Depuis ce jour où mon fantasme s’était vu être réalisé, je dois dire que moins de questions trottaient dans ma tête et je me permis alors des choses bien plus extravagantes
Ce fut surtout lors de mes stages que je laissai cours à mon imagination. Ce que je préférais c’était porter sous ma blouse des dessous féminins très équivoques révélant mon ambiguïté sexuelle et de sentir sur moi les regards des gens qui se demandaient s’ils voyaient bel et bien ce qu’ils imaginaient.
Un jour, j’avais décidé de porter sous ma blouse une guêpière noire en dentelle associée à un tangua reliés tous deux par des attaches. Il faut bien dire que le noir sous une blouse blanche se voit très bien mais comme ma tenue « infirmière » était assez ample, ce qui était dessous ne se voyait pas tellement. Ce matin-là je m’occupais de la toilette de Monsieur G. Il avait à peu près 35-40 ans et je dois dire, pour l’avoir aidé dans sa toilette, qu’il était assez bien membré.
Sans que je comprenne ce qu’il se passait vraiment, je reçus sur ma blouse un raz de marée d’eau. Évidemment, l’effet fut immédiat et, comme à un concours de tee-shirt mouillé, on vit tout à travers. Je me tournai vers Monsieur G. pour voir sa réaction et celui-ci me dit :
– Alors ça, c’était inattendu. En fait, tu es le cliché de l’infirmière salope.
– Et alors, ça vous dérange ? Je ne fais de mal à personne.
– Il ne faut pas le prendre si mal. Si tu es très attentionné avec moi, je ne dirai rien à personne.
Intérieurement, j’exultai. J’étais arrivé à mes fins car, si je m’habillais comme cela, c’était pour que quelqu’un me remarque et joue avec moi. J’acceptai sa proposition. J’enlevai ma blouse, ce qui me laissait en haut qu’avec ma guêpière et je commençai à prendre sa queue dans ma bouche. Elle passa très vite de très molle à très dure et très grosse. C’était vraiment une belle queue.
Je continuai à le pomper et, des fois, je m’interrompais pour lui titiller le gland avec ma langue. Au bout de cinq minutes, j’arrêtai et je lui demandai de me défoncer là, dans la salle de bain. Je me retournai, baissai mon pantalon à mes chevilles et lui, il essaya d’écarter mon string pour voir où se trouvait mon sexe. Il prit un gant imbibé d’eau qu’il pressa juste au-dessus de ma rondelle pour l’humidifier. Je sentis l’eau ruisseler sur mon cul et sur mes jambes toujours épilés de près (on ne sait jamais, il faut toujours être prête).
Puis, enfin, il rentra sa bite, non sans mal d’ailleurs car le calibre était assez balaise. Une fois bien au fond, il ne bougea plus, le temps que mon trou se fasse à sa queue.
Il commença alors à me limer et ce de plus en plus vite. C’était vraiment bien et mon plaisir débutait à peine lorsque la porte de la chambre s’ouvrit. On sarrêta net. C’était l’infirmière qui venait me demander si tout allait bien et si j’avais besoin d’un coup de main. Je lui répondis, toujours avec cette bite au fond de moi, que non et elle repartit sans ne s’apercevoir de rien.
La cavalcade reprit alors de plus belle. G. me mit des coups de boutoir comme s’il me pilonnait le cul. Je sentis la jouissance monter en moi et lui continua à me pénétrer comme un fou. Et dans cette position, bien qu’inconfortable où il me prenait par derrière en me soulevant une jambe pour bien m’écarter ma « chatte », j’atteignis l’orgasme ultime où je jouis, jouis, jouis…
Il sortit de mon cul pour se branler devant mon visage. J’ouvris la bouche mais, au lieu d’éjaculer dedans, il se décala et il jouit de grosses giclées sur mon visage. Je ne vis plus rien. Et pour faire la salope jusqu’au bout, je choisis, avant de me nettoyer le visage, de prendre ce sperme encore chaud qui dégoulinait et de le lécher à pleine langue. G. sortit de la salle de bain et je pris un gant pour me nettoyer avant de foncer vers le vestiaire pour me changer.
De retour en cours, il faut dire que ma libido grandissait au fur et à mesure des semaines. Un jeudi, la traditionnelle soirée infirmière arriva. Cette fois-ci, le thème était la soirée déguisée. Là, Laura eut l’idée de me déguiser en infirmière sexy. Vous savez, l’uniforme en latex avec la mini-jupe, le cerf-tête avec la petite croix rouge, les bas et porte-jarretelles blancs, un string blanc et des chaussures à talon transparentes.
On y ajouta une perruque rose flashi. On partit alors à la soirée. Les costumes des autres étaient super. Il y avait une mamie, un schtroumf, un bob l’éponge mais j’étais la seule en infirmière sexy. Ce déguisement eut d’ailleurs pas mal d’effet sur les hommes de la soirée puisque ceux qui ne m’avaient pas reconnu ou que je ne connaissais pas me prirent pour une femme, ce que je trouvai assez flatteur pour finir.
La soirée se termina et on s’apprêta à rentrer dormir quand les videurs m’interpellèrent et me dirent de rester. Je dis à Laura d’aller m’attendre dans la voiture et lui tendis les clés car c’était moi qui conduisais et elle partit. Une fois la boîte vide, les trois videurs, un Noir vraiment big et deux Blancs baraques, s’approchèrent de moi en me disant :
– Ton costume a fait fureur ma petite. Ça te dirait de finir la soirée en apothéose ?
– Vous savez, les apparences sont trompeuses et…
– Quoi ? L’allumeuse aurait froid aux yeux ?
Je m’approchai alors et dis :
– Moi non mais vous savez que vous avez affaire à une fille différente.
– Oui, d’ailleurs cela nous a beaucoup amusés de voir tes copains se faire piéger. Cela restera un secret si tu le veux bien.
Tout s’emballa alors très vite. Ils sortirent tous leurs bites. Il est bien évident que la plus longue et grosse était celle du Black même si celles des deux autres n’étaient pas mal non plus. Je les suçai à tour de rôle pendant que je branlais les deux autres avec mes mains. Puis le black s’allongea par terre et me demanda de venir m’enfourcher sur sa queue, dos à lui.
Je dois dire que jamais une bite aussi grosse n’était entrée en moi. Elle faillit d’ailleurs ne jamais y arriver et il fallut humidifier et humidifier et s’y reprendre à plusieurs reprises avant qu’elle n’entre en moi. Il me prit alors par la taille et commença à bouger en moi puis à m’enculer véritablement. Pendant ce temps, je continuai à pomper les deux autres mais je dois dire que j’étais bien plus concentré sur mon plaisir personnel. Au bout de dix minutes, un plaisir intense s’empara de moi et j’atteignis le premier orgasme de la soirée.
Tous mes muscles se crispèrent et l’effet fut immédiat sur mon serviteur. Il éjacula sa semence chaude à l’intérieure de moi. Je m’extirpai alors de sa queue et je la nettoyai complètement.
Puis ce fut à un autre de me pilonner, ce qu’il fit d’ailleurs plus sensuellement et lentement, ce qui n’était pas désagréable. Il me caressait le dos et les seins, me couvrait de ses coups de langue et sa technique finit par payer. J’atteignis pour la deuxième fois un orgasme ainsi qu’un sentiment de pouvoir énorme sur les hommes.
Le troisième, lui, me dit de venir sur une banquette et de me mettre à quatre pattes. Je me déplaçai, le sperme dégoulinant de mon entrejambe. Il m’informa de me préparer car ça allait bouger et, en effet, il n’avait pas menti. Il me prit comme un véritable bourrin. Tout en me défonçant à pleine vitesse, il me tirait les cheveux qui, accrochés à mes vrais cheveux, me faisaient mal mais, en même temps, me procuraient beaucoup de plaisir. C’était très paradoxal.
Et en moins de cinq minutes, il arriva à ses fins et me fit jouir pour la troisième fois de la soirée. Il sortit sa queue et expulsa son sperme dans ma bouche et sur mon visage.
Quelle folle nuit ! J’étais super crevé, j’avais les jambes coupées et le cul en feu. Une fois ma toilette réajustée, ils me dirent tous au revoir et que vraiment j’étais un bon coup.
Arrivé dehors, je retrouvai Laura dans la voiture. Elle dormait comme un bébé. Elle se réveilla, regarda l’heure et me demanda ce que j’avais foutu pendant 40 minutes.
Je lui demandai de fermer les yeux et d’ouvrir la bouche. Je lui mis alors sur la langue le reste de sperme qu’il y avait sur mon uniforme. Elle reconnut tout de suite le goût et me dit que j’étais une grande coquine.
Sur la route, je lui racontai tous les détails. Elle hallucina lorsque je lui dis que je m’étais fait prendre par les trois et me demanda si cela mavait vraiment plus d’être malmenée, dêtre soumise. Je lui répondis quétrangement oui.
Arrivés à l’appartement, elle ironisa en disant que c’était grâce elle que cette soirée serait inoubliable. En la prenant dans mes bras, je lui répondis que oui et que pour elle aussi car la belle vampire gothique qu’elle était allait se faire défoncer par mon pieu.