Un jour mon père m’a fait venir dans le salon de la maison.
Ma Mère était assise, toute penaude, sur le sofa.
— Léo, ta mère a encore fait une bêtise ! Je suis très embêté.
— qu’est ce qu’elle a fait ?
— Une grosse bêtise. Elle a encore fait un chèque sans provision. Un gros montant. J’ai du pleurer auprès de la banque pour eviter l’interdit bancaire. Mais à cause de ça on ne pourra pas partir en vacance cet été, et pas de stage de surf pour toi.
— maman ? C’est pas vrai ?!? Tu as pas fait ça ???
— Je suis désolée
— Nous aussi, Marine, on est désolé. Mais là c’est trop. Tu connais la règle ? Cette fois çi on ne peut plus éviter la punition à laquelle tu as droit…
Ma mère devint blème et ouvrit des yeux ronds de surprise et d’incrédulité. Car elle connaissait la règle : la punition, c’était la fessée.
Dans la famille, depuis que j’étais enfant, il s’agissait du châtiment préféré de mes parents. J’y avais souvent eu droit, y compris lorsque j’étais adolescent et plus tard même.
Mais un jour où je protestais contre cette pratique, la réponse de mes parents fut très surprenante : ils ne voulaient pas supprimer cet utile châtiment, mais beaux joueurs, et par soucis d’équité, ils acceptaient de s’y soumettre aussi en cas de très grosse bêtise.
La fessée serait donc pour tout le monde, sans disctinction, uniquement en fonction de la gravité de la situation.
— Ce n’est que justice ! avaient ils reconnu…
Ma mère, à ce moment là, n’imaginait pas qu’elle serait la première à faire les frais de cette nouvelle règle et que mon père allait être inflexible là dessus.
— Allez Marine. Je suis désolé, mais il n’y a pas de raison de transiger avec la règle qu’on s’est fixé. Retire ta jupe ! Tu sais que ça doit se faire…
— Mais enfin, Michel, tu es sérieux ?
— Tout à fait ! On en a suffisament parlé et on était tous d’accord, non ?
— Oui, mais enfin…
— Arrête de discuter, Marine. C’est trop tard.
Ma mère baissa la tête. Elle regretta d’avoir accepté cette règle stupide. Mais résignée, elle s’exécuta. Elle baissa sa jupe, la retira, puis la plia en quatre et la posa sur une chaise.
— La culotte aussi, Marine ! Une fessée c’est cul nu, tu le sais bien !
A contre coeur, ma mère retira sa petite culotte.
— Bien ! mets toi en position, Marine.
Elle posa ses main sur la table du salon et se pencha en avant, les fesses en arrière. Elles étaient splendides. Rondes, bien pleines, un vrai beau cul de femme mûre. C’était le cul idéal pour une fessée.
— Léo, si tu veux, mets la lui, cette fessée, proposa mon père.
– Hein ? Et pourquoi moi ?
— Tu y as droit. C’est toi qui est lésé en premier chef. A cause d’elle tes vacances sont compromises. C’est à toi d’administrer cette fessée à ta mère, de la même façon que tu en as reçu plusieurs de sa main à elle par le passé.
C’était la règle, je ne pouvais me défiler. Et puis des fessées, j’en avais reçu plein, c’était pas si terrible que ça…
Ma mère, penchée en avant, attendait la punition.
J’envoyais ma main et mettais une claque sur sa fesse.
– Léo, vas y plus franchement ! Ordonna mon père. Une fessée ça doit etre énergique !
Je reprenais mon élan, et vlan ! j’envoyai plus fermement le plat de ma main sur le posterieur maternel. Ma mère sursauta mais ne dit pas un mot.
— Marine, ordonna mon père, mets toi un peu plus en arrière, penche toi encore, les fesses plus haut. Il faut que Léo puisse voir ce qu’il fait !
Docile, ma mère obéissait. En même temps qu’elle se cambrait pour remonter son postérieur, elle écarta les jambes pour assurer sa stabilité. Du coup elle prit une position qui ne lui permit plus de cacher l’intimité de son sexe. J’avais déjà vu cette chatte par le passé, mais jamais d’aussi près. C’était excitant. Ca me motivait à m’appliquer pour la suite.
Je reprenais mon élan et giflait à nouveau la peau tendre du fessier de ma mère. Je m’appliquais à bien orienter le plat de ma main pour le maximum d’efficacité. Le claquement obtenu fut très satisfaisait.
— Ha bien, ça ! Allez continue Léo ! Marine, plus haut ton cul, montre le nous bien !
Ma mère s’exposa à nouveau bravement, écartant les cuisses, les tenant élevées.
J’envoyais alors une série de grosse claques sur sa croupe, à intervalle régulier, avec une une précision et une lenteur calculée ! Ma mère basculait en avant à chaque tape, mais se tenait fermement sur la table, encaissant les coups avec courage.
-Allez, Allez Léo, plus fort !
J’y allais encore une fois de bon coeur.
Et vlan ! Et vlan !
Cette fois ma mère sembla tressaillir de douleur.
— papa, heu, ca suffit peut être ?
— Non, vas y encore ! Elle doit se souvenir de cette fessée. Sinon ça sert à rien. Allez continue.
Je prenais de l’élan et à nouveau faisait claquer mes mains plusieurs fois les fesses qui commencaient à rougir.
Ma dernière frappe avait laissé une marque rouge vif sur la tendre chaire du cul de ma mère, qui du coup semblait vraiment avoir mal.
Mon père intervint pour faire cesser la punition.
— Allez, c’est bien Léo. Je pense que ça suffit. Tu as été très efficace. C’est bien, Léo !
Il alla alors dans un tiroir pour prendre un tube de crème apaisante.
— Tiens passe lui ça sur les fesses, ca fera disparaître la douleur.
J’allais de surprise en surprise.
Après m’avoir encouragé à fesser ma mère, il me poussait à présent à lui appliquer de la crème apaisante. Ce qui voulais dire étaler la creme, puis consciencieusement masser ces grosses fesses pour faire pénétrer la crème.
Mon père ne pouvait pas ignorer que ce genre de traitement avait quelque chose de profondément excitant. On ne peut pas demander à un jeune homme de mon age de masser les fesses de sa mere sans en imaginer les conséquences.
Mais puisque j’en avais l’autorisation, j’en profitais.
J’étalais consciencieusement la crème sur les fesses de ma génitrice, me concentrant aux endroits où mes mains avaient laissé une marque rouge. Puis je me mettais au massage, malaxant alternativement les deux globes du fessier maternel.
– Allez, n’oublie aucun endroit ! Masse bien partout. rajouta mon père. Après la correction que tu lui as mise, elle a besoin de reconfort !
J’hallucinais. Mon pere semblait tout emoustillé, excité même, par la situation.
Alors je continuais à masser, sur toute la surface de la chaire nue. Je malaxais chacune de ses belles fesses, les prenant à pleines mains, les écartant un peu plus à chaque palpation, rendant ainsi visible l’intimité de son entre-cuisse, la fente de sa chatte. Inexorablement, je m’en rapprochais, glissant mes doigts à la limite de ses plis intimes, sentant la douce chaleur humide qui s’en dégageait.
Mon père semblait satisfait et ma mère, consentante, se laisser tripoter…Et moi je ne pouvais m’empêcher de sentir mon sexe durçir dans mon pantalon.
Lorsque mes doigts rentrèrent bien à l’intérieur des cuisses et effleurèrent sa vulve, ma mère eu un mouvement de surprise, mais ne bouga pas.
Un de mes doigts caressa, puis glissa entre ses lèvres, rentra dans son vagin.
Mon père voyait bien ce qui se passait. Il voyait bien où mes doigts traînaient. Je m’attendais à ce qu’il fasse cesser ces scandaleux attouchements à tout moment. Mais il ne protesta pas. Au contraire. Il n’en montrait rien, mais ce qui se passait là l’excitait beaucoup !
Quant à ma mère, au lieu de se rebeller, elle subissait patiemment ce nouveau traitement.
Complètement courbée en avant, elle se laissait doigter sans rien dire. J’avais mis le doigt entier dans sa chatte, puis deux, que je remuais tout au fond de son vagin. Quelle sensation incroyable ! C’était doux, chaud, humide… Ma mère était trempée. A son corps défendant, y prenait elle du plaisir ?
Mon pere regardait, les yeux écarquillés, complètement excité.
— Léo, baisse ton pantalon, sors ta queue ! Tu vas la lui mettre ! Ca te fera le plus grand bien ! Et puis ta mère te doit bien ça.
Je pensais que j’avais mal entendu. Ma mère aussi, ouvrit de grands yeux ronds, stupéfaite.
C’était trop. Mon père me proposait de la baiser, moi son propre fils ???
J’étais médusé, incrédule sur le fait que tout celà soit réel…Sans doute mes parents allaient ils faire cesser ce jeu très rapidement.
Au contraire :
— Bon, Léo c’est pour aujourd’hui ou pour demain ?
Poussé par mon père, j’enlevais mon pantalon et en sortit ma queue qui était déjà bien dure.
– Ha bravo ! s’esclaffa mon père. Il a une queue splendide, notre fils ! Marine, tu vas te régaler !
Ma mère fit une moue sceptique. Elle n’avait pas prévu ça. Voila une bêtise qui decidemment commencait à lui couter cher.
Mais elle ne protesta pas. Elle resta courbée en deux, attendant la suite, le cul en arrière.
Je m’approchais d’elle, par derrière, mis une main sur ses hanches, et avec l’autre main orientait mon sexe vers sa vulve. Je bandais fort et dur. Jamais je n’avais été aussi excité.
— Allez Léo ! Vas y ! Mets la lui ! s’impatienta mon père, complètement fébrile.
Je me cambrais en avant… et enfonçais ma queue dans la vulve maternelle offerte, mon gland forçant le passage sans difficulté.
Je poussais encore un peu et me retrouvais complètement au fond. Quel plaisir ! Cetait incroyable. J’entamais des lents mouvements délicieux, puis augmentait la cadence.
— Ha ha ! Bien ! éructa mon père ! Allez baise la, cette salope ! Elle a tout ce qu’elle mérite. Démonte la ! Vas y plus fort !
Encouragé par mon père, j’accélérais, bourrais ma mère de grands coups de rein vigoureux qui en auraient démonté des plus solides.
Elle encaissait le coup. Je crus percevoir des petits gémissements qui n’etaient pas des gémissements de douleur mais plutôt de plaisir. Visiblement, cette dernière punition ne semblait pas lui déplaire au final.
Quant à moi, jamais je ne me serais imaginé prendre autant de plaisir à baiser ma mère. C’était fou.
Je bandais plus dur que jamais. Je regardais mon sexe pénétrer ce vagin fantastique, trempé de cyprinne maternelle. J’ accelerais encore mes va et vients, complètement submergé par le plaisir.
J’essayais de me calmer un peu, ressortais du vagin de ma mère, puis, dès que ça allait mieux, j’y retournais pour la baiser de plus belle. C’était fantastique.
Pendant que je la baisais, un de mes doigts alla explorer son petit trou du cul. Je le mouillais avec un peu de salive et le fis pénétrer.
La vision de mon doigt complètement enfonçé dans ce trou du cul m’excita au plus haut point. A travers la fine paroi du rectum, je sentais ma bite au fond du vagin.
C’était trop d’emotion pour moi. Je n’en pouvais plus, le plaisir était trop fort. Je n’arrivais plus à me retenir. J’explosais alors. Une vague de plaisir incroyable me submerga. Je me libérais dans les entrailles de ma mère.
Là encore, il était difficile de décrire quel bonheur c’était. Jamais je n’avais joui autant. J’avais l’impression que c’était un flot ininterrompu, des litres de sperme qui inondaient le vagin maternel.
Je restais un moment immobile, affalé sur ma mère, transpirant, vidé, exténué.
Le temps de reprendre mon souffle, et je me retirais, laissant ma mère dégoulinante de foutre.
Elle resta immobile, dans la même position, la tête baisée.
C’est mon père qui apporta une conclusion à la scène.
— C’est bien, Léo, tu t’es débrouillé comme un chef. Quant à toi Marine, j’espère que tu as compris la leçon ! Allez, tout le monde se rhabille ! C’est bientôt l’heure du repas.
Pendant que j’enfilais mon pantalon, ma mère avait attrapé un kleenex et essuyait le sperme qui coulait encore de sa chatte. Puis, sans un mot, elle remit sa culotte et sa jupe.
Après cet épisode torride j’eu peur que tout change entre mes parents et moi, que ma mère m’en veuille, que la honte de s’être faite fesser puis baiser par moi soit trop insupportable. Mais à ma grande surprise, elle fit comme si rien n’était, guiilerette et toujours de bonne humeur, comme avant. Mon père aussi semblait avoir oublié ce qui s’était passé et l’état d’excitation et d’extase dans lequel ça l’avait mis n’était qu’un lointain souvenir.
La vie reprit son cours normal. Mes parents ne firent plus aucune allusion â la fessée et à ce qui s’était passé après. Je ne pouvais m’empêcher, malgré tout, chaque fois que je croisais ma mère, de jeter un coup d’il à son cul. Qu’il était beau !
Mais ce qui s’était passé semblait irréel, n’avoir jamais existé.
Cependant un jour j’eu une grosse surprise.
J’entendis dans la cuisine un fracas abominable, d’assiettes cassées. Je me precipitais pour aller voir. Ma mère était toute penaude, en train de balayer les morceaux. La vaisselle en porcelaine de grand mère ! Papa allait être furieux
Ma mère paniqua.
Elle se rua vers moi.
— Ne dis rien à ton père, s’il te plait.
Elle ne voulait pas renouveler la douloureuse expérience de la fessée.
— Je ne sais pas. C’est une grosse bêtise, ça encore, maman !
— Non. S’il te plait ! J’ai une meilleure idée.
Ma mère enleva alors son pantalon, fit glisser sa culotte sur ses talons, et se pencha en avant.
Avec un large sourire elle tendit son cul en arrière.
— Tu préfères pas ça comme solution ? Viens ! Prends moi !
Entre les deux punitions, elle avait choisit.
Je n’allais pas m’en plaindre…Pour la deuxième fois, j’allais baiser ma mère.