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Football au club libertin – Chapitre 3

Football au club libertin - Chapitre 3



Mon troisième match allait commencer dans quelques instants. Pour le moment, j’occupais la première place du groupe grâce à mes deux victoires. Robert et Bob étaient allés se renseigner sur le classement du groupe et m’avaient informée que Faïza, la maghrébine que j’allais affronter et Alice, ma compatriote, étaient à égalité avec une victoire et une défaite. Cependant, Alice avait l’avantage car elle avait battu Faïza durant leur confrontation. La maghrébine était donc obligée de me battre si elle voulait espérer se qualifier pour les huitièmes de finale. J’allais jouer le dernier match du groupe A. Alice l’ayant battue, le tournoi était fini pour Bérénice. Alice était d’ores et déjà qualifiée quoi qu’il arrive dans le match qui m’opposait à Faïza. Il me ne me restait plus qu’à gagner et à terminer en tête du groupe. J’entendis les applaudissements du public puis l’arbitre annonça mon match:

« On revient au groupe A. Le dernier match décidera de la deuxième qualifiée de ce groupe. Celle qui gagne participera aux huitièmes de finale. Veuillez applaudir deux filles très jolies et très talentueuses. Rosalie et Faïza!»

Je pénétrai sur le terrain accompagnée de mes deux entraîneurs. Mon adversaire était déjà là, accompagnée par son coach, un Tunisien. Bob et Robert allèrent serrer sportivement la main du Tunisien. Je vis ensuite Robert lui donner une accolade en riant. Je mis un instant à reconnaître le Tunisien: il s’agissait de Karim.(voir mon récit une Saint-Valentin fêtée dignement) Je lui fis un petit signe de main qu’il me rendit avec un sourire. Son sourire que je trouvais si spécial à l’époque et que j’aime encore. L’arbitre siffla le début du match et nous fit venir, Faïza et moi, au centre du terrain. Il lança sa pièce en l’air et la bloqua sur son poignet au moyen de sa main. Il dévoila la pièce. Côté pile. Ayant choisi ce côté avant le lancer de monnaie, je pus choisir ce que je voulais faire en premier. Je choisis de tirer la première. L’arbitre plaça le ballon sur le point de pénalty et, après avoir pris connaissance de notre «Prête»d’usage, me donna le feu vert pour tirer. Mon tir, bien placé et assez puissant, rentra dans les buts malgré la détente de Faïza qui était partie du bon côté. 1 à 0. Faïza se plaça face à moi et se prépara à tirer. Au signal de l’homme en noir, Faïza prit son élan et shoota. Le tir me prit à contre-pied et rentra dans les filets. 1 à 1. Je me replaçai en face de la cage et positionnai le ballon sur le point de pénalty. Lorsque l’arbitre siffla, je pris mon élan et tirai au but. Mon tir puissant surprit Faïza qui ne put esquisser le moindre geste. 2 à 1. Mon adversaire se replaça derrière le point de pénalty et, au signal de l’arbitre, shoota au goal. Son tir un peu trop enveloppé frappa la barre transversale et le ballon sortit du terrain. Je me remis face à mon adversaire forte de ce petit avantage qui me dirigeait vers la phase finale du tournoi. Au signal de l’arbitre, je pris mon élan et shootai au but. Mon tir à ras de terre rasa le poteau droit et pénétra dans les buts. 3à 1. Le break était fait. Faïza se replaça face à moi et se prépara à tirer. Au signal de l’homme en noir, elle prit son élan et tira puissamment sur ma droite. D’un plongeon réflexe, je détournai la balle en touche. Le public applaudit mon arrêt et commença à scander mon nom. J’avais une balle de match. Si je la convertissais, j’accéderais aux huitièmes de finale de la compétition. Je plaçai soigneusement le ballon sur le point de pénalty et prit mon élan. Mon tir puissant alla se loger dans la lucarne. Hors de portée de Faïza. 4 à 1. Fin du match. Victoire. Le public scanda mon nom et je fis une accolade sportive à Faïza avant de regagner mes appartements. Je m’allongeai sur mon lit et m’enduisis le corps de crème. Je fermai ensuite les yeux et entrepris de faire une petite sieste en attendant le début des huitièmes de finale. Au moment où j’allais m’endormir, quelqu’un frappa contre la cloison. Je répondis un "entrez" dans un bâillement. Là, surprise: Alice rentra dans ma chambre.

« Excuse-moi. Je n’ai plus de crème dans ma chambre. Il t’en reste encore un peu?

— Oui, bien sûr. Viens. Qu’on discute un peu entre filles.

— J’ai appris pour ta qualification. Bravo!

— Merci. À toi aussi.

— Merci.

— Tu es venue pour la crème alors je vais t’en mettre.

— Vas-y.»

Lorsque j’avais prononcé ma dernière phrase, j’avais déjà une idée derrière la tête. Alice était belle et désirable. Très désirable. Je voulais créer une atmosphère disons…propice. Alice s’était allongée sur le dos et je lui massais les épaules tout en y mettant de la crème. Je repris ensuite un peu de crème et l’étalai sur la poitrine d’Alice. Mes mains se firent plus insistantes sur les belles et grosses boules de ma compatriote. Alice sourit. Je poursuivis mon massage sur son ventre puis déposai le tube de crème sur la table de nuit. Alice me remercia et me demanda de m’allonger à mon tour. Je m’exécutai tandis qu’Alice prenait le tube de crème et s’apprêtait à en mettre sur sa main afin de me masser. Et là, surprise: Alice me sourit et posa le tube de crème sur la table. Mon amie se coucha ensuite sur moi et me roula un patin mémorable. Je fus d’abord surprise de son attitude et après quelques instants de confusion, je m’abandonnai à ses baisers. La sensation que me procurait le fait d’embrasser une personne du même sexe que moi fut étrange mais loin d’être désagréable. Les seins d’Alice étaient collés aux miens et je sentais sa cyprine couler sur ma chatte et se mélanger à la mienne. Sans interrompre notre baiser, je glissai une main sur le corps d’Alice et me mis à lui caresser le cul avant d’y mettre deux de mes doigts. Alice se cambra et commença à se frotter contre moi. Puis, tout à coup, alors que je m’apprêtais à renverser Alice sur le dos pour lui sucer les seins, une voix masculine se fit entendre:

« Eh bien, c’est chaud là-dedans!»

Alice et moi nous séparâmes instinctivement l’une de l’autre et nous retournâmes. L’homme qui avait parlé n’était nul autre que Karim. Je faillis pousser un cri de surprise en voyant sa nudité. Karim sentit ma réaction.

« Pourquoi tirer cette tête, ma belle Rosalie? Ton petit copain est l’un de mes meilleurs amis et il m’a permis de te prendre. Tu lui as dit que tu avais apprécié d’avoir ma queue dans ta bouche l’an dernier. Il se trouve que j’ai envie de retrouver ta jolie petite bouche de déesse qui m’a également donné tant de plaisir.»

Karim ayant dit vrai sur toute la ligne, j’invitai ce dernier à me rejoindre sur le lit. Ce dont il ne se fit pas prier. Je regardai alternativement Alice et Karim afin de savoir si Alice serait également de la partie ou non. Karim répondit à ma question muette.

« T’en fais pas, Alice. Il y a aussi une belle surprise qui t’attend devant la chambre. Vas-y.»

Alice se retira et, à peine fut-elle sortie que Karim me donna sa queue à sucer. Quel plaisir de retrouver cette queue tunisienne! Je pris mon temps pour mettre le sexe de Karim en bouche. Je donnai d’abord quelques coups de langue sur le gland. Je léchai ensuite religieusement le manche et les bourses de mon ami puis je mis son sexe tout entier dans ma bouche. Les va et vient de mes lèvres sur sa bite firent soupirer Karim de plaisir. Mon ami s’approchait de plus en plus de la jouissance. Ne voulant pas m’arrêter là, je taillai une pipe à Karim et sortis sa queue de ma bouche. Je me mis à quatre pattes sur le lit, le cul tourné vers mon ami.

« Je suis tout à toi pour une baise. Alors profites-en.» lui dis-je en secouant mon cul de manière provocante. Karim ne se le fit pas dire deux fois. À peine avais-je fini mon petit show de salope que je sentis la queue de mon ami pénétrer mon cul et y faire de puissants va et vient. Karim mit ses mains sur mes hanches et s’enfonça dans mon anus plus fort encore. Je ne pus m’empêcher de hurler le plaisir que me donnait cette bite de maghrébin. Karim continua de me sodomiser et posa ses mains sur mes seins pour les malaxer ensuite. Je poussai des petits cris de plaisir et me mis à me masturber. Karim sortit sa bite de mon cul et me dit:

« Tu veux que je te prenne par là aussi, ma belle?

— Oui, je veux sentir ta queue dans ma chatte de salope! Vas-y, BAISE-MOI!!!»

Mon ami me retourna sauvagement et se mit à me pénétrer puissamment. Il se pencha sur moi et m’embrassa. Je lui rendis son baiser. Sans interrompre son mouvement, Karim glissa ses mains sur mes seins et les palpa doucement. Je me secouai sous le corps de mon amant pour manifester mon plaisir. Je passai mes bras sur son dos et me mis à gémir. Mon orgasme était imminent. Celui de Karim aussi. Il se retira de mon antre d’amour et vint se branler à quelques centimètres de mon visage. Il ne lui fallut que quelques secondes pour décharger son sperme sur mon visage et mes seins dans un dernier râle de plaisir. Apaisé, Karim alla chercher une serviette et me la donna pour que je puisse m’essuyer le visage et la poitrine. Karim s’assit à côté de moi et nous discutâmes de choses et d’autres comme si rien ne s’était passé entre nous. Robert et Bob entrèrent à leur tour dans la chambre et nous attendîmes tous les quatre l’annonce des huitièmes de finale de la compétition.

La suite dans "La femme dominante"

Rosalie

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