Dans le premier chapitre, je vous ai raconté comment ma sur jumelle (Julie) nous a amené mon père et moi à baiser tous ensemble.
Cela faisait déjà quelques semaines que nous nous livrions à nos petits jeux avec papa, lorsque Julie voulu pousser les choses un cran plus loin. Un après-midi, nous étions tous assis dans le salon lorsque Julie nous dit :
— Pourquoi ne pas inclure Antoine (notre frère) dans notre aventure ? demanda Julie dun air gourmand.
— Comment crois-tu y arriver ? questionna papa sceptique
— Laissez-moi me débrouiller avec lui. Répondit-elle simplement
Sur ce, elle se mit à caresser notre père à travers son pantalon pendant que celui-ci me faisait signe dapprocher. Dès que je fus à sa portée, il membrassa et il fit descendre ma culotte (je portais mon uniforme scolaire avec la jupe et tout le toutim, et Julie aussi) et enfonça son index dans ma chatte humide en titillant mon clito avec son pouce. Julie fit glisser le pantalon de notre père et mis son sexe dur dans sa bouche. Papa arrêta de me caresser, ce qui eu pour effet de me faire grogner. Il fit sauter les boutons de mon chemisier et pris un de mes seins en bouche, jen gémis de plaisir.
Julie stoppa de pomper la bite de notre père pour me prendre par les hanches et me fit glisser sur son mandrin au garde-à-vous. Elle profita de cette occasion pour me rouler un patin incroyable. Je magitai sur lengin de papa, il me souleva et se mit sur le dos sur la carpette du salon, moi par-dessus lui. Je pris alors les commandes et lui imposai mon rythme en me faisant rebondir sur son sexe dressé. Julie, ne voulant pas être en reste, alla sasseoir sur le visage de papa pour se faire lécher la moule. Notre père glissa sa langue dans son vagin, lenfonçant le plus loin possible, la ressortant parfois pour passer des petits coups de langue sur son clitoris en feu. Je me défis de la bite de papa qui renversa Julie pour la prendre comme une chienne. Je présentai ma chatte fraichement ramonée devant le visage de Julie, qui sempressa de me manger, en aspirant tout le jus damour déferlant de ma moule.
— Je vais venir. Gémit soudain papa, les traits de son visage se crispant
— Viens en moi ! lui cria presque Julie au bord de lorgasme
Je fus la première à jouir sous les caresses de ma sur, suivie de près par mon père qui déchargea tout son foutre dans la chatte de Julie, ce qui eu pour effet de lui donner un orgasme incroyable. Je me dépêchai daller recueillir le foutre dégoulinant de sa moule pour ensuite lembrasser, histoire de partager mon butin.
Reprenant lentement nos esprits, nous commençâmes à nous habiller, lorsque la porte du placard souvrit brusquement.
— Hé bien, Julie tu ne mavais pas menti ! déclara Antoine en pénétrant dans le salon
— AnAntoine… ! Ça fait longtemps que tu es là ? demanda papa confus
— Depuis le début ! Cest Julie qui ma dit de me cacher, et que jaurais droit à tout un spectacle.
— Ça ta plus ? demanda Julie aguicheuse en lorgnant vers la bosse du short dAntoine
— Et comment ! Je suis gonflé à bloc ! Mais vois-donc par toi-même !
Joignant la parole au geste, il fit tomber son short, nous gratifiant dun membre dressé et près à lattaque, ou plutôt à la baise.
— Putain Antoine, tes presque aussi bien monté que papa ! mexclamai-je en allant examiner la « chose » de plus près
Il me prit par la tête, enfonçant sa bite au plus profond de ma gorge, faisant jaillir des larmes de mes yeux.
— Hey doucement mon gars, dit papa, tu veux pas étrangler ta sur !
— Tu as raison, je ne veux pas létrangler mais la baiser cette salope !
Antoine me libéra la bouche et me roula une pelle mémorable avant de métendre sur la moquette et de glisser son corps musclé par-dessus-moi. Il enfonça son membre avec beaucoup de délicatesse dans ma chatte déjà prête pour une autre partie de jambes en lair. Soudain, toute la délicatesse de la première pénétration disparut et mon frère sactiva en moi sauvagement, ce qui nétait pas pour me déplaire, au contraire. Je tournai la tête et aperçu juste à côté de nous, mon père en train de baiser Julie, cette dernière avait les jambes sur les épaules de papa et lui, la baisant en lui pinçant les tétons, que je devinais durs. Mon frère me ramena à la réalité en enfonçant sa bite au plus profond de moi, ce qui me fit jouir instantanément, et je sentis quil allait venir aussi, je me dégageai et le prit en bouche pour gouter à sa semence, la comparer à celle de papa. Julie en faisait de même avec papa juste à côté de nous.
Notre séance de baise terminée, nous étions complètement vides mais nous devions tout de même préparer le dîner pour notre mère qui reviendrait dans environ une heure.
— Jai hâte à la prochaine fois me lança mon frère en me faisant un clin dil
Moi aussi javais hâte, ça cétait certain.
