jamais longtemps à être prêt à passer à l’attaque.
— Ben en faisant comme tu fais, je crois pas qu’il y ait beaucoup de mecs qui mettraient des plombes à bander !
— Détrompe-toi, j’en ai connu quelques-uns qui avaient bien plus de mal.
— Tu peux être rassurée, le problème vient pas de toi.
— Je sais ! Dit-elle en me lançant un clin d’il.
Une fois n’est pas coutume, Shama a mis pantalon et string aujourd’hui et elle baisse le tout jusqu’aux genoux. Elle met une nouvelle dose de lubrifiant sur ses doigts qu’elle vient passer entre ses fesses tout en se retournant ; elle enduit soigneusement sa rondelle en y mettant quelques doigts au passage avant de bien écarter ses fesses pour m’offrir son anus qui n’attend plus que ma bite.
J’attrape ma queue luisante et commence à lui ramoner le cul. Le lubrifiant joue bien son rôle et mon sexe glisse parfaitement dans son fondement déjà très accueillant de base, Shama pousse des gémissements étouffés alors que je l’encule sur un bon rythme ; non pas que j’aie envie que ça aille vite, loin de là tant je prends un pied immense à m’occuper d’elle, mais je n’ai vraiment pas beaucoup de temps devant moi et Jenny risque bien fort de finir par me chercher si je m’éternise de trop. Je suis concentré sur le cul de Shama qui vibre sous mes assauts quand soudain, mon téléphone se met à sonner ; je me baisse pour le prendre dans la poche de mon pantalon qui gît au sol.
— Qu’est-ce tu fous ? Réponds pas ! Me lance Shama alors que je me suis retiré d’elle.
Je regarde l’écran de mon téléphone et vois que c’est Jenny qui m’appelle.
— Si, c’est Jenny, elle doit me chercher, je vais pas faire le mort !
Shama soupire alors que je décroche.
— Ouais Jenny.
— T’es où bordel ? On doit finir de tout préparer pour demain je te rappelle !
— Oui oui, j’arrive dans pas longtemps, je suis aux toilettes.
— Et Shama, elle est où ? Je suis dans son bureau et elle y est pas, t’étais censé aller la voir non ?
Oh et puis zut, je vais pas commencer à balancer des excuses bidon, autant lui dire la vérité !
— Oui, elle est avec moi là.
Shama me fait les gros yeux et je hausse les épaules avant de me remettre à la sodomiser, ce qui la fait soupirer et fermer les yeux de contentement.
— Comment ça, elle est avec toi ? Aux toilettes ?
— Ben ouais.
— Mais…
Silence, puis Jenny comprend et pousse un long soupir.
— Putain sérieux, vous abusez ! Dit-elle en chuchotant.
— C’est pas de ma faute, c’est elle qui a insisté, en guise de pot de départ.
— Bah tiens, elle t’a mis un couteau sous la gorge aussi tant qu’on y est !
— Pas loin !
— Bon, passe là moi.
Je tends le téléphone à Shama qui le prend alors que, maintenant que j’ai les mains libres, je lui agrippe les fesses pour reprendre ma sodomie sur un bon rythme.
— Han, han, han, allô, han, oui, vas-y, oui… oui Jenny… hmmmm putain, c’est trop bon, il m’en met plein le cul là… oui, hmmmmm… Tu veux pas nous rejoindre ? Hmmmm… Oui OK, promis, han, han…
Shama me rend le téléphone que je porte à mon oreille.
— Finis vite et en silence ! T’as deux minutes pour ramener tes fesses dans mon bureau, pigé ?
— Oui cheffe !
Je ne prends même pas la peine de raccrocher et je jette le téléphone au sol, sur le pantalon, en accélérant encore mes va-et-vient. Shama se met à gémir plus franchement et je viens alors poser ma main sur sa bouche en appuyant toujours plus mes charges ; je respire de plus en plus vite alors que je sens que ça commence à monter et je finis par plonger ma bouche dans le cou de Shama au moment où je jouis profondément en elle. On étouffe comme on peut nos gémissements, elle grâce à ma main qui barre sa bouche, et moi grâce à mes lèvres entourant sa peau.
Une fois ma queue bien essorée, je me retire d’elle.
— Qu’est-ce que Jenny t’a dit ? Lui demandai-je en reprenant mon souffle.
— Que j’étais une grosse salope et que j’avais intérêt à me bouger pour te faire cracher.
— Ahah ! Bon allez, je vais pas traîner, je tape à la porte si y a personne, OK ?
— Ça roule. Merci mon beau ! Me dit-elle en me faisant un clin d’il et en commençant à se rhabiller sans même prendre la peine d’essuyer son anus suintant de sperme.
— Avec plaisir ! Lui répondis-je en lui rendant son illade.
Je me lave les mains rapidement avant de sortir des toilettes. Les couloirs étant vides, je frappe à la porte et Shama sort discrètement quelques secondes plus tard ; puis je me dirige à la hâte vers le bureau de Jenny.
J’y rentre alors qu’elle est debout en train de classer des dossiers.
— Si tu préfères rester ici pour continuer à te la taper, tu peux hein, me dit-elle sans lever le regard de ce qu’elle fait.
— Mais non arrête, tu connais Shama, elle a des envies soudaines parfois.
— Elle a tout le temps envie, c’est une chaudière ambulante cette nana ! D’ailleurs, je pense qu’il va falloir que je lui dise qu’elle transforme pas les bureaux en baisodrome pendant mon absence.
— Ton frère sera pas là ?
— Si, mais pas tout le temps.
Je connais Jenny et même si elle essaie de ne pas le montrer, je sens bien qu’elle est agacée.
Je viens m’asseoir à côté d’elle.
— Tu fais la gueule ?
— Non.
— Je croyais que ça te dérangeait pas qu’on baise avec Shama.
— Ça me dérange pas mais je t’ai déjà dit que c’était dangereux ici, surtout aux toilettes.
— Ça va on fait gaffe, on est silencieux ; puis on a aussi déjà baisé tous les deux ici.
— Oui mais c’était tard le soir, pas en pleine journée.
— Tu veux qu’on essaie ? Ça peut avoir quelque chose d’excitant le risque de se faire surprendre tu sais.
En même temps que je lui dis ça, je passe ma main sur ses fesses.
— Mais ça va pas non ! Dit-elle en repoussant ma main, Pas ce genre de familiarité ici quand il y a du monde je t’ai déjà dit !
— Détends-toi Jenny, personne peut nous voir.
— N’importe qui peut rentrer !
— On tape toujours avant de rentrer dans ton bureau.
— Il suffit d’une fois.
Je ne saurais pas trop dire pourquoi mais malgré le fait que je vienne de saillir Shama, j’ai foutrement envie de Jenny à cet instant précis. Je commence à lui caresser le mollet de mon pied avant de remonter vers sa cuisse, geste qui provoque un nouveau soupir d’agacement de sa part.
— Florian, arrête tout de suite ton petit jeu.
— Pourquoi ? Personne peut voir derrière le bureau, même si on rentre sans prévenir.
— Shama a vraiment une mauvaise influence sur toi.
— Depuis quand avoir envie de quelqu’un est mauvais ?
— Arrête de m’abriver, tu viens de baiser.
— J’ai passé deux ou trois minutes à l’enculer, j’appelle pas ça « baiser » et Shama n’est pas toi et là, j’ai envie de toi Jen’.
Jenny tourne sa tête vers moi pour me fixer, je ne lâche pas son regard alors que mon pied continue de lentement lui caresser une partie de la jambe. Elle finit par couper notre lien visuel non sans esquisser un petit sourire.
— Pas ici Flo, non seulement c’est trop dangereux mais j’ai encore des trucs à préparer et faut rien que j’oublie ; me dit-elle d’une voix à présent bien moins sévère.
— Tu viens chez moi ce soir ?
— J’ai pas fini de préparer mon sac.
— Le mien est fait. Voilà ce que je te propose : je vais le chercher en partant d’ici et je viens chez toi, comme ça demain t’auras pas besoin de venir me récupérer et on partira direct à l’aéroport. T’en penses quoi ?
— Tranquille, tu t’invites à dormir toi !
— Qui a parlé de dormir ? Demain, on aura tout le temps du vol pour ça.
Jenny me regarde de nouveau et je hausse les épaules tout en lui souriant ; elle me sourit à son tour avant de pousser un petit rire.
— OK on fait comme ça ; finit-elle par me dire.
— Super ! Dis-je en me levant.
Je lui mets une petite tape sur les fesses qui la fait sursauter.
— T’as pas un peu fini oui ? s’offusque-t-elle pour la forme.
Je lui fais un clin d’il et me dirige vers la sortie du bureau.
— Allez, je vais expliquer deux trois dernières choses à Shama.
— Et pas de cunni, de pipe ou de sodomie cette fois, compris ?
— Promis, je me réserve pour toi ma belle !
— T’as intérêt ! Dit-elle en ricanant.
Non seulement cette soirée s’annonce déjà délicieuse, mais je sens aussi que le voyage à venir va l’être tout autant !