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La mère absolue – Chapitre 1

La mère absolue - Chapitre 1



Nous avons tous reçu une éducation différente. Celle que ma mère m’a inculquée pourrait en dégoûter plusieurs, mais ravir certains. Toutefois je pense m’adresser à un public suffisamment ouvert d’esprit pour, non pas forcément y adhérer, mais la comprendre.

Je suis certainement partial sur ce point, mais ma mère faisait partie de ce que l’on pourrait appeler, une élite maternelle douée d’un instinct d’amour si développé, que leur comportement envers leur fils échappe à la compréhension du commun des mortels. Le genre de mères bien trop rares et dont la grande valeur ne sera peut-être jamais reconnue. La mienne était ce que l’on pourrait appeler une mère absolue.

S’il fallait la définir, je dirais qu’il s’agit une femme accomplie, sans tabou et attentive au moindre besoin de son fils. Je ne vous parlerai pas ici de mon enfance heureuse et comblée auprès d’elle. Mais plutôt de ce jour inoubliable où ma mère m’a fait entrer dans le monde des adultes, par la plus belle porte dérobée qui soit…

Peut-être m’avait-elle conditionné depuis longtemps, en tout cas le matin de mon dix-huitième anniversaire lors du petit-déjeuner, la demande que j’ai faite à ma mère m’a paru légitime et évidente. Je me souvenais alors de la promesse que l’on s’était faite. Que si je parvenais à tenir jusqu’à ma majorité, j’aurais eu le droit d’emmener la fille que je voudrais à la maison pour ce grand jour. Ce fut donc à l’évocation de cette promesse, que je lui ai fait part de mon choix. Et voir le sourire de ma mère, son regard ému et ses mains se poser sur les miennes, m’a fait comprendre combien elle en était heureuse et à quel point elle l’avait espéré.

Et sans plus de cérémonie, elle me dit simplement:

— Tu ne le regretteras pas mon bébé. Donne à maman quelques minutes pour qu’elle se prépare et tu pourras me rejoindre dans ma chambre…

Ces quelques mots me firent beaucoup d’effet. Cela faisait longtemps que je n’avais pas partagé les draps de ma maman. Je ne faisais plus de cauchemar et le monstre du placard s’était évanoui. Mais aujourd’hui, une tout autre raison allait justifier mon retour dans le lit maternel.

Quand je suis entré dans la chambre, il faisait un peu sombre. Ma mère m’attendait sur le lit, allongée sur le côté et regardait en direction de la fenêtre qui donnait sur le jardin. Sans tourner la tête, elle me demanda d’approcher et d’ouvrir les rideaux. J’ai alors fait le tour du lit et laissé entrer la lueur du jour, avant de me retourner. Et dans la chaude lumière de l’été, j’ai découvert ma mère dans toute sa féminité.

Elle était jolie ma maman. De beaux cheveux noirs qui contrastaient avec sa peau claire. Une jolie nuisette blanche qui mettait en valeur la rondeur de ses formes. Un maquillage léger qui accentuait sa beauté naturelle. Des lèvres qui promettaient bien plus que des baisers. Et une posture qui n’avait plus rien de maternelle. Je ne l’avais jamais appelée autrement que "maman". Mais ce fameux jour, elle m’autorisa exceptionnellement à l’appeler par son prénom: Roxanne.

Dans un élan de désir, je me suis agenouillé au pied de son lit. Contemplant ma mère véritablement pour la première fois de façon charnelle, ma main suivait délicatement les courbes de son corps. Allant de ses épaules à ses chevilles, mes doigts l’effleuraient avec envie, cherchant à écrire mon amour entre les lignes maternelles.

Ma mère me déposa un premier baiser sur la joue, en me chuchotant de faire descendre une bretelle de sa nuisette. Je la fis donc glisser par-dessus son épaule, jusqu’à dévoiler un sein sous mes yeux ravis. Sans un mot, elle m’embrassa une seconde fois, plus près de mes lèvres et passant une main derrière ma tête, elle m’invita à me repaître du fruit de ma petite enfance.

Ma bouche gourmande engloutit la belle tétine de chair rosée et aspira respectueusement. Ma langue tournoyante, je mordillais légèrement en prenant à pleine main le sein de ma mère. Les hostilités étaient engagées. Une bataille d’une grande douceur et passionnée entre une mère et son fils, pour établir les nouvelles frontières de leur amour. Le fils que j’étais cherchait à conquérir. Et la mère qu’elle fut, une imprenable forteresse.

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Car malgré les nombreuses étreintes qui suivirent, Roxanne m’a toujours fait comprendre que notre lien resterait immuable. Son amour était inconditionnel, son désir était intentionnel, mais ses intentions demeuraient maternelles. Pourtant je ne lui en ai jamais voulu pour ça, car aussi ambiguë que pouvait être notre relation, peu de fils ont pu connaître leurs mères, aussi bien que j’ai connu la mienne.

Ce qui m’a permis d’éviter de faire pas mal de bêtises. Car pendant que mes camarades connaissaient leurs "premiers émois", de mon côté je me perfectionnais entre les bras d’une vraie femme, douce, aimante et pédagogue. Je sais que beaucoup n’approuvent pas cette éducation que l’on qualifie volontiers "d’immorale". Mais qui pourrait mieux nous éveiller à la vie, sinon celle qui nous l’a donnée ?!

C’est ainsi qu’après les cours, je me hâtais de rentrer pour négocier avec maman une petite gâterie, un moment de tendresse, un plaisir partagé, avant de me plonger à corps perdu dans mes leçons. Il en va sans dire que mon année de terminale se passa sans stress et que j’ai obtenu mon bac avec les félicitations du jury. Des résultats qui m’ont valu mes plus belles heures avec ma mère…

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Au bout de quelques minutes de succion, je sentis Roxanne plus affirmée dans ses intentions. Et saisissant mon visage entre ses mains, elle m’embrassa à pleine bouche. Alors que nos lèvres étaient unies et que nos langues se joignaient à la danse, ma mère guida délicatement ma main entre ses jambes. Sous la nuisette, elle ne portait pas de culotte et ma main se retrouva en contact direct avec la porte de ma vie. La seule porte contre laquelle on ne peut se permettre de frapper. Celle qui ne s’ouvre que par de la tendresse.

Chaude et humide, je découvrais ma mère autrement. J’osai alors une légère pénétration digitale, avant d’ajouter un autre doigt. Le clapotis des allers-retours se mêlait aux soupirs de Roxanne, alors qu’elle m’embrassait de plus belle. Mes doigts baignaient littéralement dans sa cyprine qui remplissait amplement la paume de ma main, jusqu’à s’écouler sur les draps.

Maman ne pouvait plus attendre et moi non plus d’ailleurs. Alors, je sortis mon sexe érigé et me présentai à la vulve maternelle. C’était le grand moment ! Je regardais une dernière fois ma mère tout offerte à moi, de peur qu’il ne s’agisse que de notre unique essai. Et je m’immergeai dans mon passé, profitant de l’instant présent, pour mieux appréhender l’avenir. Ce fut passionné. Mon excitation était telle, que malgré l’éjaculation j’ai continué mes va-et-vient. Et au bout de quelques minutes, je retrouvai assez de vigueur pour reprendre la cadence.

Maman avait noué ses jambes autour de moi et m’enlaçait amoureusement entre ses bras. Dans l’excitation du moment, elle proférait des mots qui auraient dû me choquer, mais contre toute attente j’avais envie de l’aimer davantage. Je ne me savais pas aussi pervers, mais constater l’orgasme s’emparer de ma mère me rendit incroyablement endurant. Je me faisais violence pour ne pas jouir et tenir jusqu’à ce qu’elle n’en puisse plus. Mais ce fut un merveilleux jour. Le jour où j’ai pris pleinement conscience que ma mère était avant tout une femme. Et avoir pu participer activement à son plaisir avait flatté au plus haut point mon orgueil de fils.

Cette expérience nous avait fortement rapprochés. J’avais clairement remporté la bataille ce jour-là. Mais Roxanne se montra plus maternelle par la suite, me temporisant lorsqu’elle sentait qu’elle perdait le contrôle. C’est ainsi que j’ai véritablement appris à faire l’amour à une femme, en donnant plus d’importance à la sensualité et au partage du plaisir.

Faire l’amour à sa mère, c’est comme escalader une falaise abrupte. Indomptable, immuable, la mère absolue nous oblige à rester concentrés tout au long de l’amour, afin de profiter prudemment de la chance que nous avons à la grimper. Ainsi, l’ascension vers le sommet du plaisir se fait avec tous les sens en éveil.

J’ajouterai même que lorsqu’un fils prend sa mère et réciproquement lorsqu’une mère s’offre à son fils, ils honorent la vie de la façon la plus audacieuse qui soit. Pour lui, c’est reconnaître d’où il vient et honorer son passé. Pour elle, c’est affirmer sa transcendance sur les lois établies et revendiquer sa liberté d’aimer.

Quand on a pu vivre de tels moments avec sa mère, on peut se dire que l’on a véritablement profité de chaque instant passé à ses côtés. Et même si l’on sait instinctivement ne jamais pouvoir la conquérir, la mère absolue nous permet dans sa bonté de nous complaire à cette idée. En se laissant séduire juste le temps d’un plaisir, elle s’inscrit profondément et pour toujours dans nos souvenirs.

A toutes les mamans qui sont à cette image: Merrit S.

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