Chapitre 4 : Lilly rejoue avec son père.
Le lendemain, Lilly se réveille après avoir rêvé de ses parents qui baisaient sous la douche. Elle est déjà excitée et elle ne peut sûrement pas aller en cours dans cet état.
Elle sarrache de son lit et en soutient gorge et slip elle se regarde dans la glace de larmoire. Ses gros seins sont à lair et elle ne les remet même pas en place. Elle remarque que son slip a une grosse tache humide et glissant un doigt dans sa petite chatte serrée, elle a une vision de la grosse bite de son papa. Son père quelle entend se préparer en bas pour aller au boulot.
Elle se faufile devant la chambre de ses parents. Sa mère dort à poings fermés. Lilly dévale les escaliers et plaque son père contre le mur.
— Lilly !…
— Papa ! Je vais te sucer et ensuite tu me baises ! Je te veux, j’en ai besoin !
Son père peut voir le désir et la convoitise dans les yeux de sa petite fille. Ses seins sont ressortis de son soutien-gorge noir, et il décide de la laisser faire quand elle ouvre son pantalon et quelle sort sa bite qui commence à bander. Depuis que sa fille la branlé pendant quil fouillait sa chatte, il ne pense plus quà ça. Il sait que c’est mal, mais il fantasme tous les jours quil la baise et quelle adore ça. Hier sous la douche, il a réussi à évacuer un peu sa frustration refoulée avec sa femme, mais ce n’est pas pareil. C’est la pensée de baiser férocement sa fille et de briser ce tabou qui lexcite comme jamais et qui fait bouillir son sang. Il laisse échapper un long gémissement de plaisir dès que Lilly commence à lécher et sucer sa grande bite.
— Ma chériecomment sais-tu sucer si bien ?
Lilly ne répond pas. Elle continue à sucer tout ce qu’elle peut avaler dans sa petite bouche en agitant sa langue autour du gland quand elle remonte ou en dessous de sa queue quand elle se lenfonce. Elle commence à adorer sucer une bite, surtout celle de son père. Elle est grosse et douce tout en étant bien dure. Elle na pas encore goûté son sperme mais elle est sûre quil sera meilleur que celui de M. martin et surtout il en à beaucoup plus. Elle prend ses grosses et lourdes boules dans une main et les serre entre ses doigts. Sa bite qui remplit entièrement sa bouche grossit encore et devient plus dure.
Les premiers jets de sperme vont directement au plus profond de sa gorge, et Lilly avale vite pour ne pas étouffer. Elle retire un peu sa bite pour juste conserver son gros gland et son papa décharge le reste de son sperme sur sa langue et dans sa bouche. Lilly lutte pour ne pas recracher toute cette crème qui remplit sa bouche et réussit à avaler le sperme chaud de son papa sans en perdre une goutte. Elle ne sest pas trompée, le jus de son père est bien meilleur que celui du vieux prof !
Lilly sourit largement, satisfaite de son bon travail, et elle sent sa chatte tremper sa culotte blanche. Elle se relève brusquement, et libère ses seins tremblants et comprimés par son soutien-gorge. Elle tire la tête de son papa vers eux et il les embrasse, les lèche et suce ses tétons bien durs tellement elle est excitée. Des décharges de plaisir traversent le corps de sa fille qui sent sa chatte se mouiller encore plus.
— Baise-moi et mange-moi comme tu las fait avec maman hier sous la douche !
Elle pousse son papa qui se met à genoux et il tire immédiatement sur son slip blanc trempé, pour appuyer sa bouche sur sa chatte et enfoncer profondément sa longue langue dans son trou humide et serré. Lilly passe une de ses jambes sur l’épaule de son papa et tient sa tête bien en place pour quil lui lèche de haut en bas sa jeune chatte avide de nouveauté. Lilly ne sest jamais sentie aussi bien de sa vie. Elle gémit et halète de plaisir quand son papa alterne entre son clitoris tout dur et allongé et lintérieur ou lextérieur de son trou hyper sensible.
Elle sent un orgasme qui commence à se manifester et qui va bientôt exploser lorsqu’ils entendent le klaxon impatient dune voiture.
— Merde ! Désolé ma puce mais il faut que je te laisse sinon ils vont frapper à la porte et finir par réveiller ta mère.
— NON, NON et NON !
Crie presque Lilly en tapant sur le mur tellement elle est frustrée de son orgasme qui devait être le plus beau de sa vie. Son papa lembrasse sur les lèvres, presse ses seins, et elle saisit sa bite des deux mains pour le retenir.
Jacques sent sa queue durcir de nouveau mais il faut quil résiste à cette lolita perverse.
— Putain ! Arrête, Lilly ! Mais je te promets que je vais bientôt te baiser. Crois-moi, jen ai sacrément envie !
Et sur un dernier bisou il se rhabille comme il faut et sort rejoindre son collègue qui lattend.
« Je veux juste baiser mon papa ! Est-ce trop demander ! Merde, merde, merde ! »
Lilly est tellement excitée, mais frustrée, qu’elle marche à coté de ses pompes. Elle est sur le point de monter dans sa chambre et passer la journée avec son vibromasseur, lorsqu’elle entend le facteur mettre du courrier dans la boîte aux lettres. Sa lubricité, prenant le dessus elle court vers la porte et sort presque à poil.
Lilly reconnaît le facteur qui sappelle Gil. Elle remarque que ses yeux sont exorbités et cest seulement à cet instant quelle prend conscience de sa tenue. Ses seins sont sortis de son soutien-gorge, ses tétons gonflés et dressés et sa chatte humide est visible car son slip est resté tiré sur le côté. Baissant les yeux elle voit aussi quil bande comme un âne.
Elle lui attrape sa main et le tirant à lintérieur de la maison elle lui dit.
— Tu tombes à pic ! Tu vas me baiser ! Cest ton jour de chance.
— Que quoi ? Bégaie Gil, quand même choqué par sa nudité.
Lilly tire et ferme la porte derrière lui. Elle ne tarde pas à lui arracher son t-shirt, son short et son slip et elle le pousse sur le canapé du salon. Avant de grimper dessus, elle enlève son soutien-gorge et sa culotte quelle jette furieusement par terre.
La queue de Gil est mince et moins longue que celle de son père mais il lui faut une bite et celle-là fera laffaire. Elle sest un peu ramollit par la surprise et elle la suce un peu pour lui redonner de la vigueur. Lilly arrive facilement à prendre sa bite entière dans sa bouche. Elle joue avec ses couilles et les suce aussi. Puis, ne voulant pas une répétition de ce qui s’est passé avec son professeur, elle arrête de le sucer avant quil néjacule et chevauchant Gil, elle guide sa queue pour se lenfoncer dun seul coup dans sa chatte affamée.
Celle-ci nétant pas bien grosse, elle glisse facilement et Lilly se baise toute seule en montant et descendant dessus comme une folle. Gil, de temps en temps donne quelques poussées sporadiques. Après environ une minute, Gil la renverse et prend le dessus et se retrouve entre les jambes de Lilly.
Environ deux minutes après et quelques pénétrations très rapides qui commencent à exciter la chatte de Lilly et faire revenir les prémisses dun orgasme, Gil se retire pour vider ses couilles, à grands jets de sperme, sous un long gémissement de plaisir.
Il lui arrose ses deux seins et son cou et Lilly, bien que cette sensation dêtre arrosée de foutre soit agréable, est encore frustrée de sa jouissance. Et elle na pas encore obtenu ce qu’elle veut depuis plusieurs jours.
— Quoi ! Cest tout !
— Heuuu, je jaiBégaie Gil.
— Putain de mec ! Fout-moi le camp ! Dehors !
Gil n’a pas besoin quon lui dise deux fois et un peu honteux il se rhabille vite fait et prend la poudre descampette.
Lilly se redresse, le sperme de Gil dégouline du bout de ses tétons sur ses cuisses ou sur son ventre. Toujours en manque de sexe et surtout de jouissance, elle remonte dans sa chambre. En passant devant la chambre de sa mère, elle entend celle-ci gémir.
Un peu inquiète elle ouvre la porte et sapproche de sa mère. Elle est à moitié découverte et une de ses mains est entre ses cuisses et lautre serre un de ses seins. Sur la table de chevet, Lilly remarque le flacon de médicament de sa mère ouvert. Toujours très excitée, Lilly regarde sa maman qui semble dormir mais qui se caresse doucement sa chatte.
Ça lui donne des idées
A suivre
Phantome
