Les aventures de Stéphane Tome 3: Du rêve à la réalité
SUITE
Je finis par me réveiller avec un mal de tête pas possible. Je croyais que le cauchemar était fini, que je me réveillerais dans mes draps en sueur. Enfin c’est ce que je pensais, jusqu’au moment ou je réalisais que j’étais bâillonné sur mon lit, les jambes et poignets ficelés. Je gigotais en essayant vainement de me détacher, je me débattais, essayais de crier de toutes mes forces, mais rien à faire.
Deux mains douces me saisirent la tête comme pour me détendre, me calmer en me prodiguant un massage au niveau de mes tempes.
Une voix douce et câline me dit:
"calme toi petit… calme toi."
Sous cette voix mielleuse, j’arrêtais de me débattre. Une grande silhouette était figée à l’entrée de ma chambre plongée dans le noir avec comme seule lumière, la clarté de la lune.
Elle s’approcha de moi et je compris que ce n’était pas un rêve. Ce cerf grand et musclé comme un dieu grec, un apollon au pelage marron, s’avança jusqu’au bord de mon lit.
Il me regarda dans les yeux avec insistance. Quand à moi je le regardais avec peur et effroi.
Il se pencha lentement au dessus de moi en approchant son visage du mien, ses mains chaudes et douces se placèrent sur mes cuisses en me faisant légèrement sursauter.
Son visage était maintenant collé presque au mien.
Je sentais sa respiration sur le bas de mon visage et mon torse. Son odeur bestial titillait mes narines.
Malgré le manque de luminosité, je le voyais parfaitement, lui et chaque détails de son anatomie. C’était belle et bien un grand Cerf mi-homme mi-animal.
Le cerf: "Tu est calme à présent petit ?"
Mon front se mit à se plisser comme pour chercher une réponse. Mes yeux quand à eux s’écarquillèrent sous ses paroles et sa voix rauque. Il peut parler en plus!
Il me posa une deuxième question.
Le cerf: "Écoute moi bien petit homme! … Tu m’écoutes?"
Je me mis instinctivement à hocher la tête positivement.
Le cerf: "Nous allons te libérer, mais tu dois me promettre de ne pas crier, ni de t’enfuir. Si tu ne respectes pas cela, nous te rattacherons sans hésiter, c’est clair?"
Je fit un second hochement de tête.
Les 2 mains sur mon visage déficelèrent mon bâillon, tandis que le cerf me détacha les mains et les jambes.
Une fois débarrassé de mes liens, je me mis en retrait dans le coin de mon lit contre le mur en serrant mes jambes avec mes bras. En penchant ma tête je pus constater que les 2 mains sur ma tête était celle du loup avec qui j’étais tombé nez à nez dans la salle de bain.
Un silence pesant se faisait resentir dans la chambre. Je les dévisageais complètement de la tête au pied sans qu’il n’en dise quoi que se soit.
Je réussis au bout d’un moment de réflexion et de quelques bégaiements à sortir une phrase compréhensible:
Moi: "Mais qui êtes vous?"
Cerf karryian : "Mon nom est Karryian, et voici mon Vérios", en me désignant le mi-loup mi-homme d’une main.
Cerf karryian : "Et je te présente également Karak", en montrant le palier de la porte de ma chambre. Sous ces paroles un Guépard au pelage dorée, blanc, tacheté de noir, entra dans la pièce et s’adossa contre le mur, il était légèrement plus grand que moi avec moins de muscles que ses compères et taillé plus finement.
Il me regarda et se mit à me sourire en me disant timidement:
Guépard Karak: "Salut p’tit!"
Loup Vérios: "Comment doit-on t’appeler, jeune humain?" Me demanda t’il toujours avec sa voix mielleuse.
Moi: "Je m’appelle Stéphane…. (la voix tremblante)…. Vous allez me tuer?… Hein..?"
Loup Vérios: "Te tuer? Mais non voyons (sur un ton amusé)!"
Cerf karryian: "Si on aurais voulu te tuer mon grand, on l’aurait déjà fait" rétorqua le grand cerf qui en avait profité pour s’asseoir sur mon lit.
Moi: "Qu’est ce que vous faite ici?"
Cerf karryian: "Karak (en me le désignant) c’est ouvert à la cuisse, je pensais que cette maison était vide, c’est en cherchant des pansement et de quoi le soigner qu’on est tombé sur toi."
Moi: "Mais qu’est ce que vous êtes…. si vous n’êtes pas des humains?"
Cerf karryian: "C’est une chose que l’on ne peut pas raconter au premier venu. Pour le moment ce qui importe c’est que tout ce que tu viens de voir… tout cela, doit rester un secret! Tu ne devras le dire à personne et on y veillera crois moi!"
Guépard Karak: "De toute manière personne ne le croirait karryian, personne. Ils le prendraient tous pour un fou, on ferait mieux d’y aller maintenant avant que le jour ne se lève."
Moi: "Quoi et c’est tout…? vous allez partir? Vous allez partir en me laissant comme ça?
En me laissant littéralement comme une pauvre merde sans explication alors que ce que je viens de voir et tout bonnement impossible à décrire?"
Cerf karryian: "Doucement jeune humain, j’ai l’impression que tu t’énerves et ça ne me plaît vraiment pas!"
Je baissai la tête sous le gros doigt du cerf qui me pointait vivement. Le Loup et le guépard en avaient profité pour se réunir et discuter. Le cerf descendit de mon lit et les rejoignit, en discutant à son tour avec eux.
Après quelques minutes de paroles échangées et de regards pointés vers moi, il se retournèrent tout les trois.
Cerf karryian: "Vu la blessure de Karak, et vu ce que tu as vécu, nous allons rester avec toi pour cette nuit, de cette façon on pourra répondre à certaines de tes interrogations."
Guépard Karak: " Euh… je ne veux pas paraître impoli, mais… je commence à avoir faim…. pas vous…?"
Moi: "C’est que je ne sais pas ce que vous mangé…"
Guépard Karak: "Un morceau de viande, se serait parfait!"
Moi: "Il doit y en avoir dans le congélateur à la cave."
Guépard Karak: "Merci mon p’tit…! Quelqu’un d’autre en veux?" Dit-il en se retournant.
Cerf karryian: "Pas pour moi je ne risque pas d’en manger !"
Loup Vérios: "Moi!!! je t’accompagne!"
Il descendirent tout les deux ensembles au rez de chaussée en me laissant seul avec l’immense cerf assis sur le bord de mon lit.
Cerf karryian: "Quels morfales…(en haussant le ton pour ce faire entendre) et ne faites pas de saleté!!! Faut que cette maison soit propre à notre départ!"
Je continuais à dévisager ce cerf impressionnant, autoritaire et charismatique. Il se retourna vers moi comme s’il savait que je l’épiais. Il s’avança sur mon lit et s’approcha de moi ne laissant que quelques centimètres entre nous deux. Je pouvais sentir son odeur animal. C’était étrange, troublant mais attirant et excitant que de sentir ce parfum bestial émaner de lui. Doucement, sans vraiment savoir pourquoi, j’approchai ma main de son torse musclé. Il ne compris pas ma démarche au début et haussa les sourcils.
Moi: Je peux…?
Il se détendit et me laissa faire. Je me mis à poser ma main sur ces immenses pectoraux bien ferme au pelage doux. Je le caressais littéralement dans le sens du poil.
Moi: "Je ne rêve pas, vous êtes bien réel!"
Cerf karryian: "Tu en doutais encore?"
Moi: "C’est assez difficile à croire…. surtout quand on sait que cela ne peut pas exister."
Cerf karryian: "Hum de bien belles paroles pour un humain aussi jeune. Moi qui croyait que vous étiez tous aussi irrécupérables les uns que les autres…"
Mes caresses descendirent du torse volumineux, aux abdominaux taillés comme dans la roche. Un vrai régal pour mes doigts. En parlant de ça, je pense que c’était également un régal pour ce majestueux cerf. Cela se voyait par sa réaction typiquement masculine.
Au vu de l’érection que mes caresses prodiguaient sur le cerf, je pu voir une partie de son sexe rouge se dévoiler et sortir d’un fourreau de pelage. Son sexe n’avait pas la forme d’un sexe humain, mais devait sûrement être celui de l’animal en général.
Je continuais mes caresses, car de voir cette verge sortir doucement de cette délicieuse cachette durcissait également au plus haut point mon sexe, limite à en être douloureux.
Je descendais ma main de ces beaux abdos, vers le fourreaux que j’effleurais d’abord du bout de mes doigts. Je me mis à le caresser avec le plat de ma main en de lent, mais insistant va et vient tout en plongeant mon regard dans le sien.
Sa Verge est maintenant sortie complètement. Je sentais la respirations du cerf s’accentuer sur mon visage. Il ne décollait plus ses yeux de mes mains et du massage que je lui prodiguais. j’entendais de temps en temps quelques râles sortir de sa gorge.
Sa verge totalement déployée était fine de la forme d’un pieu et atteignait les 30cm au moins.
Je me mis à empoigner d’une main le sexe rougeoyant du cerf et de l’autre main, je caressais ces énormes bourses poilues et chaudes.
Je plongeais mon visage dans son pelage et me mis à respirer son odeur animal enivrante qui m’excitait comme un dingue. Il plaça ses 2 mains sur mes joues et dirigea mon regard dans le sien. Tandis que je continuais à le masturber, il me regarda avec insistance avec ses yeux de biche et me dit:
Cerf karryian: "Est-ce de la curiosité …. Hummm….. petit? Ou est-ce le désir qui te pousse à explorer de tes doigts mes attributs?
Moi: "……..Peut-être un peu des deux…. je ne sais pas quoi vraiment répondre!"
Cerf karryian: "Alors ne répond pas c’est inutile, continue plutôt! Me dit-il en jouissant.
A présent c’est mes deux mains qui se posèrent sur sa verge rouge et littéralement bouillante de plaisir. Je sentis un râle sortir profondément de lui, et je me mis à le masturber de haut en bas en accentuant le mouvement et variant la pression de mes doigts.
Cerf karryian: "Hum…. C’est divin petit homme! Ouf……, aaaahh vas-y …(en jouissant)!"
Le cerf secouait son bassin de haut en bas pour accélérer et varier le mouvement de lui même. Il accélérait encore de plus en plus vite, ses abdos se crispaient et se relâchaient sans cesse sous l’effort de son bassin.
Voulant accentuer son plaisir, je descendis mon visage et engloba de mes lèvres pulpeuses, en aspirant comme sur une paille, une bonnes quinzaines de centimètres de sa verge qui avait gonflée sous le plaisir. Il se laissa tomber en arrière sur le lit, en un râle de plaisir. Au moment ou je le suçais et le branlais de bas en haut, j’entendis un bruit près de la porte qui était restée ouverte. Je levais les yeux et vis le guépard et le loup, nous regarder avec des yeux hagards et leurs bouches à mi-ouverte. Je me suis retiré d’un coup du long sexe du cerf en reculant dans le coin du lit et en m’essuyant la bouche, rouge de honte.
Le Cerf ne comprenant pas, se releva et tourna la tête vers la porte ou mes yeux était rivés.
Loup Vérios: "Ben je vois que vous ne perdez pas votre temps! On s’absente quelques minutes et vous, vous en profitez!…"
Moi: "Je suis désolé……. j’aurais pas du faire ça… pardon."
Cerf karryian: "Ne t’inquiète pas petit! Il te taquine! C’est parce qu’il est jaloux!"
Loup Vérios: "Ah ça pour sur! Vu l’effet que ça te procurait …(avec un sourire moqueur)"
Guépard Karak: "Il est clair que ça ne te rendait pas indifférent ce que te faisais le petit homme! J’avais l’impression de te revoir à l’orgie de l’auberge de "l’Engedar" avec les soeurs Sally!"
Une orgie? Je pensais avoir mal compris sur le coup mais la suite de la conversation conclus bien ce que je pensais.
Cerf karryian: "Désolé les amis mais je n’ai pas pu résister. En tout cas je peux vous dire qu’il manie bien sa langue et son palais, dit-il en se retournant vers moi en me faisant un joli clin d’oeil."
Guépard Karak: "peut-on se joindre à vous et ne plus être spectateur?"
Le cerf se retourna vers moi;
Cerf karryian: "C’est au jeune humain d’en décider!"
Moi: "(timidement)Tout les trois…? …. seulement si on fait doucement.."
Guépard Karak: "Ne t’inquiète pas on va aller tout en douceur!"
Le cerf se plaça à ma droite sur le lit, tandis que le loup se mit devant moi à genoux et le guépard à gauche.
Guépard Karak: "Ne sois pas timide mon garçon, on ne va pas te manger!"