Suite et fin
Mamadou était allongé sur sa paillasse, son sexe au repos était beau, si noir, si épais. Il était beaucoup plus long que celui de mon mari en pleine bandaison. Je voulais prouver à Mamadou que je pouvais le prendre en entier en moi. J’étais motivé et décidé. J’allais lui prouver que je valais toutes ses femmes. Je me mis à genou et me pencha sur son sexe pour le faire bander, je le léchais sur toute sa longueur, arrivant même à le mettre dans ma bouche. Je lui faisais la totale, lui léchant ses deux beaux pruneaux. Moi la femme catholique innocente, j’étais devenue une chienne pendant mon voyage de noces, poussant même le vice à titiller avec le bout de ma langue l’illet de Mamadou. Ce qui finit de le mettre au garde-à-vous. Même mes deux mains ne suffisaient pas pour couvrir la longueur de son sexe alors qu’une suffisait amplement avec Alain. Je stoppai ma pipe, car après tout ce n’était pas le but de ma visite. J’enjambai Mamadou et m’assieds sur lui en dirigeant sa poutre en moi.
Centimètre après centimètre, je sentais mes chairs s’ouvrir au fur et à mesure. Avec mes mains sur sa poitrine, je maîtrisais ma descente qui était longue mais sûre. Le temps me paraissait long, je n’avais pas encore pris la moitié de son sexe et je le sentais en moi comme jamais, visitant des zones jamais atteinte par un autre sexe. Impatiente, je me laissais tomber sur lui en levant mes mains. J’avais réussi ! C’était douloureux mais j’avais vaincu mon « Everest » ou mon « Kilimandjaro ».
Pour faire passer la douleur, j’enfouis ma langue dans sa bouche. Je commençais à bouger sur sa queue et la douleur fût remplacée rapidement par le plaisir. J’étais fendu en deux, écartelé. Je commençais à penser que je ne pourrais jamais plus prendre de plaisir avec mon mari. Je chevauchais Mamadou sur toute sa longueur. Je montais au ciel, multipliant les orgasmes. Son sexe était si énorme, visitant chaque millimètre de mon vagin. Je commençais à m’épuiser et Mamadou ne m’avait toujours pas arrosé de sa crème. Voyant cela, Mamadou mis ses mains sur mes hanches et imprima le mouvement pendant que submerger pas la jouissance, je me caressais les seins. Mamadou se contracta et déchargea son méat dans mon utérus de jets puissants.
Je m’effondrai sur le sol, ivre de jouissance et l’entre-jambe poisseux. Mamadou me souriait enfin. Je pouvais m’endormir. Je fus réveillé en milieu de nuit en sentant son sexe dans ma bouche. En ouvrant les yeux je ne pouvais voir que son entrejambe. Remarquant mon réveil il commença à coulisser son piston dans ma bouche. Il allait si profond, jusqu’au fond de ma gorge, m’étouffant presque. J’avais l’impression qu’il faisait des pompes au-dessus de moi. J’aimais ça être soumise à ses mouvements. Sa transpiration perlait sur mon visage. Mamadou s’immobilisa et se vida dans un hurlement au fond de ma gorge. Javais l’estomac plein de son foutre. Mamadou s’allongea sur le dos prêt à rendormir. Je décidais de mettre ma tête sur son ventre et de nettoyer son sexe par de petites léchouilles. Je ne tardai pas à dormir aussi, mon visage à 5cm de sa verge. Au petit matin, je fus la première réveillée, la tête toujours sur le ventre de Mamadou, nous étions tous les deux nues alors que ces femmes dormaient encore à côté de nous. Son sexe était toujours aussi attirant. Tout en le regardant, je repensais à ce que m’avait dit la servante en ayant déçu Mamadou lorsque je n’avais pas pu accepter son sexe en entier. Je voulais lui prouver, à lui et à ses femmes en même temps, de quel bois je me chauffais et que la femme française se défendait très bien au lit. Je voulais être la meilleure des femmes que Mamadou n’ai jamais possédé. Et je voulais que toutes ses femmes le voient et le sachent.
Je me mis accroupi devant lui et commença à sucer son rouleau à pâtisserie d’ébène. Je le sentais grossir dans ma bouche. Mamadou se réveillât et commença à poser ses mains sur ma tête pendant que je dévorais sa queue. Je le voulais passif et repoussa ses mains, tout en le regardant droit dans les yeux. Je fis exprès de parler fort pour être sûre que ses femmes se réveillent et puissent observer comment j’allais vider, lyophiliser, vider les burnes de leur mari !
-Reste allongé et ne bouge pas pour une fois, laisse-moi faire.
Je dévorais son membre sur toute la longueur en faisant bien attention de faire des bruits de déglutitions. Lorsque je fus sûre que tout le monde était réveillé et nous observait discrètement, j’écartai les cuisses de mon Apollon pour lui faire une feuille de rose comme personne ne lui en avait jamais fait. Ma langue tournait autour de son étoile au milieu d’une forêt de poil crépu. En y repensant maintenant, je crois que je prenais autant de plaisir que lui, je titillais sa pastille, enfonçant ma petite langue à l’intérieur. Je dévorais son cratère en regardant du coin de l’il si mes spectatrices étaient assidues au spectacle. Je me remis à l’uvre sur sa belle queue, dévorant mon sucre d’orge. En même temps, avec ma main droite je me caressais ma petite foufoune qui dégoulinait de plaisirs et en profitais aussi pour aussi m’amuser avec mon ’’usine à chocolat’’. Comme on dit la nuit porte conseil et j’avais décidé de tout lui faire, mais pour cela je devais préparer le terrain vu la taille de sa lance à incendie. Il fallait que je prépare le terrain. Je commençais à sentir son sexe vibrer dans ma bouche, signe avant-coureur que la pression montait. Lorsqu’il commença à se vider dans ma bouche, accompagné de rugissements, je pris bien attention de tout garder dans ma bouche et de ne rien avaler…
Je gardais sa semence tiède et salée dans ma bouche, alors que ça me démangeais de tout avaler, mais je recrachai tout dans ma main. D’où j’étais je pouvais fixer Mamadou dans les yeux et faisait dos à toutes ses femmes qui me regardaient. Tout en fixant mon chef, je répandis sa semence sur ma rondelle en écartant mes petites fesses avec ma main gauche. Je m’amusais avec ma petite porte secrète pour bien graisser sa charnière, mais aussi l’assouplir un peu, car une sacrée surprise l’attendait. J’étais sûre que toutes les femmes de Mamadou étaient surprises par mes gestes entre mon petit postérieur.
Toute en travaillant ma petite pastille, je recommençai à le sucer pour le faire durcir, ce qui ne me pris pas beaucoup de temps et chose impossible avec mon mari. Une fois fièrement dresse comme un mat, je me dirigeai vers lui et m’empala doucement mais sûrement sur lui, en empêchant toujours Mamadou de bouger. Je le chevauchais de plus en plus vite, sans oublie d’embrasser Mamadou et lui faire plein de french-kiss. J’arrivais enfin à prendre son sexe en entier dans mon minou, contredisant le fameux dicton. (Le sexe d’une femme est la plus petite gare du monde, le wagon rentré, mais pas les valises.) Vu comment je sentais son sexe titiller mon utérus, je n’avais pas un wagon, mais tout le train je crois.
Alors que je commençais à être recouvert de transpiration, je me levais complètement pour faire face à mon public féminin et me rassis sur Mamadou, dos à lui et donc face à celles-ci pour qu’elles voient mieux ma main dirigeais le sexe de leur mari dans ma petite grotte. Tout en les dévisageant, je me fis glisser doucement sur son sexe, Sentant mes chairs se distendre, serrant les dents pour ne pas montrer la douleur qui m’envahissait. A mis longueur, je commençais à faire des vas et vient sur son sexe, la douleur faisant place au plaisir quand je fus totalement dilater. Trois hommes m’avaient enculée, tous pendant mon voyage de noces et tous n’étaient pas mon mari. Que cela ne tienne, c’était si bon. J’acceptais maintenant son sexe en entier dans mes boyaux. Je ne cessais pas de regarder ses femmes une par une, qui avaient toutes l’air surprises. Mamadou, s’il devait être déçu maintenant, ce ne serait pas de ma faute.
Je sentais que Mamadou n’allait pas tarder à jouir, je me décula, le fit mettre debout et le suça alors que son sexe sortait de mes boyaux, certaines femmes furent interloqué. J’avoue, voir cela m’aurai choquée avant mon voyage de noces, mais maintenant je le faisais et j’aimais ça. Alors que son sexe commençait à vibrer, je dirigeai son appendice vers ma poitrine pour qu’il décharge son foutre sur ma poitrine, l’étalant de mes deux mains en jouant avec mes seins. A peine avais-je fini d’étaler sa crème hydratante, je me revêtu de ma robe saharienne sans prendre le temps de me laver, je voulais sentir Mamadou toute la journée.
J’ouvris la porte pour aller dans la cour suivi de Mamadou et ses femmes et rejoignis mon mari et le reste du groupe qui attendaient pour prendre le petit-déjeuner avec nous. Alors que 2 minutes avant, je suçais une belle bite de black, j’embrassais maintenant à plein bouche mon mari, sous le regard malicieux de Mamadou et abasourdi de ses femmes. Alors que je prenais mon café, la servante me glissa à l’oreille que Mamadou était très content, car c’était la première fois qu’une femme l’acceptait par la petite porte. Mon mari me demanda ce que la servante me disait, je lui répondis que c’était des choses entre femmes
FIN
Merci à vous davoir lu cette histoire.