Un "Clac" suivi d’un "Bzzz" nous signalent l’ouverture de la porte. J’entre le premier, suivi par une Mélissa qui reste sans voix tellement le décor rouge est ravissant. Le patron nous accueille dans le hall.
— Bienvenue Monsieur, bonjour Demoiselle. Un vestiaire ?
— Oui, et une douche.
— Par ici, je vous en prie.
On laisse Mél nous ouvrir le chemin, le proprio indiquant où il faut aller. Il mate les fesses de Mélissa. On arrive bien vite au vestiaire.
— Je vous laisse vous mettre à l’aise. On se retrouve au bar.
Je me déshabille, vite suivi par Mélissa. On prend une douche dans un local attenant et on s’essuie avec des serviettes mises à disposition. Je passe un peignoir noir, rouge pour ma pulpeuse black.
Au bar, il y a le patron qui m’indique d’entrée de jeu les tarifs. Je prends l’abonnement annuel "VIP", ce qui nous donne accès à tous les équipements et autant de fois que l’on désire.
Une fois les petits tracas administratifs passés, dont la vérification de la majorité de Mélissa, il nous offre à boire en nous précisant le forfait "All inclusive" que nous avons pris, ce qui nous permet de nous faire servir sans modération, aussi bien les boissons que le buffet. Je m’assois sur un tabouret de bar et sirote mon verre. Ma… chérie se dandine déjà au bord du comptoir. Je l’invite à venir explorer les extérieurs. On sort sur une piscine en forme de haricot, bordée de palmiers et de chaises longues. Plus loin, un sauna et un jacuzzi. Mélissa n’en revient pas et me dit que ça a dû me coûter une blinde. Je lui réponds que cela ne la regarde pas, qu’elle n’a qu’à profiter du moment.
On passe dans un couloir. Plusieurs coins d’amour avec de grandes estrades moelleuses, aptes à accueillir plusieurs couples. Des alcôves plus intimistes, bref, un véritable lupanar pour couples libertins et échangistes en tout genre. La musique est douce et envoûtante. De retour au bar, le patron a disparu, laissant place à un serveur et deux serveuses. Voyant nos bracelets rouges, la serveuse qui arbore un collier rouge nous ressert.
— Bonjour, Coralie, pour vous servir. Vous voulez manger quelque chose ?
Le repas de midi ayant été pantagruélique, on décline son offre. Elle nous dit que notre champagne sera servi aux chaises 12 et 14, près de la piscine.
On ne cherche pas longtemps, car on est guidé par la charmante Coralie. Elle nous installe et nous invite à nous mettre nus. Les ceintures sont vite enlevées. Nous voilà allongés sur les transats moelleux à souhait. Notre serveuse repart.
— Hummm, j’en mangerais, me dit Mél.
— Patience, tout vient à point à qui sait attendre.
On est traité comme les "VIP" que nous sommes désormais. Sous l’ombre des palmiers, je prends la main de Mélissa et croise les doigts avec ceux de ma belle Africaine.
— Tu m’aimes ? Me demande-t-elle naïvement.
— Je crois, je pense, j’en sais rien…
Elle se lève et vient se mettre à califourchon sur mon ventre. Mes mains s’égarent sur ses hanches que je cajole. Coralie revient avec deux verres. Elle nous sourit et nous demande si tout va bien. Je lui demande si c’est toujours calme comme maintenant. Elle me répond que ça débarque généralement à 20 h 00. Elle nous annonce que l’on est les seuls "VIP" annoncés de la soirée, donc elle sera à notre entière disposition.
Mélissa se relève et plonge à l’eau, je la rejoins. On s’enlace, on se bécote. On ne dit rien, nos yeux parlent pour nous. Comme je l’ai déjà dit, on est bien. Mais que fait une nana aussi jeune et adorable avec un type de mon âge ? Complexe D’dipe ? Sûrement, mais comme elle, je profite de l’instant présent. Elle m’enlace de ses jambes. Je descends mes mains au-dessous de ses fesses, la lève et l’embroche lentement. Elle me regarde en se pinçant les lèvres. Elle remue du cul.
— Arrête. Tiens-toi tranquille !
— HUMMMM. C’est dur. J’aime trop ta bite.
— Justement, si tu veux en profiter, calme-toi. Dis-je en l’enfichant à fond.
Le baiser qui suit est des plus passionnés. Nos dents s’entrechoquent, nos langues s’enroulent. Je lui titille l’anus, elle se réfugie dans mon cou. Elle me le lèche. Je bande comme rarement. Elle le sent et sert ses muscles vaginaux sur ma bite. La torture est divine. Je crois que je n’en ai pas fini avec elle. Je l’abandonne et sors de l’eau, le sexe fier. Coralie revient pour nous servir, elle n’a d’yeux que pour ce qui se balade entre mes cuisses.
— Hummm, il est rare que les sexes des clients m’intéressent, mais là… Il est magnifique et entièrement épilé. J’en mangerais.
— Mais je t’en prie…
— Non, pas maintenant, mais après la fermeture nous aurons tout le loisir de mieux nous connaître, elle et moi.
Elle s’éloigne en dodelinant du cul qui me paraît bien petit comparé à celui de Mél qui me rejoint.
— Alors, en train de draguer, dit-elle en buvant sa coupe, elle te fait envie ?
— Ô que oui.
— Je ne suis pas jalouse et je sais que tu m’en feras profiter, hihihihi…
— Si on passait aux choses sérieuses. Rentrons.
On remet nos sorties de bain et nous allons à l’intérieur. Des couples plus ou moins beaux sont soit au bar, soit dans les banquettes qui entourent la piste de danse. Une nana d’une trentaine d’années se déhanche sur la pole-bar, deux autres, la quarantaine bien tassée, dansent sensuellement ensemble. Deux vieux, plus âgés que moi, dévorent des yeux ces dernières. Nous sommes une petite cinquantaine. Le patron me fait signe.
— Votre copine est ravissante mais elle ne danse pas ?
— Elle fait comme elle veut, mais vous insistez… Mél. Va remettre ta robe et reviens danser pour Monsieur.
Sans rechigner et accompagner de Coralie, elle part vers les vestiaires. Le patron m’invite à prendre place à côté de lui et d’attendre le spectacle. Le patron est nouveau et me dit qu’il a repris la boîte il y a deux ans. Je lui annonce que je connaissais fort bien l’ancienne propriétaire. Il me sourit et dit que c’était sa mère. J’éclate de rire. Il m’annonce qu’elle est partie avec un vieux milliardaire vivre à Tahiti. Qu’il ne se voit que pour les fêtes de fin d’année, qu’elle est heureuse ainsi.
Coralie revient en sautillant et nous annonce qu’elle est presque prête. Elle repart vers la sono. Elle demande au DJ quelque chose, mais je ne comprends pas. La salle s’obscurcit et Mélissa fait son entrée. Elle est resplendissante dans sa robe. Elle se déhanche sensuellement en son majeur à l’entrée de sa bouche. Elle a même remis son collier. Les petites menottes brillent de mille feux.
— Quel canon, me dit le patron, malgré son embonpoint, elle est à croquer cette petite.
— Je sais et c’est une gourmande, une vorace…
Coralie vient se blottir contre le patron qui lui met une main au cul. Ils matent ma Négresse se trémousser. Les deux nanas s’approchent et dansent de concert avec elle. Bientôt, elles se rapprochent et se touchent. Les deux femmes se mettent nues. Mél, très lentement enlève sa robe et se retrouve dans la même tenue que ses deux cavalières. Elles se frottent, s’excitent sur les cuisses de leurs partenaires. La fille de la pole-bar les rejoint.
— Mes félicitations, elle est magnifique…
— Votre Coralie pourrait aller les rejoindre…
— Oui, bonne idée.
Il pousse la petite en lui disant de s’amuser.
Elle va directement vers Mél et l’embrasse. C’est un déchaînement de sensualité qui s’offre à nos yeux. Les deux vieux ont ouvert leur peignoir et s’astiquent lentement le manche. Ils regardent avec envie le spectacle. Une Coralie s’accroupit devant le sexe rose fluo de ma compagne et le lui lèche avec gourmandise. Mél me regarde. Elle fait sa moue de petite fille.
— Votre Coralie est une sacrée coquine…
— Oui, c’est ma nièce unique…
J’éclate de rire.
— Et si vous alliez les rejoindre ? Ça manque de Mâle.
Je me lève et vais rejoindre cette joyeuse troupe. Mél me passe les bras autour du cou et me roule une pelle bien baveuse d’envie. Je sens que l’on me tripote les couilles, que l’on me titille le gland. Ce sont les deux vieilles qui jouent avec mes parties et la trentenaire qui m’agace le méat. Coralie est ventousée sur l’abricot de Mélissa. Les deux vieux nous ont rejoints et se font pomper par les deux vieilles. Des couples arrivent de je ne sais où et se joignent à nous en groupes plus ou moins importants. Ça lèche, ça suce, ça fornique dans tous les sens. Une nénette est même en 69 mais debout. Elle astique le manche d’un mec bien bâti pendant qu’il lui bouffe sa cacahuète. Elle lui a saisi ses fesses et y va en gorge profonde. Une chose que je ne pourrais pas faire avec Mel, à moins que sur une croix de Saint-André… À étudier.
Un vieux s’immisce entre les globes de ma black. Je les lui écarte. Comprenant mon invitation, il l’encule sans autre procès. Je recule d’un pas et force Mélissa à me prendre en bouche. Elle me serre les fesses et me prend jusque-là garde. De la bave coule par terre. Le trentenaire vient me gober les couilles. Ça geint, ça soupire, ça meugle. Un trio s’est formé et la petite, à peine plus vieille que ma blackette, se fait prendre en double vaginale. À la vue de ces corps qui forniquent sans aucune gêne, je me dis que je reviendrais dans ce lieu de débauche. Le second vieux se fait pomper le nud par les deux voraces. Il y a deux jeunes, la trentaine, qui attendent leur tour en se maintenant en forme mutuellement. Mignon.
Le vieux jouit dans le fondement de Mélissa net se retire. Il est vite remplacé par un des deux comparses pendant que l’autre met un point d’honneur à laver sa bite. Des bisexuels, évidemment.
Toute cette débauche, toutes ces odeurs m’enivrent. Surtout qu’elles sont deux à se relayer sur ma tige. Non, c’est à trois, car Coralie les a rejoints. Mon gland est agacé par une Mélissa en transe, ma tige léchée par Coralie et mes couilles absorbées par la bouche gourmande de la trentenaire.
Je sens que ça monte et je ne me retiens pas, je les avertis :
— AHHH, OUIIII, J’ARRIVE…
Mél et la mieux positionnée pour recevoir toutes mes giclées de foutre. Elle ne peut tout accueillir et partage sa récolte avec ses deux complices. Je me retrouve les fesses en appui sur l’estrade en train de me faire nettoyer le sexe par les trois furies.
Mél est toujours en train de se faire pistonner par le jeune qui jouit à son tour, mais au lieu décharger au fond du cul de Mél, c’est dans la bouche de son ami qu’il déverse un flot impressionnant de foutre. Mél me fait signe qu’elle est déçue. Je la prends dans mes bras.
— T’inquiète, il y en aura d’autres. Regarde…
Elle tourne la tête et le spectacle vaut le détour. Des couples, des femmes seules, des hommes sont accoudés au comptoir ou dansent. La soirée ne fait que commencer.
Je prends Mél par la main et je sors de cette orgie, suivi par notre serveuse. Cette dernière nous installe à une table de la terrasse avec des serviettes sous nos fesses.
— J’ai faim. Dit Mél.
— Que veux-tu ?
— Ne bougez pas, je vais vous faire un assortiment… Servez-vous en champagne, je reviens.
Elle est vite de retour avec un plateau garni de mignardises. Elle s’assoit face à Mél et lui donne la becquée d’une drôle de façon, avec la bouche. C’est l’excuse pour s’embrasser et se peloter. Ma queue, face à ce spectacle, réagit. Mélissa s’en est aperçue. Elle me demande de m’allonger, ce que je fais bêtement. Elle place Coralie au-dessus de mon rostre et appuie sur ses épaules.
— Tu vas voir comme elle est bonne sa bite. Régale-toi.
J’ai une vue de choix sur les grandes lèvres de Coralie qui s’ouvrent et aspirent mon gland. Elle gémit de bonheur. Elle descend à fond. Le contact de son clito sur mon pubis l’électrise. Ses petits seins en forme de poire sont un appel pour mes mains. Mél se caresse, trois de ses doigts pénètrent son vagin. Elle ne nous quitte pas des yeux. Elle me sourit, mais trop absorbé par les montées et descentes de Coralie sur mon chibre, on regarde au même endroit, l’union des deux sexes.
— OHHH, MEL. QUELLE EST BONNE LA QUEUE DE TON MEC ! ! !
— Ce n’est pas mon mec, c’est mon Maître.
Coralie me regarde, étonnée. Je lui dis qu’elle n’a encore rien vu. Je m’arc-boute et je m’emploie à lui enfoncer au plus profond ma bite. Sa chatte est étroite mais diablement accueillante. Elle a posé ses mains sur mon torse et se laisse prendre par mes assauts vigoureux. Mon gland sort à chaque fois pour retrouver le fourreau de Coralie. Mél, la perverse Mél, me gobe les couilles et se régale du jus de sa nouvelle copine.
Je ne tiens plus et inonde le con de la petite. Elle est tétanisée. Mélissa la repousse et vient lui laver la chatte avant de venir partager avec Coralie, le mélange de nos sucs dans un baiser plein de passion.
— Comme… Piouf… Comme cela, c’est votre soumise ?
— Oui, ARGH, GROSSE PUTE…
Mélissa est repartie à me malaxer les valseuses et à me sucer.
— OUI… MEL ! ! !
Je suis en transe. Je jouis une seconde fois. Des jets se répandent sur le dos de Coralie, vite récupérés.
— Quelle cochonne…
— Oui, elle m’étonne de jour en jour.
— Et votre soumise ?
— Pas comme on l’entend dans le monde du "SM", lui répondis-je en me relevant, je suis son Maître, certes, mais un gentil Maître.
— Comment ça ?
— Je lui apprends à donner du plaisir tout en prenant elle-même son plaisir. Regarde. MEL, POSITION ! ! !
Coralie est stupéfaite.