La fin de l’après-midi approche et les préparatifs sont presque finis. Ma tante, mon oncle et mes deux cousines vont bientôt arriver et ma mère veut que tout soit parfait au moment où ils passeront la porte.
Cela fait plusieurs années que nous ne les avons pas revus car ils ont déménagé à l’étranger à la suite d’une opportunité professionnelle qu’a eue mon oncle. Ils vont rester ici une semaine avant de continuer leur voyage pour revoir des amis de longue date.
J’ai hâte de les revoir, surtout mes cousines.
Vers 18h, j’entends une voiture s’engager dans l’allée et je cours à ma fenêtre pour voir ce qu’il se passe. Ce sont eux, enfin.
Ils sortent de la voiture et je remarque tout de suite Natascha. C’est l’aînée de mes deux cousines, elle a un an de plus que moi. Elle est magnifique, avec sa chevelure blonde ondulée qui flotte dans la brise d’automne. Elle porte un jeans serré qui met en valeur ses formes et je remarque à travers son t-shirt noir que la fin de sa puberté lui a offert une généreuse poitrine dans laquelle j’ai envie de plonger mon visage. J’ai toujours trouvé ma cousine attirante, et je ne sais pas si c’est le fait que je ne l’ai pas revue depuis longtemps mais aujourd’hui, j’ai encore plus envie d’elle que d’habitude.
Je me recoiffe rapidement et descends les escaliers en courant. J’arrive dans l’entrée au moment où ils passent la porte. Nous nous faisons tous la bise et, quand c’est au tour de Natascha, je tourne légèrement la tête afin que le coin de nos lèvres se touche. Je ne sais pas si elle s’en est rendu compte, mais elle n’a pas réagi.
Pendant le repas, je la regarde souvent mais détourne le regard dès qu’elle tourne la tête dans ma direction. Le reste de la soirée se passe comme si de rien était. Pendant que les parents discutent au salon, nous montons, Natascha, Léa (mon autre cousine) et moi, dans ma chambre et nous parlons de leur nouvelle ville ainsi que de nos occupations respectives.
Vers minuit, tout le monde va se coucher. Mes cousines dorment dans le salon tandis que leurs parents occupent la chambre d’amis.
Je commence à m’endormir quand j’entends du bruit à l’entrée de la chambre. J’allume ma lampe de chevet et découvre Natascha, en robe de nuit, qui s’avance vers mon lit. Elle me dit d’une voix sensuelle :
— Tu croyais que je n’avais pas remarqué ton petit baiser et tes regards fréquents vers ma poitrine.
Elle fait glisser les bretelles de son habit léger qui tombe à ses pieds. Elle ne porte rien en dessous, elle est complètement nue. Mon sexe se dresse tel un ressort à la vue de ce corps de déesse, ce qu’elle remarque évidemment même à travers la couverture.
— Je te fais beaucoup d’effet à ce que je vois.
Je ne sais pas quoi lui répondre, étant toujours stupéfait par cet évènement totalement improbable et excitant.
Elle s’avance vers moi et monte doucement sur le lit tel un fauve prêt à attaquer sa proie. Elle tire la couverture au bas du lit et retire mon caleçon, la dernière barrière entre elle et mon corps.
Elle s’allonge sur moi et m’embrasse sensuellement, je lui rends son baiser avec plaisir.
Après ce baiser merveilleux, elle descend sa tête le long de mon torse, qu’elle embrasse à plusieurs reprises, puis elle continue jusqu’à ma queue toujours aussi dure. Elle la lèche de bas en haut plusieurs fois avant de la prendre entre ses lèvres et de la sucer énergiquement. Ses mouvements imprévisibles et leur vitesse changeante rendent sa fellation très excitante.
Après un moment de cet incroyable massage, elle remonte vers ma bouche et m’embrasse à nouveau. Elle profite que mon sexe soit proche du sien pour faire pénétrer ma verge lubrifiée par sa salive dans son vagin déjà bien humide. Elle fait quelques allers-retours lents avant de se redresser et de se mettre à califourchon sur moi.
Être à l’intérieur de Natascha, qui m’attire depuis si longtemps, provoque en moi une sensation incroyable. Je fais bouger mon bassin au rythme soutenu des va-et-vient de ma cousine.
Elle accélère ses mouvements et s’empale plus profondément sur moi à chaque coup, jusqu’à ce que ma bite touche le fond de son vagin lui arrachant un gémissement de plaisir. Ses gémissements et nos respirations s’accélèrent à chaque pénétration.
Au moment où elle sent que je vais jouir, elle accélère encore et laisse tomber sa tête vers l’arrière, ce qui a pour effet de faire ressortir sa poitrine déjà bien visible. Je jouis en poussant un râle rauque.
Son orgasme arrive en même temps et elle continue ses va-et-vient jusqu’à ce que je sois complètement vidé.
Après avoir repris son souffle, elle retire ma queue de son trou béant, m’embrasse une dernière fois et se lève.
Pendant qu’elle remet sa robe de nuit, je vois des gouttes de sperme couler le long de sa cuisse. Elle passe son doigt dessus et le porte à sa bouche en me regardant avant de quitter ma chambre.
Je m’endors presque aussitôt et passe une excellente nuit.
Le lendemain matin, je me réveille et repense à ce qu’il s’est passé, ma cousine très attirante qui vient dans ma chambre en pleine nuit pour me chevaucher jusqu’à l’orgasme. En y repensant, je me rends compte que c’est improbable et que c’est évident que c’était un rêve, un magnifique rêve.
Je m’habille tranquillement mais, en sortant de ma chambre, je remarque une petite tache blanche sur le sol.
À ce moment-là, je réalise que ce qui s’est passé était bien réel et je devine que cette semaine va être très excitante.