Héloïse m’a appelée pour son déménagement, elle est fâchée avec son infernale propriétaire depuis un moment et a enfin décidé de quitter les lieux. J’ai mis un certain temps avant de répondre. Surtout de répondre oui. Elle peut être sympa, mais a la fâcheuse tendance à passer ses nerfs sur quelqu’un quand elle n’a pas ce qu’elle veut. Et son regard peut tout autant évoquer l’amusement que le mépris pur et simple. Ça fait un moment qu’elle me courre après, mais je n’ai jamais laissé entendre quoi que ce soit. D’abord parce que j’ai du mal avec son caractère comme expliqué. Mais aussi parce que mon cur est déjà pris, par mon ex, alors que ça fait quatre ans que nous ne sommes plus ensemble. Je sais ce que vous pensez J’y peux rien, je suis fleur bleue, très attaché à mon ex et n’apprécie pas le concept de sex friends, même si des fois ma verge ne peut que se tendre selon certains fantasmes. Je finis donc par accepter, autant pour rendre service que pour clarifier la situation avec Héloïse.
Son appart est très petit, un lit suspendu, une armoire, une cuisinière, et une petite table près de la fenêtre donnant sur une cour minuscule cour intérieure. Un logement étudiant quoi. Ce qui fait que le déménagement est assez rapide, même si je sens le regard d’Héloïse sur moi. Elle n’est ni vraiment belle, ni repoussante non plus. Un corps de liane, de longues jambes longilignes, des cheveux blonds attachés en queue de cheval. Je m’attelle à prendre la table, quand mon regard se pose sur ses jambes Pas si mal que ça Héloïse a remarqué mon intérêt pour son corps, et je lis dans ses yeux l’envie de m’avouer quelque chose. Je la devance de suite :
– Je ne t’aime pas Héloïse. Ne te fais pas d’idées. De toute façon je ne veux pas d’amour avec toi Tu ne peux ne m’apporter que du sexe
– Ce serait un début
– C’est au revoir clair et net, sans lendemain
A ces mots, je la repousse contre la porte de son appartement, presse mon corps contre le sien et lui écarte les bras avec mes mains. Ma langue passe sur son cou, descend sur sa poitrine habillée et mon bas-ventre se presse contre le sien Elle se libère soudainement et me retire énergiquement ma ceinture. Mon pantalon me descend aux chevilles, mais je décide de faire avec et continue à lui caresser le corps. Je n’ai toujours aucun sentiment. Tant mieux, pour une fois tout ce que je veux c’est baiser. C’est la baiser.
Je lui prends les mains et l’amène sur la table, tout en l’embrassant. Je la fais légèrement basculer et elle s’étend de tout son corps sur ce petit espace. Ma bouche déboutonne son pantalon, dont je la débarrasse, puis je lui retire la culotte tout en lui pétrissant la poitrine. Ma queue est tendue, droite comme un i, et se dirige à présent vers sa grotte. Je sens qu’elle mouille. Mes doigts commencent par titiller son vagin, puis je décide d’y introduire mon pénis. J’y vais doucement, je suis toujours nerveux de mal faire à ce moment-là Finalement ça se passe bien, et j’entre progressivement en elle, et commence à effectuer quelques aller-retour. Au vu de ses grimaces et gémissements, je sens qu’elle apprécie
Elle est étendue sur la table tandis que ma verge entre et ressort de son entre-jambe. J’essaye d’accélérer le rythme, mais sait très bien que je ne pourrai pas m’éterniser ainsi. Nos mains se joignent et sa tête bascule en arrière, passant à travers la fenêtre. Je continue de la pénétrer avec force, la faisant gémir. Héloïse a de plus en plus de mal à retenir ses cris, mais moi je continue, je veux la faire jouir, je veux la faire hurler
– Han Han Continue Han
Nos mains jointes se serrent, ses jambes m’enserrent et nous continuons à baiser dans cette position pendant quelques minutes. Ses cris se sont accrus, mais franchement on s’en fout, c’est son dernier jour dans cet appart. Et si en outre on peut faire chier la proprio Quand j’y réfléchis, ce doit être une jolie vue de regarder un couple forniquer au second étage à travers la fenêtre.
Au bout d’un moment, je suis trop fatigué pour continuer ainsi et le rythme de pénétration baisse Héloïse le ressent immédiatement et décide de reprendre les rênes. Ses jambes et mains se libèrent et elle me repousse doucement vers les barres de son lit suspendu. Mes fesses s’appuient dessus, et bien que ce ne soit pas des plus confortables, la position me repose un peu. Le pantalon toujours descendu aux chevilles, je retire le T-shirt d’Héloïse, et c’est entièrement nue qu’elle vient s’empaler sur mon chibre Mes mains se posent sur ses hanches, et je la fais progressivement descendre sur mon engin. J’apprécie le calme et la lenteur de ce moment Vorace, je passe ma main dans ses cheveux, lui saisit légèrement la queue de cheval afin de lui faire relever la tête. Ma langue passe dans son cou, je lui lèche la peau tandis que ma bite lui déchire les entrailles
Elle accélère le mouvement, libérant ses cheveux et décide de me rendre la pareille en me léchant le cou à son tour C’est bon Nos corps sont en pleine extase, et je sens que je vais venir mais décide d’abord de lui dire au revoir de la meilleure des façons. Mes mains saisissent à nouveau ses cuisses et fait claquer à plusieurs reprises son entre-jambe contre le mien. Mon pieu la pénètre ainsi plus violemment, et elle se remet à hurler de plaisir avant d’être saisie d’un spasme… Il était temps, je n’ai plus beaucoup de force, et décide donc de tout lâcher au fond de son vagin
Nous nous laissons tomber sur son lit, et nous reposons un moment. Je me rhabille ensuite en silence, devant ses yeux et son corps toujours nu. Je la regarde sans rien dire, passe mes doigts sur ses seins, remonte vers sa bouche, puis lui embrasse les cheveux avant de quitter l’appartement. Je crois qu’elle a compris que ce serait tout ce qu’il y aura entre nous. Et franchement, même sans sentiments, c’était une journée sexe assez intense, et ne regrette pas d’avoir laissé cours à mes pulsions.
