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La fac, ses plaisirs et ma soeur… – Chapitre 3

La fac, ses plaisirs et ma soeur... - Chapitre 3



Je me suis réveillé beaucoup de fois cette nuit. Je ne savais plus si ce qu’il s’était passé était un rêve ou la réalité.

Je suis cependant sorti du lit beaucoup plus facilement. Cette fois, pas de bruit de douche. Je file donc me laver. Au moment de rentrer dans la douche, l’idée que ma sur puisse m’observer sous la douche m’interpelle. Je décide donc d’ouvrir la porte avant de me déshabiller. Comme je sais que ma sur ne se lève que dans quelques minutes, j’attends un peu avant de commencer ma douche. Je ne voudrais pas que la buée gâche le spectacle.

Je l’entends qui sort de sa chambre. Je me mets donc la douche en essayant de faire le moins de bruit possible. Au moment où elle s’approche de la porte, j’allume le jet de la douche et me tourne de manière à ce que mon sexe soit parfaitement visible depuis sa place. Je fais bien sûr semblant de ne pas prêter attention au miroir, mais je fais tout mon possible pour essayer de repérer des yeux baladeurs.

Et ça n’y manque pas. Ma sur est en train de me mater sous la douche. Je n’en reviens pas.

Je ne perds pas alors une seconde et commence immédiatement à m’occuper de mon sexe en prétendant le laver. Elle n’en perd pas une miette. J’ai vu ce qu’il me fallait et la buée commence peu à peu à recouvrir le miroir. Je me décide donc de me retourner afin de frustrer légèrement la voyeuse de l’autre côté de la porte.

Une fois ma douche terminée, je décide de pousser la provocation en me rendant dans la cuisine avec une simple serviette autour de la taille.

Bonjour Hélène, bien dormi ?

Oui, de jolis rêves et toi ?

Puis rajoute après avoir relevé la tête « Tu n’es plus pudique toi ? »

Bien sûr que si, mais tu es ma sur après tout, et puis je suis loin d’être nu ! ça te dérange ? réponds-je alors sur un ton malicieux.

Non du tout, je t’embête, bon je file à la douche moi !

Après avoir attendu quelques secondes afin d’être sûr que ma sur avait bien rejoint la salle de bain, je décide de ne pas me mettre à table, mais de rejoindre à mon tour le spot de voyeur de cette maison. Et cette fois, quelle bonne surprise.

Le corps nu de ma sur m’est entièrement dévoilé. Je peux admirer chaque centimètre de sa peau en partant de ses délicates jambes, en passant par son entrejambe recouvert d’un très léger duvet soigné et jusqu’à ses seins qui font gonfler mon sexe de manière impressionnante.

Elle n’est toujours pas dans la douche. Elle se regarde dans le miroir. Sous toutes les coutures. Une idée me survient alors en voyant mon t-shirt sur le sol de la salle de bain. Oserais-je rentrer sans frapper en prétendant chercher mes affaires ? Mon sexe en érection risquerait de me trahir. Je tente le tout pour le tout, mais décide tout de même de frapper rapidement avant de rentrer.

Je peux entrer ?

Sans attendre la réponse, je passe le seuil de la porte.

Attends, je suis nue !

Oh désolé, je pensais pas que tu étais déjà prête à rentrer dans la douche.

Je ne ressors évidemment pas de la salle de bain en prononçant ces mots et j’ajoute.

Je cherche juste mes affaires, tu aurais pas vu mon t-shirt ?

Si, il est là contre la douche.

En allant chercher mon haut, je glisse alors avec un air provocateur « Tu es devenue pudique toi ? »

Allez, file maintenant, tu vas me mettre en retard ! Et puis enfile un caleçon, je vois tout.

Pardon, j’avais pas remarqué, tu as beau être ma sur, tu restes une femme nue devant moi. Et en plus, tu as vraiment un joli corps si je peux me permettre.

Je t’ai dit de filer.

Pardon, je te laisse tranquille. Tu as pas voir mon caleçon ?

Il est aussi à côté de la douche !

Tu veux bien me le passer ? Si je retourne dans le fond de la salle de bain, je vais jamais en sortir !

Ma sur se dirige alors vers la douche en me laissant admirer son magnifique fessier rebondi. Je n’ai qu’une envie : parcourir chaque centimètre de son corps avec mes lèvres.

Au moment de se baisser pour ramasser mon caleçon, je peux alors apercevoir ses lèvres. Je vais devenir fou.

Allez, tiens ton caleçon, maintenant file !

Je n’ai qu’une envie : me mettre nu afin de laisser ma sur m’observer elle aussi et voir sa réaction. Mais je me dis que ça suffit pour aujourd’hui.

J’enfile mes affaires avec difficulté tant mon sexe est dur. La journée va être longue.

Du moins, c’est ce que je pensais. A peine arrivé à la fac, je vois Mélanie me faire signe au loin. Elle est à l’écart.

Bonjour Mélanie, ça va ?

Parfaitement et toi ? Tu as fait de beaux rêves ?

Je te laisse deviner !

Parfait ! Tiens, j’ai un cadeau pour toi.

Elle tend alors sa main vers moi. Je tends alors ma main pour recevoir son présent et me rends très rapidement compte qu’elle vient de me donner un string. Je regarde alors attentivement sa tenue. Elle porte une jupe d’une taille raisonnable, ce qui me laisse rêver qu’elle vient de me donner le string qu’elle devait porter aujourd’hui.

Tu ne portes rien ?

Je te laisse le découvrir par toi-même aujourd’hui ! me provoque-t-elle en se dirigeant vers la salle.

Comment me concentrer pendant le cours ? J’ai des images qui me viennent en tête de tous les côtés. J’essaye de réfléchir à comment vérifier si Mélanie ne porte rien le plus rapidement possible.

Tiens, je vais essayer ça.

Excusez-moi Monsieur, je peux aller aux toilettes s’il vous plaît ?

Pas de soucis Pierre.

En espérant que Mélanie comprenne le message et fasse de même.

Après 5 bonnes minutes, je me résous à abandonner l’idée et retourne en cours.

Mélanie me regarde alors avec un sourire innocent. Si elle veut jouer à ça, elle va être servie.

La pause du midi ne m’a permis aucune occasion de vérifier quoi que ce soit. En revenant dans la salle, je prends soin de me mettre juste devant Mélanie.

Au bout de quelques minutes, je laisse tomber mon stylo dans sa direction.

L’espace d’une seconde pendant que je suis sous la table, Mélanie frotte son pied sur mon sexe sans me laisser voir pour autant un centimètre de ses lèvres.

Je me rassois alors avec le sexe gonflé d’envie. Décidément, ça va devenir une habitude et si ça continue, je vais devoir me racheter des jeans. Il faut que j’arrive à aller plus loin.

Malgré plusieurs tentatives pendant le cours, je n’arrive à rien. Cependant, je n’abandonne pas.

Avec la fac, nous avons le droit de choisir un club de notre choix et l’abonnement nous est quasiment offert pour l’année. J’ai choisi le club de volley sans grande conviction en début d’année uniquement, car ma cousine est là-bas et ça me faisait plaisir de la voir de temps en temps. Maintenant, c’est encore plus intéressant, car Mélanie fait aussi partie de ce club.

A peine arrivé devant le club que Mélanie continue de me chauffer.

On se change et on se rejoint après Pierre ? me lance-t-elle avec un sourire malicieux qui me met au défi de la rejoindre pendant qu’elle se change.

Seulement voilà, les femmes et les hommes ont des cabines séparées.

Je prends alors mon téléphone à l’oreille en prétendant être au téléphone et me dirige vers les cabines des femmes. Je me fais alors tout de suite recaler par une des entraîneuses.

Raté !

Malgré cet échec, je sais que je vais m’amuser avec Mélanie ce soir.

En arrivant sur les terrains, j’aperçois Mélanie en compagnie de ma cousine. Je ne savais pas qu’elles se connaissaient, c’est étonnant.

Salut Mélissa, ça va ? Je savais pas que tu connaissais Mélanie !

On se connaissait pas vraiment, mais j’ai vu pendant les derniers cours que vous vous parliez, alors je lui ai demandé si vous étiez amis, mais elle m’a dit que c’est ta cousine. C’est sympa !

répond Mélanie avec le même sourire que tout à l’heure avant même que Mélissa ne me réponde.

Oui ça va Pierre, je suis contente, ton amie a l’air vraiment sympa.

Les échauffements commencent alors et Mélanie et Mélissa se mettent dans la même équipe.

Je ne peux m’empêcher de regarder Mélanie du coin de l’il et je commence à me rendre compte qu’elle essaye d’être tactile avec ma cousine. Chaque point marqué, les deux filles se sautent dans les bras ! Mélissa n’a pas l’air de se rendre compte de quoi que ce soit, mais Mélanie me provoque j’en suis sûr. Elle pelote littéralement ma cousine devant mes yeux. Et je dois admettre que ça m’excite moi aussi. Si elle continue, je vais avoir une érection et mon short ne risque pas de cacher grand-chose.

Une nouvelle fois, je vois Mélissa sauter dans les bras de Mélanie qui en profite alors pour saisir les fesses rebondies de ma cousine.

D’un coup, une violente gifle vient s’écraser contre mon visage. Déconcentré, je n’ai pas vu le ballon arrivé. Je suis sonné et décide alors de partir m’asseoir dans le local à accessoires pour me couper du bruit.

Les deux filles me rejoignent alors afin de prendre de mes nouvelles.

Ça va ? Ça avait l’air assez violent ! m’interroge Mélissa.

Oui, mais je suis vraiment sonné et mon oreille siffle.

Tu regardais ailleurs ? me demande Mélanie avec un sous-entendu très net.

Oui je suis tête en l’air tu sais bien.

Attends, tu devrais peut-être t’allonger, c’était quand même un sacré coup ! Mélissa, je te laisse lui faire quelques tests pour voir si ses réflexes sont normaux.

Je m’allonge en me demandant ce qu’elle peut bien avoir en tête

Alors Pierre, tu vas suivre mes doigts avec tes yeux uniquement et si tu as mal tu me préviens d’accord ?

J’acquiesce alors.

Gauche, droite, gauche, bas Tout a l’air de bien aller. Jusqu’au moment où Mélanie se décide enfin. Elle aussi veut apparemment vérifier que mes réflexes sont normaux. Sa main s’est glissée sous mon short afin de saisir mon sexe. J’essaye de ne fournir aucune réaction, mais mon sexe devient dur en une fraction de seconde. Je me rends compte que mes yeux sont alors posés sur les seins de ma cousine depuis quelques secondes. Il faut dire qu’ils sont magnifiques. La brassière qu’elle doit porter laisse apparaître une poitrine bien ferme.

Pierre, ça te fait mal ? Tu ne suis plus vraiment mes doigts là !

Merde elle s’en est rendue compte. Elle est devenue rouge.

Si, pardon, je suis vraiment sonné, continue.

Les allers-retours de Mélanie sur mon sexe sont discrets, mais elle exerce une pression qui me fait frémir d’envie. Chaque passage sur mon gland me donne envie de sortir mon sexe pour lui faciliter le travail.

Je fais cependant mon maximum pour rester concentré sur ce que ma cousine me demande de faire. Ses gestes sont de moins en moins concentrés et je regarde alors ma cousine pour voir si elle a terminé son exercice. Elle est devenue complètement rouge et sa respiration semble s’être accélérée.

Ce n’est pas possible que le simple fait d’avoir posé mon regard sur ses seins la mette dans un tel état.

Ce n’est pas possible, ce n’est quand même pas Mélanie qui …

Un soupir de plaisir s’échappe alors des lèvres de ma cousine qui ouvre immédiatement les yeux en se relevant.

La main de Mélanie se retire de mon sexe aussitôt.

Après avoir fait semblant de bâiller, ma cousine dit « Je vais chercher de quoi te couvrir, ça te fera du bien ! » et s’enfuit.

Je regarde alors Mélanie d’un regard accusateur et plein de tension sexuelle.

Ne me dis pas que tu la touchais quand même ?

Pourquoi tu es jaloux ? Pourtant je m’occupais de toi aussi en même temps.

Mon short glisse alors au niveau de mes cuisses laissant mon sexe dur à l’air libre. Les gouttes de liquide séminal coulent de mon gland et la raideur de mon sexe est assez exceptionnelle.

On dirait que ça te plaît malgré tout ?

Mélanie saisit alors mon sexe et avale chaque centimètre en une fois. Je ne vois plus mon sexe, mais uniquement ses yeux qui laissent paraître son envie de sexe. C’est divin. Je sens mon gland glisser dans le fond de sa gorge au rythme de ses aller-retour.

J’ai attendu toute la journée de voir son sexe. Je la fais alors se relever de force et soulève ses fesses afin de les situer au-dessus de mon visage. Je ne me jette pas dessus. Je contemple chaque centimètre de ses lèvres dégoulinantes de mouilles. Mélanie reprend alors son activité sur mon sexe en me suçant alors plus profondément. Je me jette et laisse ma langue parcourir cette magnifique vulve.

Son clitoris gonflé roule sous ma langue et ses lèvres s’écartent à chaque passage que je fais. Sa mouille a un goût divin. J’ai envie de passer ma nuit à manger ce doux fruit. Plus les secondes passent et plus elle mouille. J’aimerais tellement la faire jouir. Je sens ses doigts se crisper sur mes cuisses et ses mouvements s’accélèrent.

La porte métallique du local se referme sèchement.

Mélanie se redresse alors en un instant et remet mon short à sa place pendant que je tente d’essuyer la mouille sur mon visage.

Ma cousine me demande « Alors ça va un peu mieux ? » en me tendant une couverture que je m’empresse de mettre au niveau de mon sexe.

Mélissa reprend alors sa place près de mon visage.

Mélanie intervient « Tiens tu devrais cacher tes yeux de la lumière sinon tu vas attraper une migraine »

Je prends alors le bandeau qu’elle me tend et recouvre mes yeux. Je ne peux m’empêcher de penser à 1000 choses.

Du coup Pierre, je vais essayer de bouger ton cou lentement pour voir si tu as une douleur.

Pas de soucis.

Mélanie reprend alors son travail sur mon sexe en me branlant, mais j’ai l’impression qu’elle n’est pas aussi discrète que tout à l’heure. Serait-elle en train de provoquer ma cousine ? Si ça se trouve, elle-même en train de s’occuper de ma cousine en même temps qu’elle s’occupe de moi.

Les images des deux filles nues au-dessus moi envahissent mon esprit.

Mélanie enlève mon short. Je n’en reviens pas, elle est folle, ma cousine va s’en rendre compte.

Mais le massage de ma cousine sur mon cou continue sans interruption.

Je prends un plaisir immense. Je suis tellement excité de savoir que Mélanie s’occupe de mon sexe alors que ma cousine est juste à côté.

Au bout de quelques secondes, je sens une langue parcourir le sommet de mon gland. J’ai envie d’exploser. La langue de Mélanie descend alors doucement vers la base de mon sexe et commence délicatement à parcourir mes boules. Je suis pris de frisson intense. J’entends alors un léger rire étouffé à côté de moi. Et tout d’un coup, je sens Mélissa se pencher vers mon visage.

Tu aimes ?

Cette voix ??? Ce n’est pas celle de Mélissa. C’est Mélanie, mais comment peut-elle être en train de me sucer et de me parler en même temps ?

Je retire alors mon bandeau immédiatement et aperçois immédiatement ma cousine en train de me sucer. Elle s’applique énormément. Mélanie me recouvre alors les yeux fermement.

Je ne dis rien. Ma cousine est en train de me sucer. Et je sens alors une chaleur près de mon visage. Je reconnais l’odeur. Ma langue parcourt alors de nouveau chaque centimètre de ce divin fruit.

Mon imagination remplace mes yeux. Je peux parfaitement voir la scène. J’imagine Mélanie assise sur mon visage pendant que Mélissa me suce. J’imagine même Mélissa en train de se toucher. Toutes ces images vont me faire exploser. Il faut que j’arrive à faire jouir Mélanie. Après quelques secondes, je sens son bassin bouger sur mes lèvres, j’entends alors sa respiration s’accélérer et d’un coup, ses cuisses se resserrent autour de ma tête et sa mouille coule abondamment dans ma gorge. Je me laisse alors exploser à mon tour dans la bouche de ma cousine. Elle ne semble pas dérangée. Et continue de me sucer jusqu’à la dernière goutte. J’en fais autant pour Mélanie qui se crispe et tremble légèrement au-dessus de mon visage.

Après quelques secondes ou plus, personne ne bouge, je sens les filles se relever.

Je n’ose pas bouger. J’entends alors la porte métallique se fermer une nouvelle fois. J’enlève alors mon bandeau. Je suis seul, nu, heureux, épuisé. Je n’en reviens pas. Je me rhabille alors essaye de m’arranger pour ne pas paraître suspect et je fonce directement aux vestiaires. Je suis vidé. J’ai pris un plaisir que je n’aurais jamais pensé possible.

Après avoir pris une douche chaude, je décide de rentrer chez moi pour me mettre dans mon lit et fermer les yeux sans même adresser la parole à ma sur.

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