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Drague dans le métro – Chapitre 1

Mon fils, ma fille, mon mari - Chapitre 1



Drague dans le métro

Nous sommes en 1968 à Paris, fin juin, il est dix-sept heures trente, il fait extrêmement chaud, c’est la canicule. Je vais avoir vingt-cinq ans. Je viens de terminer mes études et je suis en attente d’un travail que je commence début septembre, je suis libre toute la journée. Je suis vêtu tout de blanc, short et chemisette, évidemment, rien dessous. Je n’ai pas de ceinture, le short a une ceinture élastique qui le maintien bien. J’attends avec impatience le jour où quelqu’un s’accrochera à mon short, pour quelque raison que ce soit, et le fasse descendre jusqu’à mi-cuisses, me mettant les fesses à l’air en pleine rue. C’est un de mes fantasmes. Comme d’habitude avant de sortir, je me suis fait un lavement complet.

Je suis à Châtelet-les-halles, sur le quai bondé de la ligne 1 direction La Défense. Quand le métro arrive, une vague humaine en sort vite remplacée par une autre vague humaine qui se tasse tant bien que mal. Je me retrouve plaqué sur une montagne, un homme d’au moins un mètre quatre-vingt-dix et cent cinquante kilos, un monstre. Derrière moi, un corps se plaque sur mon dos. Je dois aller jusqu’à Charles de Gaule Etoile, ce n’est pas la joie. La rame démarre, je suis ballotté de droite à gauche en fonction des virages, je ne peux me maintenir nulle part. Une station puis deux stations passent, toujours la même boite de sardines. Au démarrage de la seconde station, je sens quelque chose sur ma fesse gauche. Je n’y prête pas particulièrement attention, c’est courant quand le métro est bondé comme ça. Quand cette chose se déplace, je commence à me demander ce qui se passe, mais je laisse faire, je veux voir jusqu’où ça va aller. En fait, c’est une main qui me caresse la fesse. Je donne un petit mouvement vers l’arrière pour faire comprendre que je ne vois aucun inconvénient à ce que ça dure un peu.

La main s’enhardie et descend jusqu’à la limite du short, des doigts se promènent sur ma cuisse et remontent sous le short jusqu’en bas de ma fesse. Elle redescend et remonte sur le tissu jusqu’à la ceinture du short. Les doigts testent l’élasticité de ma ceinture et constatant qu’elle se détend facilement, se glissent dessous et descendent sur une de mes fesses. Constatant l’absence de sous-vêtement, la main ressort, quelques secondes plus tard, elle revient sous mon short en soulevant exagérément le tissu, se glisse entre mes fesses, son majeur s’insinue jusqu’à mon anus et le titille, il est lubrifié. Il force un peu et réussi à s’introduire. Il fait des mouvements qui le font aller et venir dans ma rondelle l’assouplissant de plus en plus. Il va de plus en plus profond dans mon anus, jusqu’à y introduire pratiquement deux phalanges, ce qui a pour effet de m’exciter encore plus.

Je commence à bander sérieux, j’ai peur que la montagne s’en aperçoive. Malgré tout, je réussi à glisser ma main derrière moi et explore l’espace. Elle tombe sur un pantalon dans lequel se trouve une bite bien raide. Je constate qu’elle est vraiment hors normes, c’est un gigantesque morceau. Je m’amuse un peu avec, j’ai juste le temps de constater que son gland est énorme, mais la position est trop inconfortable et je ramène mon bras sur le côté. L’homme enlève sa main de mon short et se plaque contre moi. Je sens sa bite entre mes fesses. Une bouche se colle à mon oreille.

Elle te plait ?

Je fais oui de la tête.

Si tu veux y goûter, tu n’as qu’à me suivre, je descends à George V.

Je fais de nouveau oui de la tête. L’homme s’écarte un peu et sa main replonge dans mon short, mais cette fois, le short suit un peu et je me retrouve avec les fesses découvertes jusqu’en bas. Heureusement que le wagon est bourré, personne n’a assez de recul pour se rendre compte de quelque chose. Cette fois-ci, il s’occupe de mes deux fesses en même temps. Je me retrouve dans le métro, collé à un géant avec les fesses à l’air qui se font caresser par les deux mains d’un inconnu.

De nouveau un doigt se glisse dans ma rondelle, il est lubrifié et cette fois c’est tout le doigt qui entre et fait des aller-retours secs et rapides. Mon sphincter se dilate, le doigt entre de plus en plus facilement. Il me quitte pour revenir accompagné de deux autres et bien lubrifiés. Je me demande comment fait l’homme pour lubrifier ses doigts, mais ça n’a pas d’intérêt, la seule chose qui compte c’est qu’il me les enfonce le plus profond possible. Ses trois doigts positionnés en pointe me perforent l’anus sans problème. L’homme me pistonne lentement, je pense qu’il veut rester le plus discret possible.

Le métro s’arrête à Concorde. Comme à chaque station à correspondance, un grand nombre de passagers en sort vite compensée par le même nombre de passagers, mais cette fois-ci, il monte moins de monde qu’il n’en est descendu. Nous sommes moins serrés, ça veut dire que nous sommes moins discrets. Ça n’arrête pas l’homme qui continu à me labourer le cul. En voulant lui faciliter la tâche, j’ai écarté un peu les jambes et reculé mes esses au maximum possible, il en a profité, mais mon short s’est retrouvé par terre. Au lieu de me paniquer, cette situation m’excite au plus haut point, je commence à monter dans les tours, ma tête commence à m’abandonner, j’ai peur de céder à l’excitation et de faire n’importe quoi. Ses doigts s’enfoncent jusqu’à la troisième phalange pendant que, profitant de l’espace que j’ai libéré, son autre main se glisse devant, s’empare de ma bite et commence à me masturber.

Les doigts sortent lentement, un petit instant de repos, mais ils reviennent, cette fois la troupe est au complet, ils sont cinq et bien lubrifiés. Ils se glissent sans heurts entre mes fesses, écarte mon sphincter bien assoupli et pénètre dans mon anus comme s’ils étaient chez eux. L’homme me pistonne lentement, mais ses doigts entrent de plus en plus profondément, je ne sais plus où je suis, tout se passe dans mon cul. Je sens le plaisir monter, ma bite est raide, s’il continu, il va me faire jouir. Il est sur le point de m’enfoncer toute la main dans l’anus, il s’en rend compte et se retire un peu. Cette fois, je dois me calmer un peu, je ne veux pas sortir du métro en bandant. Je fais comprendre à l’inconnu qu’il doit arrêter car je suis dans un état qu’il me sera difficile de dissimuler si je sors du métro. Il dégage sa main, se penche un peu et me remonte le short.

Il se saisi de ma main et la glisse dans sa braguette qu’il a descendu. Lui non plus n’a pas de sous-vêtement et je tombe directement sur son énorme bite. Je n’arrive pas à en faire le tour avec ma main, elle n’est pas loin des cinq centimètres de diamètre. Non seulement elle est énorme, mais en plus elle possède un gland beaucoup plus gros que la tige, j’adore ce genre de sexe. Je la caresse un petit moment, elle est raide comme un bout de bois. Je me demande comment il va sortir du métro sans que tout le monde constate son état. Quand le métro s’arrête à Champs-Elysées Clémenceau, je lui libère la bite. Nous restons collés l’un à l’autre sans bouger. Arrivée à George V ou l’on doit descendre, ma bite est revenue à un état normal et je descends derrière l’homme. Il se retourne, c’est un homme de mon âge, assez grand, brun pas spécialement beau, mais avec un visage agréable. Il semble assez athlétique, en tout cas, il est mince et sa chemise est assez gonflée, on sent qu’il est bien musclé. En fait, lui aussi est en short. Je remarque que son sexe est bien dégonflé mais qu’il est assez proéminent et se détache bien sur le côté gauche de son short. Pas de doute, c’est un monstre.

Moi, c’est Pierre.

Moi, c’est Jean.

Suis moi, c’est juste à côté.

Nous sortons de la station et, effectivement, son immeuble n’est qu’à dix petites minutes de marche. Nous entrons dans un immeuble cossu du dix-neuvième siècle. Nous prenons l’ascenseur ancienne mode complètement ajouré. L’ascenseur a à peine démarré que Pierre plonge ses mains entre mon short et mes fesses.

J’adore tes fesses, tu permets ?

Je n’ai pas le temps de répondre que mon short est déjà à la hauteur de mes genoux. Il le descend jusqu’en bas, j’entre dans le jeu et soulève mes pieds l’un après l’autre pour qu’il me l’enlève complètement. Je suis dans un ascenseur complètement transparent et qui monte lentement, le cul à l’air à me faire caresser les fesses. Il n’y a malheureusement personne aux paliers, je pense que cela aurait été assez marrant.

Nous arrivons à son étage, il ouvre la porte et je sors sur le palier, le short à la main, la bite déjà bien raide et le cul à l’air, ma chemisette n’arrivant qu’à couvrir le haut de mes fesses. Il met un certain temps à ouvrir la porte, en moi-même, j’aimerais bien que quelqu’un ouvre une des portes du palier, mais il ouvre avant et me fait entrer dans un bel appartement entièrement rénové. Il me dit qu’il fait cent-vingt mètres carrés, qu’il a trois chambres, un salon salle à manger, deux WC, deux salles de bain et une grande cuisine. Le salon donne sur trois larges portes fenêtres, qui montent jusqu’au plafond, donnant sur un balcon étroit. Il est meublé d’un divan en cuir beige, avec ses deux fauteuils assortis, d’une table basse et d’une table avec huit très belles chaises en acier, le tout sur un plancher à la française.

Suis moi.

Je le suis jusque dans une chambre. Elle aussi, elle a deux larges portes fenêtres qui montent jusqu’au plafond. Il enlève sa chemisette et son short. Il est nu devant moi, son impressionnant sexe pend entre ses jambes. Effectivement, il est musclé, son ventre est plat avec de belles tablettes de chocolat et il a de beaux pectoraux. Je remarque que, comme moi, il est imberbe, son pubis est glabre, épilé, pas rasé.

Qu’est-ce que tu attends pour finir ce que j’ai commencé.

J’enlève ma chemisette, il me regarde avec un petit sourire.

D’après ce que j’ai pu constater, ton petit cul est habitué, il réagit bien aux sollicitations et reste très serré.

Oui.

Et tu crois qu’il va supporter mon engin ?

Sans aucun problème, il en a vu d’autre, j’ai même été dépucelé par un engin de la même taille, voire plus gros. Tu t’en ai bien rendu compte, tu as failli me mettre la main.

C’est vrai.

Et je m’entretiens.

A bon, comment ?

Je m’entraine pratiquement tous les jours avec mes godes, celui que j’utilise le plus souvent est gonflable et je l’ai monté à plus de onze centimètres de diamètre.

Ce n’est pas vrai, tu peux encaisser onze centimètres ?

Oui, et sans trop de problème.

Il me regarde autrement, je commence à l’intéresser sérieusement.

Bon, ce n’est pas tout, mais nous ne sommes pas là pour parler capacité d’absorption d’un cul. Suis-moi.

Nous allons dans la salle de bain.

Elle est équipée pour se faire des lavements très poussés. Laisse toi faire.

Pierre me fait assoir sur une sorte de chaise avec un grand trou dans une petite baignoire. Une fois installé, je constate que mon cul est accessible et, vu la forme de la chaise, les fesses écartées.

C’est mon équipement spécial, il ne me sert qu’à ça.

Il s’empare d’un flexible au bout duquel est visé un embout en forme de sexe percé de plusieurs trous. Il ouvre le robinet et je vois de l’eau sortir de chaque trou.

Ça te nettoie le conduit comme un nettoyeur haute pression. Tu vas voir, en plus, c’est assez agréable.

Tu sais, je me suis déjà fait un lavement.

Oui, mais ça ne mange pas de pain, et en plus j’aime bien faire ça à mes potes.

Ok

Il me passe un peu de gel sur l’anus et m’introduit le petit phallus. Je sens les jets d’eau frapper sur la paroi mon conduit anal. En effet, c’est très agréable, à tel point que ma bite se redresse un petit peu. Il augmente le débit, une cascade assez claire s’échappe de mon cul, quand elle est parfaitement claire, Pierre coupe l’eau et me libère de l’engin. Il me fait sortir de la baignoire et me sèche le cul.

Nous retournons dans la chambre. Il étale une serviette sur le lit. Je viens vers lui, me penche et m’empare de sa bite encore un peu molle. Je peux l’engloutir tant qu’elle n’est pas raide, mais au fur et à mesure qu’elle gonfle, je me rends compte que je ne peux plus la garder dans la bouche, je le masturbe donc tout en lui léchant le gland. Pendant ce temps, Pierre me badigeonne la raie avec une graisse chauffante. Je sens ma rondelle se dilater sous l’effet de la graisse. Il glisse deux doigts dans mon anus, fait des aller-retours pour bien assouplir le sphincter.

Quand sa bite est bien raide, je vais me mettre à quatre pattes sur la serviette en écartant légèrement les jambes. Il vient se positionner derrière moi et avance jusqu’à ce que je sente sa bite se glisser entre mes cuisses. Son gland arrive contre mes fesses, les écarte et vient buter contre mon anus. Il insiste, ma rondelle s’ouvre comme une fleur pour le laisser entrer. Mon sphincter résiste un peu mais cède relativement facilement. Je sens son gland me labourer le conduit anal. Ce n’est pas le plus gros sexe de chair qui me perfore l’anus, mais il est dans le top trois. Pierre pose ses mains sur mes hanches et commence des va et vient lents sur toute la longueur de son phallus. Au bout de quelques aller-retours, mon sphincter est complètement détendu et il peut sortir et m’empaler de nouveau immédiatement après.

J’aime cette sensation de possession, j’aime sentir mon cul se dilater pour laisser entrer cette masse de chair palpitante. Je tourne la tête vers ma gauche et je me rends compte que les fenêtre laissent voir tout ce qui se passe dans la pièce, et il y a un bâtiment juste de l’autre côté de la rue avec un nombre incalculable de fenêtres. En regardant bien, je vois un rideau qui bouge derrière une fenêtre juste à notre niveau. Le rideau s’écarte un peu et je vois un couple qui nous regarde, ce qui, loin de me refroidir, m’excite encore plus et me fais partir dans un super orgasme juste au moment où je sens que le sexe de Pierre palpite un peu plus dans mon antre, et qu’il jouit lui aussi en même temps que moi.

MMMMMMMMMMMMMMM

Je tombe à plat ventre sur la serviette maculée de mon sperme suivi de Pierre toujours en moi. Sa bite se rétracte petit à petit. Le gland finit par sortir de lui-même et Pierre se redresse. Il met les doigts en pointe, les pose sur ma rondelle et pousse. Mon sphincter est hyper souple et ses doigts entrent doucement sans résistance, mais il s’arrête quand il s’est enfoncé de trois phalanges, il n’insiste pas et retire sa main. Je suis un peu déçu, l’adore me faire fister.

Pourquoi tu t’arrêtes ?

J’ai peur de te faire mal.

Tu n’as pas compris ce que je t’ai dit tout à l’heure, ta main est loin d’avoir le diamètre que je peux encaisser. Vas-y, mets-moi ta main, j’en meure d’envie.

Tout en restant la tête sur le lit, je monte mes fesses le plus haut possible pour bien ouvrir mon cul. Il repositionne ses doigts en pousse. Ma rondelle s’ouvre sans résistance, ses doigts entrent facilement, il force un peu plus et mon sphincter englouti sa main jusqu’au poignet. Il ferme son poing et fait de petits va et vient, je sens sa main frotter sur la paroi de mon tube anal, j’ai déjà eu des mains dans le cul, mais je crois que c’est la plus grosse. Le petit jeu dure plusieurs minutes, il amplifie ses mouvements pour maintenant sortir sa main pratiquement en entier pour me la réintroduire violemment dans le cul. Je regarde par la fenêtre et je vois plusieurs personnes qui regardent, le couple de tout à l’heure au même niveau et un homme à l’étage au-dessus. L’homme est nu et se caresse la bite. La main de Pierre glisse maintenant librement dans mon cul, mon sphincter est complètement relâché, je finis par jouir, au bord de l’évanouissement. Pierre retire doucement sa main, il la pose sur mon dos.

Ne bouge pas.

Il prend quelque chose dans le tiroir d’une table de nuit et passe derrière moi. J’entends des bruits d’obturateur, il prend des photos de mon cul qui ne doit pas être encore refermé. Je reste en position jusqu’à ce qu’il s’arrête. Je m’assoie sur le lit.

Tu ne m’avais pas dit qu’il y avait des spectateurs.

J’avais peur que tu refuses en sachant ça, tout le monde n’est pas exhibitionniste. Il y a un hôtel en face, il est constamment plein, et je ne manque pas de spectateurs. Je dois te dire que depuis le temps que j’ai emménagé ici, il y a cinq ans, c’est un héritage de mon père mort accidentellement, je vois très souvent les mêmes têtes en face. Comme je le dis souvent, j’ai mes « habitués ». Ne t’en fait pas, il n’y a jamais eu de plainte, le patron est un ami avec qui je m’amuse de temps en temps, il ne donne les chambres d’en face qu’à une certaine catégorie de personnes. Certaines, même, me rendent la politesse.

Tu es bien tombé car moi aussi j’aime bien donner du spectacle. J’adore m’exhiber un peu partout.

C’est vrai que j’avais remarqué ta tenue qui ne cache pas que tu es à poil dessous, on ne voit rien de frappant, mais on sait que tu es nu dessous. J’ai même pu deviner ta raie des fesses, c’est excitant.

Oui, j’aime sentir les regards sur moi, les gens essayent de voir quelque chose, mais ils ne sont sûr que d’une chose, je n’ai pas de sous-vêtements. Ça m’excite beaucoup. J’aime aussi donner du spectacle avec des partenaires.

A la bonne heure, nous allons pouvoir bien nous amuser ce soir.

Non, ce soir, je suis pris, j’ai un rendez-vous.

Avec un mec ?

Tu es bien curieux.

Excuses moi, mais si c’est un mec, tu peux lui dire de venir.

Impossible, la soirée est réservée. Mais si c’est avec des femmes, tu y vois un inconvénient ?

Absolument pas, je suis bi, j’aime les culs, qu’ils soient d’un mâle ou d’une femelle, et aussi les chattes bien humides.

Ok.

Je retourne au salon, je prends mes affaires pour me rhabiller, mais il me stoppe la main.

Tu pars tout de suite ?

Non, dans un quart d’heure.

Alors, ce n’est pas la peine de te rhabiller tout de suite, viens t’assoir avec moi sur le divan.

Nous nous asseyons sur le divan.

Tu reste souvent à poil ?

Oui, je suis toujours à poil chez moi.

Et, évidemment, tu laisses les fenêtres ouvertes.

Bien sûr, ou serait le plaisir autrement.

Nous discutons encore quelques instant devant une boisson fraîche, mais l’heure tourne et je dois le quitter. Nous convenons d’un rendez-vous pour le jour suivant dans une station de métro sur une ligne bondée le soir vers dix-sept heures trente.

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