Je la connais simplement de vue. Une jeune femme métisse à peine colorée, aux longs cheveux, à la taille bien marquée. Une poupée quoi! Hier matin en sortant de chez moi, je la vois passer sur le trottoir juste en face. Elle devait avoir la tête en lair, elle tombe dun seul coup. Je me précipite vers elle qui commence à se relever seule. En la prenant par le bras, je la relève complètement. Son sourire est son remerciement. Mais elle garde une petite, toute petite plaie au genou. Jai ce quil faut chez moi. Je la fais entrer pour mettre un désinfectant et un tout petit pansement sur le genou.
Elle me remercie dun baiser sur la joue. Je sens sa douceur à tel point que si je pouvais-je lembrasserais sur la bouche.
— Je vais être en retard à mon travail.
— Expliquez que vous êtes tombée, sans trop pouvoir marcher.
Jespère quelle va le faire pour rester. Elle sort son portable pour dire quelle ne pourra pas venir travailler aujourdhui à cause dune chute. Cest un demi-mensonge.
— Je vais rentrer chez moi, dit-elle.
— Restez un instant, ça me fait plaisir.
— Je veux bien.
La voir si près me permet de voir des détails qui me donnent encore envie delle, ses tétons apparaissent sur son décolleté. Je ne pense pas quelle porte de soutien gorge, ce qui mexcite encore plus. Je risque le râteau, tant pis. Je me risque à lembrasser sur la bouche. Elle ne refuse pas ma langue. Je tiens sa tête par le menton. Elle ne se gêne pas pour passer ses bras autour de moi.
Il me semble que sa salive est sucrée. Nos langues jouent entre elles comme si elles se connaissaient depuis une éternité. Un seul baiser ne suffit pas pour nouer autre chose quun petit flirt. Je me serre bien contre elle. Je sens maintenant son corps contre le mien. Elle ne se dégage pas dun centimètre. Je commence à bander, elle ne peut faire autrement que sentir grossir ma queue contre elle. Son pubis se colle au mien. Son ventre commence à caresser le mien à travers nos vêtements.
Puisquelle connait la suite logique, jen profite pour caresser sa poitrine. Je sens deux globes assez durs. Jouvre son corsage pour avoir accès à ses seins. Je continue mon pelotage tout en lembrassant toujours. Elle ne me fait rien de significatif. Je sens que je peux aller bien plus loin. Cette fois ma main passe sur ses cuisses avant de passer sous sa jupe en jean. Là, elle réagit en écartant légèrement ses cuisses.
Jusquà présent nous navons pas échangé un mot sur ce que nous faisons. Elle rompt enfin le silence:
— Oui, continue, branles moi.
— Tu aimes ça, te faire branler par un autre.
— Oui, beaucoup, sauf que tu es le premier depuis longtemps.
— Tu nas pas baisé?
— Non, depuis 6 mois par là.
— Tu veux que je te la mette?
— Oui, baises moi.
— Viens dans la chambre.
— Non, ici.
Elle enlève le peu quelle porte. Je vois enfin tout son corps magnifique inemployé depuis 6 mois, à moins, ce qui est probable quelle se masturbe ce que je souhaite.
Elle sassoit à nouveau sur le divan, mattire vers elle pour sortir ma queue. Elle le fait avec difficulté, tellement je bande. Enfin elle y arrive. Elle minspecte comme si jétais sur un marché aux esclaves.
— Elle me plait bien pour me la mettre.
— Tant mieux, je nen ai pas dautre.
Elle me prend dans sa bouche, me lèche lentement, trop lentement pour me faire jouir. Je la laisserais bien continuer jusquà mon orgasme. Quand elle me lâche je me mets à genoux devant elle. Ma bouche cherche à peine dans sa salle des fêtes. Sa praline devient le but de ma langue. Cette fois je ne fais pas comme elle. Je vais lemmener à lorgasme. Si je la lèche au départ, cest pour bien faire ressortir sa cacahouète. Mes lèvres suffisent pour lavaler quand elle commence à être bien excitée.
Si elle a jouit quand je la branlais, elle ne se gêne pas pour en faire autant. Son orgasme ne mempêche pas de continuer pour la faire encore jouir.
— Tu me suces bien, jaime, continue.
— Tu voudras que je te la mette où après.
— Dans le con.
Ce renseignement est précieux. Je voulais la sodomiser. Tant pis son verger me suffira.
— Viens sur moi.
— De suite.
Je vais sur elle, elle écarte bien les cuisses, quand je suis sur le point de la baiser, elle passe ses jambes sur mes hanches en me serrant. Cest agréable davoir une compagne de jeux aussi participante. Jentre dans son cloitre. Un orifice de soie qui mavale comme un bonbon.
— Tu es douce.
— Ta bite est bonne.
Les va-et-vient sont partagés. Cest quelle est très bonne à baiser comme disent certains. Elle baise drôlement bien surtout quand je sens un doigt venir sur mon cul. Elle ne fait rien de répréhensible en le caressant simplement.
— Si tu aimes, jentre mon doigt.
— Je ne sais pas, tu es la première à me faire ça.
— Juge par toi-même, tu verras.
Elle entre doucement tout son doigt dans les fesses. Ce nest pas pour me déplaire, surtout quand je jouis dans son ventre. Jai du lui mettre une bonne dose.
— Je tavais dit que tu aimerais.
— Nempêche que tu es une belle salope.
— Tu ne me connais pas encore comme il faut.
Ça laisse espérer des futurs plus chauds. Mais maintenant ma queue est raplapla. Nous nous dégageons pour quelle soit libre de faire ce quelle veut.
Elle me fait coucher sur le dos, vient presque sassoir sur moi, me montre toute sa moule doù suinte un peu de sperme. Elle prend dans deux de ses doigts le trop plein pour se caresser le berlingot. Elle écarte les lèvres avec deux doigts de sa main gauche, les étire un peu avant de poser deux doigts sur elle. Je regarde avec beaucoup de plaisir sa masturbation.
Elle sait ce quelle fait, elle veut me faire bander. Elle va au bout de son plaisir en jouissant son mon regard. Je bande à nouveau plus fort que la première fois. Elle me touche la queue avec une seule main.
— Encules moi.
— Tu aimes la sodomie?
— Je ne pourrais jamais men passer.
— Mets-toi en levrette.
— Non, encule-moi quand je suis sur le dos. Noublie pas de regarder ma main.
Elle se recouche normalement, je vais à nouveau sur elle qui cette fois écarte simplement ses jambes.
— Viens, mets moi la.
Elle me guide pour que je sois bien placé. Je regarde pour voir ma bite senfoncer dans son cul largement ouvert. Jentre à fond quand elle me dit:
— Je mencule souvent avec mon gode. Cest bien meilleur avec ta pine.
Je suis bien daccord. Je regarde ses mouvements quand sa main vient sur le clitoris. Elle se masturbe pour ajouter à son plaisir.
Jadmire les filles qui peuvent jouir par au moins trois endroits différents. Mais elle est la championne des baiseuses. Il faudrait que je lenfile sans cesse. Quand je cale, je me sers de mes doigts réunis pour la baiser ou lenculer comme elle veut.
Toutefois arrive le moment où elle nen peut plus. Elle sombre dans un long sommeil où je laccompagne.
Nous sommes toujours nus depuis la veille. Elle me réveille en me prenant la queue dans la bouche. Si hier, elle me ménageait, aujourdhui il lui faut ma semence.
Sa langue lèche ma tige pour aller se perdre du coté des couilles. A nouveau un doigt dans mon cul. Je suis en entier dans sa bouche elle avale toute ma queue. Je sens sa lange à lintérieur qui lèche sans cesse. Heureusement que jai jouis pas mal hier, sinon je serais parti rapidement. Ce qui mexcite le plus, mise à part ses lèvres cest le doigt qui entre et sort de mon cul.
Elle fait un tête à queue pour poser son verger sur ma bouche. Je me régale de sa fraise. Moi aussi jentre un doigt dans son anus. De le voir entrer me donne lenvie den mettre deux autres.
Elle gémit de son plaisir comme une chatte en chaleur. Quand nous finissons elle me fait promettre de nous revoir pour baiser encore tous les deux ou comme elle le pratiquait avec une autre fille. Ça me plait comme programme.