La semaine se déroule un peu morne, car Emilie passe des journées très chargées en pleine promotion avec la semaine de la voile à Port-Grimaud, beaucoup de clients à rencontrer et des journées très longues.
Le soir, elle est assez fatiguée, je le constate et je respecte son désir de tranquillité, même si j’ai bien envie de faire des folies sexuelles avec elle. On boit souvent un ou deux verres et elle s’endort vite ; je la laisse récupérer et m’esquive vers chez moi pour ne pas avoir d’idées folles en dormant à ses côtés.
Le samedi matin venu, elle part au boulot, non sans passer me voir et prendre le petit-déj avec moi, histoire de me dire qu’elle pense à moi et s’excuser du fait qu’elle m’a complètement délaissé ces derniers jours.
Rassure-toi ma chérie, je sais ce que c’est le job, et il ne faut pas te faire de soucis pour moi, je pense beaucoup à toi et ça me suffit… (je mens un peu pour la rassurer).
Je suis en peignoir et elle passe sa main, sachant que je suis nu dessous, elle saisit ma queue qui se dresse immédiatement et commence à la masturber lentement en m’embrassant à pleine bouche.
Elle se met à genoux entre mes cuisses et me prend dans sa bouche gourmande en me faisant une fellation matinale qui ne tarde pas à me faire gicler, tant je suis un peu "tendu".
Elle avale copieusement tout sans peine et se dirige vers la salle d’eau, histoire de se rincer un peu néanmoins.
C’est un échantillon, me dit-elle, car ce soir, je te réserve une surprise de choix.
Son regard brillant et pénétrant me laisse entrevoir une lueur de coquinerie bien préparée de sa part.
Viens à mon bureau à 17 heures, l’inauguration est à 17.30 et gare-toi à cette place, me dit-elle en me tendant un carton d’invitation avec place de parking VIP…
La classe "les cadres" je lui réponds alors qu’elle tourne le dos pour partir en vitesse…
Je suis déjà en retard, me crie-t-elle de la porte de ma maison…
Impressionnante cette nana, me dis-je… une tornade au boulot comme au lit… je passe à la douche quand bien même je sois "bien clean" du côté de mon sexe qui n’en revient encore pas !
Vu les risques de bouchons dans la zone de la presqu’île, je pars vers 16 heures pour Port-Grimaud que je connais bien, car c’est une marina assez agréable, surtout hors saison touristique, bien sûr. Pas du tout fan des marinas, mais il y a un peu l’ambiance "port-romain" qui me plaît beaucoup.
A l’heure prévue, je me gare et rejoins le bureau d’Emilie… le gardien du parking m’a averti que c’est le plus beau bureau du dernier niveau, en entrant à droite dans la galerie, et en effet, je reste un peu épaté de son bureau, et pourtant, j’en ai vu surtout aux States où tout est plus grand comme chacun sait !
Elle est assise derrière un monstrueux bureau de bois laqué, au téléphone, évidemment, et dans deux fauteuils face à elle, je découvre en avançant, l’ami Franck des analyses sanguines et une dame qu’il me désigne comme étant son épouse.
Tout sourire, il me présente sa femme Annie qui me serre la main bien fermement en me regardant droit dans les yeux :
Je comprends qu’Emilie ne parle que de toi, me dit-elle, me tutoyant d’emblée ainsi que le fait son mari Franck…
Elle aime les hommes puissants, rajoute Franck en souriant… et aussi les femmes fortes, croit-il utile de rajouter en serrant son épouse par les hanches.
Annie comme Franck, sont un couple de la juste cinquantaine, et je pense qu’Annie a dans les 48 ans.
Belle brune cheveux courts, assez grande et légèrement dodue sans excès, très élégante dans une robe noire à points blancs, sortie d’un bon couturier, me semble-t-il. Cette belle robe ne cache surtout pas une poitrine que je dirais très opulente et plutôt agréable à regarder. Ses hanches donnent envie de les tenir fermement et l’idée me trouble déjà alors que je ne la détaille pas trop par politesse hypocrite.
Elle croise mon regard qui passe dessus rapidement et elle sait que j’ai déjà une idée de ce qui se cache dans le haut de son corps.
Désolé pour le téléphone, annonce Emilie, mais là, c’est la folie du moment quand la soirée sera lancée je le coupe. Je vois que vous avez fait connaissance, surtout en ce qui concerne Annie que Bob ne connaissait pas, ajoute-t-elle en prenant Annie par le cou pour l’embrasser sur les joues, insistant bien en me regardant voir si je réagis…
Le bon ricain que je suis fait semblant de ne rien comprendre aux usages barbares des Français qui se font tous la bise… même entre mecs, ce que tu ne verrais surtout pas aux States et encore moins chez les cow-boys qui bossent avec moi.
Elle se dirige vers moi pour m’embrasser tendrement sur la bouche devant ses amis et me demande si je vais bien depuis "ce matin"… son regard brillant me fait comprendre qu’elle y pense encore.
Annie et Franck ne comprennent pas l’allusion bien évidemment, mais se doutent que quelque chose de particulier a eu lieu "ce matin", ce qui les porte à sourire.
Bien, et si on allait boire un coup, nous dit-elle, pleine d’assurance comme une reine dans son palais, ce soir, je fête mes cinq millions de "dol" de commandes fermes ! Je jubile de l’entendre parler en dollars…
Nous nous retrouvons dans la salle des congrès où une foule déjà dense pille littéralement les amoncellements de toasts comme si la faim du monde était pour ce soir. Nous avons droit à un accès privilégié à la zone VIP où Emilie est de suite sollicitée par une horde de mâles en cravates qui semblent très dépités de la voir se pendre à mon cou… des regards de jalousie me couvre tout en me souriant et me serrant la main faute de ne pouvoir me serrer le cou… ceci dit, mon mètre quatre-vingt-dix et ma carrure doit les dissuader, même en rêve !
Nous profitons du buffet privé et du champagne ; je demande un jus de fruit, car je sais déjà qu’il faudra un "driverman-zero" comme on dit chez nous pour ramener tout ce petit monde sain et sauf.
Prudent, Bob je vois, me dit discrètement Franck, on peut donc en profiter tu assures le retour.
Oui, je préfère l’abstinence à l’alcool plutôt qu’au sexe, je lui retourne en souriant, histoire de voir un peu ce que cet homme a en réserve à me dire… car je sais qu’il doit me dire un secret, j’ai un peu l’instinct de mes origines sioux qui m’avertit, qu’il se passe quelque chose entre ce couple et Emilie.
A propos de sexe, tu sais sans doute que mon épouse et moi avons eu des relations très proches avec Emilie.
Non, je l’ignore.
J’espère que cela ne te choque pas ?
Pas du tout, pourquoi serais-je choqué, alors que deux raisons m’en empêchent : primo, Emilie est grande, et secundo, je ne suis pas opposé à une transgression des tabous stupides qui imposent les relations normalisées à un couple uniquement ; ceci dit, je n’ai pas de relations avec d’autres hommes, car ça n’est pas mon truc, mais sinon, tout me convient si cela se fait entre adultes consentants et dans l’hygiène.
Voilà qui a le mérite d’être clair, et j’apprécie ta vision franche, ce qui m’amène à t’informer que suite à un problème de santé, je suis devenu incapable de participer à des activités sexuelles avec mon épouse et Emilie comme par le passé, aussi, je me contente d’avoir le plaisir de les voir toutes deux faire l’amour, mais si tu voulais t’occuper d’elles deux, en sachant que je regarde, cela me ferait très plaisir, surtout pour Annie qui la pauvre est un peu en manque de sexe masculin.
Nous y voilà, me dis-je, le secret que je pressentais existe et il est un peu "de la taille d’un bison" selon une expression de chez moi.
Ecoute, Franck, j’aime les femmes et même si elles sont plusieurs et consentantes, aussi, je te réponds par l’affirmative si tu respectes mon hétérosexualité.
Aucun souci, je ne suis plus rien dans le classement, mais avant, j’étais hétéro également.
Sur ce, nous rejoignons le groupe que nous avions un peu quitté pour deviser discrètement, et je vois que nos deux femmes nous jettent un regard interrogatif et mystérieux… curieuses et observatrices, les nanas !
Les conversations autour de nous sont d’une banalité et d’une superficialité étonnante pour des jeunes qui se disent ou se croient l’avenir de la planète…
Leur dernière voiture, leurs dernières vacances au soleil, leur dernière conquête, réelle ou fictive, vu qu’ils sont seuls non accompagnés et matent Emilie et Annie discrètement. Même sur le plan du boulot, Emilie les dirige pour la plupart, et j’en déduis qu’ils ne sont pas si brillants que leurs paroles !
Vous travaillez ici ? me demande l’un deux.
Pas du tout cher ami, je suis en villégiature, j’habite Cody où j’élève des chevaux.
Cody ?
Ville du Wyoming aux Etats-Unis.
Belle ville, qu’il me répond.
Vous connaissez ?
Non, mais un ami m’en a parlé.
Bien, je comprends…
En fait, je ne comprends pas le but de cet échange avec un con qui a voulu m’impressionner avec son porte-clés Ferrari ; l’élevage de chevaux ne semblant pas être dans le domaine de ses préoccupations ni de ses aptitudes, il a le profil à tenir deux secondes sur une selle avant d’en être éjecté.
Un autre me parle de son voilier et me demande si j’en ai un… à Cody…
Mais, putain, ils sont tous comme ça tes collaborateurs ?
Accroche-toi mon chéri, c’est le haut du panier, me répond-elle en riant.
Niveau des pâquerettes…
Et si nous allions boire un verre chez nous, déclare Annie, nous avons quelques excellents Bourbons qui devraient plaire à Bob.
Très bonne idée, renchérit Emilie qui semble être un peu lasse de cette soirée soporifique.
Ma voiture est suffisante pour nous quatre, donc je fais le chauffeur.
Je ferai ramener la mienne et la vôtre demain, déclare Emilie, nous avons des conducteurs employés pour cela.
Et nous voilà partis, Franck à mes côtés, me guide dans la zone haute vers Ramatuelle où je me gare devant une jolie villa pas gigantesque, mais très bien agencée entourée par un jardin d’agrément magnifiquement éclairé ; ça sent le très bon standing sans tape à l’il.
L’intérieur est décoré avec un goût très sûr de modernisme confortable.
Prenez place, nous dit Annie, aidée par Emilie, qui connaît bien la maison, sort des verres, du champagne et une bouteille de Blanton’s original dont je raffole.
Je vous déclare dignes du nouveau monde, dis-je en plaisantant, voilà une boisson de vrai américain, ceci dit, je considère le champagne comme un pur breuvage, mais je reste décidément trop traditionnel.
Franck et moi prenons du Bourbon, quant aux femmes, elles restent au champagne, qui semble leur aller parfaitement. Elles sont très joyeuses nos deux femmes qui se marrent bien en parlant à voix basse et en regardant vers nous… c’est l’heure où les yeux brillent quand la vie sourit aux chanceux que nous sommes.
Au troisième verre, Franck nous annonce brusquement qu’il va se coucher vu qu’il a une rude journée demain et qu’il est tard pour lui…
Je dors dans l’annexe, annonce-t-il, et s’éclipse illico.
Devant mon regard interrogatif ?
Le coup de blues, nous dit Annie, mais surtout, ne partez pas s’il vous plaît, je me sens trop seule sinon…
Pourquoi partirions-nous, la soirée ne fait que commencer, lui répond Emilie en la prenant par le cou et l’embrassant brusquement à pleine bouche pour lui faire comprendre qu’elle reste.
Je regarde avec plaisir ces deux créatures si différentes de physique et pourtant si complémentaires et magnifiques. Une génération presque les sépare, et pourtant, elles sont parties pour se donner mutuellement du plaisir sous mes yeux. Je suis assis sur un énorme fauteuil de cuir face au canapé où mes deux femelles en chaleur se caressent et s’embrassent. Ma queue est déjà dure et commence à me gêner dans mon pantalon.
Annie prend l’initiative de déshabiller Emilie dont la robe tombe au sol. Elle est sans soutien-gorge vu sa petite poitrine et son string est de suite arraché par Annie qui se lève à son tour afin que ma chérie la mette nue sous mes yeux avides de plaisir de la découvrir. Annie, femme mure et magnifique que je devine et qui se dévoile sous mes yeux.
Ses seins apparaissent alors qu’Emilie dégrafe sa robe et son soutien, de gros seins bien lourds laiteux et hauts plantés sur son tronc à peine enrobé. Des tétons tendus au milieu d’aréoles très énormes.
Ses hanches bien marquées sont très attirantes et sa culotte tombe également. Je vois un fessier imposant sans être vraiment trop lourd ; son minou épilé laisse voir un sexe bien dessiné et des lèvres vaginales très saillantes et invitantes à la caresse.
Alors que ma queue semble exploser dans mon pantalon, les deux ondines s’enfuient brusquement du salon et courent vers une salle de bain qui semble les attendre à l’entrée… je sirote mon bourbon et à peine deux minutes s’écoulent, elles reviennent en rigolant, sans doute qu’elles sont suffisamment propres pour les caresses qu’elles prévoient de se donner ou de recevoir de ma part.
Emilie assoit Annie sur le canapé et lui écarte bien les cuisses en regardant dans ma direction.
Viens, me dit-elle alors qu’elle caresse avec ses doigts fins ce sexe magnifique de cette femelle en manque d’amour.
Je décide alors de tomber mes vêtements en regardant ces deux femmes se donner du plaisir, Emilie dévorant à pleine bouche le sexe d’Annie, suçant ses lèvres vaginales et qui gémit déjà en dodelinant de la tête ; se caressant ses gros seins pleins d’envie.
Ma queue est déjà bien dure et je vois qu’Annie la regarde avec inquiétude, vu mes mensurations.
T’inquiète, lui dit Emilie, ça va bien se passer… comme si elle parlait à une vierge !
Je me mets à genoux à côté d’Emilie et nous dévorons à deux la chatte en chaleur d’Annie qui explose de cyprine en criant de jouissance. Nos deux langues se mélangent sur le clitoris et l’entrée du vagin dans un mouvement de bas en haut et de haut en bas bien synchronisé ; Annie est une bombe de sexe, c’est évident je ne sais où se trouve Franck, mais il doit entendre, ce nest pas possible autrement.
J’ai une pensée amicale pour cet homme qui devant l’inéluctable, sort qui le touche ne reste pas égoïste sur le plaisir de son épouse… il a changé d’avis ce soir et décidé de s’isoler, mais peut-être une autre fois assistera-t-il à nos ébats, car je ne doute pas qu’il y aura d’autres fois.
Annie vient de jouir dans une explosion de gémissements et de petits cris de plaisirs. Alors Emilie se positionne à genoux sur le canapé pour l’embrasser, elle me prend la queue et la dirige vers l’entrejambe d’Annie.
Baise-la, me dit-elle très crument…
Cette phrase a sur moi un effet violent d’excitation, je suis à genoux entre ses cuisses et ma queue déjà énorme semble encore gonfler. Je la tiens face à ce vagin bien humidifié de salive et de cyprine, j’écarte les grandes lèvres vaginales et pousse ma queue vers ce couloir d’amour que je pénètre lentement sous les gémissements d’Annie étouffés par la bouche d’Emilie.
Je la saisis aux hanches et la bourre littéralement de coup de reins qui la font jouir et hurler de bonheur immédiatement tant elle semble en manque de sexe. Cela dure bien dix minutes et j’avoue que je commence à avoir envie de jouir aussi, tant mon ventre est en chaleur.
Emilie se penche à mon oreille et me dit :
Inonde-la bien, je sais que tu as des réserves pour moi plus tard… et elle m’embrasse tout en malaxant les seins tendus de plaisir d’Annie.
Je me laisse donc aller et en grognant comme un animal, j’accélère le mouvement de mes hanches entre les cuisses voluptueuses de ma partenaire ; j’envoie un flot de sperme dans son ventre qui lui déclenche un nouvel orgasme violent qui la fait se tendre comme si elle tombait en catalepsie…
Je m’effondre sur elle lourdement et prends alors sa bouche pour la première fois en un baiser qu’elle me rend fougueusement sous le regard tendre d’Emilie qui semble apprécier la scène.
Tu es un amant exceptionnel me susurre-t-elle tandis qu’Emilie lui embrasse le cou tendrement en lui caressant affectueusement les seins.