Cette histoire c’est passé il y’a quelques années, j’avais 16 ans et ma soeur est de 2 ans mon ainée, je ne pensais jamais raconter cette histoire mais à force de lire toutes celles entre frere & soeur cela m’exite encore plus d’y repenser.
Nous trainions avec la meme bande d’amis à l’époque, c’était en été, et nous aimions après etre rentré, rester devant la télé. A l’époque elle était un peu enveloppé ce qui faisait que sa poitrine était tres opulente.
Nous regardions donc un film anodin et je ne sais ce qu’il m’a pris :
– Leila a une plus grosse poitrine que toi non?
En effet Leila était notre voisine et elle pouvait se narguer d’avoir une aussi grosse poitrine que ma sour.
— pas du tout !? elle est aussi grosse qu’elle, me repondit elle vexé
— je sais pas ?!..mais on dirait pas!!
Voilà j’étais parti, il est vrai que j’avais pu apercevoir la poitrine de ma sour quelques jours auparavant, lorqu’elle nettoyait les carreaux de la maison sous son peignoir pendant qu’elle était trop occupé à faire briller les vitres, elle ne c’était pas aperçu que celui-ci était entrouvert laissant apparaître deux énormes engins se balancant au rythmes de ses mouvements, depuis ce jour je ne cessais d’y penser.
— tu me diras avec les fringues on voit plus grands choses.Lui dis je en tremblant de partout, je n’avais qu’une seul obsession ; les voir.
— oui mais comme ça tu peux deja te faire une idée me dit elle en avancant son torse vers l’avant
— ouuuaisss ?! tu me diras ton t-shirt est tellement large que.
— oui mais je ne fait pas lever mon t-shirt quand meme !!
— ça va ; je suis ton frere, et j’en ai deja vu d’autre des soutien-gorges !!
Nous étions dans le salon et mes parents dormaient dans la piece à cotes, les portes du salon étaient fermés pour ne pas les reveillés avec le bruit de la television .
Elle regarda autour d’elle, pour etre sur que personne ne venait et d’un geste brusque leva son t-shirt pour laisser apparaître un soutien gorge qui renfermait deux énormes obus.
— voilà t’as vù !?
Elle étaient assise en face de moi mais de l’autre coté de la table. Cela ne me suffisait pas, je voulais les revoirs & comme possedé je lui dit :
— je vois rien avec la lumiere de la tele & puis en plus t’es loin.
A ma grande surprise, elle se leva pour m’amener son buste juste sous le nez ; je tremblais de partout, une atmosphere pesante regnait dans la piece.
— oui c’est vrai qu’ils ont l’air gros, lui dit je en laissant ma main se poser sur son sein.
Elle ne disait rien, restant droite.
— je peux !? repris je en posant mes deux mains sous son soutien gorge
— si tu veux ! me dit elle sans me regarder.
Je soulevais son soutien gorge pour laisser sortir deux énormes seins, à leurs vue je me mettais à les caresser frenetiquement, laissant aller ma bouche vers ses tetons, elle ne disait toujours rien, mais un timide soupir s’échappa de sa bouche, les yeux mis clos.
Je tremblai comme une feuille, impossible de me controler, j’avais l’impression que j’allais jouir sans meme toucher ma queue.
Les jours passerent & chaque soir nous reprennions le meme rituel ; je ne la voyais plus comme ma sour mais comme une grosse salope qui adorait ça.
L es vacances scolaire passerent & nous ne pouvions plus regarder la television aussi tard, et nous devions nous coucher tous les soirs avant mes parents.
Mais Je n’en pouvais plus, il fallait que je bouffe encore les seins de cette salope ; ils étaient gros doux et surtout ferme; c’était ma drogue.
Alors que mes parents étaient devant la télé, je rentris dans sa chambre sans frapper ; elle était là assise sur le bord de son lit, bouquin à la main ; et sans dire un mot, je laissais ma main glisser sous son t-shirt
— Il faudrait qu’on arrete me dit elle, c’est pas bien & en plus tu n’es plus le meme avec moi depuis ça..
Elle avait raison, c’était ma salope, je ne la respectais plus, mais ça m’excitait !! Et je ne sais pas pourquoi je lui dis, la main toujours à peloter ses seins :
— t’as déjà sucé un mec ?
— Pourquoi tu me demandes ?
— Oui ou non ?
— Ben..
— Alors..oui ou non
— Ben …….oui Ca y est le mot était laché, je sortais ma queue et sans dire un mot, elle commença à me sucer, on aurait cru que c’était normal qu’elle le fasse, je continuais à caresser ses seins à travers le t-shirt pendant ce temps.
Elle me sucait doucement mais en gardant le meme rythme, elle m’excitait cette salope, je me laissais à penser, combien de mes potes elle avait déjà sucé ? et ça m’excitait encore plus, quand j’y repense j’imagine la gueule de mes parents si ils étaient entrés dans la pièce à ce moment là, moi debout, braguette ouverte, avec ma sour en train de me faire sucer.
Il n y avait qu’elle est ma queue, elle ne disait rien, continuant son va et vient, imperturbable meme quand je lui ai jouie dans la bouche ; continuant au meme rythme, je n’étais meme plus sur d’avoir éjaculé.
Sentant ma queue ramollir, c’est moi qui lui ai demandé d’arreter, elle leva sa tete en me faisant un minois pleins de culpabilité mais je n’en avais rien à foutre, c’était ma salope et je quitta la piece sans dire un mot.
Je décida d’arreter, trop peur de nous faire surprendre par mes parents & les années passerent, elle demenagea pour prendre un appartement seule ; l’occasion était trop bonne ; je décida de lui rendre visite.
Elle en était très surprise, en effet il est vrai que depuis ça, nos relations avaient drolement changées, je ne lui adressai plus aucunes marques de respect, je ne discutai plus avec elle & quand je le faisai ce n’était jamais pour dire des choses gentilles.
On commença à parler de tous et de rien, je n’écoutais meme pas, je ne pensais qu’à une seule chose ; lui peloter les seins pendant qu’elle me sucerait.
— t’as pas perdu de la poitrine depuis ton régime lui dis je en posant un main sur son sein
— écoute arrete on était jeune, maintenant on est grand ! je pensais moi que t’avais changé mais en faite, t’es comme les autres mec ;t’es venu que pour ça !!!
— ça va rale pas ! je voudrais juste les revoirs..allez s’il te plait !
Je sortais ma voix la plus mielleuse, elle ne bougeait pas, j’ai commencait à lui lever son pull, ils était là ! toujours aussi gros, je les liberé de leurs belle prison de dentelle, face à ma sour qui restait stoïc.
Je commencait à les malaxer, les bouffer, je frottais mon visage dessus, ils m’avaient manqués.
Un leger soupir de plaisir de sa part, me fit me lever.
— qu’est ce que tu fais ? ah non je ne te suce pas.mais merde t’es con ou quoi ? t’es mon frere !!!
Je ne l’écoutais pas, et dirigeait ma queue vers sa bouche, la pris par les cheveux pour l’obliger à me sucer ; elle était retissante, mais face à mon obstination, elle ouvrit difficilement sa bouche et commença à me sucer, le pied ! mais j’en voulais plus.
— Enleve ton pantalon, je vais te baiser
— Arrete maintenant ça suffit, t’as pas de copine ou quoi ?
— Oui mais tu m’excites.
— Arrete s’il te plait me dit elle tout doucement, cette fois, il est clair qu’elle était aussi excité que moi, car sa main droite est venu presser son sein et sa main gauche était venue se poser sur son entre jambes ; j’ai des capotes dans ma chambre attends je vais les chercher.
J’allais baiser ma sour, cette idée m’effrayait et m’excitait à un point.
Elle est revenue dans le salon vetue seulement d’une petite culotte, capote à la main.
Mais à peine avait elle dérouler la capote sur ma queue que je me suis à jouir.
— Ah déjà me dit elle avec une voix légerement décu et etonné
— Désolez, ça m’arrive pas d’habitude
— C’est mieux comme ça non ?!
— Ouais Je me rhabillai et la laissa nu dans son salon sans dire un mot.
Nous n’en avons jamais plus reparlé, pour dissipé tout mal entendu, je suis passé plusieurs fois chez elle sans en faire la moindre allusion.
Meme si il vrai qu’une fois que je repars de chez elle, je ne peux m’empecher de me branler ; maintenant je sais pourquoi j’ai écrit cette histoire par la lui faire lire et dans l’espoir cette fois de la baiser..cette salope !