Je viens de baiser, et le mot est faible, la petite Léa. Surpris par Isa, celle-ci me raconte les exploits de ma femme, Lili.
— Elle s’est bien lâchée, elle était en train de faire un Cunnilingus à Virginie quand un mec est venu lui prendre la chatte. Ensuite ce n’était qu’une succession de queues qui déversaient leur semence.
On se dirige, après avoir refermé la villa, vers la plage. On cherche Lili. On la trouve enfin. Elle est un peu à l’écart de la foule des baiseurs. C’est un joli trio qui s’offre à mes yeux. Elle est au-dessus d’un mec. Une femme est à quatre pattes en train de se faire bouffer le cul et la chatte. On s’approche pour apercevoir que le mec et la nana se ne sont que Jean et Éva. Il me vient une idée.
— Léa, ma puce, suce moi, prépare moi. Quand à toi Isa, va lui préparer le cul.
Lili ne se retourne pas. Elle est trop occupée à ce qu’elle fait. Je suis prêt, la petite Léa m’a bien lubrifié le sexe. Isa, elle, retire ses deux doigts de l’anus de mon épouse et m’invite à m’approcher. Elles me guident vers l’objectif. Je suis au contact de son petit trou. Je pousse lentement mais je ne m’arrête pas tant que mon pubis ne vienne en contact avec les fesses de ma femme. Lili Ronronne.
Jean, qui a vu ce qu’il se passe, ralenti le rythme. Léa et Isa embouche les tétons de ma femme. Éva, qui a vu le petit manège, se retourne pour profiter du spectacle. Une fois tout ce p’tit monde en place, je mais une tape sur la cuisse de Jean, lui donnant le signal des hostilités. On s’accorde bien. Je sors, il rentre. Bientôt Lili rentre dans une transe jouissive. Elle bouffe Léa chatte d’Éva. Je sens la queue de Jean. Elle gonfle et il jouit au fond de la chatte de mon épouse. Je me bloque au fond et éjacule de petits jets. Lili s’effondre sur Jean et l’embrasse. Je me retire dans un bruit de succion. Lili se laisse partir à même le sable. Il a un visage radieux. Elle me voit, elle me sourit.
Lili prend la main d’Isa et s’en vont vers le feu de Bois. N’en pouvant plus je décide de rester. Jean et Éva décident de rentrer. Je vais pour les suivre quand Léa se rappel à mon bon souvenir.
— Pardon, ma puce mais il faut que j’aille recharger mes batteries.- Je peux venir, s’il te plait…Je regarde Jean et Éva qui me font un signe approbateur. Nous voilà parti en direction du mobilhome.
— Piouuu, me fait Jean, tu as une sacré bonne femme. Et toi, comment c’est passée ta soirée ?Je lui explique tout de mon aventure avec Léa, dans les moindres détails. Arrivé à destination, Jean se jette sur un transat et m’invite à l’imiter. Léa, quant à elle, se met près de moi, assise sur un pouf. Elle ose sa tête sur mon torse. Éva nous sert quatre liqueurs de menthe sur un lit de glace pilée. Il fait encore chaud. Je transpire et demande à mes hôtes de m’excuser mais j’ai besoin d’une douche. Jean se lève, Éva aussi, et me suivent. Léa se trouve toute seule.
— Allez, vient petite chieuse.- Ah !!! C’est beau la jeunesse. Dit jean en prenant sa femme par la main. Une fois dans les douches, Jean et Éva entrent ensemble.
Sous les yeux de cocker, Léa entre avec moi. Quelle bonheur de se faire savonner et de n’avoir rien à faire. Elle me frotte Le dos, les fesses, le visage, le ventre, insiste sur mon sexe, continue sur mes cuisses. Je ferme les yeux et m’appuie sur le mur. C’est une des meilleures douches que j’ai pris depuis longtemps. Elle entreprend de se laver toute seule. Elle nous rince. On sort et on prévient le couple qu’on les attend chez eux.
— M’OUI… Répond Jean.Léa et moi on ricane, et on part main dans la main.
Quelle n’est pas notre surprise en voyant Isa. Elle nous fait signe de se taire en posant son index sur ses lèvres. Elle nous montre la tente où reposent Lili et Virginie. Elles sont enlacées et repose dans les bras de Morphée. Elle nous raconte les exploits des deux filles. Elles ont pris une bonne dose de sperme dans un gang-bang torride.
Jean et Éva arrivent. Je leur fait signe de ne pas faire de bruit. On lui raconte les péripéties de ma femme et de Virginie. On les regarde avec tendresse. Ne voulant pas les dérager, j’abaisse la porte de la tente et ferme la fermeture éclair. Jean nous dit qu’il peut nous prêter une caravane de l’un de ses amis. On accepte.
Il nous emmène dans une petite roulotte, certes au confort précaire, mais près des sanitaires. Je m’affale sur le lit. Isa et Léa en font de même.
— Il te reste des munitions ? Me questionne Isa.
— A part ma langue et mes doigts, je suis vidé.
— On s’en contentera. Renchérie Léa.
Elles s’allongent à mes côtés. Isa à droite, Léa à gauche. On s’enlace, on s’embrasse, on se masse. Elles s’installent chatte contre chatte et se frottent. Je suis à quatre pattes entre leur poitrine. Je tète leurs tétons pendant qu’elles se mangent la bouche. Une main s’immisce sous mon ventre et vient jouer avec ma queue.
— Léa, non, je suis vidé !!!
— Mais j’ai envie !!!
— Juste caresser, OK ?
Elle continue ses caresses, bientôt rejointe pas la main d’Isa. Elles me triturent les couilles, me grattent la verge. Mon sexe réagit tout doucement. Je leur mords les tétons. Elles gémissent.
Je vois leurs clitoris qui se frottent. Je laisse les seins pour descendre à cette douce réunion. Je sors la langue et lèche les deux boutons en même temps. Surprissent, elles me lâchent la Queue. Elles jouissent de concert. Mais le répit est de courte durée. Elles reviennent à la charge. Elle recommence leurs jeux de mains sur ma verge et mes deux valseuses. Léa, plus souple qu’Isa, parvient à se glisser sous mon ventre et venir récolter le pré-sperme qui sort de mon méat.
— HUMM, que c’est bon !!!
Isa me relève la tête et m’embrasse goulûment. Elle se branle à deux mains. Me fait goûter son jus en me mettant ses doigts dans la bouche. Je ferme les yeux, c’est l’extase. Ce jeu se poursuit pendant une demi-heure. Puis, on s’écroule, repu.
Il est midi quand Jean vient nous réveiller. On émerge peu à peu et nous décidons d’aller prendre une douche.
Isa et Léa rentre dans la même cabine, moi enfin seul. Je respire. Je me savonne et regrette que ce ne soit pas Léa. A la sortie de la cabine, je vois Jean et Éva.
— Ô, les petits, bientôt l’heure de l’apéro… Dit Jean en rigolant.Je lui tends les clés de la petite caravane. Il me dit de les garder, elles pourraient encore me servir.
J’attends Isa et Léa puis nous nous dirigeons vers le campement de Jean. Je regarde dans la tente. Vide. Je fais comme chez moi et vais chercher une de mes bouteilles de rosé dans le frigo. Je reviens auprès des deux filles, trois verres à la main. Jean et Éva arrivent. Ils sont radieux.
— Les petites se sont levées il y a deux heures. Dit Jean. Et elles sont parties à la plage pour parfaire le bronzage de ta femme.
— Vous êtes déjà au rosé ? S’interroge Éva.
— OUI, on soigne le mal par le mal. Amène-nous deux verres au lieu de dire des conneries. Rétorque Jean.
Il bande. Les yeux de Léa sont rivés sur sa bite. On est plié de rire. Éva part à la plage, rejoindre les deux filles. Léa, en voyant qu’elle n’a aucune chance, ellela suit. On se retrouve à trois, Isa, Jean et moi.
— Dit moi Hervé, pour bander, tu prends des lulules ?
En lui souriant je lui réponds que oui.
— Attends, mon grand, j’ai quelque chose de naturelle et bien plus efficace.
Il se lève et se rend dans son bungalow. Isa et moi, on se regarde les yeux pleins d’envie. On sirote notre rosé. Il revient avec une petite bouteille en verre teintée.
— Tiens, c’est du bois bandé. Pas celui que l’on vend en sex-shop, c’est le vrai. Il vient de Dakar. Tu en passe de partout sur ta verge et tes couilles et tu en bois une petite gorgée. Ce n’est pas très bon mais je te garantis une bandaison du tonnerre.
Il me tend le flacon et procède comme il m’a dit. Le gout âpre me fait grimacer. Il me précise qu’il faut une vingtaine de minutes et que ça dure quarante-huit heures. Je lui retends le flacon, il me dit que c’est cadeau.
On discute de choses et d’autres. On parle de Lili et me dit qu’elle s’est débloquée. Hier en revenant au mobilhome, elle a léché Éva comme une folle. Lui était parti se coucher.
La solution de Jean commence à faire son effet. Isa est morte de rire en voyant mon rostre gonfler. Elle se lève, se met à genou et commence à me lécher.
Elle trouve que le goût du bois bandé est des plus agréable. Jean nous observe avec envie. Il regarde plus particulièrement ses fesses. Je lui fais signe de nous rejoindre.
— Non, pas ici, il y a des enfants dans le camping. Venez, on va aller à l’intérieur.On rentre et on s’assoie tous les deux sur le bord du grand lit. Isa se met à genou et commence à nous sucer consciencieusement. Putain, j’avais presque oublié ses pipes. Elle nous mange nos bites. Passant de l’une à l’autre. Elle guette nos réactions en nous regardant.
— Putain, quelle salope !!! Dit Jean, Elle nous bouffe avec envie.
Je me recule pour m’allonger sur le lit. Isa grimpe et s’empale sur ma bite. Un grand miroir est placé au plafond. Jean qui a compris l’invitation, nous rejoint. Il masse les grosses fesses d’Isa. Son sexe pointe vers son petit trou. Il crache dans sa main et enduit l’anus d’Isa. Il se place bien et force sur sa rondelle.
— Ouf !!! fait Isa. WAOUH !!!
— En même temps, Jean. Tu te retires quand je me retire.
Il me fait un clin d’il. Tout d’abord doucement, nous nous retirons en laissant nos glands à l’intérieur. On se renfonce en même temps. Petit à petit, on accélère. Notre tempo est bien coordonné. On sent nos bites à travers la fine membrane qui sépare son conduit anal et son vagin.
— Putain, ralenti, j’n’ai plus vingt ans; je vais venir, sinon… S’exclame Jean.
Isa à la bouche ouverte mais aucun son n’en sort. Lentement, on continu nos va et viens.
— Bande de salops, vous me remplissez !!!! S’écrit Isa…
Je change de rythme, on alterne nos pénétrations. Une fois lui, une fois moi. Elle Hurle de bonheur, son bonheur. Elle se fait défoncer le cul et la chatte par nos bons soins pour la deuxième fois.
— ARGH, JE JOUI, JE JOUI, OUIIII C’EST TROP FORT !!!
En changeant encore une fois de tempo, on rentre nos queues simultanément.
-PUTAIN QUE TU ES BONNE, JE VAIS JOUIR…. S’époumone Jean
— OUI, VAS-Y-MOI AUSSI….je lui réponds en écho.
Encore quatre ou cinq mouvement et nous restons bloqués au fond des conduits d’Isa.
— OUIIII, DONNEZ-MOI TOUT, BANDE DE BÂTARD, JE MEURS…
On reprend, lentement, notre pistonnage puis Jean se retire. Un « plop » nous fait sourire. Quand Isa le retire, c’est un bruit de succion énorme qui se fait entendre.
On éclate de rire.