Je suis nue, mains enchaînées dans le dos, chevilles enchaînées à une barre. Mimi me positionne tout en caressant mon sexe et ma rondelle.
Il prend une corde, la double, fait une sorte de nud coulant, me la passe autour d’un sein, tire sur le sein, serre le nud, fait faire un demi-tour à la corde et recommence, il fait cinq tours, termine en faisant un nud aux extrémités de la corde, il procède de même avec l’autre sein.
La sensation est terrible, j’ai les seins comprimés, qui commencent à violacer, la douleur est supportable.
Mimi me bande les yeux.
Jentends le ronronnement d’un moteur électrique, je le sens accrocher les nuds à quelque chose, à nouveau le ronronnement d’un moteur, je me sens soulevée par les seins, bientôt je suis en appui sur le bout de mes orteils, tout le poids de mon corps pèse sur mes seins, je gémis de douleur, Mimi me caresse le ventre, je ne tarde pas à mouiller, du coup la douleur s’estompe un peu !
Mimi m’enlève le bandeau, me lèche le dos, m’embrasse le cou et me murmure à l’oreille :
« Tu es d’accord pour aller plus loin ou j’arrête… ? »
Spontanément je réponds : « continue.. », je suis soulevée un peu plus, Mimi me détache les mains, je commence à me caresser, apparemment c’est ce qu’il veut, il allume une bougie, la cire brûlante coule sur mes seins, il continue jusqu’à ce que mes seins soient recouverts de cire.
Un coup de cravache fait sauter de la cire d’un de mes seins, l’autre sein prend sa part également, il passe sa main entre mes jambes, pour constater mon état, et continue, je crois que j’ai compris son manège, j’active ma masturbation, il règle ses coups sur ma cadence de masturbation, je jouis en hurlant, une volée de coups s’abat sur mes seins.
Je suis redescendue, mes mains sont attachées dans mon dos, Mimi me libère la poitrine, lorsque la circulation reprend, une formidable envie de me frotter les seins s’empare de moi, je ne peux pas, les mains entravées, je le traite de « salaud et sadique… ».
Il finit par me détacher, me libère les chevilles et me demande mes impressions :
« Spécial, mais pas désagréable, mais je ne recommencerai pas trop souvent, j’ai une poitrine en bon état, je ne tiens pas à ce que tu la détruises… ! »
Il me confirme qu’il est d’accord avec moi, mais voulait essayer.
Mimi me demande ce que je veux, il me dit inverser les rôles, désormais, c’est moi qui commande.
« Je vais aller prendre une douche, puis m’habiller, puis nous partirons nous promener à moto, tu emmèneras la sangle pour m’attacher et tu me prendras dans la nature, j’ai envie d’être prise par tous mes trous dans la nature, après nous irons au restaurant, c’est moi qui l’offre et je ferai attention à ne pas picoler et toi aussi. Nous rentrerons à la nuit et ferons gentiment l’amour, demain j’aimerais aller faire une grande ballade à moto et te sucer tous les 30 kilomètres et toi, à chaque fellation réussie, tu me donnera 10 coups de cravache sur les fesses, j’espère rentrer le cul en sang…, salaud d’amour…, je suis devenue accro à la cravache, mon vicelard d’amour… ! »
Mimi se déclare d’accord avec le programme.
Il se ravise, prend le téléphone, compose un numéro :
« Allo, Thierry, bonjour vieux crabe, c’est Michmich, dis moi est-ce que tu as toujours ton mobil-home, ton chalet auprès de ton étang dans la Brenne ? » Mimi branche le haut-parleur.
« Michmich, bien-sûr, tu veux y aller ? Sans problème, en plus, tu as du pot, nous y sommes allés il y a 15 jours, le congel est plein et tu peux taper dans la cave, sans problème, il y a du charbon de bois pour le barbecue, si tu veux, je téléphone au Fonfonse pour qu’il te tue un poulet et te le dépose au mobil-home, tu le trouveras en arrivant, sinon tu tapes dans le congel, j’envoie tout de suite le gamin t’amener les clefs d’un coup de scooter, il te les mettra dans ta boîte à lettres, en bas de ton immeuble, pas de problème, mon Mimi, je te dois bien ça, salut et amuse toi bien ma poule, tu y vas avec la jolie brune qui te tenait compagnie hier chez Jeannot, heureux homme et mes hommages à ta compagne, salut mon Mimi et amuse-toi bien, en plus vous pourrez vous baigner, la flotte est propre… à tchao mon Mimi… ! »
« Ça te va comme programme, 2 heures de route et après tous seuls dans la cambrousse…, qu’en dis tu, mon Cricri d’amour… ? »
« Tu m’étonnes, entièrement d’accord, bon je fonce me laver, prends des draps dans l’armoire et je verrai ce que je peux prendre dans le frigo… ! »
Je me douche, me sèche, Mimi a pris des sacs de supermarché, y a mis des draps, taies d’oreillers, de traversin, deux tee-shirt, des chaussettes, un slip, des serviettes, gants, gel douche, dentifrice, brosses à dents…
L’interphone sonne, Mimi répond, c’est le gamin qui a mis les clefs dans la boîte à lettres.
Je descends, nue et prend dans le frigo, de la viande, des tomates, du fromage, du café, une vessie de glace pour tenir le tout au frais.
Mimi, jauge notre barda, me dis de laisser la viande au frigo, le reste devrait rentrer dans les sacoches de la moto.
« Je vais prendre un sac à dos que tu porteras pour le pain… ! ».
« Je m’habille comment, Mimi ? »
« Chemisier, pas de soutif, un slip, ton jean et le blouson, sinon prends ce que tu veux, mais fais attention, il n’y a pas trop de place… ! »
Je me prépare quelques affaires, dont un pull (il se moque de moi… il fait 25 dehors, on sait jamais, un coup de gelée nocturne… sacré bonne femme…), des chaussures de sport, mes objets de maquillage et coiffure, dans le sac à dos je mets la sangle et la cravache, mimi rigole en me voyant faire et me déclare prête.
Nous descendons au box, avec nos sacs, suit une homérique séance de rangement dans les sacoches, tout rentre, en tassant un peu, mais ça rentre.
En sortant du parking, Mimi récupère les clefs dans la boîte à lettres, nous nous arrêtons pour acheter du pain et faire le plein de la moto.
Les bras autour de la taille de Mimi, je me régale, l’itinéraire qu’il a choisi ne comporte que des nationales et des départementales, il connait manifestement la route, je regarde le compteur, il oscille en permanence entre 120/130, sauf dans les traversées de village (mes seins ont beau être fermes, ils tremblent au rythme des cahots, le frottement contre le chemisier m’excite, je mouille…, du coup passe ma main sur son sexe, le caresse au travers du jean…).
Au bout d’une heure et demie de route, il prend un chemin dans les bois, fais une centaine de mètres, s’arrête, je descends, il béquille, coupe le moteur, descend lui aussi de la moto.
Il dégrafe le sac à dos, ouvre mon blouson, me le retire, m’enlève le chemisier, le roule dans le sac à dos, me remet le blouson, je suis désormais seins nus sous le blouson de cuir, je tombe à genoux, débraguette son pantalon, sort son sexe, pratique une longue et lente fellation…
Nous repartons, je mouille comme une folle, la sensation des seins qui frottent contre le cuir au gré des cahots de la route, est extraordinaire, j’en profite pour admirer le paysage d’étangs, de marais au milieu duquel nous roulons.
Arrivé à un embranchement, Mimi s’arrête à nouveau, me fait signe de descendre, béquille, m’ouvre la visière du casque et me dit :
« Tu vas conduire la moto, tu vas voir, c’est facile, dans 5 kilomètres, nous y sommes ! »
Ce disant, il m’enlève le sac à dos, l’ajuste à ses mesures, il m’explique les commandes, leurs fonctions.
À grand peine, j’arrive à enjamber la moto, il monte derrière, débéquille, assure la stabilité de l’engin avec ses pieds, docilement, j’embraye, appuie sur le sélecteur et accélère un peu, en lâchant l’embrayage, pleine de bonne volonté, la moto hoquète un peu et c’est parti, je m’enhardis, mets un peu plus de gaz, change de vitesse, Mimi me fait signe d’en mettre une de plus, c’est génial, je conduis une moto, à 50 à l’heure certes, mais je conduis une moto… ! Je hurle :
« Arrête cochon, tu vas nous faire tomber… ! »
Bien évidemment, le Mimi m’a dézippé le blouson et me pelote les seins…
Seins au vent pour ma part (génial…, je recommencerai !), nous finissons par arriver devant l’étang et le mobil-home (en fait, un chalet sur roues…) du copain de Mimi, l’endroit est vraiment magnifique, calme, reposant.
J’arrive à arrêter la moto, m’emmêle avec les vitesses, Mimi coupe le contact, assure la stabilité de la moto, en profite pour me peloter les seins à pleines mains, j’ai ma culotte trempée, je me dégage et descends de l’engin.
Mimi, remet la moto en route, trouve le point mort et arrête le moteur, béquille la moto et descend de son engin.
« Alors, comment tu trouves ? »
« C’est magnifique.. ! »
« Bon, on décroche les sacoches et on porte tout ça dans le chalet… ! »
Devant l’entrée, sur la table qui est sous la pergola, deux bocaux et un poulet enveloppé dans un torchon…
Mimi est ravi « super, le père Fonfonse a mis des bocaux de pâté de sanglier, miam… miam… », sur ce, Mimi ouvre la porte du chalet, nous rentrons nos affaires et nous installons.
« Comment tu as su que j’avais envie de conduire la moto ? »
« Je l’avais deviné… ! »
Il m’embrasse et entreprend de me déshabiller, il me fait écarter les jambes, plonge ses doigts dans mon sexe trempé et me les fait lécher…, je m’exécute docilement, il se déshabille à son tour, je me jette à genoux et entreprends une fellation que je mène jusqu’au bout…
« Bon on fait le tour du propriétaire, on va allumer le barbecue, viens avec moi… ! »
Derrière le chalet, il y a une cabane, aménagée avec frigo, évier, Mimi y prend du bois et me dit de fouiller dans le congel et de regarder sur les étagères.
Je sors deux quiches lorraines, une tarte, rafle une boîte d’haricots verts…
Mimi sort du rosé, met les bouteilles dans le frigo et dégotte une bouteille de whisky.
Nous revenons vers le chalet et passons derrière, une terrasse en bois donne sur l’étang, Mimi prend du bois, le dépose dans le barbecue, allume l’allume-feu qu’il a pris dans la cabane et me dit :
« Pose tes trucs sur la table, on va aller se baigner, le temps que le feu prenne et fasse de la braise… ! »
La fraîcheur de l’eau est un délice, nous nous baignons longuement, le tout entrecoupé d’embrassades et de caresses.
« Je commande toujours, Mimi ? »
« Bien-sûr… ! »
« Alors, va t’asseoir sur la terrasse et laisse moi faire…, et fais tout ce que je te demanderai… ! »
Je file dans le mobil-home, prends des verres, la cravache, passe par la cabane, sers un whisky avec glaçons, bien tassé à Mimi, pour moi j’ouvre une bouteille de rosé et me sers un grand verre que je remplis à moitié de glaçons, rempli le bac à glaçons d’eau (il y a un robinet dans la cabane), le remets au frigo et reviens avec mes verres et ma cravache.
« Monsieur est servi (je pose les verres sur la table)…, l’esclave a fait tomber de l’eau par terre et demande à être punie de 10 coups de cravache sur les fesses… ! »
Jambes écartées, je pose mon torse sur la table, Mimi me donne les 10 coups…, mais sur chaque fesse…
Il se rassied, je me redresse, lui tends son verre, l’embrasse et vibais m’asseoir sur ses genoux pour que nous sirotions ensemble, notre apéro.
J’adore être sur ses genoux, il en profite pour me prendre mon verre et me le passer sur les seins, c’est glacé, je frissonne, j’adore…
Mimi, me fait me lever, va rajouter du bois dans le barbecue et me dit :
« Je vais aller chercher un couteau pour couper le poulet en deux, il cuira mieux, parce que je les connais les poulets du père Fonfonse, c’est limite dinde… ! »
« Laisse, je vais le faire, tu veux un peu d’apéro de nouveau ? »
Il acquiesce.
« Par contre, viens avec moi, tu m’aideras et découperas le poulet… ! »
« Ben, dis donc, elle est vachement équipée la femme de ton pote… ! », c’est vrai que la cuisine du chalet contient de tout.
Je prends la lèchefrite du four, la nettoie, farfouille dans les placards, trouve de l’huile d’olives, du poivre, du sel, je mélange le tout dans un bol, je finis par trouver un grand couteau et une planche à découper.
« Mimi, coupe le poulet s’il te plait… ! »
Quelques instants plus tard, il m’apporte les deux morceaux d’un énorme poulet, je les dépose dans la lèchefrite, badigeonne avec mon mélange, me lave les mains et déclare :
« Dans le cadre de son retour à la nature, l’esclave désire être sodomisée à l’huile d’olive… ! »
« Eh bé…, je n’y aurais pas pensé, bien madame… ! »
Je me couche sur la table, jambes écartées, Mimi m’enduit l’anus d’un peu d’huile, et directement, sans préparation me pénètre, il n’a pas beaucoup lubrifié, je hurle, une série de claques sur les fesses me ramène à la raison, Mimi alterne les entrées et sorties, mon ventre mouille, je sens que je vais jouir, il accélère ses pénétrations, lorsqu’il éjacule dans mon petit trou, je hurle ma jouissance !
Mimi, ramène la lèchefrite sur la terrasse, je me nettoie le cul dans l’étang en déclarant :
« L’esclave nettoie son cul et va venir nettoyer la bite de son maître avec sa bouche… ! »
Dégoulinante, je m’agenouille devant Mimi et lui nettoie le sexe avec ma bouche (je recommencerai…, j’adore le mélange sperme/huile d’olive).
« L’esclave Cricri est à la disposition du maître, s’il veut uriner, soit dans ses trous, soit dans sa bouche ou sur elle, elle ne désire pas le voir uriner ailleurs, en attendant elle va chercher le breuvage de son maître… ! »
Lorsque je reviens avec mon verre, Mimi me prend par la main, m’entraîne sur l’herbe, me dit « à genoux », je m’exécute, ouvre la bouche, un jet chaud me coule dessus, il me pisse sur la figure et soigne également ma poitrine, c’est chaud, c’est bon, j’aime ça… Lorsqu’il a fini, je reste un moment à genoux, avec les mains, je me passe de l’urine sur tout le corps, puis ensuite, je vais de nouveau me tremper dans l’étang.
Mimi boit son apéro, je m’installe sur un siège en face de lui et commence doucement à me masturber (je sais qu’il adore me voir faire cela)…, je me caresse également les seins, me doigte le cul et déclare :
« L’esclave offre son plaisir à son maître… ! »
Mimi se lève, la braise est à point, il dépose le poulet sur la grille du barbecue, il n’y a plus qu’à attendre.
Je vais chercher des assiettes, des verres, des couverts, du "sopalin", je fais rapidement une salade avec les haricots, ramène un des bocaux de pâté.
Je retourne chercher le rosé mis au frigo.
Je dresse la table, ouvre un bocal de pâté, coupe du pain, prépare une tartine pour Mimi et pour moi, je laisse manger Mimi, lui verse du rosé, lorsqu’il a fini sa tartine, il me tend les bras, je m’assieds sur ses genoux, il sait que j’adore cela, et il me donne la becquée comme j’aime…, je me lève de temps en temps pour retourner le poulet.
J’ai fini ma tartine, Mimi prend le bocal, se sert un morceau dans son assiette, prend du pain et mange avec son couteau, coupant du pâté, du pain, (j’adore manger comme autrefois les paysans, me confie-t-il) je passe sous la table, et entreprend de lui caresser le sexe et les couilles, il se laisse faire, ravi…
Je vais chercher le poulet, sers, nous finissons le repas, la nuit tombe…
J’ai fini de préparer le lit, Mimi me prend par la main, m’amène dans l’herbe, m’allonge sur le dos, passe mes jambes sur ses épaules, me pénètre sans aucune précaution, je sens un liquide chaud m’envahir, il pisse dans ma chatte, c’est bon… !
Je vais me nettoyer dans l’étang.
Je me réveille, je suis moulue, Mimi, cette nuit, m’a d’abord attachée et prise comme j’aime, puis m’a prise dans mon sommeil, je me suis réveillée une première fois, prise dans le sexe, j’ai joui comme une folle, puis dans l’anus avec le même résultat.
Une odeur de café, il est dehors sous la pergola en train de siroter son café.
Nous nous embrassons et nous souhaitons mutuellement une bonne journée, Mimi se lève, m’entraîne dans l’herbe, me fait agenouiller, me fourre son sexe dans la bouche et urine et m’ordonnant d’en avaler, je m’exécute, le liquide chaud coule sur ma poitrine, plus ça va, plus j’adore ça.
Dégoulinante, je viens m’asseoir à la table prend le mug de café que me tend Mimi, il me l’a sucré et bois lentement mon café.
Puis je me glisse sous la table et entreprends une fellation, je me masturbe en même temps, Mimi fini par jouir dans ma bouche, je termine ma masturbation et jouit à mon tour…
« Je commande toujours, mon amour ? »
« Toujours ! »
« Alors ce matin, je veux que tu me traites durement, que tu me pendes à nouveau par mes seins, j’ai vu qu’il y avait des noisetiers, coupe une branche et marque moi avec, fais-moi des marques, au besoin, fais-moi même saigner, je veux être marquée pour la semaine, oui, je sais…, je suis folle…, je veux aller jusqu’au bout, t’offrir, en gage d’amour, ma souffrance, mes marques…, je t’en prie, mon Mimi d’amour… ! »
Mimi me regarde, me sourit, m’embrasse et me déclare :
« Ce que femme veut, je te préviens, je ne vais pas te faire de cadeau et ne compte pas jouir des pénétrations, tu seras forcée, à chaque fois, pas de tendresse, je vais te traiter en esclave sexuelle, en "vide-couilles", tu vas déguster…. ! »
Mimi prend un couteau dans le chalet, choisit, avec soin ,une branche de noisetier, l’émonde, en éprouve la flexibilité, me fais signe de tendre mes fesses, je m’exécute, un sifflement, une douleur horrible sur mon cul, je le remercie…
Mimi m’ordonne de faire mes besoins devant lui dans la nature, nous nous éloignons du chalet, je m’accroupis et fait mes besoins, il me regarde avec beaucoup d’attention, puis m’envoie me nettoyer dans l’étang, je ressors en grelottant, l’eau a fraichi durant la nuit…
Mimi a fini de me lier les seins, il prend deux morceaux de bois, me fais monter dessus, attache la corde à la poutre de la pergola, me lie les bras croisés dans le dos, m’attache les jambes écartées, grâce à un balai, me prend à bras le corps, me soulève, met un coup de pied dans les rondins, me descend, puis me lâche, je tombe, suspendue par mes seins.
Il revient du chalet avec des piques à brochettes et de l’alcool, désinfecte une pique, tire sur la pointe d’un de mes seins, plante la pique à la verticale, la fait pénétrer et traverser le mamelon, procède de même avec l’autre sein.
Puis, il prend une pique, me la plante environ 5 cm en arrière de la première à l’horizontale et me transperce le sein, il fait la même chose avec l’autre sein, j’essaie de me dégager, de me soustraire à la douleur, c’est horrible, puis me reprend, me calme et je cesse de gigoter.
Il m’embrasse, prend la badine et entreprend de me flageller les cuisses et le ventre, les coups arrivent drus, je crois que je vais m’évanouir sous la douleur, pourtant je tiens le coup sans gémir, mes seins me font mal à hurler.
Il passe derrière moi, monte sur une caisse qu’il a récupérée je ne sais où et me sodomise sans tendresse, je suis crochée par mes hanches, mes seins me font un mal de chien, il arrive au bout, lorsqu’il éjacule en moi, je hurle mon plaisir.
Il reprend la badine et me flagelle le cul et le dos, de nouvelles douleurs s’ajoutent aux autres, je ne puis me contenir et gémis…
Lorsqu’il m’estime suffisamment marquée, il me détache, m’allonge le torse sur la table et prend son plaisir dans mon ventre, je jouis également, puis il délie mes seins, me rallonge sur la table, j’ai toujours les mains attachées dans le dos, il lubrifie mon anus et entreprend de faire pénétrer sa main dedans, la douleur est horrible, enfin mon anus cède, je sens la main et une partie de l’avant-bras de mon amant dans mon cul, le plaisir d’être prise comme cela s’empare de moi, je ne tarde pas à hurler ma jouissance.
Il délie mes mains, m’ordonne de me relever et d’enlever moi-même les piques de mes seins, je m’exécute comme je peux, c’est très douloureux, il en profite pour me flageller le cul, je finis par retirer les piques, mon cul est pratiquement en sang, en feu, il me brûle horriblement…
Je me regarde dans la glace de l’armoire de la chambre du mobil-home, il ne m’a pas ratée, mes seins saignent, la peau de mon cul a éclaté par endroits, celle de mon ventre aussi, moi qui voulait des marques, je suis servie.
Je me précipite dans l’étang et reste un long moment dans l’eau, mes brûlures s’apaisent, les douleurs disparaissent…
Mimi a nettoyé, désinfecté mes plaies, je ne saigne plus, suis assise sur les genoux de Mimi, l’embrasse et le remercie :
« Merci mon amour, merci du cadeau que tu m’as fait, je suis enfin marquée comme je le voulais, chaque marque est une preuve de mon amour pour toi, j’ai aimé, je te demanderai de me le refaire de temps en temps, je t’aime, je suis à toi… ! »
Pendant ce temps, Mimi me caresse, suit les marques du bout des doigts, caresse ma poitrine, sa main descend sur mon sexe, au bout de quelques minutes, je ne tarde pas à hurler à nouveau ma jouissance…
Nous allons nous allonger, je repose entre ses bras, nous nous caressons, embrassons, échangeons des paroles, des bêtises d’amoureux, des serments d’amour, je suis heureuse…
Nous nous endormons, je me réveille, jentends du bruit dehors, Mimi est en train de finir un bocal de pâté, à grand renfort de pain et de rosé, il me sourit, m’envoie un baiser du bout des doigts :
« J’adore casser la croûte, comme ça, sur le coup des 10 heures du mat… ! »
Nous passons la journée à nous baigner, à faire l’amour, nous déjeunons fort tard et tentons de finir le fameux poulet…
Allongés côte-côte, sur des serviettes posées sur la terrasse, nous discutons :
« Je t’offre le restaurant ce soir, j’aimerai m’arrêter au restau que nous avons vu, tu sais celui au bord de l’eau… (mimi opine…) et le week-end prochain, tu viens le passer chez moi, je parlerai à mes gosses, samedi tu feras leur connaissance, mais viens vendredi soir, j’ai envie de passer une soirée canaille, s’il fait beau, viens à moto… »
Mimi me dit qu’il et d’accord et me demande quelles sont mes dates de vacances et ce que je fais… ?
Je lui explique que je ne compte pas partir. À une semaine près, les dates sont identiques, Mimi me dit qu’il décalera les siennes.
« Après tout, c’est moi le patron… ! »
Il possède une petite maison dans le midi et aimerait que je vienne avec lui.
Je lui dis que je suis totalement d’accord… !
Nous repartîmes dans la soirée, tous les 50 km, je fis arrêter Mimi pour pratiquer une fellation, la dernière avant le restaurant, nous avons passé une soirée fantastique et la nuit qui suivit aussi, le mardi, j’avais de belles valises sous les yeux… !
Mimi s’entendit parfaitement avec mes enfants, nous passâmes trois semaines de vacances paradisiaques, aujourd’hui nous vivons ensemble, il habite chez moi et fait le trajet tous les jours pour aller travailler…
Je suis plus que jamais sa soumise… je l’aime de plus en plus, un peu plus chaque jour, c’est réciproque, nous sommes heureux…, il a installé un "donjon" dans les combles…, j’en profite… !
Une fois, il m’a livrée à un groupe de ses amis (seule pour 6 hommes…), il a renoncé à renouveler l’expérience, il ne me veut que pour lui (dommage j’avais apprécié…)… !
