Avant-propos. Ceci est un texte assez ancien que j’ai écrit. Il est inachevé, mais j’étais curieuse d’avoir des retours dessus. Il s’agit d’un premier jet mais il porte le charme de l’imperfection.
Le sommeil mabandonna à la fin de cette nuit pluvieuse dété. La veille, de lourds nuages sombres étaient apparus au dessus de la ville, et avaient dus éclater au milieu de la nuit. La pluie tombait en gouttelettes sur les volets, berçant la chambre dun doux crépitement. Lair rafraîchi que sintroduisait par la légère ouverture effleura ma peau humide de sueur, faisant naître un léger frisson. Les oiseaux dont le chant nous avait bercés le jour précèdent semblaient sêtre réfugiés dans leur nid douillet. Je restais alors un long moment allongé, les yeux fermés, à écouter la pluie tomber sur les volets.
Enfin, jouvrai les yeux. Un fin rayon de lumière filtrait à travers les volets, dissipant lobscurité pour laisser place à la pénombre. Je vis mes habits posés en vrac sur ma chaise. Lentement, mes pensées se remirent en route et je me souvins de mon retour tardif à la maison. Comme nous étions le vendredi soir, je voulais finir mon étude sur la salle de concert dont on mavait proposé lexpertise sonore. Aussi, javais du rester tard au bureau, si bien que je ne me souvenait plus si jétais rentré très tard le veille, ou très tôt ce matin. Je basculai ma tête et je vis que ma campagne dormait encore. Aussi, je me levai doucement, et me dirigeai à petits pas vers la salle de bain. Je vis en ôtant mon pyjama pendre sur le porte-manteau les vêtements de mon cur. Elle devait avoir pris une douche avant de se coucher, aussi, je me méfiai lorsque jallumai leau. En effet, elle préférait prendre des douches glaciales, alors que je les préférais brûlante.
Une fois ragaillardi par cette douche, je sorti, me séchai, et réalisant que javais oublié de prendre des vêtements de rechange, je mis le peignoir quelle mavait offert. Je dois bien avouer que le contact du tissu avec la peau était agréable, mais dieu me garde dêtre vu ainsi par des collègues. Cest donc détendu que je retournai vers la chambre. La vision délicieuse de ma belle endormie marrêta sur le pas de la porte. Elle était étendue sur le lit, la tête délicatement posée sur loreiller. Ses cheveux dont des faibles éclats transperçaient la pénombre tombaient en cascades le long de loreiller et de sa poitrine. On aurait dit les rayons dun soleil, de mon soleil.
Dun il affectueux, je suivis une tresse qui sétalait sur sa poitrine. Cest alors que j’aperçus qu’elle était nue. Ses deux seins, libérés de toute étreinte sétalaient sur sa poitrine. Éclairés si faiblement, ils semblaient dun blanc laiteux, brillants, somptueux. Elle était décidément très belle, désirable, et sa rencontre avait été sûrement lun des prodiges de la vie. Ce fut donc avec difficulté que je me retins de les caresser.
Marrachant de la contemplation de cette poitrine tentatrice, je descendis mon regard sur son ventre découvert, doré par le soleil estival, puis me regard suivit les courbes pour aboutir aux hanches, où deux courbes débutaient, faisant converger mon regard vers son sexe, partiellement caché par le drap, qui pour linstant semblait avoir disparu. Puis venaient ses jambes. Lune était cachée par le drap dans lalignement de son buste, et lautre, posée sur le drap, pendait du lit, faisant flotter son pied au dessus du sol. Aussi, les cuisses étaient-elles ouverte, et auraient laisser lobjet de mes convoitise à ma vue, si le drap ne le cachait pas partiellement par un pli. Une de ses mains reposait le long de son corps, tandis que lautre reposait à la jonction de son sexe et du drap. Néanmoins, la peau rasée sous sa main semblait douce, chaude, accueillante et attirante. Je mapprochai alors sans bruit et soulevait doucement sa main pour la poser sur le lit, révélant ainsi son sexe dans son intégrité. Elle ne se réveilla pas : ce fut à peine si elle sagita. Je fis descendre légèrement le drap, exposant larrondi en dessous de son ventre, reliant son sexe à ses fesses. Elle était véritablement ravissante.
Je me relevai et métirai. Cette délicieuse inspection avait naître en moi un léger désir, quun léger sentiment de culpabilité accentuait. Jallais préparer le petit déjeuner quand un petit qui pendait de son sexe attira mon attention. Prit par la curiosité, je me ressayai à côté delle et tirai doucement sur le fil. Ses lèvres sécartèrent, laissant le passage à une petite boule ovoïde dune matière lisse, brillante dhumidité. Intrigué, je tirai à nouveau et une nouvelle bille de la même forme fit son apparition. Cest alors que son appel de la veille revint à ma mémoire. Elle mavait appelé au bureau, me demandant lheure ) laquelle je pensais rentrer. Elle savait que je travaillais sur cette vaste étude mais sinquiétait que je ne sois pas rentré à cette heure. Elle avait une voix douce, légèrement mystérieuse, cajoleuse. Je ny avais pas fait attention sur le coup mais je lui avais dit que je rentrais tout de suite. Néanmoins, à la fin de la communication, une fenêtre souvrit sur mon écran, révélant une petite erreur de calcul au niveau de la réflexion sonore. Et ma résolution de partir tout de suite sévapora.
Quand jétais rentré, lappartement était plongé dans le noir. Je nosais pas regarder ma montre ou une quelconque horloge. Je posai mon sac dans un coin et jallumai la lumière de la cuisine. Mon assiette était mise, et un petit mot me disait quil y avait des saucisses au porc et à la pomme au four, ainsi que des légumes et du riz sur la cuisinière. Il disait aussi quelle mavait attendu, puis ne me voyant pas arrivé, quelle avait mangé puis sétait couché. A la fin du mot, elle avait dessiné une bouche avec son rouge à lèvre quelle avait acheté depuis que je commençais à rentrer tard. Javais mangé rapidement, fais la vaisselle et métais couché exténué.
Je repris mon observation de ces deux billes. Elles étaient vertes, ovoïdes, reliées entre elle par un fil, lisse, et légèrement humide. Il ne me semblait jamais les avoir vu auparavant. Peut être était-ce les boules de Geisha que sa meilleure amie lui avait offert en croulant de rire devant le regard ahuri de ma belle. Nous lavions invité suite à notre emménagement dans cette appartement. Elle était arrivée souriante comme toujours, avec une gaieté assez excessive.
A la fin de repas, pendant que nous buvions un thé, elle était allée chercher son sac et en avait sorti deux paquets quelle nous avait tendu dun air le plus sérieux du monde. Après lavoir remercier, je lavais ouvert. Il sagissait dun livre sur les massages. Délicate attention pour un novice comme moi ! A côté de moi, mon cur regardait son amie dun air ahuri. Cest alors que cette dernière avait éclaté de rire, disant que finalement, son air ahuri avait ôté tout remord quant au choix du présent. Lorsque javais voulu voir, mon amie lavait caché sous sa chaise, foudroyant notre invitée du regard. Néanmoins, la fin de la soirée se déroula bien. Lorsque je la raccompagnais à la porte, je lui demandais ce quelle avait offert à ma demoiselle. Elle me répondit un air hilare mais confidentiel quil sagissait de boules de Geisha, mais que je ne devais pas en prendre ombrage. Elle voulait juste voir la tête déconfite de sa copine !
Je navais pas cherché plus loin. Aussi, ce devait être ça ces fameuses boules. Jétais à mille lieux dimaginer ce dont il sagissait en réalité. Je repoussai les deux boules à lintérieur du corps de ma belle. Je fus surpris de la facilité avec laquelle elles pénétrèrent dans son vagin. Puis je commençai à caresser distraitement la peau autour de sa grotte. Elle était douce et chaude .Je la senti sagiter dans son sommeil. Je continuai mes caresses jusquà titiller la petite boule rouge en haut de son sexe. Bien quendormie, elle poussa un petit gémissement et se caressa inconsciemment les seins. Encouragé par létrange tournure que prenait ce samedi matin pourtant si banal, jembrassai ses seins tout en mordillant légèrement les deux tétons tout en continuant de la caresser. Les bouts de ses seins étaient durs sous ma langue. Sans tomber dans la fureur érotique qui voulait me submerger, ma bouche quitta ses seins pour se diriger vers son sexe tandis que mes mains allèrent caresser ses seins. Rapidement, je la senti riposter sous mes coups de langue. Son corps ondulait légèrement et des gémissements se faisaient entendre de temps à autre. Je voyais les lèvres de son sexe palpiter, se contractant puis se décontractant. Ma langue sinfiltra dans sa caverne et toucha la première bouche. Son sexe était chaud, et plus rapidement que je my attendais, un liquide tiède commença à dégorger. Je le léchais avec application, tandis que lobjet de mes attentions gigotait de plus belle pendant son sommeil.
Ma petite chose qui dormait calmement semblait en proie à une excitation intense, bien quendormie. Je tirai sur le petit fil reliant les boules. La première boule vint facilement, suivit de sa deuxième, tandis que ……
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