C’était un samedi soir, comme toujours triste et monotone, j’étais nouveau en ville, je venais de m’y installer, je commencerai un nouveau boulot dans 15 jours, je ne connaissais personne dans cette ville, et d’ailleurs mon cercle d’amis était inexistant, et ma famille : loin ou disparue.
Je déambulais dans les rues, il y avait de l’animation dans les bars, mais ma timidité est forte, au détour d’un angle de rue, et d’un bar, j’aperçois une femme, je ne sais pourquoi mais elle a captivé mon regard, je suis entré, et je me suis dit, que je serais mieux au chaud, accoudé au bar en sirotant une bière pour la « mater ».
Je me suis mis dans un coin, et du coin de l’il, je pouvais la voir, elle était avec une autre femme, plus jeune qu’elle, je lui donne une petite quarantaine, un style simple, un look un peu comme une banquière : petite jupe aux dessus des genoux noirs en cuir, des collants ou bas noir, un chemisier en satin ou soie blanc, un maquillage parfait, juste ce qu’il faut, et de très jolie forme, une poitrine généreuse que je n’arrête pas de reluquer.
Elle cause à sa copine, elle rigole, et moi je suis obsédé par sa poitrine, je ne remarque même pas à un moment qu’elle est maintenant seule.
Je ne sais à quelque moment, mais j’ai croisé son regard, et elle a bien remarqué mon manège, elle se lève et se dirige vers moi, je ne sais où me mettre, je lui tourne le dos, et elle me dit :
— Ça va, tu t’amuses bien ? me dit-elle d’un ton sec et autoritaire.
— Euh, je m’excu… Je bredouille, bégaye.
Elle me dévisage, me regarde de bas en haut d’un air supérieur, et me sourit :
— Ce n’est rien, jeune homme, je ne vais pas me plaindre qu’un homme me regarde, du moment que cela reste courtois, il faut arrêter ce sexisme, quand je mets une jupe j’aime que les hommes me regardent.
Je ne savais que dire.
— Moi, c’est Vanessa, me dit-elle un beau sourire.
Sa bouche resplendissait d’un rouge et elle avait un sourire d’une blancheur.
Elle m’a invité à venir à sa table, et nous avons discuté pendant des heures, elle a tout appris de ma vie, mais moi rien de la sienne, j’étais de plus en plus excité, je ne voulais pas la lâcher, et jacquiesce et souriais à la moindre de ses vannes. Je me sentais comme l’homme le plus chanceux du monde, je n’avais jamais été avec une femme aussi jolie.
Si bien que lorsqu’elle me proposa de finir la soirée chez elle, je ne pouvais qu’accepter, c’est un cadeau de Noël avant l’heure, je n’ai évidemment pas refusé.
Dans sa voiture, elle continuait de parler de chose et d’autre, sa main est venue se poser sur ma cuisse gauche, et elle est remontée à mon entrejambe, elle me sourit quand elle constata mon érection.
Elle s’arrêta devant un portail, et d’un clic sur une télécommande, il s’ouvre et se referma derrière notre passage, c’était une belle demeure, un manoir plutôt !
— Ne t’inquiète pas, j’ai hérité de mon défunt mari, et je ne suis plus à l’abri du besoin.
Nous entrons et elle me fait passer dans un grand salon avec de grands canapés, elle revient avec un verre d’alcool, mais je n’ai pas eu le temps de le boire, nous nous sommes embrassés.
Après 15 minutes de caresses intenses, elle m’a emmené dans sa chambre :
— Laisse-moi me glisser dans quelque chose de plus confortable, assieds-toi sur le bord du lit et attends-moi.
— OK, Vanessa.
Elle s’éclipsa dans la pièce attenante.
Doucement je me suis dirigé vers le lit, c’était une très grande chambre, assis sur le bord, je remarquai une masse noire posée dessus, je la pris en main, c’était du cuir souple, j’ai été surpris de voir que c’était un masque très réaliste d’une tête de chien. Cela devait être un reste d’une fête costumée.
Le masque à la main, c’est à ce moment qu’elle sort, je n’en croyais pas mes yeux, elle était divine, elle portait une guêpière violette avec de la dentelle noire, elle remontait encore plus sa poitrine, encore plus généreusement, au bout de ses jarretelles de sublimes bas noirs et était juchée sur de plus grands talons.
Je sortis un : « mon Dieu que vous êtes belle »
Elle sourit d’un air satisfait et me dit :
— Oh, j’avais complètement oublié que je l’avais sorti, je vais à une fête costumée ce week-end chez une amie, c’est cool, non ?
— Oui, c’est très réaliste quand même !
— Oui, laisse-moi te montrer le reste du costume, dit-elle en riant.
D’une boîte contre le mur, elle sortit des espèces de grandes mitaines avec les extrémités qui ressemblaient à des pattes de chien.
Elle s’approcha de moi, et me dit :
— Voyons, à quoi ressemblerait mon beau jeune homme sexy avec ça !
Elle glissa sur mon bras droit cette grande mitaine, et ma main fût remplacée par une patte de chien, elle le laça et fit de même avec le bras gauche.
Je ne sais pourquoi, mais sans un mot je l’ai laissé faire.
— Et maintenant la tête, me dit-elle en riant, tu vas devenir mon gros chien !
Je me sentais un peu bête, mais j’ai souri et joué le jeu. Ce soir, je décidais de ne pas faire de commentaires ou de réflexions désobligeantes et de passer peut-être à côté, ainsi elle penserait que je suis quelqu’un de cool et prêt à faire le fou.
— Laisse-moi te la mettre, tu vas sentir un tube à l’intérieur, laisse-le glisser, cette cagoule a une fonction cool avec laquelle je vais te surprendre !
Elle m’a posé le masque de l’avant vers l’arrière et bien sûr, le tube semblait vraiment gros. Il s’est glissé dans ma bouche grande ouverte et m’a piégé la langue en dessous. J’avais l’impression qu’il y avait une sorte de morceau de caoutchouc plat attaché qui retenait ma langue sur le fond de ma bouche. Je pouvais le déplacer légèrement, mais il était désespérément coincé. Avant que je ne puisse me plaindre, elle avait déjà commencé à lacer le masque à l’arrière et à le fermer, je pouvais la sentir fermer une pièce de cuir par-dessus les cordes sur ce qui devait être du Velcro. Le masque s’étendait jusqu’à ma pomme d’Adam, englobant totalement mon cou avec du cuir souple. Je l’ai sentie ajuster le masque et tirer mes oreilles à travers des trous qui étaient juste sous les oreilles souples. Puis elle est apparue devant moi en souriant et s’est assurée que mes yeux soient bien alignés avec ceux du masque, je voyais à travers deux globes teintés, du même genre qu’un miroir sans teinte.
Le masque était bien serré, je commençais un peu à paniquer, je mis mes mains sur mon visage, mais avec ses mitaines en forme de pattes, j’ai vite compris que je ne pourrais jamais l’enlever seul.
J’ai voulu lui dire de l’enlever mais au lieu de ça, les sons qui sortaient de ma bouche se transformaient en aboiements.
Elle apparut devant moi :
— N’est-ce pas hilarant mon chéri, c’est très amusant de porter ce truc, tu es le plus sexy des chiens que je n’ai jamais vus.
Je ne trouvais pas ça drôle, je voulais absolument enlever cette tête de chien mais je ne pouvais le lui dire. Elle se déplaça et me murmura à mon oreille :
— S’il te plaît mon bébé, garde le masque, je veux que tu me baises comme une salope, comme la chienne en chaleur que je suis.
Sa main descendait en même temps sur mon sexe, qu’elle frottait à travers mon pantalon.
C’était vraiment bizarre, mais j’avais envie de la satisfaire, j’étais avec une femme merveilleusement belle et entreprenante, et je me suis dit qu’un jour ce serait une belle histoire à raconter.
Elle est revenue vers moi :
— Juste une chose bébé, s’il te plaît, ne racontes jamais à personne, je serais dévastée sinon. J’ai l’impression de pouvoir tout te dire même si on vient de se rencontrer.
J’ai hoché de la tête, elle est tellement convaincante et je voulais lui faire plaisir.
— OK, bébé, mets-toi à quatre pattes, je vais mettre une nouvelle tenue et tu pourras te jeter sur moi et me prendre comme un animal, mais d’abord il faut que je te mette le costume complet, me dit-elle avec un sourire diabolique.
Je me suis mis à quatre pattes, je me sentais un peu bête
— Je veux te surprendre mon bébé, je vais te mettre dans le noir, ne craint rien.
J’ai de nouveau hoché de la tête.
Elle appuya juste au-dessus des yeux du masque, et les globes oculaires se sont noircis, je ne voyais plus rien.
Je l’ai entendu traîner une masse sur le sol, j’aurais voulu voir, quelque chose de froid se glissait sous moi :
— Relax, mon bébé, laisse faire…
Je m’allongeais dessus, seule ma poitrine était posée dessus, elle me massait le dos tout en me disant que j’ai un corps sexy. Elle susurrait des mots doux à mon oreille.
Je me sentais vraiment détendu avec ses massages, sa langue dans mon oreille, elle est peut-être bizarre mais elle m’excitait. Pendant que jappréciais ses douceurs, mon cou et mes poignets étaient soudainement coincés dans des trous très serrés et presque aussitôt mes chevilles aussi. Une montée d’adrénaline m’a traversé, j’ai essayé de bouger mais j’étais pris au piège. Ça m’a pris un moment mais j’ai réalisé que j’étais dans un carcan en bois bien immobilisé.
J’ai paniqué et j’ai essayé de me dégager, mais l’appareil était extrêmement lourd et ne bougeait pas d’un pouce. Tout était bien verrouillé de façon sécuritaire et ne laissait aucune place à aucun type de mouvement. Qu’est-ce qui m’arrivait, bon sang ? Je n’arrivais pas à m’y faire à l’idée.
Elle s’est approchée de moi, m’a redonné la vue et s’est assise face à moi avec un sourire satisfait.
— Tu devrais voir tes yeux, chien, ils sont terrifiés.
J’ai essayé de crier (ce qui était difficile avec ma langue coincée) mais ce qui est ressorti, c’était une série d’aboiements impuissants.
— Désolé, mon chien, je ne comprends pas le langage canin, mais ne t’inquiète pas, Maîtresse va bien prendre soin de toi !
Elle m’a tapoté et caressé la tête.
J’étais terrifié et humilié, comment avais-je pu laisser faire ça ? J’avais peur et jétais stupide d’être tombé dans le panneau.
— Bon, mettons correctement ce masque !
Elle s’est levée et s’est assise sur mon dos, elle a ouvert un truc, et a serré encore plus les lanières, une par une. Le masque est devenu si serré que j’avais l’impression qu’il ne faisait qu’un.
Elle s’est levée et est réapparue avec une masse métallique à la main :
— Tu vas avoir un joli collier mon chien ! dit-elle avec un grand sourire.
J’ai réalisé qu’elle voulait me mettre un collier autour du cou, j’ai secoué ma tête violemment, je voulais lui faire comprendre que ce n’était plus amusant, mais elle s’assit sur mon dos et passe ce collier, elle le ferma solidement, l’ajusta, il me serrait la gorge et il était lourd.
— Relax, boy, il est bien serré et ne se détachera pas, ne t’inquiète pas, tu t’y feras, il est là de façon permanente !
De façon permanente, elle voulait rire, que voulait-elle dire par là ?
Elle est réapparue devant moi :
— J’ai besoin de te libérer du carcan, mais je dois te prévenir, ne tentes rien ! tu vois ce que je te tiens dans la main (elle tient un long bâton de métal avec une poignée. Elle a appuyé sur un bouton et une flamme bleue crépitante d’électricité en sortait à son extrémité), c’est un aiguillon à bétail conçu pour le faire avancer. Imagine ce qu’on ressent quand on touche la chair humaine. J’ai entendu dire que la douleur est presque insupportable et que beaucoup de gens s’évanouissent. Si tu essaies de te détacher ou de m’attraper, je m’en servirai sur toi.
Elle m’a coupé tous mes vêtements avec une paire de ciseaux, me laissant nu, sauf le collier, le masque et les mitaines. Je me sentais gêné et violé. Elle m’a donné une fessée.
— Joli cul. Je vais prendre plaisir à le regarder quand tu marcheras à quatre pattes sur le sol.
Elle a défait une de mes mitaines et a roulé une manche très serrée jusqu’en haut de mon épaule. Elle se termine par une patte bien plus réaliste dans laquelle je ne pouvais entrer qu’en enfonçant mon poing. Une fois que la manche était au niveau du collier, elle l’a attaché et a fait de même avec l’autre bras. Elle m’a passé le reste du costume par-dessus la tête à travers un trou dans le cuir. Le bas de la partie inférieure du cou du masque s’y est ensuite enfilé et elle l’a bien fermé et l’a caché avec un autre rabat. Bientôt j’ai réalisé que le cuir noir qu’elle avait glissé le long de mes bras et au-dessus de ma tête était un costume complet. Elle a continué à le tirer sur ma poitrine et mon ventre jusqu’à ce qu’elle atteigne mes jambes.
Elle revint devant moi :
— Maintenant je vais m’occuper de tes jambes, si tu essaies quoi que ce soit, tu seras choqué électriquement, et tout ça pour rien, car j’obtiens toujours tout ce que je veux ! Est-ce que tu comprends chien ?
J’ai hoché de la tête. J’étais complètement à sa merci et je devais espérer qu’elle obtienne ce qu’elle veut et qu’ensuite elle me laisse tranquille et libre.
Elle a détaché mes chevilles, a pris une de mes jambes et l’a remontée d’un coup sec vers le haut, si bien que mon pied a touché mes fesses, elle glissa un carcan de cuir par le genou, le remonta. Elle fit pareil avec l’autre jambe, chaque extrémité se termine par une patte de canidé, articulée, elle fixa le tout au reste de la tenue, et je sentais l’air autour de mon anus, me voilà exposé, le cul bien en évidence, elle prit ma bite et la fit sortir.
Elle ajusta de nombreuses sangles, les serra au maximum.
J’étais maintenant un chien en cuir noir avec mon cul, ma bite et mes couilles complètement exposées. Elle s’est approchée de moi avec un large sourire sur le visage.
— Tu es adorable ! Laisse-moi te parler de ton nouveau costume. Tu ne peux pas lever les bras avant très haut et tu ne peux pas te mettre sur tes pattes arrière. Si tu essaies de mettre tes pattes avant autour de moi, c’est impossible. Tu ne seras pas capable d’appliquer assez de pression pour me blesser. Ces précautions de sécurité ne t’empêcheront pas de marcher à quatre pattes. Tes pattes arrière ont une patte à la fine pointe de la technologie. Elle est flexible et te permettra de marcher rapidement et confortablement.
— Ton collier a aussi une caractéristique intéressante. Je l’ai réglé pour te choquer au plus haut niveau si je dis "s-t-o-p". Elle a épelé les lettres et n’a pas dit le mot. Ma voix et le mot s-t-o-p sont programmés et dès que je le dis, tu reçois un choc électrique qui te rendra inapte. Toute tentative de me faire du mal se traduira par une série de douleurs et de punitions pour toi.
Je me suis résigné de laisser ce cauchemar continuer, elle me libèrera et peut-être qu’un jour j’oublierai en faisant d’autres rencontres plus normales.
— Allez, viens mon chien, suis ta Maîtresse !
Je me sentais ridicule à la suivre à quatre pattes, je pourrais la tuer en moins de 30 secondes si je n’étais entravé dans cette combinaison carcan en cuir. Je n’ai rien fait pour l’arrêter, j’espérais juste que ce soit un jeu et qu’elle me libère vite après avoir abusé de moi.
Je l’ai suivie jusque dans le couloir, elle était debout, son bâton à la main, elle tenait à la main une lourde laisse, le mousqueton au bout est fixé à mon collier, elle me traîne en laisse :
— Allez, mon chien, un peu plus de vitalité, il est déjà très tard ce soir, et je n’ai pas envie de jouer avec mon nouveau chiot, j’ai une grosse journée demain, je vais t’emmener à ta niche !
Qu’est-ce qu’elle a encore prévu ?
Je la suis, contraint et forcé, nous descendons des escaliers, pour nous retrouver dans une cave sombre, elle attache la laisse à un poteau, et ouvre une porte, elle décroche la laisse et me tire vers cette pièce.
A l’intérieur une grande pièce haute de plafond, toute de béton gris froid, et deux cages en métal, des cubes avec des barreaux en métal qui doivent faire un mètre de côté. Le fond est en métal ou inox, formant une cuvette.
Je me suis arrêté, pas question de rentrer là-dedans !
Elle me dit sur un ton très sévère :
— Tu iras dans cette cage que ça te plaise ou pas, c’est ta maison maintenant ! Les chiens ne doivent pas se promener dans une maison, leur place est dans une niche ou dans une cage, je ne veux pas que tu coures partout quand je dors ou absente !
J’ai quand même refusé.
Elle a attrapé quelque chose sur le mur, et c’est venu me taper sur les fesses d’une violence sans retenue, j’ai eu l’impression qu’elle se défoulait, j’ai hurlé dans le masque, mais les seuls cris audibles de l’extérieur, étaient les mêmes qu’un chien pleurant de douleur !
— Veux-tu que je continue à te donner la fessée ?
Maintenant je pleurais, et c’est résigné que j’entrai difficilement dans la cage, elle la ferma derrière moi, et me dit de me tourner pour faire face à la porte, elle prit un gros cadenas qu’elle mit sur la porte, elle s’agenouilla et fixa chacune de mes pattes à l’un des barreaux.
— J’attends ce moment depuis si longtemps. J’ai fait construire cette pièce et fabriqué cette cage pour être prête quand j’aurais trouvé la bonne personne et c’est toi. Personne ne sait que tu es ici et personne ne t’y cherchera. Je ne sais quand, mais un jour des personnes se demanderont peut-être ce qui t’est arrivé, mais personne ne le saura vraiment. Ils ne sauront jamais que tu as été enfermé en permanence comme un petit chien sans défense.
Elle m’a fait un sourire éclatant.
— Tu es si mignon dans cette petite cage avec tes yeux de chiot triste. Ne pisse pas dans la cage ou maman sera très en colère demain. Bonne nuit, mon chéri !
Elle se leva et sortit, j’entendis différents cadenas ou serrures, et puis la lumière s’éteignait, c’était le noir complet un court instant, puis une veilleuse se mit en route.
Au fur et à mesure que mes yeux s’ajustaient à cette lumière très faible, j’observais comme je pouvais cette pièce, je ne pouvais me tourner, il y avait plusieurs anneaux fixés au mur, une baignoire métallique aussi, différents chaînes et colliers.
J’ai tenté de bouger, mais impossible, les coups reçus sur mes fesses me brulaient encore et la cravache est bien visible accrochée au mur !
Pour aggraver mon mal-être, j’ai commencé à avoir des démangeaisons dans la combinaison en cuir, impossible de me gratter, et pour couronner, mes jambes pliées commençaient à avoir des crampes.
Je n’ai pas pu m’empêcher de penser à ce qui s’était passé. J’ai été tellement stupide. Je venais de tomber dans un piège tendu par ma bite. Elle m’a rendu complètement impuissant. J’étais encore moins capable de me défendre qu’un chien parce que le masque cachait mes dents. Elle avait pensé à tout. La frustration de savoir que quelques pièces de cuir et de métal m’avaient complètement asservi était difficile à supporter. Elle avait raison. Personne ne me chercherait et personne ne me chercherait jamais. J’avais hâte de renouer des amitiés et d’en nouer de nouvelles maintenant que j’avais terminé mes études de droit, mais je n’avais pas eu le temps. C’était trop tard pour ça. En y repensant, ma longue et honnête discussion avec elle avait fait de moi une proie parfaite.
Tout était contre moi. J’étais dans l’impossibilité d’échapper à l’esclavage dans une maison cachée derrière une haute clôture. Chaque fois qu’elle aurait de la compagnie ou qu’elle aurait besoin d’aller travailler, elle pouvait me laisser dans cette cage presque impossible à trouver. Personne ne pouvait se montrer à l’improviste parce que l’endroit était entouré d’une grande clôture. Mes chances de m’échapper étaient minces. Plus je pensais à la possibilité qu’elle me libérerait, plus je savais que cela n’arriverait jamais. Si elle m’avait libéré, elle irait en prison pour diverses raisons. Elle ne permettrait jamais que cela se produise.
Les heures passaient lentement et douloureusement. Mes jambes fléchies étaient presque devenues insupportables et j’ai parfois pensé qu’elles me rendraient fou. Pour couronner le tout, j’ai dû faire pipi. J’avais bu beaucoup de bières cette nuit-là et ma vessie était pleine… vraiment pleine. Au fur et à mesure que les minutes passées, il était physiquement impossible de me retenir jusqu’à ce qu’elle vienne, mais j’ai essayé. Quand j’ai fini par pisser, c’était involontaire, mais je me sentais quand même bien. C’était agréable jusqu’à ce que le fond de la cage en acier en forme de plateau se remplisse de pisse chaude et que je sois obligé de m’allonger dans ma propre urine.
Alors que les heures passaient, l’urine était devenue froide et moi aussi. Et je frissonnais. Quand j’ai entendu les portes s’ouvrirent, ma tête était dans le brouillard. Il m’a fallu 10 à 15 secondes pour réaliser où j’étais et ce qui s’était passé.
Elle m’a trouvé allongé dans ma propre urine dans une agonie absolue. Les crampes dans mes jambes étaient pires que jamais et ça me grattait tellement que je me tortillais d’un côté à l’autre en essayant de trouver une sorte de soulagement qui ne pouvait pas venir.
— Méchant chien, dit-elle en s’accroupissant à mon niveau.
Elle était déjà maquillée et vêtue. Elle était toujours d’une beauté époustouflante et avait l’air reposée.
— Quelle est la dernière chose que je t’ai dite ? Tu as manifestement besoin de beaucoup de travail pour être propre.
Elle a ouvert la serrure et déverrouillé mes chaînes.
— Viens ! ordonna-t-elle.
À ce moment-là, je ne voulais pas la blesser ou la tuer, je voulais juste sortir de ce putain de costume. J’agonisais… j’avais froid, j’avais des crampes et j’avais mal. J’espérais désespérément qu’elle me libère, même si je savais au fond de moi que cela n’arriverait pas. Le fait qu’elle avait l’air parfaite et reposée pendant que j’étais à l’agonie, couvert de ma propre urine, ne m’a même pas traversé l’esprit. Je voulais juste sortir du costume.
J’ai lutté pour me redresser… Du moins ce qui était une position normale pour un chien et j’ai commencé à sortir. Ce n’était pas si facile. J’étais extrêmement raide en plus de la douleur. Quand j’ai réussi à sortir de la cage, elle a attrapé mon museau et l’anneau à l’arrière de mon col et m’a tiré en dehors de la cage. Avant que je ne sache ce qui se passe, elle m’a remis le visage dans la cage et dans l’urine.
— Bad boy ! dit-elle d’une voix colérique et condescendante.
Elle m’a mis une laisse de chaîne et m’a tiré vers le haut et à travers la pièce. J’ai essayé de suivre, mais elle a été trop rapide et j’ai ressenti la sensation désagréable et horrible d’étouffement qui m’a rendu encore plus impuissant. Quand j’étais dans la baignoire, elle a attaché la laisse à un anneau métallique dépassant du mur.
— Tu vas me mettre en retard au travail, Blackie !
Blackie ? Je restais perplexe.
Elle m’a souri.
— C’est exact. Hier soir, j’ai décidé de t’appeler Blackie. Je pense que c’est approprié avec ton beau pelage noir foncé. J’espère que ça te plaira… Je trouve ça mignon.
Je détestais ce nom, mais plus que tout, je détestais le fait qu’elle m’ait nommé. C’était humiliant.
— Bien sûr, ça n’a pas d’importance que ça te plaise ou non, Blackie. C’est ton nom maintenant. En tant que propriétaire, je peux te nommer comme bon me semble.
Son sourire satisfait voulait tout dire. Elle s’amusait énormément. Elle s’est amusée à m’humilier et à m’asservir et elle savait à quel point c’était embarrassant d’apprendre qu’elle me possédait et que j’avais été nommé par elle.
Elle a allumé l’eau et l’a laissée couler un peu avant de commencer à me pulvériser. Je m’attendais à ce qu’elle soit froide, mais à ma grande surprise, elle était agréablement chaude. Elle m’a arrosé pendant quelques minutes en s’assurant que toute l’urine était partie puis elle a enlevé sa veste et l’a déposée soigneusement sur le côté, puis s’est agenouillée près de la baignoire. Elle a rempli sa main de savon et a commencé à me faire mousser. Elle a commencé avec mon dos, mais elle s’est vite retrouvée dans le bas de mon dos, puis elle a commencé à me faire mousser les fesses. Il n’y avait rien que je puisse faire.
— Pauvre bébé. Ton joli petit cul a des marques dessus. Maman est désolée qu’elle ait dû te faire ça, mais les toutous dorment dans des cages et tu es un toutou. Maman ne peut pas laisser son mignon petit chiot lui désobéir quand il ne respecte pas ses ordres.
Elle a frotté doucement les marques et a ensuite continué à frotter le savon sur chaque centimètre de mon cul. Après avoir fait mousser toutes les autres parties, ses doigts ont commencé à masser le savon dans la fissure de mon cul. Elle s’est arrêtée et a mis plus de savon dans ses mains, puis a continué à frotter doucement de haut en bas et a ensuite commencé à pousser son majeur en moi. Son doigt commençait à entrer et à sortir chaque fois.
C’était humiliant mais elle n’avait pas fini.
Son autre main a trouvé ma bite d’une dureté plus que gênante.
— Oh, je vois que Blackie aime que maman frotte cet endroit. Le doigt de maman te fait du bien, n’est-ce pas Blackie ? Tu vois, maman peut mettre son doigt ou tout ce qu’elle veut parce que tu lui appartiens et qu’il n’y a rien que tu puisses faire.
Son autre main a soigneusement frotté mes couilles avec du savon et a ensuite commencé à se déplacer le long de ma bite extrêmement et lentement. Bien que je déteste ce qu’elle me faisait, je ne pouvais rien faire pour contrôler mon excitation. Elle a commencé à accélérer avec son doigt et avec sa main et j’ai senti un orgasme couler au fond de moi. J’ai essayé d’arrêter mais c’était impossible et quand j’ai fait irruption, c’était explosif. J’ai eu des spasmes à l’aine pendant que sa main entière était dans mon cul. Elle a attendu que j’ai fini de jouir et m’a nettoyé.
— Je crois que tu aimes être mon chien, Blackie, dit-elle en me regardant dans les yeux en me savonnant la tête. Ça t’excite d’être le chien à sa maman ?", dit-elle en riant. Je pense que oui, mais ça n’a pas d’importance. Tu vas être ma chose pour le reste de ta vie, que ça te plaise ou non.
Elle m’a aspergé et m’a essuyé avec une serviette puis m’a conduit en haut des escaliers. C’était difficile, mais j’ai réussi. Elle a ouvert sa porte arrière de patio et m’a conduit sur l’herbe.
— Va chier et faire pipi, mon garçon. Maman doit aller travailler et je ne veux plus d’accidents dans ta cage.
Elle voulait vraiment que j’aille chier devant elle ? Il s’est avéré que oui, mais je n’y arrive pas et je l’ai regardée en espérant de la sympathie.
— Blackie, tu ferais mieux de t’occuper de tes affaires ou quand on redescendra, je te botterai le cul et crois-moi, ça sera pire que la dernière fois.
J’ai lutté pour me mettre en position. Avec toutes mes crampes, c’était presque impossible, mais au bout d’une minute ou deux, j’étais capable d’adopter la bonne position et de le faire. Je ne pouvais pas la regarder. J’étais si mortifié.
— Bon garçon ! Elle a dit avec joie. Blackie est un bon garçon !
Des larmes se sont formées dans mes yeux et j’ai regardé le sol.
— Sois un bon garçon et va faire pipi aussi.
J’ai suivi l’ordre. Elle m’a attrapé le museau et m’a fait lever les yeux vers elle.
— Regarde-moi, bon garçon. Je savais que tu pouvais le faire ! Tu es un si bon garçon.
Elle m’a nettoyé le cul avec une lingette humide et m’a frotté la bite avec une autre.
— Nous y voilà. Ton joli petit cul et ton joli petit pénis sont bien propres. Allons te chercher quelque chose à manger et à boire.
Je n’avais même pas pensé à manger et à boire, mais dès qu’elle l’a dit, j’ai réalisé que ma bouche était desséchée et mon estomac complètement vide. Elle allait devoir enlever le masque de chien, j’ai réalisé avec excitation. Je devais lui dire quelque chose à tout prix. Je devais l’en dissuader d’une façon ou d’une autre. Au moins, la convaincre de libérer mes jambes. Les avoir pliées comme elles l’étaient, était horrible et je commençais à m’inquiéter des dommages à long terme qu’elles pourraient subir.
Malheureusement, le masque n’avait pas besoin d’être détaché. Elle a commencé avec de l’eau. Une bouteille avec un bec long et étroit a été poussée dans mon museau et je l’ai sentie se verrouiller sur l’anneau dans ma bouche.
— Détends ta gorge pour ne pas t’étouffer.
Elle a appuyé sur un bouton de la bouteille et l’eau a coulé dans ma bouche et dans ma gorge. Terrifié par l’étouffement, j’ai fait de mon mieux pour me détendre et, à mon grand soulagement, l’eau est descendue sans encombre. Ensuite, c’était le petit-déjeuner. C’était une soupe liquide épaisse et dégoûtante qu’il était très difficile à boire. Elle a terminé en me versant encore trois grandes bouteilles d’eau dans la gorge. À la fin de la troisième, j’ai failli vomir. J’étais complètement rassasié et Dieu merci, il n’y avait pas d’autre bouteille qui arrivait.
— Bon chien, Blackie ! m’a-t-elle dit en me tapotant la tête. Maintenant, on va te remettre dans ta cage. Maman doit aller travailler.
Elle a tiré sur ma laisse et a commencé à marcher jusqu’à la porte du sous-sol. J’ai senti une vague de panique. Je détestais cette petite cage et j’étais impuissant à l’arrêter. Mes yeux se sont déchirés en marchant prudemment derrière elle. Une fois de plus, j’étais de retour dans cette horrible petite pièce de ciment avec la petite cage qui ressemblait à une cellule de prison miniature dans le sous-sol d’un château des années 1600.
Face à la porte de la cage, je stoppe.
— Tu veux que je te redonne une correction plus forte qu’hier soir ? De toute façon tu y rentreras, il faut peu de choses pour t’immobiliser, quelques pièces de cuir très bien ajustées, te rendent complètement dépendant de moi, de toute façon tu rentreras dans cette cage, quoique tu fasses !
Elle prit la cravache accrochée au mur, et c’est la tête baissée que j’entre, je fais comme je peux pour lui faire face, elle ferme la cage et ferme avec le gros cadenas, elle recommence à attacher chacune des extrémités de mes membres, mais à quoi ça lui sert ?
— Tu es bien installé Blackie ? Se moque-t-elle, je suis désolée de devoir t’enfermer aussi solidement, je ne veux pas que tu te blesses quand je suis absente.
Si j’avais pu lui répondre, je l’aurais envoyée se faire foutre !
— Je penserais à toi toute la journée quand je mangerais un bon repas, quand je serais dans le parc, bien que ce serait super de t’y promener en laisse, je pense être de retour d’ici 9 à 12 heures, ne pisse pas dans la cage, ou sinon Maman serait très en colère !
Sur ce, elle est sortie, et ferma la porte à clef, me laissant dans cette cage, dans cette pièce froide, dans une lumière très tamisée.
Me revoilà seul, dans mes pensées, comment faire pour sortir de ce cauchemar ?
L’attente sera plus longue que la nuit que je viens de passer, j’hurle dans mon masque, mais ce ne sont que des aboiements, peut-être que quelqu’un m’entendra !
Quand elle arriva, elle me trouva dans la même position que le matin, mais cette fois, j’avais réussi à me tenir propre.
— C’est bien Blackie, gentil toutou !
Elle enleva tous les cadenas et c’est en laisse qu’elle me fit sortir.
Elle me fit sortir dans son jardin et j’ai pu me soulager, toujours tenu en laisse, elle approuve un malin plaisir à me promener.
Je la suivais tel un vrai chien, quand nous entrons dans le salon, le carcan en bois était là, elle l’ouvrit et je suis forcé de remettre les avant-bras et la tête dedans.
Elle s’éclipsa et revint se mettre à califourchon sur mon dos. Je sentis un liquide coulé entre mes fesses, puis ses doigts latexés dans mon anus. Et je sentis quelque chose emplir mon trou vierge d’une masse longue et grosse masse, je hurlais, du moins j’aboyai de douleurs, une fois un renflement, je sentis cette masse se mettre naturellement en place dans mon anus.
Puis elle se souleva et passa en dessous de moi, ses mains toujours latexées frottaient mon sexe, et je sentis chacun de mes testicules et pénis passés dans un anneau métallique qui lui se positionna à la base de mon sexe. Puis mon sexe a été mis comme dans un fourreau, je ne comprenais pas, mais je sentis bien que ce tube fut fixé à la base de mon sexe.
— Voilà Blackie, j’ai fini, cela n’allait pas, je ne supportais pas de voir ton cul et ta queue humaine, voilà chose faite !
Elle me libère de mon carcan de bois, et me traîne en laisse devant un miroir.
Devant, mon reflet me revoie à ma triste réalité, un humain dans un costume de chien en cuir, mais je vois immédiatement le changement, je me tourne et constate deux nouveautés : une grande queue en latex noir souple se dandine à mon cul, je sens chacun de ses mouvements titillés mon anus, et mon pénis a disparu dans une gaine rougeâtre écarlate, il a la forme d’un vrai sexe de chien, plus long que le mien mais aussi plus gros, il a les renflements typiques.
— Voilà, la transformation est finie, plus aucune once de peau humaine n’est visible, je t’explique : dans ton cul tu as un gros plug de plus de 30 centimètres de long, il est creux et souple à l’intérieur, il s’est logé directement à la sortie de tes intestins, comme ceci tu pourras déféquer naturellement, il tient en place, tes sprinters le maintiennent, et une belle et longue queue d’un bon mètre dépasse. Ce que te servait de pénis, est maintenant remplacé par un vrai phallus de chien, je te rassure de suite, tu pourras toujours uriner, mais plus bander, ton sexe est sous cage à l’intérieur. J’ai terminé.
Qu’est-ce qu’elle a fait cette folle, je suis humilié, si seulement je pouvais te la mettre bien profond dans son cul, tu comprendrais ma douleur, je la déteste !
Elle me siffle comme un chien, je ne bouge pas, elle se rapproche, cravache à la main, et je reçois des coups, même sous cette couche de cuir, la douleur me fait hurler.
— Quand je t’appelle ou siffle, tu me suis, OK ?
Je reçois un autre coup !
— Et aussi, si je te pose une question tu aboies, OK ?
— Wouaf, je fais, j’ai honte.
Je la suis, comme je peux, chaque mouvement fait bouger cette queue plantée dans mon cul, c’est dérangeant, c’est bizarre, car j’apprécie, non, je pense encore avec ma queue !
Je dois la suivre partout où elle va, sinon je reçois des coups, elle me dresse, elle commence mon éducation canine, assis, couché, etc. Je reçois des coups même si je fais bien.
Au fil du temps, que je perds, je ne réfléchis plus, j’obéis, elle m’a cassé, je me déplace presque librement dans la maison, je vais dehors pour faire mes besoins, la nuit je la passe soit dans ma cage ou aux pieds de son lit quand elle est seule.
À suivre…