Depuis quelques jours une jeune femme est sur le trottoir, tendant sa main pour quelques euros. Elle me fait pitié dans le froid. Je nai pas particulièrement de sympathie pour ce genre de personnes. Je sors un soir : elle est toujours là, blottie dans un grand carton. Je passe avec indifférence : pourtant en me couchant bien au chaud, je repense à cette malheureuse qui risque de mourir sur place, aussi je me relève. Enveloppé dans une robe de chambre, je lui demande de venir se reposer chez moi. Elle refuse de laisser son bout de trottoir. A force dinsister elle accepte enfin dentrer chez moi. Elle récupère au passage ses hardes et son inévitable carton.
Plantée dans lentrée elle ne fait pas un pas de plus. Jarrive à la faire entrer dans la cuisine où je fais chauffer une soupe au micro onde. Elle accepte, encore après discussion. Assise sur une chaise maintenant elle se régale de se réchauffer.
Mon intention est de la faire dormir dans un lit : jai beaucoup de place chez moi, surtout depuis le décès de ma femme. Pourtant il faut un minimum de propreté, ce qui nest pas son cas.
— Je vais vous conduire dans la salle de bain, prenez un bain ou une douche, je vous ferais dormir dans un lit.
— Non, je ne veux pas, je vais ressortir.
— Pas question de ça, vous dormez chez moi.
A force dinsister elle accepte le marché. Pendant qu’elle se décrasse, je vais chercher des vêtements que ma femme portait. Ce nest pas de la dernière mode, ça devrait faire laffaire.
Je retourne dans la salle de bain : je frappe avant dentrer. Elle est sèche pour revêtir ses hardes. Enveloppée dans une grande serviette je ne peux même pas voir au dessus de ses mollets.
— Tenez mettez ça. Ce que vous portiez dehors je vais le jeter.
— Merci Monsieur.
Tiens elle commence à parler et dire merci, pourtant je ne lui donne aucune pièce de monnaie. Je la laisse shabiller avant de revenir. Jai un choc, elle ressemble trop à ma femme. Me reviennent en tête les instants dintimité les fous rires, les meilleures choses de ma vie.
Je ne peux tenir à la tentation, je lembrasse sur une joue, comme je le faisais avant de dormir avec ma femme. Elle me laisse faire pour me rendre ce bisou. Elle tient à me raconter sa vie de clocharde.
— Quand jétais plus jeune, jétais étudiante, jai eu mon diplôme de droit, jai même eu une place de clerc dans une étude de notaire. Je vivais chez mes parents, javais même un copain. Et puis mes parents sont morts, je me suis retrouvée sans appartement sinon celui de mon copain qui ma mise dehors un jour de disputes encore plus fort que dhabitudes. Depuis je suis tombée dans la déchéance.
— Si je peux vous aider?
— A quoi, me remettre dehors demain après une nuit chez vous?
— Je peux vous faire avoir du travail, vous pourriez vivre chez moi en attendant.
— En attendant plusieurs mois? Je suis lucide, malgré les semaines dans la rue.
— Ecoutez moi, assez de jérémiades, je vous aide un point cest tout. Je vis seul ici, vous me détendrez avec vos mots de jeune fille. Vous êtes dans la rue, et moi cest pareil, je suis seul sans ma femme, Alors nous sommes à égalité.
Je dois être bon avocat puisqu’elle accepte mes conditions : cohabiter, travailler, vivre ensemble ou en parallèle.
La seule corvée à faire est son lit pour ce coucher ce soir. Elle sen acquitte fort bien. Encore un bisou et à demain.
Je dors comme un bébé. Le matin je repense à elle. Je ne sais rien ou presque delle, surtout son prénom. Qui sait, elle a fait peut être comme Jean Valjean? Je descends : elle nest pas en bas. Je vais dans sa chambre où jentre comme un fou : elle dort comme un bébé.
Malgré moi je vais poser un baiser sur sa bouche. Elle est douce, elle me plaît bien. Je pensais retrouver ma femme, je trouve une jeune fille jolie, sans ressemblance aucune avec une personne que je connais. Si je mécoutais jentrerai dans le lit contre elle pour
Jallais faire une c.e. Je la laisse dans son lit pour aller préparer le petit déjeuner que je soigne plus que les autres fois. Je vais même chercher des croissants. Je ne sais où elle a trouvé cette robe de chambre : quand elle arrive elle met du soleil autour delle.
Je suis satisfait de la voir près de moi. Elle a un sens pratique qui métonne :
— Il faut faire quelques courses pour « nous » approvisionner. Je peux les faire, mais je nai pas assez de sous.
— Je vais faire la liste.
— Pas la peine daller dans une grande surface, ici il y a de tout.
En plus elle a le sens pratique. Je fais une liste à laquelle elle rajoute des bricoles qui font une bonne cuisine.
Sa robe de chambre souvre, hasard ou préméditation? Elle est nue dessous. Je regarde ses seins à moitié dehors et son bas ventre largement exposé. Jai envie delle. Tant pis pour les courses : les commerçant ne vont pas partir.
— Tu as vue comment tu es?
— Je sais. Jai fait exprès. Jai envie de toi.
— Et moi de toi.
Nous nous embrassons sur la bouche. Nous sommes entraînés vers je ne sais quoi qui peut nous mener très loin. Je suis tout contre elle : elle peut sentir que je bande. Je lui enlève sa robe de chambre pour mieux la voir. Jai tellement envie que je lassieds sur la table, les jambes ouvertes pour que ma langue goûte son jus et les petits endroits coquins de sa chatte : elle est toute mouillée.
Ma langue la fouille sans trouver de trésors sinon ceux de son abricot. Je lèche toute sa fente. Son anus nest même pas épargné : jy fais pénétrer ma langue, puis jentre dans son vestibule avant. Son vagin est sensible à mes coups de langue : je compte bien y revenir avec un autre instrument. Quand à son bouton, je le gate largement. Je lai faite jouir plusieurs fois.
Je me relève pour me mettre comme elle : nu. Ma bite se tient bien droite devant moi. Je prends ses jambes pour les mettre autour de moi. Je nai pas besoin de les tenir, elle se débrouille bien pour avoir les cuisses écartées. Je mapproche delle : ses yeux ne regardent que ma pine. Je suis sur le point dentrer quand elle me demande de ne pas tenir trop compte de ses gémissements.
Cest vrai que quand je la baise elle est particulièrement bruyante.
— Oui, baises moi, encore, cest bon, encore, mets moi la toute.
— je te baise, jaime te baiser, je vais te faire jouir tant que tu veux, je vais même tenculer.
Elle est mal mise sur la table, je la fais relever pour aller dans ma chambre : là elle se couche à moitié, ses jambes sont hors du lit. Elle ne demande rien, cest à moi de deviner ce quelle veut. Je la suce encore et pourtant elle ne demande quune seule chose :
— Encule moi.
— Je viens dans ton cul, salope.
Il est déjà bien mouillé, je me mets contre son anus pour pousser un peu, alors que jentre facilement. Je préfère linstant trop court où mon gland traverse son cul. Je lui mets toute la longueur de ma queue : elle jouit encore. Je la lime un bon moment avant de la faire jouir et moi de lui donner mon sperme.
Nous sommes allongés enlacés lèvres contre lèvres, nos langues se contentent entre elles, jusquau moment où elle reprend ma bite en main pour me branler. Elle est douée pour ce jeu dadultes. Elle me donne le maximum de plaisir avant que je jouisse. Elle arrête enfin juste avant.
Elle fait un tête à queue. En venant sur moi, elle me donne sa choupinette à sucer. Elle prend ma bite dans sa bouche. Quel fabuleux 69. Chacun recueille dans sa bouche la semence de lautre. Elle en a plus que moi dans la bouche, alors elle me donne le surplus.
Je peux vous dire que le repas a été très frugal, faute de temps. En plus, elle vit avec moi depuis 3 ans.