Lorraine s’est réveillée après une bonne nuit de sommeil. La nuit a été mouvementée, elle s’est donnée à deux hommes et y a pris un plaisir dont elle ne se doutait pas elle même. Aussi, à son réveil, elle était bien… Tout simplement bien. Mais son interrogation était toujours là : comment allait-elle gérer cette relation, peut-être à trois ?
Phil n’était pas à ses côtés. Il était déjà debout avec Roy en train de prendre son petit déjeuner. Il n’avait pas parlé de ce qui s’était passé la veille. Il aimait profondément Lorraine et ne voulait ni la perdre ni la frustrer. Comment être sûr de ne pas la blesser ? Continuer ou arrêter ?
Roy avait passé une excellente soirée. Il avait partagé avec son meilleur ami un moment d’une grande complicité. Et pour ne rien gâcher, Lorraine lui plaisait beaucoup. Pas au point d’en tomber amoureux mais assez pour avoir envie d’elle. Mais le couple allait-il le laisser entrer entre eux ou plutôt contre eux ?
« Hier soir… lâcha Phil.
— Oui ?…
— Tu penses que… enfin…
— C’est à toi de voir…
— Plutôt à elle, non ?
— Je dirais ’à vous’ mais je n’ai rien à décider. »
Lorraine sortit de la chambre après avoir enfilé sa nuisette et sa robe de chambre. Elle ne savait pas encore comment elle allait réagir face aux deux hommes mais elle avançait vers la cuisine, toujours aussi amoureuse de Phil. Lorsqu’elle arriva dans la pièce, les deux hommes étaient là surement un peu impatients de connaître la suite. Lorraine s’avança vers Phil et le prit dans ses bras pour un doux baiser.
« Bonjour mon amour.
— Bonjour ma belle. Bien dormi ?
— Vous m’avez épuisée mais j’ai bien récupéré. »
Elle regarda Phil qui avait des questions dans les yeux. Elle savait qu’il fallait qu’elle se décide. Son corps lui disait qu’elle voulait encore les deux hommes et son cur voulait toujours autant Phil et son amour. S’il l’aime toujours aussi fort alors elle n’avait plus de raison de frustrer son corps.
« Tu m’aimes ? Questionna Lorraine.
— Bien sûr…
— Même après hier ?
— Oui… Pourquoi ça changerait ? »
Mais la discussion s’arrêta là. Et la journée se déroula sans le moindre souci, la moindre gêne ni même une évocation de la soirée de la veille. Le soir, sur le canapé, Lorraine était entre les deux hommes à regarder une bêtise, comme d’habitude. Ils attendaient tous ce qui allait se passer lorsque le générique de fin allait sonner le moment d’aller au lit. Elle allait dormir avec Phil, c’est sûr, elle le voulait. Mais est-ce que Roy allait venir avec eux.
Ce générique, autant attendu que redouté finit par arriver. Roy fut le premier à se lever. Un peu sans y croire, il tendit la main vers Lorraine. Celle-ci se tourna vers Phil attendant une réaction. Il se contenta de sourire, acceptant tacitement que Lorraine parte avec Roy. Elle attrapa la main de Roy et se leva. Il l’entraîna vers sa chambre. En entrant, elle se vit de nouveau, la veille sur ce lit, avec les deux hommes avec elle pour lui donner du plaisir. Instantanément, son corps se mit à vibrer et une douce chaleur envahit son ventre.
Roy vint la prendre dans ses bras. Doucement, il fit glisser ses mains sur son corps, caressant ses cuisses en faisant remonter la petite jupe puis sur ses seins au travers de son tee-shirt. Lorraine posa ses mains sur les fesses de l’homme. Tendrement, ils firent tomber un à un leurs vêtements. Lorraine ne portait déjà plus rien quand elle se mit à genoux pour faire tomber le boxer de Roy. La verge de Roy lui apparut, dressée. Elle ouvrit doucement les lèvres et laissa entrer le gland de Roy dans sa bouche. Elle lui fit une douce fellation comme elle aime à les faire. Elle tétait doucement le gland et masturbait tendrement le sexe de ses mains caressantes ou de ces lèvres douces. Sa langue jouait avec le gland sensible lorsque la verge s’enfonçait plus en elle. Les halètements de Roy ne laissaient aucun doute sur le plaisir que prenait son amant. Il ne pourrait pas tenir bien longtemps pourtant il n’osait pas quitter cette douce bouche qui lui donnait tant de plaisir.
A son corps défendant, il se retira de la bouche de Lorraine. Il fit se lever la belle jeune femme et l’assit sur le lit. Il lui écarta les jambes découvrant un sexe luisant d’envie. Elle sentait le désir et son corps offert excitait Roy au plus haut point. Il s’agenouilla entre les cuisses ouvertes et poussa Lorraine sur le lit pour qu’elle s’allonge. Il avança sa bouche gourmande vers cet antre de plaisir. De sa langue rugueuse, il poussa les deux lèvres humides pour se frayer un chemin vers l’entrée du vagin de Lorraine. Il lécha avec douceur le jus dégoulinant de ce sexe ouvert. Lorraine commençait à se tortiller sur le lit en gémissant de plaisir. Roy trouva le petit bouton gonflé de Lorraine et se mit à le téter avec avidité. La caresse était trop agréable pour Lorraine qui ne pouvait plus tenir très longtemps. Elle dut repousser son amant pour ne pas jouir trop vite.
Elle invita son amant du soir à la rejoindre sur le lit. Doucement, elle saisit son sexe dur et encore humide de sa salive et le guida vers elle. Roy s’allongea sur elle avec délicatesse comme pour ne pas la briser. Il la pénétra de toute sa longueur. Lorraine poussa un petit cri à l’introduction de Roy en elle puis elle se remit à gémir lorsque celui-ci se mit à aller et venir en elle. Ce petit arrêt avait permis à Lorraine de retomber un peu et, même si Roy lui faisait divinement bien l’amour, elle allait pouvoir tenir assez longtemps pour profiter du beau corps de son partenaire. En revanche, dans cette position, le plaisir de Roy était trop intense. Il essayait de ne pas jouir mais cela était de plus en plus difficile pour lui. Alors qu’il était sur le point de venir, il se retira brusquement pour tenter d’arrêter son envie. Il retomba à côté d’elle et Lorraine le laissa souffler un peu.
Doucement, elle se tourna vers lui et commença à aspirer ses tétons. Elle sait que son homme aime ça alors pourquoi pas Roy. Elle évita soigneusement de toucher son sexe luisant car elle savait qu’il lui aurait explosé entre les mains ou entre les lèvres. Au bout d’un moment qui lui parut une éternité, elle enjamba Roy et vint s’installer sur lui. Elle dressa la verge toujours aussi dure de son partenaire qu’elle introduisit en elle. Le retour de son amant au cur de son plaisir la combla. Avec lenteur, elle reprit ses mouvements pour faire aller et venir son amant en elle. Son bouton gonflé de désir frottait les poils de Roy. En très peu de temps, Lorraine ne pouvait plus se contrôler et elle chevauchait son amant avec fougue. Son plaisir était si fort qu’elle finit par jouir bruyamment en s’écroulant sur son partenaire.
Mais Roy n’en avait pas fini avec elle. Alors qu’elle était encore tout à son orgasme, il installa Lorraine à quatre pattes sur le lit. Il prit position derrière elle et glissa son sexe en elle. Il agrippa la belle jeune femme par les hanches et commença à donner de doux coups de butoir dans le vagin encore parcouru de spasmes de Lorraine. Roy la pénétra en levrette lui redonnant encore du plaisir. Lui avait du mal à tenir dans cette position qu’il affectionne tant. La vue des belles fesses de sa partenaire lui donnait autant de plaisir que la pénétration. Bien entendu, Roy ne tint pas longtemps dans cette position. Il sortit son sexe de Lorraine et coinça sa verge entre les fesses de Lorraine. C’est ainsi que l’orgasme arriva. De longs jets de sperme retenu jaillirent de Roy maculant les fesses, les hanches mais aussi le dos de Lorraine. La première giclée manqua même de peu de finir dans les cheveux de la jeune femme.
Après un petit brin de nettoyage et un petit câlin avec Roy, Lorraine quitta la chambre pour traverser le couloir et retrouver son amoureux. Il était dans le lit, un livre à la main, attendant sa belle. Elle qui avait laissé ses vêtements dans la pièce d’en face s’approcha du lit pour s’engouffrer sous les draps. Phil éteignit la lumière et se colla à sa petite amie. Très vite, elle sentit la verge dure de son amoureux contre elle. Malgré l’orgasme qui l’avait terrassée quelques minutes plus tôt, elle eut envie de ce sexe qui s’était dressé pour elle.
Lorraine tira doucement les draps et descendit le long du corps de son apollon en l’embrassant tendrement. Lorsqu’elle s’approcha du gland violacé de son amoureux, la verge se tendait vers sa bouche comme implorante. Tout d’abord du bout de la langue puis des lèvres, Lorraine caressa la verge de Phil. Elle finit par l’engloutir avec envie. Alors que les lèvres et la langue de Lorraine s’occupaient avec délicatesse, l’homme commença à gémir. Elle agrémenta sa fellation de caresses sur la verge et les testicules poilues de son homme. Placée comme elle l’est, les fesses de Lorraine étaient dirigées vers Phil. Il fit glisser sa main sur les cuisses de Lorraine puis remonta doucement vers le sexe encore humide de sa douce. Sans difficulté, il entra dans son antre. Cette pénétration fut accueillie avec plaisir par la jeune femme. Mais celle-ci fut de courte durée. Phil sortit du sexe de Lorraine puis entraîna sa petite amie vers lui. Elle l’enjamba est s’allongea de nouveau sur lui sans avoir cessé de sucer son homme. La langue de Phil commença à lécher le sexe de sa petite amie. Les deux amants se donnèrent beaucoup de plaisir, l’un répondant par des gémissements aux gémissements de l’autre.
Visiblement trop excités, les deux amants ne tinrent pas la position bien longtemps. Lorraine se redressa et avança vers le sexe de Phil qu’elle attrapa d’une douce main. Elle redescendit délicatement en enfonçant la verge de Phil en elle. Toujours dos à lui, elle commença à le faire aller et venir en elle. Phil posa doucement ses mains sur les belles fesses de Lorraine. Avec délectation, elle sentait la belle verge veinée labourer son sexe doux et humide. Elle ne réprimait même pas ses halètements de plaisir. Phil profitait de spectacle des fesses de Lorraine qui montait et descendait aspirant son sexe en elle. Le plaisir était trop grand pour Phil et Lorraine qui stoppèrent leurs ébats quelques instants. Ils s’allongèrent l’un contre l’autre tout en continuant de se caresser tendrement.
Phil eut de nouveau envie de Lorraine. Il l’installa à quatre pattes sur le lit et se mit derrière elle. Phil savait que Lorraine aimait cette position alors, il prit le temps de faire passer son gland entre les lèvres de Lorraine. Cette caresse excita encore plus Lorraine qui humidifiait abondamment le gland de son amant. Quelques secondes plus tard, Phil agrippa les hanches de sa belle et s’y enfonça avec douceur. Avec tendresse mais fermeté, il lima le sexe de sa petite amie. Lorraine gémissait de plaisir, s’approchant irrémédiablement de son deuxième orgasme. Elle sentait la verge de son amoureux frémir en elle. Phil ne pouvait décrocher son regard du petit trou qui se présentait devant lui. Il écartait et resserrait les fesses de Lorraine faisant apparaître ce petit trou dont il commençait à avoir envie.
Tout doucement, il glissa son pouce contre l’anus de sa petite amie. Ce contact électrisa Lorraine. Son corps répondit favorablement à cette caresse en ouvrant un peu ce petit trou. Phil se mit à appuyer en dessinant des cercles sur l’anus de sa petite amie. Celui-ci se détendit et, après quelques secondes de ce traitement, le pouce de Phil put entrer dans Lorraine. Se servant du plaisir de Lorraine, Phil lui lubrifia l’anus. Quand elle fut assez ouverte, Phil introduisit un second doigt dans Lorraine. L’anus de la jeune femme s’ouvrit un peu plus et ses gémissements se transformèrent en petits cris de plaisir. Lorraine se tourna vers Phil qui la pénétrait toujours.
« Vas-y… Prends-moi le cul… »
Les paroles de Lorraine finirent d’exciter Phil qui sortit du sexe de Lorraine pour présenter son gland à l’entrée de son anus qui frémissait d’envie. Il poussa et le petit trou de Lorraine finit de s’ouvrir pour aspirer ce sexe qu’elle espérait. Tendrement, Phil avança en elle. Lorraine gémissait et criait de plus en plus fort alors que Phil commençait à lui limer le petit trou. Le plaisir du couple était d’une rare force. Même si Lorraine avait joui un peu plus tôt avec Roy, elle prenait encore beaucoup de plaisir à sentir Phil dans son anus. Ce plaisir partagé finit par atteindre son paroxysme. Lorraine ne put retenir son orgasme agrémentant bruyamment les spasmes de son anus autour de la verge de Phil. Ce dernier ne put se retenir plus longtemps à cause du traitement que la jouissance de Lorraine lui infligeait. Il déversa son sperme dans l’anus frémissant de Lorraine. Repus, ils s’écoulèrent ensuite sur le lit et s’endormirent l’un contre l’autre.
Le lendemain, à son réveil, Lorraine était seule dans le lit. A l’horizon, pas de nuisette, elle était restée dans la salle de bain.
« Après tout, ce n’est pas comme s’ils découvraient quelque chose… »
Se disant cela, la jeune femme sortit de la chambre dans le plus simple appareil. Elle retrouva les deux hommes déjà prêts pour leur journée. Elle se blottit dans les bras de Phil en l’embrassant à pleine bouche. Celui-ci ne manqua pas de poser ses mains sur les fesses rebondies de sa douce. Après cette étreinte, elle s’approcha de Roy et l’enlaça. Roy caressa lui aussi les fesses de Lorraine.
« Bonjour mes amours. Bien dormi ?
— Oui, tu m’as vidé hier soir, répondit Phil avec un large sourire.
— Je ne sais pas comment j’ai eu la force après ce que nous avons fait ensemble, dit-elle en regardant Roy amusée.
— Ce doit être parce que tu as un grand appétit, lui répondit-il. »
Les trois jeunes gens se mirent à rire comme si cette conversation était banale. Les semaines qui suivirent furent égales aux deux derniers jours pour Lorraine. Elle était partagée entre les deux hommes. Quelques fois, elle faisait l’amour avec l’un puis avec l’autre. D’autres fois, ses préférées, les deux hommes s’occupaient d’elle en même temps. Enfin, il lui arrivait de se consacrer à l’un d’entre eux. Mais elle finissait toujours sa nuit avec Phil, son homme pour lequel son amour était plus grand de jour en jour, même si elle quittait Roy tard dans la nuit après de nombreux orgasmes.
Cette situation qui convenait aux trois partenaires dut changer le jour où Roy ne rentra pas pour dormir…
