Le soir même, je suis avec un collègue de travail qui a débarqué à l’improviste pour m’amener des documents pour ma reprise. Je lui offre tout de même l’apéritif, il reste jusqu’à neuf heures du soir et me quitte à la nuit tombante. C’est au moment où je ferme la porte d’entrée derrière mon collègue qui vient de me quitter que la lumière de la salle de bain s’allume.
Virginie apparaît en peignoir, tenant le sac de sa mère à la main. Elle pose le sac sur le bord du lavabo et enlève son peignoir qu’elle accroche derrière la porte de la salle de bain. En se retournant, je vois ses yeux exactement dans ma direction, mais elle ne parait pas du tout surprise et ne fait rien pour se cacher. Elle fait couler l’eau de la douche, se glisse dessous en se lave avec ses mains qui glissent sur tout son corps en insistant sur les fesses, les seins et le mont de Vénus. Au bout de cinq petites minutes, elle fouille dans le sac et en sort un gode assez long et d’un diamètre respectable avec une poignée pour le manipuler. Elle le présente à l’entrée de sa vulve et sans hésiter elle se l’introduit dans le sexe. Il entre apparemment sans efforts d’un seul coup sur toute sa longueur.
Je suis impressionné car ce gode est quand même d’une taille assez imposante et il l’a empalé d’un seul coup sur au moins vingt-cinq centimètres. Elle s’est appuyé sur le mur de la douche, me fait face les jambes bien écartées et se baise avec le gode en se caressant les seins de son autre main. Ses aller-retours sont de plus en plus rapides, elle finit par s’agenouiller les jambes grandes ouvertes, la tête contre le mur en accélérant son mouvement de va et vient. Elle est là, devant moi, le regard droit devant elle. Je suis sûr qu’elle me voit la regarder. Je bouge un peu pour bien lui faire voir que je suis là, mais elle continue en me regardant. Elle finit par se raidir, fermer les yeux, ouvrir la bouche et jouir en poussant un grondement de plaisir que j’entends à peine. L’eau continue à couler sur elle m’offrant cet étonnant spectacle de cette superbe fille au corps ruisselant éclairé par une lumière douce magnifiant ses formes.
Elle revient à elle doucement, se lève, retire doucement le gode de son sexe, se rince, rince le gode, le range dans le sac, s’essuie et s’installe devant son meuble pour se sécher les cheveux. Elle se brosse les cheveux lentement pour bien les démêler. Quand ils sont secs, elle se maquille en prenant bien son temps. Je suis étonné qu’elle se maquille à cette heure, il est plus de dix heures du soir, un peu tard pour sortir au restaurant avec son petit ami. Une bonne demi-heure plus tard, elle se lève, vient vers moi pour fermer la fenêtre. J’ai eu l’impression qu’elle avait un léger sourire un peu narquois. La lumière s’éteint, je vais me préparer à manger. Dix minutes plus tard, une Mustang s’arrête devant la résidence, Virginie sort et monte dedans. La voiture disparaît dans la nuit. De plus en plus étonnant, elle s’exhibe devant moi avant de sortir en boite. Cette famille est décidément très spéciale.
Deux jours plus tard, un samedi, je suis encore une fois allongé nu sur mon divan à écouter de la musique. Je me suis bien préparé car j’ai l’intention d’aller passer un moment dans un sauna homo d’ici une heure. Il est dix-neuf heures et la fenêtre de la salle de bain est fermée, lumière éteinte. Tout à coup la lumière s’allume et une ombre se profile derrière en se rapprochant, elle s’ouvre, c’est Joëlle en peignoir. Elle fait demi-tour sans jeter un il dans ma direction et enlève son peignoir. Je me lève et vais m’assoir sur le balcon. Je suis parfaitement visible de la salle de bain, je ne veux pas me cacher et bien lui montrer que je la regarde. Je ne risque pas d’être vu de la rue, le balcon est plein.
Joëlle fait couler l’eau de la douche, se glisse dessous quand arrive Virginie en peignoir. Elle le fait valser dans la pièce et va rejoindre sa mère sous la cascade d’eau. Les deux femmes se lavent mutuellement. Leurs mains glissent sur le corps de l’autre en s’attardant évidemment sur certaines parties de leur anatomie. Virginie se penche à peine pour gober les tétons érigés de sa mère qui a l’air d’apprécier grandement. D’une main, elle plaque la tête de sa fille contre ses seins pour mieux la sentir, de l’autre, elle lui caresse les fesses.
Virginie libère les seins de sa mère pour descendre le long de son corps et s’immobiliser sur son pubis. Elle lui écarte un peu les jambes, puis lui agrippe les fesses et soude ses lèvres aux lèvres intimes de Joëlle. Je vois sa tête bouger de haut en bas. Joëlle pose ses mains sur sa tête et se plaque contre la paroi de la douche. Quelques minutes plus tard, elle se crispe et jouit sur la langue de sa fille en poussant un long grognement de plaisir que j’entends distinctement. Virginie se redresse, elle colle son corps à celui de sa mère, l’enserre de ses bras pour se souder à elle. Leurs lèvres se collent dans un long baiser. Joëlle écarte Virginie, elle sort de la douche, étale une serviette sur le sol au bord de la douche et invite sa fille à s’allonger dessus sur le dos.
Virginie s’installe les jambes vers moi. En s’asseyant sur la serviette, elle ne peut s’empêcher de regarder dans ma direction. Malgré la distance, une dizaine de mètres, je remarque une lueur de malice dans ses yeux. Quand elle est sur le dos, sa mère lui écarte bien les jambes, m’offrant une vue imprenable sur son sexe grand ouvert, il brille malgré la faible intensité des lampes. J’imagine qu’elles vont faire un soixante-neuf, mais, contre toute attente, Joëlle pose sa main sur le sexe de sa fille et le caresse. De son autre main, elle ouvre une petite porte du meuble et en extrait un énorme gode réaliste. Il est encore plus gros que celui qu’a utilisé Virginie l’avant-veille. Joëlle le présente devant le puit d’amour de sa fille, celle-ci se cabre un peu pour faciliter l’introduction de l’engin.
Joëlle pousse, je vois les lèvres de Virginie s’écarter pour laisser le passage à l’énorme braquemart. D’où je suis, je ne peux voir son visage, mais j’imagine qu’il doit exprimer la satisfaction d’avoir un tel engin dans ses entrailles. Joëlle commence des va et vient lents et profonds. Le gode glisse sans effort entre les lèvres de Virginie qui commence à faire onduler son bassin. Bien qu’absorbé par le spectacle qui s’offre à moi, mon attention est attirée par un mouvement sur ma gauche. C’est Bernard qui est collé au mur séparant nos balcons et qui se caresse la bite en regardant ce qui se passe en face.
Tu vois quelque chose ?
Juste le bas du bassin de la fille et la main de sa mère qui lui défonce la couenne avec un gode. Je dois te dire que j’ai envie d’un bon petit trou pour y loger ma bite.
Tu connais le chemin, je me suis préparé car je devais sortir ce soir.
Bernard déboule dans mon salon, nu et la bite raide comme un bout de bois enveloppée dans un préservatif. Je me lève et m’appuie sur le rebord du balcon. Joëlle a dû remarquer des mouvements chez moi car elle tourne la tête vers moi juste au moment où Bernard se positionne derrière moi, après m’avoir enduit l’anus de graisse, et me plante lentement son sexe dans l’anus. Je sens son gland se frayer un passage entre mes fesses glissantes et écarter mon sphincter qui s’ouvre comme une corolle pour le laisser entrer au plus profond de mon antre. J’aime particulièrement ce moment de la pénétration surtout avec une bite comme celle de Bernard qui possède un énorme gland, bien plus large que sa verge. Je vois les lèvres de Joëlle bouger, elle doit dire à Virginie ce qui se passe en face, mais elle ne s’arrête pas de défoncer la chatte de sa fille. Virginie se redresse et se cale sur ses coudes pour pouvoir nous voir. Son regard est fixé sur moi. La scène est surréaliste, d’un côté une femme défonce la chatte de sa propre fille avec un énorme gode, de l’autre un voyeur se fait défoncer le cul par une belle grosse bite bien raide. La main droite de Bernard vient tâter ma bite, il constate que je bande comme un fou.
Ne te branle pas, je vais m’occuper de toi après.
Joëlle continu de manier le gode dans le vagin de sa fille en me regardant comme si elle m’offrait son plaisir. Virginie se raidi, bascule sa tête en arrière et finit par jouir dans un grand cri.
HHHHHHAAAAAA
Le quartier est au courant, heureusement que c’est le week-end et qu’il n’y a presque plus personne dans le coin. Elles se lèvent ensemble et nous regardent, mais elles ne peuvent pas voir ma bite raide ni la bite de Bernard qui me défonce la rondelle. Il me donne de grands coups de rein qui me font tressauter, les mains sur le balcon. Virginie porte sa main sur son sexe, je la vois se masturber. En la voyant, Joëlle en fait autant. Elles se masturbent en me regardant me faire sodomiser. Je ne les quitte pas des yeux tout en me faisant besogner par Bernard. Je sens le plaisir monter doucement, mais c’est Bernard qui craque le premier, je sens sa bite palpiter dans mon antre, il jouit à son tour en poussant un petit grognement.
MMMMMHHHHH
Il se dégage et prend ma main pour mentraîner vers le divan.
Je vais m’occuper de toi maintenant.
Il me fait monter dessus, me fait légèrement pivoter et me gobe la bite. Nous sommes disposés de manière à ce que Joëlle et Virginie puissent bien nous voir de profil et voir la bouche de Bernard aller et venir sur mon sexe. Les rôles sont inversés, c’est maintenant Joëlle et Virginie qui regardent ce qui se passe dans l’appartement d’en face. Bernard a allumé une lampe de salon qui n’éclaire pas trop violemment. Heureusement que ce petit intermède a fait tomber mon excitation, je peux encore résister un petit moment. Sa bouche monte et descend le long de ma verge, sa langue me titille et ses dents me mordillent alternativement le gland. Je résiste le plus possible, mais je finis par craquer et me vider dans sa bouche. Les deux femmes sont debout au fond de la salle de bain à nous regarder faire en se masturbant. Je vois Joëlle fermer les yeux, se raidir et jouir en silence. Quand Bernard se dégage, il libère ma bite encore raide. Virginie se masturbe toujours en me regardant. Joëlle s’accroupie devant elle et se jette sur son sexe, en quelques secondes, elle fait jouir sa fille bruyamment.
AAAAAAHHHHHH
Encore une fois, le quartier est au courant. Je descends du divan pour aller sur le balcon. Joëlle et Virginie me regardent, je vois un léger sourire sur leurs lèvres mais elles se retournent et sortent de la pièce sans un signe. Bernard vient me rejoindre, il se plaque contre mes fesses, je constate que sa bite a repris des forces, elle est raide et essaye de se glisser entre elles. Comme il a toujours son préservatif, j’écarte mes fesses avec mes mains pour lui libérer le passage. Il s’enfonce en moi sans peine, mon sphincter est bien souple après sa première intrusion.
Putain que ton cul est bon, je vais encore prendre mon pied.
Vas-y, défonce toi, laisse-toi aller, défonce moi la rondelle.
Bernard se déchaîne, ses mouvements sont très amples et rapides, sa verge s’enfonce et ressort sur toute sa longueur jusqu’à sortir pour mieux me défoncer le cul en entrant de nouveau violemment. Je suis dans un état second, à son tour, ma bite se redresse, je la prends dans ma main droite et me masturbe. Bernard est très résistant, d’autant qu’il a joui il n’y a pas si longtemps. Ses mouvements sont amples, je sens très bien sa bite glisser librement sur ma rondelle, mes sens sont au paroxysme de l’excitation, je laisse monter en moi le plaisir. Mes plantes des pieds s’électrisent, mes jambes tremblent, mon ventre se crispe, mon cur s’emballe et mon cerveau finit par céder et libérer le plaisir dans tout mon corps juste au moment où la bite de Bernard palpite dans mon cul. J’explose dans un superbe orgasme accompagné de Bernard qui se vide en moi. Lentement nous reprenons nos esprits et finissons par aller nous assoir sur le divan.
Putain, quelle soirée, je pensais m’ennuyer chez moi à regarder la télé, je peux te dire que je ne regrette pas de ne pas l’avoir fait.
Moi, je devais aller dans un sauna, mais je pense que je vais quand même le faire.
Je peux t’accompagner ?
Bien sûr, plus on est de fous, plus on rit.
J’enfile un short et une chemisette légère, Bernard va chez lui s’habiller, il ressort avec un short en jeans comme le mien et une petite chemisette. Nous allons tous les deux dans un sauna que je connais très bien.
Nous arrivons au sauna vers vingt et une heures, le samedi soir est le jour des hommes seuls, les hommes mariés qui viennent en semaine s’envoyer en l’air sont avec leurs femmes. Il y a une petite vingtaine de personnes, les âges s’étalent de vingt à cinquante ans à peu près. Nous nous déshabillons avec Bernard. Je jette négligemment la serviette sur une épaule, j’aime me balader nu dans ce genre d’établissement. Nous sommes tous là pour nous envoyer en l’air, autant présenter la marchandise tout de suite. Beaucoup d’hommes mettent leurs serviettes autour de la taille et ne l’enlèvent qu’une fois dans une pièce ou dans le sauna ou le hammam, c’est une pudeur qui me dépasse un peu.
Bernard fait comme moi, mais comme il n’est pas très habitué, sa bite commence à se redresser lentement, ce qui n’échappe pas à un homme d’une trentaine d’années qui nous suit jusqu’au sauna. Nous entrons dans le sauna qui se compose de trois marches de trois mètres de large. L’homme a une serviette autour de la taille qu’il enlève en entrant dans le sauna. Je suis agréablement surpris par la taille de son sexe. Il est vraiment hors catégorie, au moins vingt centimètres au repos et trois à quatre de diamètre. Nous nous asseyons, Bernard et moi, à soixante centimètres l’un de l’autre sur la dernière marche. J’invite l’homme à venir s’assoir entre nous, ce qu’il fait de bonne grâce.
Immédiatement ma main vient se poser sur son sexe au repos. La réaction est immédiate et je le sens se redresser doucement sous mes caresses. En une minute, il est raide et pointé vers le ciel. C’est un monstre. Bernard me regarde et me fait comprendre qu’il ne se sent pas de se faire mettre un engin pareil. Qu’à cela ne tienne, je vais me sacrifier. Je me penche et tente de le gober, mais il est un peu trop gros, son gland n’entre pas dans ma bouche. Je sors un préservatif, l’encapuchonne, m’enduit l’anus de gel ainsi que son sexe, me lève et viens me positionner dessus. L’homme pose ses mains sur mes hanches sans appuyer.
Comme j’ai bien été préparé par les séances avec Bernard, je sais que mon sphincter est bien souple, je me laisse donc tomber sur ce magnifique sexe d’un seul coup. L’homme est surpris, ses mains ne suivent pas mes hanches. Quand il réalise, je remonte déjà le long de sa verge. Il finit par poser ses mains sur la marche et s’appuie sur le mur. Je monte et descends le long de son membre. A chaque montée, je me dégage entièrement pour me laisser tomber de nouveau sur ce sexe d’enfer et sentir une nouvelle fois mon sphincter s’écarter au passage de cet orgueilleux gland. Au bout d’un moment, il pose à nouveau ses mains sur mes hanches. Elles suivent le mouvement sans intervenir jusqu’au moment où elles se crispent m’annonçant la prochaine jouissance de l’homme. Ça ne tarde pas, j’ai l’impression que son sexe gonfle encore plus tant les palpitations sont violentes, il se vide en moi. Je n’ai pas joui, mais le seul plaisir d’avoir un tel monstre enfoncé au plus profond de moi-même suffisait à mon bonheur. Je me dégage et vais m’allonger sur la première marche pour récupérer, mes jambes me faisant mal après le petit exercice que je leurs ai imposé. Bernard vient vers moi, il ne supporte plus la chaleur du sauna et me dit qu’il va partir, il se sent un peu fatigué. Je suis un peu comme lui, nous décidons donc de retourner chez nous.
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