C’était le grand jour, Michelle allait arriver d’ici quelques minutes et j’étais toute chose.
on sonnait a la porte, ma tante ouvrait et disait bonjour a michelle et âpres quelques mots lui disait
au revoir car sylvia nous laissait seul.
Salut michelle disait je en m’approchant délicatement d’elle.
sa tenue était splendide, un tailleur bleu marine fendue a sa jupe qui laissait entrevoir ses magnifiques gambettes vêtues d’un collant dim de couleur auto bronzante et d’un chemisier translucide me laissant deviner un soutien gorge noir en dentelle.
Salut beau gosse et sans le temps de répondre quoi que ce soit, elle m’embrassait sur les lèvres, mélangeant sa langue avec la mienne.
Aussitôt ce baiser fougueux, je la plaquais contre l’armoire jouxtant la porte d’entrée et l’embrassait furieusement le long de son coup, son parfum vanillé m’enivrant et rendant fou tout mes sens. Je lui prenais ses deux jambes que je surélevais.
elle ne touchait plus terre donc elle s’entouraient autour de ma taille.
En continuant a l’embrasser, je l’amenais dans ma chambre.
Une fois dans celle ci, je la couchais délicatement et commençais a lui déboutonner son chemisier après qu’elle même ait jetée sa veste au sol. Son soutien gorge dégrafé, je commençais a léchouiller ses petits nichons en forme de poire dont les têtons pointaient déjà vers le ciel tant l’excitation était a son comble dans les embrassades. Pendant que je m’occupais de ses seins, elle me retirait mon t-shirt et baissait mon bas de survêt ainsi que mon caleçon que j’eus extrait en remuant un peu les jambes pour les faire glisser au sol. Mon membre était enfin libre tant il était a l’étroit dans mon calebut.
Dans nos ébats mon pénis venait taper sur ses cuisses gainées de son collant. Elle lançait des OH OUI C’EST BON ERIC, pour ma part ayant dévoré ses seins a toutes les sauces, je redescendais son corps en lui faisant des bisous tout les 5cm jusqu’a arriver a sa jupe que j’enlevais férocement.
Une belle petite chatte rasée m’apparaissait sous son collant sans démarcation, je m’employais a lui lécher le clitoris a travers son collant, ma langue enfonçant le collant entre ses lèvres abondamment mouillée.
Déchire tout et vite un 69 me lançait-elle…….
C’est elle qui vient sur moi me présentant son clitoris sur ma langue, on sentait l’expérience de son cote, elle me branlait en commentant mon chibre, TA TANTE AVAIT RAISON ELLE EST ENORME ça va me changer.
sur ces mots ses lèvres pulpeuses faisait disparaitre entièrement mon gland quant a moi je lui retournais son clitoris.
nos râles de plaisir se mélanger dans la pièce coupé de nos bruits de sucions réciproques pipe était délicieuse.
VAS y prends moi maintenant, en se croisant pour se mettre en position nous nous roulâmes une galoche.
TELLEMENT sa chatte mouillée, ma verge entrait sans mal jusqu’a la butée de mes bourses. Elle écartait ses cuisses au maximum pour faciliter la pénétration.
OOOHHHHHHHH OUIIIIIIIIIIIII!!!!!!! défonce moi me disait elle.je la limais très lentement pour mon plaisir, mes mains touchant son collant d’une douceur.
Mon rythme s’accélérait, ses cris de plaisir résonnait de plus en plus en fort.
Tout d’un coup, Ses mains me pinçaient le dos et son clitoris se resserrait sur mon pénis comme un étau….
OOOOOOHHHH OOOOOOOHHHHHHHHH OHHHHHHHHH LABOURE MOI, son orgasme explosait en moi et mon limage reprit de plus belle et de façon plus sauvage, j’allais exploser en elle.
Juste le temps de me retirais que mes jets de sperme inondaient son collant et son nombril qui disparaissait sous mon foutre épais et juteux.
je m’écroulais dans ses bras extenué tout comme elle qui me serrait très fort dans ses bras.
C’était bon chérie, je veux que tu deviennes mon amant trésor.
OH oui lançait je sans hésitation…..
Une fois un petit brin de toilette faite nous nous sommes couchés dans les bras de l’un de l’autre et avons discutes pendant une bonne heure de la taille de mon sexe(elle n’arrêtais pas de le complimenter en le comparant a une queue de vrai black) et de ma tante.
Elle était d’accord avec moi qu’elle était un tout petit peu coincée et qu’il fallait régler le problème de manière radicale.
Affaire a suivre………………….
